Autoconsommation solaire : transformer votre facture d’électricité

Face à la hausse régulière des prix de l’électricité, de plus en plus de particuliers cherchent des solutions pour reprendre le contrôle sur leur consommation énergétique. Parmi elles, l’autoconsommation solaire s’impose comme une réponse à la fois économique, écologique et accessible.

Mais de quoi s’agit-il exactement ? Est-ce rentable ? Comment s’équiper ? Cet article vous donne toutes les clés pour comprendre comment produire et consommer votre propre électricité afin de réduire durablement votre facture.

Qu’est-ce que l’autoconsommation solaire ?

L’autoconsommation solaire consiste à produire votre propre électricité grâce à des panneaux photovoltaïques, généralement installés sur votre toit, et à consommer directement cette énergie pour alimenter votre logement.

« L’autoconsommation, c’est le principe de consommer directement l’électricité produite par ses panneaux solaires. […] C’est un flux d’énergie instantané. » — Louis Créno, responsable activité photovoltaïque chez Créno Énergies Renouvelables

Il existe deux types d’autoconsommation :

– Sans revente : vous consommez uniquement l’électricité produite à l’instant T

– Avec revente du surplus : l’électricité non consommée est injectée dans le réseau, et vous êtes rémunéré pour cette production excédentaire

« On peut opter pour l’autoconsommation avec revente du surplus. Ce surplus est injecté sur le réseau public, et EDF OA (Obligation d’Achat) le rachète. » — Louis Créno

Dans les deux cas, vous conservez une connexion au réseau classique, ce qui permet de compenser les besoins quand vos panneaux ne produisent pas assez, notamment la nuit ou en hiver.

Quels sont les avantages de l’autoconsommation solaire ?

Réduction de la facture d’électricité

C’est l’avantage le plus évident. En consommant l’électricité que vous produisez, vous réduisez d’autant celle que vous achetez à votre fournisseur. Selon votre installation et vos habitudes, cela peut représenter jusqu’à 50 % d’économies sur votre facture annuelle.

Indépendance énergétique partielle

L’autoconsommation vous permet de devenir moins dépendant des fluctuations du marché de l’énergie. Vous gagnez en autonomie et en prévisibilité budgétaire, ce qui est particulièrement rassurant en période d’inflation.

Valorisation de votre bien immobilier

Une maison équipée en solaire est souvent perçue comme plus moderne et éco-responsable, ce qui peut être un atout lors d’une revente. Les acheteurs sont de plus en plus sensibles à ces aspects.

Impact environnemental positif

En produisant une partie de votre énergie localement, vous limitez les pertes liées au transport et réduisez vos émissions de CO2. Un geste concret pour la planète.

Combien peut-on vraiment économiser ?

Les économies varient selon plusieurs critères : votre localisation, la surface disponible, votre profil de consommation, la puissance de votre installation, etc.

« L’étude de dimensionnement prend en compte la consommation du foyer, le nombre d’habitants, les équipements… Le but est de coller au plus près des besoins pour maximiser l’autoconsommation. » — Louis Créno

Prenons un exemple simple :

– Une installation de 3 kWc produit en moyenne 3 200 kWh par an

– Si vous consommez autour de 5 000 kWh par an, vous pourriez autoconsommer environ 30 à 40 % de cette production.

– À raison de 0,25 €/kWh, cela représente 300 à 500 € d’économies par an, voire plus si vous optimisez vos usages (par exemple en lançant vos appareils en journée).

Avec une installation bien dimensionnée, l’investissement peut être amorti en 8 à 12 ans. Et les panneaux photovoltaïques ont aujourd’hui une durée de vie de 25 à 30 ans.

« On parle souvent d’un retour sur investissement autour de 10 ans. Il faut rester prudent dans les estimations, mais ça reste rentable dans la durée. » — Louis Créno

Quel est le coût d’une installation solaire ?

Le coût dépend de la taille de votre installation. En moyenne :

– Pour une puissance de 3 kWc, comptez entre 6 000 et 9 000 € TTC

– Pour 6 kWc, prévoyez entre 10 000 et 14 000 € TTC

« Il y a une prime à l’autoconsommation, versée un an après la mise en service, ainsi qu’une TVA réduite à 10% pour les installations de moins de 3 kWc. » — Louis Créno

Plusieurs aides financières existent :

– Prime à l’autoconsommation (versée sur 5 ans)

– TVA réduite à 10 %

– MaPrimeRénov’ (sous conditions)

– Aides locales ou régionales, selon votre lieu d’habitation

Ces dispositifs rendent l’autoconsommation plus accessible qu’on ne l’imagine.

Comment passer à l’autoconsommation ?

Les grandes étapes d’un projet solaire

  1. Réaliser une étude de faisabilité (toiture, orientation, ombrage)
  2. Choisir un professionnel certifié RGE
  3. Obtenir les autorisations administratives
  4. Faire installer l’équipement
  5. Effectuer le raccordement au réseau si nécessaire

« Il faut vérifier que le prestataire est RGE QualiPV et demandez l’attestation d’assurance décennale. Mieux vaut appeler l’assureur pour vérifier que le photovoltaïque est bien couvert. » — Louis Créno

Le tout prend généralement 2 à 4 mois, selon la complexité du projet.

Faut-il installer une batterie ?

Les batteries permettent de stocker l’électricité non utilisée en journée pour la consommer le soir ou la nuit. Elles offrent un meilleur taux d’autoconsommation, mais augmentent significativement le coût de l’installation.

« Pour avoir de l’électricité pendant une coupure, il faut un système avec batterie, voire un système de backup. Dans une installation classique, le système se coupe automatiquement. » — Louis Créno

Aujourd’hui, elles sont surtout recommandées :

– Si vous avez une forte consommation le soir
– Si vous souhaitez maximiser votre autonomie énergétique
– Si vous vivez dans une zone isolée

Les idées reçues sur l’autoconsommation solaire

« Ce n’est rentable que dans le Sud »

Faux. Le solaire est rentable partout en France. Même dans le Nord, une installation bien orientée produit suffisamment pour générer des économies.

« Le Sud reste optimal pour produire le plus. Mais une toiture est-ouest peut être très pertinente pour une meilleure répartition de la production sur la journée. » — Louis Créno

« Il faut être totalement autonome »

Non. Vous pouvez parfaitement rester connecté au réseau et ne consommer qu’une partie de votre production.

« C’est compliqué à entretenir »

Pas vraiment. Une installation solaire demande très peu d’entretien, en dehors d’un nettoyage occasionnel et d’une vérification annuelle.

Ce que dit la réglementation

En France, l’autoconsommation est pleinement encadrée par la loi, avec un cadre favorable au développement du solaire chez les particuliers.

– Vous avez le droit d’installer des panneaux chez vous

– En cas de revente du surplus, vous signez un contrat d’obligation d’achat avec EDF OA

– Les démarches administratives sont simplifiées depuis plusieurs années

« Il existe même des alternatives au toit, comme les carports solaires, qui sont de plus en plus acceptés même en zone protégée. » — Louis Créno

L’autoconsommation solaire vous permet de produire votre propre électricité et de réduire significativement votre facture énergétique, tout en agissant pour la transition écologique.

Grâce aux équipements de plus en plus performants et aux aides financières disponibles, cette solution devient de plus en plus accessible.

« Mon conseil principal : se faire accompagner dès le départ par un professionnel pour une étude de faisabilité sérieuse et personnalisée. » — Louis Créno

Vous envisagez de franchir le pas ? Une étude personnalisée vous permettra de mesurer les gains potentiels et de concrétiser votre projet en toute sérénité.

Plus d’info dans le podcast De la Cave au Grenier disponible sur toutes vos plateformes d’écoute

5 conseils pour optimiser son espace (et mieux vivre chez soi)

Découvrez les conseils de Elena Ivanoff, architecte d’intérieur, et rencontrez la au Labo Déco de Brest, du 3 au 6 octobre 2025.

Qui n’a jamais eu cette impression tenace que son intérieur, aussi charmant soit-il, ne fonctionne pas vraiment ? Trop étroit ici, mal organisé là… Et si le vrai problème n’était ni la taille de votre logement, ni son style, mais la façon dont il est pensé ?

Optimiser son espace, ce n’est pas seulement une affaire d’esthétique. C’est une question de fluidité, de confort, et surtout de justesse. Ce n’est pas la surface qui crée le bien-être, c’est l’intelligence de l’agencement. Le secret ? Savoir observer, ajuster, et surtout… décider. Qu’on vive dans 30 ou 150 m², un espace mal conçu fatigue et encombre l’esprit. À l’inverse, un lieu bien structuré, même compact, peut devenir un véritable cocon. Un cocon fonctionnel et agréable à vivre, où chaque mètre compte.

Cette approche, je l’ai développée lors du dernier Labo Déco du Salon de l’Habitat de Brest, où j’accompagne les visiteurs dans la transformation concrète de leurs espaces de vie, avec des coachings gratuits et personnalisés. Parce qu’un intérieur qui vous ressemble, c’est un intérieur qui vous soutient au quotidien. Et parfois, il suffit d’un bon conseil au bon moment pour tout débloquer.

En attendant notre prochaine rencontre en octobre, voici 5 conseils essentiels, concrets et activables pour transformer dès aujourd’hui votre intérieur.

1. Dégagez les circulations : quand l’espace commence par les gestes

Ce que j’observe en premier en entrant dans un intérieur, c’est la manière dont on s’y déplace.

Un intérieur qui gêne la marche, qui force à contourner ou à se faufiler, freine inconsciemment votre quotidien. Même si l’on ne s’en rend pas compte consciemment, le corps, lui, le ressent.

Un bon agencement permet des mouvements naturels, sans obstacle, sans ralentissement.

Un couloir encombré, un meuble mal placé, un passage trop étroit : autant de détails qui créent une tension invisible mais réelle.

Passons à la pratique :

Prévoir 80 à 90 cm entre deux meubles majeurs : table, canapé, îlot.

Laisser 120 cm dégagés à l’entrée pour un accueil fluide.

Cartographier vos trajets quotidiens : si vous contournez un meuble plusieurs fois par jour, c’est qu’il est mal placé.

Chaque pas fluidifié est une énergie gagnée ! Un espace qui “coule”, c’est un quotidien apaisé.

2. Meublez à la bonne échelle : la puissance des proportions

Quand un espace semble “bancal”, ce n’est pas une question de style, mais d’échelle.

La bonne échelle n’est pas une affaire de goût, mais de dialogue spatial entre objets et volumes.

Un meuble trop grand écrase la pièce. Trop petit, il flotte et donne une impression de vide. Nos yeux lisent une pièce avant notre cerveau : si les proportions sont déséquilibrées, l’inconfort apparaît, même sans qu’on sache pourquoi.

Passons à la pratique :

Ratio 1/3 pour le sol : un meuble ne devrait pas occuper plus d’un tiers de la pièce

Exemple : dans un salon de 15 m², un canapé au-delà de 5 m² d’emprise visuelle écrase l’espace.

Règle des 2/3 pour les murs : un meuble adossé trouve son équilibre quand il occupe deux tiers du mur

Pensez en hauteur : dans une pièce à plafond haut, choisissez des meubles plus hauts ou jouez sur la verticalité

Créez des ensembles cohérents : un grand canapé peut fonctionner dans un petit salon s’il est accompagné de pièces fines et aérées

Exemple concret

Dans un séjour spacieux mais meublé uniquement de petits éléments légers, l’ajout de pièces plus imposantes a rétabli l’équilibre visuel sans compromettre la fluidité.

3. Pensez verticalité : exploitez ce que vous ne voyez pas (encore)

Dans la majorité des intérieurs, tout se passe sous la ligne des 100 cm. Résultat : le bas est surchargé, les hauteurs sont oubliées. Un espace dense, parfois étouffant, alors qu’une ressource précieuse reste inutilisée : la verticalité.

Penser vertical, c’est déployer l’espace dans toutes ses dimensions et revaloriser des volumes oubliés comme le haut d’un mur, un linteau ou une cage d’escalier.

Passons à la pratique :

Créez un point d’appel visuel entre 160 et 180 cm : étagère, tableau, applique.

Structurez vos murs en trois niveaux :

Bas : mobilier, rangements
Moyen : miroirs, cadres, appliques
Haut : plantes suspendues, frises légères

Exploitez les hauteurs oubliées :

Au-dessus des portes ou meubles hauts
Dans une cage d’escalier (galerie verticale)
En cuisine, salle de bain ou entrée : rangements hauts et ouverts

Astuce déco : Poser un rideau au plafond – plutôt qu’au-dessus de la fenêtre – allonge visuellement la pièce et la rend plus élégante.

4. Clarifiez les fonctions : chaque zone doit raconter quelque chose

Un espace est réussi si chaque zone a un rôle clair.

Dans les intérieurs ouverts, les usages ont tendance à se superposer… et le cerveau se perd. La solution ? Structurer sans cloisonner.

Clarifier, c’est organiser de façon lisible, intuitive et cohérente.

Passons à la pratique :

Un tapis bien dimensionné ancre visuellement une zone. Il doit dépasser d’au moins 30 cm autour du meuble principal pour une vraie assise visuelle.

La lumière devient un signal d’usage : suspension, liseuse, spot directionnel.

Une couleur ou texture délimite une zone : peinture, papier peint, matière.

Exploitez les micro-espaces oubliés :

Sous un escalier : bureau, banquette, rangement.
Derrière une porte : tablette, miroir, patères.
Dans un couloir : bibliothèque murale, frise colorée, banc filant.

À retenir : Même sur 1 m², une fonction bien définie peut transformer l’usage d’une pièce.

5. Allégez visuellement : le vide est un choix, pas un manque

Un intérieur visuellement chargé fatigue l’œil et le mental. Trop d’objets, de matières, de ruptures… L’espace devient bruyant.

Alléger, ce n’est pas faire “moins”. C’est faire mieux.

C’est créer du rythme visuel, des silences, des respirations. Ce qu’on montre doit avoir un sens. En design d’espace, on parle de “rythme visuel” : comme en musique, les silences sont aussi importants que les notes.

Passons à la pratique :

60 % d’objets visibles maximum sur une étagère
Sol homogène = continuité visuelle. À défaut, utilisez un tapis ton sur ton
Lumières indirectes : pour une ambiance douce et cohérente
Matières sobres et lignes calmes : finitions mates, formes douces, rangements fermés

Mieux vaut un tableau fort et une plante graphique que 12 petits objets sans lien entre eux.

Les pièges courants à éviter

Négliger les zones de transition : entrées, couloirs et paliers influencent la fluidité globale.

Ignorer les hauteurs : concentrer tout à hauteur de regard ou au sol crée un déséquilibre.

Ne pas respecter les proportions : un canapé trop imposant ou un tapis trop petit brise l’harmonie.

Oublier la lumière : un mauvais éclairage peut annuler les efforts d’aménagement.

Vouloir “tout montrer” : exposer trop d’objets dilue leur impact visuel et surcharge l’œil.

Conseil bonus – Faites la paix avec vos objets : l’art du tri intelligent

Optimiser son espace, ce n’est pas seulement mieux disposer ce qui existe… c’est aussi choisir ce qui mérite vraiment d’y rester.

Passons à la pratique :

Le test de l’utilité et de la joie : un objet doit soit servir, soit apporter un sentiment positif.

La règle du “un pour un” : chaque nouvel objet remplace un autre.

La création d’un espace “tampon” : boîte ou panier pour les objets en attente. S’ils ne manquent pas au bout de 3 mois, ils peuvent partir.

Le “panier de passage” : installé dans l’entrée pour déposer au quotidien ce qui doit être rangé, donné ou jeté.

Astuce : chaque objet retiré libère de l’espace physique… et mental.

 

Optimiser son intérieur, ce n’est pas une tendance. C’est créer un espace qui vous soutient, reflète vos besoins et respecte votre rythme de vie.

Votre intérieur vous influence plus que vous ne l’imaginez. Il peut vous freiner ou vous inspirer.

Transformer son chez-soi, c’est bien plus que déplacer des meubles. C’est amorcer un changement en vous, tout en douceur, à travers ce que vous habitez. Et parfois, il suffit simplement d’un autre regard pour faire émerger des solutions claires, simples et alignées avec vous.

Rendez-vous en octobre au Labo Déco du Salon de l’Habitat de Brest. Apportez vos plans, vos idées, vos blocages ou vos envies floues… Ensemble, nous leur donnerons forme.

Clean Parquet : l’art de redonner vie aux parquets et escaliers en bois

Depuis quelques années, la rénovation séduit de plus en plus les particuliers soucieux de préserver le cachet de leur intérieur tout en évitant les travaux lourds. Parmi les éléments qui traversent les modes et les générations, le parquet et l’escalier en bois tiennent une place à part. Matériaux vivants, chaleureux et nobles, ils sont souvent bien plus solides qu’on ne l’imagine. Encore faut-il savoir les traiter avec soin.

C’est précisément le métier de Clean Parquet, une entreprise artisanale familiale spécialisée dans la rénovation de boiseries intérieures.

Une entreprise familiale au service du bois

Implantée dans le Finistère depuis 1963, Clean Parquet perpétue un savoir-faire transmis de famille à famille, avec une mission claire : valoriser le bois ancien plutôt que le remplacer. L’entreprise est aujourd’hui spécialisée dans la rénovation, le ponçage, la vitrification et la modernisation de parquets et d’escaliers en bois.

« Nous travaillons avec précision sur des matériaux anciens pour leur redonner éclat et durabilité, dans le respect du bois d’origine », explique Clean Parquet.

Cet attachement au matériau va de pair avec une exigence technique renforcée par des formations en France et en Allemagne. Chaque projet est abordé avec la même rigueur, qu’il s’agisse d’un simple rafraîchissement ou d’une restauration complète.

Rénover plutôt que remplacer : une évidence écologique, économique et esthétique

Un parquet très abîmé n’est pas forcément voué à la dépose. Dans de nombreux cas, une rénovation bien conduite suffit à révéler tout le potentiel d’un sol usé ou terni par le temps.

« Un parquet n’est généralement remplacé que lorsqu’il est devenu trop mince ou instable, ou en cas de dommages structurels importants », précise Clean Parquet.

Cette approche évite le remplacement systématique et permet de préserver des bois nobles, souvent introuvables sur le marché actuel.

« Les bois posés il y a 50 à 100 ans sont bien plus qualitatifs que ceux commercialisés aujourd’hui », rappelle Clean Parquet.

Et au-delà de l’aspect patrimonial, rénover coûte en moyenne deux fois moins cher que la pose d’un parquet neuf.

Les erreurs à éviter avant de rénover un parquet

Si la rénovation d’un parquet offre de nombreux avantages, elle nécessite quelques précautions.

Parmi les erreurs les plus fréquentes relevées par Clean Parquet : l’utilisation de produits d’entretien inadaptés, les nettoyages agressifs ou encore la pose de revêtements collés directement sur le bois.

« Ces interventions peuvent compromettre la rénovation. Un diagnostic préalable permet d’éviter ces pièges et de valoriser au mieux l’existant », explique l’entreprise.

Faire appel à un professionnel dès les premières réflexions permet d’éviter les mauvaises surprises et de prendre les bonnes décisions en fonction de l’état du bois.

Et les escaliers ? Une rénovation qui change tout

Souvent négligé dans un projet de rénovation, l’escalier est pourtant une pièce maîtresse de l’aménagement intérieur. Participant à l’identité visuelle d’un logement, un escalier peut être rénové et modernisé sans perdre son caractère.

« Nous travaillons sur sa modernisation à travers l’aérogommage, l’intégration de métaux, ou des ajustements architecturaux comme l’ajout de bardage ajouré pour faire entrer la lumière », détaille Clean Parquet.

Leur objectif est clair : adapter l’escalier au style de l’habitat tout en conservant la qualité du bois existant.

Pour l’entretien, la recommandation de Clean Parquet est simple : « privilégiez un entretien doux avec des produits adaptés au traitement appliqué (vitrificateur, huile, etc.). Nettoyez avec un chiffon légèrement humide, sans abrasif, et surveillez l’usure sur les nez de marche. »

L’expertise Clean Parquet en trois points

Ce qui distingue Clean Parquet, c’est la combinaison de trois engagements forts :

– Une spécialisation exclusive sur le parquet et les escaliers, pour un savoir-faire ciblé

– Une maîtrise artisanale renforcée par des technologies haut de gamme

– Une exigence de qualité constante, quel que soit le type de projet

« Que votre projet soit modeste ou ambitieux, notre exigence reste la même », résume l’entreprise.

Faire durer les belles choses

Faire appel à Clean Parquet, c’est faire le choix d’une entreprise artisanale qui conjugue respect du bois, technicité et sens du détail.

« Rénover plutôt que remplacer est à la fois économique, écologique et valorisant », rappelle l’entreprise.

À l’heure où la durabilité et la sobriété prennent tout leur sens, préserver un parquet ou un escalier ancien devient un geste responsable autant qu’un parti pris esthétique.

La Location-Accession : une nouvelle façon d’accéder à l’habitat qui vous ressemble

Et si devenir propriétaire de votre logement n’était plus un rêve inaccessible ? Grâce à la location-accession, vous pouvez concrétiser votre projet d’habitat à votre rythme, en toute sécurité, et avec un accompagnement personnalisé. Un dispositif simple, pensé pour les ménages qui veulent franchir le pas de la propriété sans se précipiter.

Un parcours en deux temps pour devenir propriétaire en toute sérénité

Le principe de la location-accession est clair et rassurant :

Phase 1 : la location

Vous occupez un logement neuf, en maison ou en appartement, tout en versant chaque mois une redevance qui inclut une part d’épargne.

Phase 2 : l’accession

A chaque date anniversaire, jusqu’aux 3 ans, vous avez la possibilité de lever l’option d’achat. Le prix du bien est fixé dès le départ, et minoré chaque année. Votre épargne sert alors d’apport.

Un vrai tremplin pour accéder à l’habitat que vous souhaitez, en toute liberté.

Un cadre sécurisé, pour avancer l’esprit tranquille

Avec Bretagne Ouest Accession, vous bénéficiez de garanties solides, qui sécurisent votre parcours vers la propriété :

✔ Garantie de rachat en cas d’imprévu

✔ Garantie de relogement dans le parc locatif social

✔ Etude de financement de votre projet

Un accompagnement sur-mesure pour bâtir un habitat durable et adapté à votre mode de vie.

Des avantages financiers concrets

Devenir propriétaire via la location-accession, c’est aussi profiter de nombreux atouts financiers :

⭢ TVA réduite à 5,5 %

⭢ Exonération de taxe foncière pendant 15 ans

⭢ Frais de notaire allégés

Prêt à taux zéro (PTZ) et prêt Accession d’Action Logement possibles

Pas d’appel de fonds pendant la construction

 

Autant d’opportunités pour concrétiser votre projet d’habitat en Finistère dans les meilleures conditions.

Une offre d’habitat neuf au cœur des territoires

Bretagne Ouest Accession, coopérative HLM ancrée en Finistère, propose des logements neufs de qualité dans des communes attractives comme Quimper, Concarneau, ou encore Pleuven. Appartements modernes, maisons familiales, environnements agréables : tous nos programmes sont pensés pour répondre à vos attentes.

Venez nous rencontrer au salon Viving de Quimper, le rendez-vous régional de l’habitat

Pour en savoir plus, venez échanger avec notre équipe lors du salon Viving de Quimper, dédié à l’habitat, la construction et la décoration. L’occasion idéale de découvrir notre offre et nos programmes en location-accession, poser vos questions, et faire avancer concrètement votre projet immobilier.

Plus d’infos et offres sur le site internet de Bretagne Ouest Accession

Envie d’en savoir plus sur la location-accession, de découvrir nos programmes d’habitat neuf en Finistère ou de vérifier si vous êtes éligible au dispositif ?

Rendez-vous sur notre site www.boaccession.fr : vous y trouverez l’ensemble de nos offres en maisons et appartements neufs, nos conseils pour devenir propriétaire en toute sécurité, ainsi que des témoignages d’accédants. Un outil pratique pour démarrer concrètement votre projet d’accession à la propriété.

www.boaccession.fr – 02.98.55.70.00 – accession@boaccession.fr

 

Accédez à l’habitat qui vous correspond, à votre rythme. Avec la location-accession, devenez propriétaire sans stress… et avec de vrais avantages !

 

Crédit : Christophe Thomas Photographe / Epsilon3D