Comment améliorer l’isolation thermique d’une fenêtre ?

La déperdition de chaleur en hiver comme le recours à la climatisation en été pèsent lourd sur le portefeuille. Pour baisser sa consommation énergétique, une priorité : isoler les fenêtres, portes-fenêtres et autres baies vitrées. Elles peuvent représenter jusqu’à 15% de déperdition thermique du logement ! Voici quelques pistes pour isoler vos fenêtres et améliorer durablement le confort de votre habitation.

Cerner les défauts d’isolation d’une fenêtre

Une fenêtre mal isolée se repère vite en hiver. Une chaleur mal répartie, de l’humidité, une sensation d’inconfort dans le logement, doivent vous alerter. Un gros écart de température entre le mur et la surface vitrée ou un effet “paroi froide” sont des signes qui ne trompent pas.

D’autres symptômes révèlent une isolation défectueuse  : la présence de condensation, des moisissures autour du châssis, un mastic dégradé, une déformation des vantaux ou la présence d’un fil d’air.

Une fenêtre simple vitrage est par nature mal isolée. Elle n’est pas conçue pour limiter les échanges thermiques.

Comment isoler une fenêtre du froid sans la remplacer ?

Les fenêtres de votre logement sont en simple vitrage ? Elles sont anciennes ou vétustes ? Vous ne disposez pas du budget pour remplacer les huisseries ? Des solutions moins radicales existent.

Toutefois, elles ne peuvent rivaliser avec les compétences énergétiques d’une fenêtre ou d’une baie dernière génération, en double ou triple vitrage. Voici quelques pistes d’amélioration thermique à explorer :

Poser des rideaux thermiques

Épais et souvent occultant, le rideau isolant joue un rôle d’écran. Il protège du froid extérieur et maintient la chaleur du foyer. Il compense sa lourdeur par un éventail de couleurs et de matières : polyéthylène téréphtalate (PET), PVC, coton, laine. Une astuce cocooning qui apporte plus de confort qu’une réelle économie d’énergie.

Faire installer des volets roulants

Tous les volets ne se valent pas ! Seul un volet roulant vous permettra de réaliser des économies d’énergie. Son atout ? Une fermeture hermétique qui emprisonne l’air et forme une couche isolante, été comme hiver. La pose d’un volet roulant devant un double vitrage peut ainsi réduire de 9 à 16% votre consommation de chauffage, soit 3 à 7% de plus qu’un volet standard (source Actibaie).

Le choix du matériau influence également la performance thermique. Si le bois reste l’isolant le plus efficace, il nécessite un entretien régulier, souvent fastidieux. Oubliez les lames en aluminium ou en acier. Le métal est conducteur. Il ne protège ni du froid ni de la chaleur.

Le PVC offre, quant à lui, un excellent compromis pour un rapport qualité/prix imbattable. Pensez aux températures estivales ! Privilégiez les couleurs claires qui reflètent les rayons du soleil et n’absorbent pas la chaleur.

Enfin, la performance des volets roulants est étroitement liée à la qualité de l’installation. Faites confiance aux professionnels pour vous proposer un matériel adapté aux exigences actuelles en matière d’isolation. Le Label NF a déterminé un coefficient minimal de 0,15 Delta R pour juger la résistance thermique d’un volet roulant. Une indication sur laquelle vous baser pour optimiser l’isolation de vos fenêtres.

Poser un film isolant thermique sur les vitres

La pose d’un film de survitrage permet d’optimiser l’isolation des fenêtres anciennes en simple vitrage. C’est une solution économique à faire soi-même. Le film anti froid se colle à l’aide de ruban adhésif à l’intérieur des menuiseries. Sous l’effet d’une chaleur pulsée (par un sèche-cheveu, par exemple), le film se rétracte, emprisonnant une lame d’air qui réduit les ponts thermiques. Le film isolant de fenêtre contre le froid : une astuce ingénieuse.

Rénover les joints de fenêtre

Exposés aux intempéries, les joints extérieurs d’une fenêtre ou d’une porte-fenêtre sont les premiers éléments d’usure à surveiller. Plus généralement, les joints de calfeutrage assurent la bonne étanchéité à l’air, au bruit et à l’eau. Les rénover permet de limiter les variations de température à l’intérieur de votre maison ou de votre appartement.

Comment mettre un joint de fenêtre ? Le remplacement est à la portée d’un bricoleur habile et soigneux. Mais soyez prudent ! Faire appel à un professionnel peut éviter les déconvenues.

Un joint d’isolation efficace est un joint qui se comprime lorsque la fenêtre est fermée. Il existe de nombreux modèles pour simple ou double vitrage, rainures, ouvrants et dormants. Les matériaux offrent une durabilité, une performance et des prix variables.

Les joints en mousse sont les plus économiques mais sont à changer au bout de 2 ou 3 ans. Les joints autocollants en caoutchouc synthétique ou PVC bénéficient d’une durée de vie supérieure à 5 ans et sont relativement faciles à poser.

Les joints métalliques réservés à l’isolation du tour de fenêtre doivent être cloués sur le dormant. Ils sont résistants, mais délicats à fixer. Le joint en silicone posé à l’aide d’un pistolet extrudeur est souple, solide et durable. Certainement l’option la plus efficace qui a le mérite d’offrir une excellente isolation phonique. Mais la pose exige du doigté.

Quand faire remplacer ses fenêtres ?

Savez-vous que la longévité d’une fenêtre dépend des matériaux utilisés ? Une menuiserie en bois dure en moyenne 15 ans. Les cadres en aluminium ont une durée de vie de 25 à 30 ans. Les fenêtres PVC résistent de 30 à 40 ans. La fiabilité des ouvrages mixtes bois alu peut aller jusqu’à 50 ans.

Leur remplacement est à prévoir dès lors que vous constatez sans pouvoir les réparer une fermeture défectueuse, des boiseries fatiguées ou un châssis en mauvais état.

Faites appel à un professionnel de l’isolation

Les travaux de remplacement des ouvertures de votre habitation sont éligibles aux aides financières de l’état : MaPrimeRénov’ et l’éco-prêt à taux Zéro (éco-PTZ). Pour en bénéficier, vous devez faire appel à un professionnel Reconnu Garant de l’Environnement (RGE). Les entreprises labellisées garantissent les performances thermiques de votre installation. Fiez-vous à leur expertise pour obtenir une vision globale de l’isolation de votre logement.

En conclusion, pour faire des économies d’énergie, optimisez l’isolation de vos porte-fenêtres et fenêtres. L’isolation thermique des vitrages et des menuiseries préserve votre logement des écarts de température. Vous gardez la chaleur en hiver et la fraîcheur en été.  Le moindre défaut influence le confort et alourdit la facture. Pensez-y ! Déployez les astuces pour réduire les ponts thermiques.

Faites confiance aux professionnels qualifiés pour vous conseiller. Le salon Viving réunit des entreprises innovantes et performantes. Elles présentent leurs solutions et partagent leur expérience. Venez les rencontrer !

 

Quelles autorisations pour quels travaux ?

Vous projetez de rénover votre habitation, de l’agrandir ou de lui adjoindre des éléments paysagers ? Avant de vous lancer, prenez soin de mettre au clair les autorisations administratives qu’il faudra solliciter. Permis ou déclaration de travaux, les délais d’instruction varient. Pour anticiper, voici un tour d’horizon des démarches administratives à mener en fonction des demandes de travaux.

Projet de construction ou de rénovation : la réglementation à connaître

Première chose à vérifier : l’implantation de votre commune ! Est-elle située en zone urbaine, couverte par un Plan Local d’Urbanisme (PLU), ou soumise à un Plan d’Occupation des Sols (POS) ? Dans tous les cas, le service urbanisme de la collectivité vous orientera sur la procédure à suivre.

De façon générale, un permis de construire est exigé pour la construction d’une habitation et les extensions d’une surface de plancher supérieure à 20 m2 (40 m2 en zone urbaine couverte par un PLU(i)). Les aménagements extérieurs sont concernés lorsque leur surface dépasse 20 m2.

Moins contraignante, la déclaration préalable de travaux est nécessaire avant d’entamer des opérations de rénovation ou des aménagements modestes.

Certains chantiers nécessitent un permis de démolir.

Construction de terrasse : les autorisations

Pour vous passer d’une déclaration de travaux, la terrasse de plain-pied est la bonne option. La surface de la terrasse non surélevée doit être inférieure à 20 m2 (40 m2 en zone soumise à un plan local d’urbanisme).

Construire une terrasse surélevée est soumise à autorisation. L’emprise au sol est inférieure à 20m2 (ou 40 m2), c’est une déclaration préalable. Au-delà, il faut un permis.

Attention ! La demande de permis est indispensable si la terrasse porte la surface totale de la maison à plus de 150 m2.

Déclarations pour construire un garage ou une véranda

Il faut environ 13 m2 pour garer une voiture. Vous auriez besoin d’un local à vélos ou d’une chaufferie ? Les dimensions à connaître pour déposer la bonne autorisation de travaux en mairie :

  • L’emprise au sol est inférieure ou égale à 20 m2 (ou 40 m2 en PLU) pour une élévation inférieure ou égale à 12 m : Remplissez une déclaration préalable de travaux ;
  • L’emprise au sol est supérieure à 20 m2 (ou 40 m2) pour une hauteur supérieure à 12 m : Vous devez déposer un permis de construire.

Suivez la même procédure que la déclaration de garage pour installer une véranda ou une extension ouverte type carport, préaux ou pergola.

Autorisation pour ravalement de façade : les exceptions qui font la règle

En principe, les travaux de ravalement de façade ne sont pas soumis à déclaration. Cependant, l’administration locale est libre de soumettre le ravalement à une autorisation d’urbanisme.

Soyez prudent si vous modifiez la couleur ! Il est presque certain qu’il vous faudra montrer patte blanche dans le périmètre d’un site classé, d’un monument historique ou d’une réserve naturelle.

Les exceptions étant fréquentes, nous vous conseillons de vérifier en mairie.

Changement de porte d’entrée : une autorisation ?

Même remplacées à l’identique, des menuiseries neuves sont considérées comme une modification de l’aspect extérieur d’un bâtiment. Le dépôt d’une déclaration préalable est requis pour une création d’ouverture ainsi que le remplacement des portes, fenêtres et volets.

Si les travaux modifient la structure porteuse et qu’ils impliquent un changement de destination, vous devez obtenir un permis de construire.

Quelle demande de travaux pour une clôture ?

Une clôture peut prendre la forme d’une haie végétale, d’un grillage, d’un mur ou d’un portail. Aux règles d’urbanisme s’ajoutent les notions de propriété et d’espace public.

En principe, les clôtures sont dispensées de formalités. Pourtant, le recours à une déclaration préalable est obligatoire dans les cas suivants :

  • Dans les territoires soumis à PLU ;
  • Dans les communes où l’implantation de murs est soumise à déclaration ;
  • A proximité de sites et monuments remarquables ;
  • Pour construire un mur de plus de 2 mètres.

En lotissement, des règles souvent strictes définissent les dimensions, matériaux, couleurs, etc. Il est interdit d’obstruer l’accès à la voie publique, de bloquer l’écoulement des eaux de pluie ou de priver les voisins d’ensoleillement.

En limites administratives (voie publique, route dangereuse, domaine public maritime ou fluvial, chemin rural), vous devez vous renseigner en mairie.

Déclarer les travaux de toiture

Comme pour les menuiseries, les travaux de toiture sont considérés comme apportant une modification de l’aspect extérieur de la maison. Sont donc soumis au dépôt d’une déclaration préalable de travaux :

  • la rénovation de toiture ;
  • la restauration ou l’élévation de cheminées ;
  • l’installation de fenêtres de toit ;
  • la pose de panneaux solaires.

Rêver d’une piscine : c’est permis !

Du bassin unipersonnel à la piscine familiale, les obligations en matière de projets d’aménagement sont à géométrie variable. En zone urbaine couverte par un plan local d’urbanisme, renseignez-vous. Certaines localités prévoient des obligations particulières.

Vous êtes libre de créer un bassin de moins de 10 m2 ou d’installer une piscine gonflable… démontée au bout de 3 mois !

Entre 10 et 100 m2, une déclaration préalable de travaux est suffisante, que votre piscine soit hors-sol ou enterrée. Construire un abri peut alourdir les démarches. Une structure de plus d’1,80 m de haut requiert un dépôt de permis de construire.

Abri de jardin, pool house, cuisine d’extérieur…

Indépendant de l’habitation principale, les espaces modulaires ou nomades ouvrent le champ des possibles en matière de confort et de saisonnalité. A savoir, pour s’équiper :

Vous n’avez pas besoin d’autorisation pour une emprise au sol inférieure à 5 m2. Au-delà, et jusqu’à 20 m2, déposez une déclaration préalable de travaux. L’emprise est supérieure ? Demandez un permis de construire.

Les caravanes et tiny house doivent rester mobiles pour avoir le droit de séjourner sur votre terrain sans autorisation. Le stationnement est limité à 3 mois par an.

Installer une serre

Une déclaration de travaux est nécessaire lorsque la hauteur de la serre est comprise entre 1,80 et 4 mètres. La surface au sol doit être inférieure à 2.000 m2.

Comment faire une demande d’autorisation d’urbanisme ?

Adressez-vous au service urbanisme de la commune ou de l’intercommunalité concernée par les travaux. Vous obtiendrez un formulaire type CERFA et une liste de pièces à fournir.

Vous pouvez constituer le dossier vous-même ou, selon la complexité, confier la réalisation à un professionnel qualifié. Pensez à consulter les experts du salon Viving !

Quels travaux sans autorisation ?

Partez du principe qu’il vaut mieux prévenir que guérir. Un courrier ou un email pour informer la mairie de votre projet peut vous épargner des contrariétés.

Liste non exhaustive des travaux qui se passent généralement d’autorisation :

  • Les construction de moins de 5 m2 ;
  • L’entretien et les réparations qui ne modifient pas l’aspect extérieur du bien ;
  • Le ravalement de façade (hors décision municipale) ;
  • Les modifications de volume à l’intérieur d’un bâtiment qui ne modifient pas son aspect extérieur ;
  • La création d’une terrasse de plain-pied ;
  • La création d’un bassin de moins de 10 m2 ;
  • L’édification de murs privatifs (soutènement, décoration…) inférieurs à 2m.

Pour vos travaux, rendez-vous aux salons Viving

Faites le plein d’idées aux salons Viving. Trouver l’inspiration au contact des nouvelles tendances et des innovations ! Les salons Viving réunissent des experts, des artisans et des entreprises qualifiées pour vous aider à concrétiser vos projets en rénovation et construction. Venez les rencontrer pour trouver les compétences dont vous avez besoin.

Comment faire des économies d’énergie en 2023 ?

Au regard de la hausse du prix de l’énergie et de l’exigence de tendre vers une sobriété énergétique, il est primordial que chacun agisse à son échelle. Entre rénovation et éco-gestes, comment réduire sa facture d’énergie efficacement ? Voici quelques idées pour réduire son empreinte carbone, tout en allégeant ses dépenses.

Comment faire des économies d’énergie en agissant sur son logement ?

L’isolation thermique

Le chauffage et la climatisation représentent une part importante de la consommation des ménages. Il faut donc éviter au maximum les gains et les déperditions de chaleur. Une isolation thermique efficace des logements reste un bon moyen de réaliser des économies et d’agir sur la facture d’électricité.

Pour ce faire, isoler les murs intérieurs et extérieurs, les combles et le sous-sol est une étape indispensable. Par ailleurs, remplacer les menuiseries extérieures comme les portes anciennes ou les fenêtres à simple vitrage permet de gagner quelques degrés non négligeables. Grâce à des travaux d’isolation thermique, on gagne donc en confort tout en réduisant la facture d’énergie.

Pour vous guider dans vos projets d’éco-rénovation, le gouvernement propose un service public dédié. En effet, France Rénov a pour objectif d’orienter et d’accompagner les ménages ainsi qu’informer sur les aides financières possibles lors de ces travaux de rénovation énergétique. Vous pouvez également vous rendre dans le salon Viving le plus proche de chez vous pour discuter en direct avec nos experts en consommation d’énergie.

Le système de chauffage

Un mode de chauffage performant sur le plan technique, économique et environnemental est déterminant pour réduire les consommations énergétiques. Alors, lorsque l’on se demande comment réduire sa facture d’électricité, il est intéressant de repenser son système de chauffage :

  • Selon une étude de l’agence de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie (ADEME), le bois reste le mode de chauffage le plus économique (poêle à bois à bûches, poêle à pellets ou chaudière biomasse).
  • La pompe à chaleur, quant à elle, est un dispositif performant fonctionnant grâce aux énergies renouvelables présentes dans l’air, l’eau ou la terre.
  • Enfin, investir dans l’énergie solaire facilite les économies à long terme. Grâce à des panneaux solaires combinés à un ballon de stockage, il est idéal dans les régions ensoleillées.

Les chauffages à énergies fossiles comme le gaz naturel ou le fioul tendent à disparaître mais selon la configuration du logement, les dispositifs précédemment évoqués ne sont pas adaptés. Dans ce cas, l’idéal est d’investir dans des radiateurs électriques performants.

Quel que soit le système de chauffage en place, il faut penser à calorifuger les tuyaux et le ballon d’eau chaude pour limiter la consommation. En isolant ces éléments, notamment lorsqu’ils sont situés dans une cave ou un garage, on évite les pertes de chaleur.

Comment faire des économies d’énergie au quotidien ?

La température de chauffage

Baisser la température d’un simple degré n’a pas d’impact sur le confort et permet de faire baisser de manière significative la facture d’électricité. Pour information, l’ADEME préconise une température de 19°C dans les pièces à vivre et de 17°C dans les chambres.

Lorsque l’on cherche comment payer moins d’électricité, l’installation de thermostats intelligents offre la possibilité de maintenir des températures équilibrées tout en gagnant en efficacité.

Les professionnels présents sur nos différents salons Viving sauront vous apporter à la fois une aide technique en identifiant les travaux nécessaires et un appui au montage des dossiers.

Choisir un fournisseur d’énergie adapté

Depuis 2007, le marché de l’énergie s’est ouvert à la concurrence. Alors, la première solution pour réduire sa facture d’électricité est de comparer les différents fournisseurs d’énergie et d’opter pour le plus compétitif. Selon la consommation et les besoins, il existe une multitude d’offres sans engagement.

Par ailleurs, pour aider les ménages suite à la forte hausse du prix des énergies et en complément du bouclier tarifaire déjà activé pour l’électricité et le gaz, le gouvernement a décidé l’envoi d’un chèque énergie exceptionnel.

En complément de ce chèque énergie que vous recevez automatiquement, il est judicieux d’envisager la rénovation du logement pour faire des économies d’électricité. Rendez-vous dans un de nos salons à Brest, Rennes, Saint-Malo ou Lorient pour échanger avec des professionnels et préparer votre projet.

Les aides à la rénovation énergétique

Le gouvernement a décidé de concentrer les aides sur les rénovations globales en 2023, et non plus sur les simples travaux d’amélioration. L’arrêté du 29 décembre 2022 précise les changements du dispositif MaPrimeRénov’ dont voici les principales mesures :

  • Les forfaits de « rénovation globale » augmentent pour les ménages aux ressources intermédiaires (de 7000 à 10000€) ou supérieures (de 3500 à 5000€).
  • Tous les chauffages qui fonctionnent aux énergies fossiles sont exclus du dispositif. Ainsi, une chaudière à gaz même très haute performance ne peut plus profiter de la prime gouvernementale.
  • La prime sur les poêles à granulés, quant à elle, va diminuer de 500€ à partir du 1er février 2023.
  • La prime sur les VMC (ventilation mécanique contrôlée) est également réduite de 500 €.
  • A partir du mois d’avril, les ménages les plus aisés ne pourront plus toucher d’aides à la rénovation pour des travaux d’isolation en mono-geste, jugés trop peu efficaces.

En revanche, le bonus de 1000€ pour l’installation d’un système de chauffage alimenté par des énergies renouvelables comme la pompe à chaleur est maintenu jusqu’au 31 mars 2023.

Obligation d’efficacité énergétique

La rénovation des bâtiments est nécessaire pour lutter contre le changement climatique, et va permettre également, à terme, de soutenir le pouvoir d’achat. C’est pourquoi la loi Climat et Résilience impose une obligation d’efficacité énergétique des logements.

A compter du 1er janvier 2023, un logement est qualifié d’énergétiquement décent lorsque sa consommation d’énergie est inférieure à 450 kWh/m2 pour la France métropolitaine. Les logements les plus énergivores, c’est-à-dire ceux qui ne respectent pas ce seuil à cause d’une trop forte consommation d’énergie, ne peuvent donc plus être proposés à la location.

Par ailleurs, l’audit énergétique obligatoire pour toute vente permet d’identifier rapidement ces « passoires thermiques » et d’agir en conséquence pour réaliser des économies

Téléassistance : comment faire le bon choix ?

Les accidents de la vie quotidienne et les chutes des personnes âgées sont des enjeux majeurs de santé publique. Grâce à la téléassistance, il devient plus facile pour une personne fragilisée ou vivant seule de rester à son domicile en toute sécurité. En outre, cela rassure les proches et les aidants qui se sentent épaulés au quotidien en cas de problème. Vous envisagez une telle installation ? Découvrez nos conseils pour trouver la solution qui répond véritablement à vos besoins.

Quel est l’intérêt de la téléassistance ?

La téléassistance est un service qui met à disposition des équipements connectés à des centres d’appels fonctionnant 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 pour répondre au moindre problème. Les alertes sont traitées par des téléopérateurs formés pour rassurer la personne en difficulté et prévenir les secours lorsque la situation l’exige. En fonction des cas, le téléopérateur va entrer en contact avec un proche préalablement désigné ou déclencher l’intervention immédiate des secours.

Grâce à ces centres de télésurveillance, il est possible d’assurer la sécurité des personnes en perte d’autonomie lors d’un maintien à domicile, qu’il s’agisse de personnes âgées, handicapées ou convalescentes.

Téléassistance : que choisir ?

Il existe désormais des systèmes de téléassistance innovants et sophistiqués. Choisir le bon nécessite dans un premier temps de bien évaluer les besoins : s’agit-il d’un senior en perte d’autonomie ou d’une personne avec un handicap ? Quelle est la configuration du logement à équiper ? Quel est le budget alloué ?

La grande différence entre ces solutions de téléassistance réside dans le mode de déclenchement des alertes. Parmi les diverses fonctionnalités de télésurveillance senior, on retrouve :

  • La téléassistance avec un dispositif à actionner (pendentif, montre ou bracelet avec bouton sos) en cas de chute ou de sensation de malaise
  • La téléassistance avec capteurs de mouvements qui se déclenche automatiquement grâce à des détecteurs en cas d’accident ou de déplacement inhabituel
  • La téléassistance vidéo, ou vidéosurveillance, qui permet de garder un œil sur l’occupant du logement depuis une application
  • La téléassistance extérieure qui est, quant à elle, équipée d’une balise de géolocalisation afin de retrouver rapidement la personne en cas d’alerte

Pour parfaire ce service, il existe des options dans les abonnements de téléassistance comme les détecteurs de fumée ou de fuite d’eau, ainsi que les alertes en cas d’intrusion ou d’inactivité.

Parmi les diverses possibilités de personnalisation, on retrouve également le contact de courtoisie qui s’assure quotidiennement du bien-être moral de la personne âgée vivant seule. Par ailleurs, certaines formules permettent de bénéficier d’un service de téléassistance médicalisée.

>> En savoir plus sur la sécurité : 6 conseils pour sécuriser votre maison

Quel est le coût global d’une téléassistance ?

Généralement sous forme d’abonnement, les tarifs varient selon le prestataire et le niveau de service souhaité. Outre le forfait mensuel, il est essentiel de prendre en compte les possibles coûts supplémentaires comme des frais de résiliation suite à un placement en maison de retraite ou à un décès.

Pensez également à vous renseigner auprès de votre prestataire de télésurveillance pour personnes âgées sur les modalités d’installation et de maintenance du matériel ainsi que sur le coût d’une intervention en cas de panne ou de défaillance.

Pour faciliter l’accès à ces dispositifs et à condition que la société de téléassistance soit agréée « Services à la personne », il existe plusieurs aides financières :

  • Le crédit d’impôt pour la téléassistance
  • L’allocation personnalisée d’autonomie (APA)
  • La prestation de compensation du handicap (PCH)
  • Un coup de pouce complémentaire de certaines collectivités

Quelle est la meilleure téléassistance ?

Installer un système de télésurveillance à domicile permet aux seniors ou aux personnes fragiles de conserver leur indépendance tout en limitant considérablement les risques liés à l’isolement.

C’est pourquoi s’équiper d’un dispositif d’assistance pour personne âgée n’est pas quelque chose qui s’improvise. Pour vous garantir sécurité et sérénité, il est essentiel de faire appel à des entreprises certifiées « NF Service – Téléassistance au domicile » qui promettent une prestation sans faille. Ainsi, vous vous assurez :

  • Le respect de la vie privée
  • L’installation et l’entretien d’un matériel de qualité
  • Une disponibilité et une réactivité optimale de la part du centre de téléassistance
  • Un équipement adapté aux besoins et à la configuration des lieux

Si vous êtes intéressé par la téléassistance à domicile, rendez-vous dans un de nos salons Viving à Brest, Rennes, Saint-Malo, Lorient, Vannes ou Lille pour échanger avec des professionnels de la téléassistance pour personnes âgées.

Les tendances du marché immobilier en 2023

Si l’immobilier s’est bien porté en 2022, qu’en sera-t-il en 2023 ? C’est la question qui est sur toutes les lèvres des acheteurs et des investisseurs ! Viving décrypte pour vous les tendances du marché immobilier en 2023.

2022, belle année pour l’immobilier

Avant de passer au marché de l’immobilier 2023, jetons un regard en arrière et faisons un rapide état des lieux de 2022.

L’immobilier en 2022 a su conserver une bonne dynamique, en cohérence avec 2020 et 2021. Les transactions ont été relativement similaires à l’année 2021, soit 1,1 millions, et ce malgré l’inflation.

Concernant les prix, ils ont poursuivi leur hausse : 5,7% de croissance moyenne au niveau national. En revanche, Paris et d’autres grandes villes ont vu leurs prix diminuer de 1 à 3%. C’est dans les villes de taille moyenne et les communes rurales que la hausse des prix de  l’immobilier se poursuit.

Le type de bien plébiscité est toujours la maison, dont le nombre d’achats a augmenté de 6,5%. Les acquéreurs s’orientent majoritairement vers les résidences qui possèdent un espace extérieur.

Alors, 2023 va t-il continuer sur cette lancée ? Ou des baisses de prix et de transactions sont-elles à envisager ?

Quelles prévisions pour le marché immobilier en 2023 ?

D’après les experts de l’immobilier, le marché devrait stagner en 2023. Les ventes devraient légèrement diminuer, passant sous la barre du million ; et les prix devraient baisser dans la majorité des grandes villes françaises.

Un recul des transactions et des prix

Une baisse des achats immobiliers est à prévoir dans les grandes villes, étant donné la forte augmentation des prix ces dernières années. La diminution de la demande devrait logiquement entraîner une diminution des prix de vente.

Néanmoins, il est possible que les prix immobiliers restent élevés dans les zones rurales, de plus en plus prisées par les acheteurs grâce à l’avènement du télétravail.

Difficultés d’accès au crédit

Depuis le 1er janvier 2022, le Haut Conseil en Stabilité Financière (HCSF) a modifié les conditions d’octroi d’un crédit immobilier, les rendant bien plus strictes.

Apport personnel à 20%, emprunt sur 25 ans maximum, taux d’endettement limité à 35%… Ces nouvelles règles ont rendu l’accès au crédit bancaire plus compliqué, et de nombreux particuliers se sont vus refuser leur demande de prêt immobilier.

En 2023, les règles ne semblent pas prêtes à s’assouplir. Si elles ont été mises en place pour éviter le surendettement, cela empêche de nombreux ménages d’accéder à la propriété. Les transactions immobilières seront ainsi moins nombreuses à aboutir cette année, faute de crédit.

L’enjeu de la rénovation énergétique

La réglementation sur la mise en location des passoires thermiques se durcit en 2023. Il s’agit tout de même de plus de 4,8 millions de logements, selon le ministère de la transition écologique !

Déjà, le 24 août 2022, les habitations classées F et G au DPE ont vu leur loyer gelé. Dès le mois de janvier 2023, les logements consommant plus de 450 kWh/m² seront interdits de location. A partir de 2025, les logements classés G le seront également, ainsi que les logements classés F en 2028.

Ainsi, la rénovation énergétique devient un enjeu majeur en 2023 pour les propriétaires bailleurs, au risque d’être exclu du marché immobilier d’ici peu de temps.

Cela pourra aussi conduire à de bonnes affaires : certains propriétaires préféreront vendre leur bien plutôt que le rénover, ce qui devrait donner lieu à des décotes intéressantes !

Hausse de la taxe foncière

La taxe d’habitation, en 2023, c’est fini ! En revanche, la taxe foncière reste d’actualité et malheureusement, elle va coûter plus cher. L’augmentation devrait être d’environ 7% en moyenne.

Sauf pour les Parisiens : malheureusement, leur taxe foncière va augmenter de 52% en 2023, passant de 13,5% à 20,5%.

Réduction des avantages du dispositif Pinel

La loi Pinel 2023, comme prévu, sera moins intéressante que celle de 2022, avec des taux de réduction d’impôt revus à la baisse. Attention, ce sera encore pire en 2024, alors il est toujours temps d’investir en Pinel !

Nous sommes sur une réduction d’impôt à 12% pour un bien loué 6 ans, 15% pour un bien loué 9 ans et 18% pour un bien loué 12 ans.

Les prix vont-ils baisser ou augmenter ?

La grande question ! Comme évoqué plus haut, il ne devrait y avoir ni énorme croissance, ni grand recul des prix de l’immobilier. Aucune bulle ne devrait exploser en 2023, en tout cas.

La hausse ou la baisse des prix sera très hétérogène en fonction des villes. En effet, on devrait constater une diminution des prix de vente à Paris et dans les très grandes métropoles comme Toulouse, Bordeaux, Nantes, Lyon et Lille. La baisse des prix parisiens pourrait atteindre 3%.

En revanche, les zones rurales et les villes moyennes de France devraient encore connaître des hausses des prix en 2023. L’immobilier dans ces zones est soutenu par la hausse du télétravail et l’exode des salariés vers des villes à taille humaine. Les prix sont également plus raisonnables qu’à Paris, ainsi l’obtention d’un prêt immobilier est plus facile.

Faut-il investir sur le marché immobilier en France en 2023 ?

Avec l’évolution du marché immobilier en 2023 que l’on prévoit, est-il raisonnable d’investir dans la pierre cette année ?

A brûle pourpoint, nous avons envie de vous dire que ce type d’investissement est toujours intéressant, à condition de choisir la bonne ville. Il vaudra certainement mieux privilégier les villes moyennes, qui connaissent une forte demande avec des prix qui certes, augmentent, mais restent corrects comparé aux grandes métropoles.

Quelle évolution des taux immobiliers en 2023 ?

Bien sûr, votre investissement risque de dépendre de l’obtention de votre prêt immobilier. En plus du durcissement des conditions d’obtention, on constate depuis 2022 une forte hausse des taux de crédit immobilier, d’environ 2% pour un prêt sur 20 ans.

Cette hausse pourrait se poursuivre sur 2023 et se rapprocher des 2,80%. Les taux devraient se stabiliser en fin d’année, voire diminuer de nouveau en 2024.

Nous vous recommandons de visiter notre prochain salon Viving afin de discuter de vos possibilités d’investissement immobilier avec nos experts. Ils sauront sans aucun doute vous guider !

Quelles sont les tendances déco 2023 ?

Qui dit janvier 2023, dit point sur les tendances déco de l’année ! Viving vous dit tout sur les couleurs tendance, les matières, les styles et les meubles à adopter (ou pas) en 2023. Alors, lesquelles vous plaisent le plus pour cette année ?

Quelle tendance déco en 2023 ?

Le maximalisme

On clôt définitivement la porte au minimalisme, et on accueille à bras ouverts le maximalisme ! Terminé les décos lisses, sobres, sans âme. Misez sur les couleurs flashy, les motifs XXL, les rayures, les fleurs, le mix & match… La déco tendance de 2023 ne doit laisser personne indifférent !

La déco éco-responsable

Dans un tout autre registre, et dans un contexte de dérèglement climatique, le design éco-responsable se fait une place de choix dans les intérieurs. L’objectif ? Plus d’harmonie et de respect de la nature.

Pour ce faire, privilégiez des matières organiques et brutes : bois, coton, laine, bambou, liège, etc. Ne lésinez pas sur les plantes pour décorer votre salon ou votre cuisine. Pensez également à l’upcycling !

La déco des années 70

Les seventies sont clairement de retour en 2023. Sophistiqué tout en étant amusant et décalé, c’est exactement ce dont on a besoin aujourd’hui. Attention : on ne prend que le meilleur, pour éviter de tomber dans le kitsch !

Par exemple, choisissez des couleurs comme le marron, le vert ou le orange pour repeindre vos murs, ou par petites touches. Les formes géométriques s’invitent également dans votre déco, notamment le damier.

La déco riviera

Le style bord de mer, aux oubliettes ! La tendance déco du salon en 2023, c’est la déco riviera. Fermez les yeux et imaginez vous dans le sud de la France, au bord de la mer Méditerranée, avec les grillons qui chantent et les rayons du soleil qui caressent votre peau. Vous n’avez pas envie de ressentir ça chez vous ?

Pour adopter le style riviera, tablez sur des teintes pastel ou orangées, à associer avec du blanc. Le rotin, l’osier ou encore le fer forgé seront du plus bel effet sur votre terrasse ou dans votre salon. Jouez sur les motifs à rayures et les franges pour habiller vos meubles.

Quelle couleur pour 2023 ?

Viva Magenta

Tous les ans, Pantone désigne le coloris phare de l’année. La couleur tendance déco 2023, c’est le Viva Magenta ! Une teinte pleine de peps, entre le rouge et le rose foncé, qui apporte de la vie à votre décoration. Sur vos murs, sur vos meubles ou sur vos objets déco, le viva magenta prend de nombreuses formes pour sublimer votre intérieur.

Color block

En 2023, on a bien besoin d’une dose d’optimisme ! Quoi de mieux que la couleur pour un regain d’énergie ? Laissez de côté les teintes neutres pour adopter le color block, qui va dynamiser votre décoration intérieure. Associez ensemble des couleurs vives : rouge, rose bonbon, jaune citron, bleu Klein… tout est permis !

Pour éviter d’avoir le tournis, ne choisissez pas plus de 3 couleurs vives dans une pièce. Par exemple, un papier peint jaune vif sur un seul mur, un tapis inspiration Mondrian ou encore un canapé vert émeraude ou rouge criard.

Couleurs neutres : blanc, beige, marron

Si la tendance color block vous a donné la nausée, rassurez-vous : les teintes neutres sont toujours à la mode pour l’année 2023. Dans la lignée de la déco éco-responsable et slow living, le blanc, le beige et le marron restent appréciés. Pour une légère touche de couleur, pourquoi ne pas ajouter de l’ocre, du terracotta ou du vert sauge ?

Quelle matière pour 2023 ?

Le verre strié

Le verre est le matériau phare de l’année, en particulier le verre strié. Longtemps passé de mode, il fait son grand retour et s’impose dans les maisons. Vintage, il est original en restant sophistiqué.

Le verre strié, c’est la tendance déco des cuisines 2023 : on le retrouve sur les buffets, les vaisseliers, les placards, les commodes… On le voit également sur les carafes et les verres.

La céramique

Si vous aviez envie de vous lancer dans une nouvelle activité manuelle en 2023, elle est toute trouvée : la poterie ! En effet, la céramique est un must-have dont vous ne pouvez pas vous passer pour un intérieur de charme. Pour des objets déco uniques et faits main, fabriquez vos propres décorations en céramique : vase, photophore, verre, bol, vasque…

Les matériaux recyclés

Tout comme en 2022, l’upcycling reste de mise. Les matériaux recyclés et bio-sourcés ont trouvé leur place chez les designers et donc, dans nos intérieurs. Investissez dans des chaises, des tables, des fauteuils ou encore des lampes éco-conçues, qui font moins de mal à la planète.

Quelle est la tendance meuble pour 2023 ?

Les canapés arrondis

Cette année, nous avons besoin de douceur et de réconfort. Les formes des assises se courbent pour un esprit cocooning. Un canapé arrondi donne envie de se blottir dedans et de passer des heures à se reposer. Il en va de même pour les fauteuils arrondis. Privilégiez les canapés arrondis en matière douce comme le velours ou la laine bouclée, très prisées en 2023.

Des éclairages imposants

Dans la tendance du maximalisme, les luminaires prennent la place qui leur revient. Pour l’éclairage principal, sélectionnez une suspension ou un lustre imposant, qui attire immédiatement le regard. Ne vous limitez pas à une seule source de lumière : intégrez également des appliques, des spots ou encore des lampadaires pour créer l’ambiance de votre choix.

Les tableaux

C’est peut-être l’attrait pour le vintage, les brocantes et les vide-greniers qui a donné cette tendance déco pour 2023. Quoi qu’il en soit, les tableaux anciens ont le vent en poupe cette année. Demandez à vos grands-parents leurs tableaux, ou fouillez les brocantes et les sites de vente entre particuliers pour trouver votre bonheur, ce qui deviendra la pièce maîtresse de votre décoration.