Gazon synthétique : avantages et inconvénients

gazon artificiel et parquet

Le gazon synthétique a gagné en popularité, que ce soit dans les jardins résidentiels, sur les terrasses et balcons ou dans les espaces publics. Alors, est-ce la solution idéale pour vous, ou est-ce que la perspective de tondre votre pelouse le dimanche matin vous enchante plus que tout ? Voyons quels sont les avantages et les inconvénients d’un tel revêtement avant de peut-être céder à la tentation du gazon artificiel.

gazon artificiel et parquet

Les avantages du gazon synthétique

Le confort

Nous avons tous fait l’expérience désagréable de marcher sur une pelouse détrempée par la pluie et de se retrouver avec les chaussures couvertes de boue. Difficile de garder une entrée propre dans ces conditions. Le gazon synthétique a l’avantage d’être posé sur une couche de tissu géotextile qui l’isole de la surface de la terre : terminés les terrains glissants et les traces de boue à l’intérieur !

L’entretien

L’un des principaux atouts du gazon synthétique est qu’il nécessite vraiment très peu d’entretien, ce qui est parfait pour ceux qui n’ont absolument pas la main verte ! Contrairement au gazon naturel, il n’a pas besoin d’être arrosé, tondu ou fertilisé. Il vous suffit de le brosser pour éliminer les déchets (poussière, feuilles mortes, etc.) et éventuellement de le nettoyer avec un nettoyeur à haute pression une fois dans l’année.

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Économique et durable

En période de sécheresse, le gazon synthétique s’avère être une solution écologique car il ne demande pas d’eau pour rester vert et en bon état. Par ailleurs, inutile d’investir sans des anti-limaces, des insecticides, des herbicides et des engrais qui perturbent les écosystèmes. Enfin, la fausse pelouse est conçue pour résister à l’usure. Elle est d’ailleurs idéale pour les zones à fort passage.

Le réalisme

Avec ses brins mats et multidirectionnels, vous ne rêvez pas, votre gazon artificiel se prend pour une pelouse naturelle ! La différence ? Il reste toujours vert et luxuriant, quelle que soit le temps qu’il fait. Il résiste aux maladies, aux parasites et aux conditions climatiques extrêmes, garantissant une belle pelouse toute l’année.

La polyvalence

La pelouse synthétique peut être installée dans des lieux où le gazon naturel aurait du mal à pousser, comme les zones ombragées, les toits-terrasses, ou même à l’intérieur. Aujourd’hui, il existe des matériaux qui offrent une sensation de confort et de douceur, donnant l’impression que l’on marche sur un tapis de mousse bien moelleux.

Les inconvénients du gazon synthétique

Le coût

Pour assurer un rendu esthétique impeccable, la pose du gazon artificiel doit être réalisée avec soin et précision. Si vous n’êtes pas patient avec les travaux manuels, vous devrez sans doute faire appel à des professionnels qualifiés pour le faire, ce qui ajoutera des coûts supplémentaires au prix du matériau. Même si les économies en termes d’entretien et d’eau peuvent compenser cet investissement, l’installation du gazon synthétique peut donc s’avérer coûteuse.

La météo

Bien que le gazon synthétique soit généralement robuste, il peut être vulnérable face aux vents violents. En effet, lors d’une tempête, de fortes rafales peuvent soulever et déplacer de grandes sections de gazon, en particulier dans les cas où le matériau n’a pas été correctement fixé au sol.

La température

De la même manière qu’il est sensible à la météo hivernale, le gazon artificiel peut devenir très chaud lorsqu’il est exposé directement au soleil. Ce phénomène est comparable à d’autres matériaux comme la pierre, l’ardoise ou le bois, rendant la surface inconfortable pour marcher pieds nus. Pour pallier cet inconfort, il suffit d’arroser légèrement le gazon synthétique ou d’installer un parasol qui va créer une zone d’ombre.

>> 5 solutions pour ombrager sa terrasse

L’impact environnemental

Bien que le gazon synthétique ne nécessite pas d’arrosage, il reste fabriqué à partir de matériaux plastiques dérivés du pétrole, ce qui soulève des préoccupations environnementales. De plus, lorsque cette fausse herbe arrive en fin de vie, elle reste plutôt difficile à recycler.

L’utilisation

Comme toutes les matières plastiques, le gazon synthétique, bien que très résistant, n’est pas indestructible. Au contact du feu ou de braises incandescentes, l’herbe artificielle va se rétracter puis fondre. Fumer une cigarette ou utiliser un barbecue à charbon à proximité d’un gazon synthétique n’est donc pas une bonne idée ! Évidemment, ce problème ne se pose pas si vous utilisez des moyens de cuisson électriques ou à gaz.

Alors, gazon synthétique : bonne ou mauvaise idée ? Le choix entre gazon synthétique et pelouse naturelle dépend de nombreux facteurs comme le budget, le climat, l’utilisation prévue mais aussi l’impact environnemental. Le gazon synthétique offre des avantages considérables en termes d’entretien et de durabilité, mais il présente aussi des inconvénients. Afin de faire le meilleur choix pour votre espace vert, venez rencontrer nos spécialistes lors d’un salon Viving !

Piscine lagon : prix, avantages, inconvénients

Vous souhaitez transformer votre jardin en paradis aquatique ? Les piscines lagon, avec un design naturel et des formes organiques, sont une alternative séduisante aux piscines traditionnelles. Découvrez les coûts associés à leur construction, ainsi que les principaux avantages et inconvénients de ces bassins atypiques.

Quelles sont les caractéristiques d’une piscine lagon ?

Une piscine lagon est une piscine creusée qui imite les bassins que l’on retrouve dans la nature. Personnalisable avec des formes irrégulières, elle contraste tout à fait avec les piscines traditionnelles plutôt symétriques.

Quoi qu’il en soit, la piscine de style lagon s’intègre harmonieusement dans un jardin avec des plantes ou des arbustes tropicaux. Piscine biodesign, elle est en effet généralement ornée de végétaux, de pierres ou de fontaines qui renforcent l’aspect naturel.

L’architecture de ce type de piscine organique inclut également une pente douce au lieu de marches, et parfois un revêtement imitant le sable pour donner un effet lagon. Les abords peuvent être aménagés en plage et se révèlent alors parfaits pour installer transats et parasols et profiter d’un moment de détente.

Quel prix pour une piscine lagon ?

Le coût d’une piscine dépend de plusieurs paramètres comme la complexité de sa forme, sa superficie, le système de filtration ou encore les matériaux choisis.

Prix d’une piscine lagon en béton ou béton sablé

  • Entre 250 et 900€ le m², fournitures et main d’œuvre comprises

La piscine lagon en béton est robuste et permet de créer des formes libres et des aménagements sur mesure comme de petits îlots. Elle constitue un choix idéal pour ceux qui cherchent à véritablement personnaliser leur espace aquatique.

Le béton sablé, quant à lui, est plus cher que le béton traditionnel. Ce revêtement séduit grâce à sa texture antidérapante qui rappelle les plages naturelles.

Prix d’une piscine lagon en caoutchouc ou en gomme

  • Entre 500 et 1100€ le m², fournitures et main d’œuvre comprises

La piscine lagon, qu’elle soit en gomme ou en caoutchouc, offre une surface douce et sécurisante. Ce revêtement est d’ailleurs souvent choisi pour les aires de jeux aquatiques destinées aux enfants.

Prix d’une piscine lagon en pierre reconstituée

  • Entre 600 et 1500€ le m², fournitures et main d’œuvre comprises

La piscine lagon en pierre reconstituée est évidemment la reine de l’allure naturelle ! Cette option est à privilégier lorsque l’on souhaite un bassin de baignade qui se fond dans le décor du jardin.

>> En savoir plus : Quelles démarches pour construire une piscine ?

Quel budget prévoir pour la construction d’une piscine lagon ?

Les piscines dont la taille dépasse 10 m² nécessitent une déclaration préalable de travaux, voire un permis de construire pour celles excédant 100 m². En plus des coûts de construction, il faut donc prendre en compte les implications fiscales.

  • La taxe d’aménagement : Cette taxe est calculée en fonction de la superficie de la piscine. Pour 2024, la base d’imposition forfaitaire est de 250€ par m². Ensuite, il y a un taux fixé par la commune, le département et la région qui s’applique à cette base.
  • La taxe foncière : Une piscine est considérée comme une dépendance de l’habitation principale et augmente la valeur locative cadastrale du bien, qui est la base de calcul de la taxe foncière.
  • La taxe d’habitation : La taxe d’habitation ne s’applique plus aux résidences principales. Mais elle impacte encore les résidences secondaires, où la présence d’une piscine est considérée comme un élément de confort augmentant la valeur locative.

En outre, il convient de considérer le coût des équipements de sécurité :

  • L’alarme : Entre 100 et 300€ pour une alarme immergée, et entre 200 et 600€ pour une alarme périmétrique.
  • La barrière de protection : Entre 50 et 100€ pour une barrière amovible, et entre 100 et 200€ par mètre linéaire pour une barrière en verre.
  • L’abri de piscine : Entre 2 000 et 8 000€ pour un abri bas, entre 6 000 et 15 000€ pour un abri mi-haut qui permet de se déplacer partiellement sous l’abri et entre 10 000 et 30 000€ pour un abri haut qui permet d’obtenir un espace de vie autour de la piscine.

Quels sont les avantages et les inconvénients d’une piscine lagon ?

Les piscines lagon offrent une multitude d’avantages, parmi lesquels on retrouve :

  • L’esthétique : Elles s’intègrent harmonieusement au jardin.
  • L’expérience de baignade : Les bords en pente douce permettent une entrée progressive dans l’eau, idéale pour les enfants, les personnes âgées ou les personnes à mobilité réduite. Ce type de piscine propose des zones dédiées à la nage et des zones peu profondes pour se détendre.
  • L’aspect écologique : En intégrant un système de lagunage, la piscine se filtre naturellement. Cela évite l’attirail énergivore et polluant pour l’entretien de l’eau.

>> En savoir plus : Comment entretenir une piscine ?

Malgré leurs nombreux atouts, les piscines lagon présentent également quelques inconvénients qu’il est important de connaître avant d’investir :

  • Le coût : Les piscines lagon sont généralement plus coûteuses que les piscines traditionnelles en raison de leur complexité et des matériaux utilisés.
  • L’entretien : Il peut être complexe, notamment si le plan d’eau comporte des plantes aquatiques. Par ailleurs, les bords en pente douce accueillent généralement des débris et nécessitent un nettoyage régulier pour éviter la prolifération des algues.
  • La sécurité : Il est difficile d’adapter un équipement de sécurité sans dénaturer le charme du bassin.

Bien que les dépenses pour l’aménagement d’une piscine lagon soient importantes, gardons à l’esprit qu’elle a le pouvoir d’embellir les espaces extérieurs et peut augmenter la valeur immobilière d’environ 20 %. Si vous envisagez d’investir dans un tel équipement pour la période estivale, venez rencontrer nos spécialistes lors d’un salon Viving !

 

Piscine et jacuzzi écologiques, c’est possible ?

piscine ecologique

L’été arrive, et vous rêvez de pouvoir vous détendre dans une piscine ou dans un spa tout en préservant notre chère planète. Profiter d’un bain à remous dans son jardin et être écolo, c’est compatible ? Eh bien, oui, à condition de faire les bons choix en matière d’équipement et de mettre en place quelques astuces que nous vous partageons. Attention, risque d’éclaboussures !

piscine ecologique

Adopter des pratiques durables

Les piscines tout comme les jacuzzis sont de grands consommateurs d’énergie. Pour en profiter pleinement sans risquer de développer un sentiment de culpabilité, privilégiez des installations de bonne qualité, durable et éco énergétiques.

A titre indicatif, un spa standard pour 4 personnes peut consommer entre 2000 et 7500 kWh d’électricité par an. Ces chiffres vont dépendre de la taille et de la qualité de l’isolation de la cuve, de l’entretien des systèmes de chauffage et de filtration, de la fréquence d’utilisation et, évidemment, s’il s’agit d’un spa intérieur ou d’un spa extérieur.

Comment rendre une piscine plus écologique ? Vous pouvez limiter votre impact en réservant son utilisation aux beaux jours, en réduisant légèrement la température de l’eau, ou en utilisant de l’eau de pluie filtrée pour remplir les bassins. Par ailleurs, le nettoyage régulier du bassin et des filtres est un moyen efficace de soulager la pompe qui va fonctionner sans forcer et donc réduire sa consommation électrique.

Les équipements indispensables

Afin de ménager la planète tout en se faisant plaisir, il existe des moyens naturels pour chauffer sa piscine ou son jacuzzi. Commencez par identifier et remplacer, lorsque cela vous est possible, les éléments les plus gourmands en électricité : pompe de filtration, robots, pompe à chaleur, etc. Par ailleurs, les piscinistes proposent toute une gamme d’accessoires qui font appel à l’énergie solaire : tapis, abris, bâche à bulles ou encore chauffage solaire.

Le fait de couvrir les bassins permet d’éviter à l’eau de s’évaporer, de devenir le lit privilégié des feuilles qui tombent des arbres ou de trop se refroidir durant la nuit. Oui, ne pas utiliser de bâche de protection revient à ouvrir les fenêtres de sa maison avec le chauffage allumé !

Par ailleurs, un abri de piscine, sans qu’il soit nécessairement chauffé, permet d’augmenter de 5 à 6 degrés la température grâce à l’effet de serre. Combiner couverture et abris est même recommandé, du moment qu’ils respectent les normes NFP 90 308 et NFP 90 309.

Stop aux produits chimiques

L’entretien des piscines et autres bains à bulles rime souvent avec l’utilisation de produits chimiques tels que le brome, le PHMB ou le chlore. Puisque ces méthodes sont anti-écologiques, quelles sont les alternatives respectueuses de l’environnement ?

Certains jacuzzis écologiques intègrent des systèmes de filtration d’eau qui permettent d’éviter les produits chimiques. Ils sont suffisamment efficaces pour que l’eau n’ait besoin d’être changée qu’une fois par an. Cela permet donc de réaliser de belles économies d’eau, mais aussi de minimiser l’impact sur l’environnement aquatique.

Des solutions écologiques existent également pour l’entretien des spas et des piscines. Ainsi, l’utilisation d’un ozonateur permet de désinfecter l’eau en éliminant les germes. De plus, on trouve désormais des produits d’entretien biodégradables et non irritants pour la peau pour maintenir la propreté de l’eau. Par ailleurs, les purificateurs minéraux ou le traitement de l’eau au sel ont prouvé leur efficacité face aux bactéries.

Créer un spa écologique ou une piscine naturelle

Vous pouvez utiliser votre spa de manière responsable en abaissant légèrement la température et en remplaçant l’eau évaporée par de l’eau de pluie récupérée et filtrée. Par ailleurs,  il existe des jacuzzis en bois, fabriqués à partir d’essences d’arbres certifiés FSC ou PEFC, parfaitement adaptés à cet usage.  Appelés également bains nordiques, ils sont traditionnellement chauffés au poêle à bois.

Les piscinistes proposent également une alternative à la piscine traditionnelle : la piscine écologique et bio, ou bassin de baignade naturelle. Non traitée avec des produits chimiques, elle est idéale pour ceux qui aiment se baigner dans une eau fraîche au cœur d’un cadre naturel.

Enfin, la norme NF EN 17645 permet de classer les piscines de A à F selon leur impact environnemental, ce qui offre aux consommateurs la possibilité de comparer plus facilement les divers équipements.

>> Aller plus loin : « Quel type de piscine choisir ? »

Quid de l’hivernage ?

Contrairement à ce que l’on est tenté de faire, il n’est pas nécessaire de vider l’eau de votre piscine chaque année. Il est plutôt conseillé de renouveler 30 % du volume total. L’hivernage, qu’il soit passif (avec tous les équipements à l’arrêt) ou actif (avec un fonctionnement ralenti), protège votre installation des conditions météorologiques. Si ces étapes sont correctement effectuées, elles permettent de gagner du temps et de réduire les coûts de remise en service à la belle saison.

Vous envisagez d’installer un espace détente ? Venez rencontrer nos spécialistes sur les différents salons Viving ! Ils sauront vous conseiller pour choisir un spa durable et le moins énergivore possible, ou une piscine respectueuse de l’environnement.

Comment récupérer l’eau de pluie ?

Installer un récupérateur d’eau permet d’adopter un comportement éco-citoyen en utilisant l’eau de pluie pour arroser le jardin, le potager ou encore nettoyer les toilettes. A la clé ? Réduction de l’utilisation d’eau potable pour des usages qui n’en présentent pas la nécessité, et économies qui peuvent aller jusqu’à 50% de votre consommation d’eau ! On vous dit comment procéder.

Comment récupérer l’eau de pluie facilement ?

S’équiper d’un récupérateur d’eau est relativement simple. La pluie qui tombe sur le toit est récupérée par des gouttières directement reliées à une cuve par l’intermédiaire d’un collecteur d’eau. Selon les modèles, les réservoirs ont une capacité de 200 à 10 000 litres.

Une fois placé à proximité de l’une des descentes de toit vous pouvez, dans un premier temps, relier le récupérateur directement à un tonneau, une grande bassine ou alors une cuve pour vérifier la pertinence de l’installation.

Enfin, l’idéal est de placer une grille de protection sur vos gouttières afin d’éviter l’obstruction à cause de feuilles ou d’insectes piégés dans les descentes. Assurez-vous également de placer votre récupérateur sur une surface plane, solide, et de manière à éviter l’accumulation de débris (type feuilles) dans le réservoir.

La plupart des récupérateurs d’eau sont conçus pour un stockage en extérieur. Il existe même des modèles dotés d’éléments décoratifs pour se fondre harmonieusement dans le paysage. Toutefois, rien ne vous empêche de les placer à l’intérieur de votre maison, que ce soit dans un sous-sol ou une cave.

Pour les installations plus importantes, on retrouve des cuves enterrées. Dans ce cas, renseignez-vous sur la nature de votre sol avant d’entamer les travaux. Par ailleurs, les toits en ardoise ou en tuiles sont à privilégier par rapport aux revêtements en aluminium, en goudron, ou en matériaux synthétiques.

8 astuces pour récupérer l’eau de pluie pour le jardin

  1. Assurez-vous que votre toit est bien adapté à la collecte des eaux pluviales (pente, nature de la couverture, surface).
  2. Sélectionnez un réservoir avec une capacité appropriée à votre région et à vos besoins estimés en eau.
  3. Prévenez l’accumulation de débris végétaux dans votre réservoir en installant des grilles de protection sur vos gouttières. De la même manière, optez pour un collecteur d’eau équipé d’un filtre, capable de retenir les boues et les sédiments.
  4. Prévoyez un système de trop-plein pour éviter les débordements de la cuve et de la gouttière.
  5. Installez des clapets au niveau des conduits d’entrée et de sortie de votre réservoir pour dissuader les insectes d’y pénétrer.
  6. Couvrez la cuve pour prévenir la formation d’algues et la prolifération de micro-organismes et d’insectes.
  7. Investissez dans un système de pompage pour une distribution efficace de l’eau à l’intérieur comme à l’extérieur de la maison.
  8. Nettoyez vos gouttières une à deux fois par an.

Quel système pour récupérer l’eau de pluie ?

Selon l’usage que vous comptez faire de l’eau récoltée, de la superficie de votre toit, du nombre d’occupants dans votre foyer mais surtout de la pluviométrie de votre région, vous allez orienter votre choix vers un modèle de récupérateur de pluie plutôt qu’un autre.

Ainsi, si vous avez un simple potager à arroser, un petit collecteur d’eau extérieur peut tout à fait suffire. Posée directement sur le sol, c’est la solution la plus rapide à mettre en place et la plus facile à utiliser. En revanche, pour irriguer une plus grande surface, un système de récupération d’eau de plus grande capacité, installé dans une cave ou directement enterré dans le jardin, est plus adapté.

Les différentes cuves

Pour stocker l’eau recueillie, il existe deux catégories de réservoirs sur le marché : les récupérateurs d’eau de pluie en béton et les récupérateurs d’eau de pluie en plastique ou polyéthylène (PE).

Le béton neutralise l’acidité naturelle de l’eau, ce qui adoucit celle-ci lorsqu’elle y est stockée pendant quelques jours. De plus, les parois opaques du béton préservent l’eau de la lumière, même lorsque la cuve n’est pas enterrée, limitant ainsi les variations de température. De leur côté, les cuves en plastique sont résistantes aux fissures, même par temps de gel, ainsi qu’aux rayons du soleil.

Récupération des eaux de pluie : réglementation

La récupération de l’eau de pluie est une pratique courante pour un usage personnel, et est autorisée hors consommation alimentaire. Vous ne devez ni la boire, ni l’utiliser pour cuisiner ou faire la vaisselle, en raison de sa potentielle teneur en éléments polluants tels que des sulfates, des nitrates ou des pesticides.

Au sein de votre domicile, l’eau de pluie doit être utilisée uniquement pour :

  • Laver le linge, sous réserve d’utiliser un dispositif de traitement de l’eau qui assure sa désinfection ;
  • Remplir la chasse d’eau des toilettes ;
  • Nettoyer les sols.

Il est cependant interdit d’utiliser à l’intérieur de votre maison l’eau de pluie provenant d’un toit contenant de l’amiante ou du plomb.

L’utilisation de l’eau de pluie est libre en extérieur, notamment pour l’arrosage du jardin ou le lavage de la voiture.

Enfin, sachez que certaines municipalités accordent des subventions pour l’achat de matériel de récupération d’eau. Pour savoir si votre commune offre cette possibilité, contactez votre mairie.

Comment nettoyer une terrasse : les meilleures méthodes

Lorsque l’on a la chance d’avoir une terrasse ou un balcon, rien d’étonnant à ce que l’on souhaite en profiter au moindre rayon de soleil. Les intempéries hivernales ayant laissé quelques traces de leur passage, un brin de toilette est indispensable pour que votre extérieur retrouve son charme. Voici quelques conseils pour nettoyer sa terrasse en fonction du matériau qui l’habille.

Bien entretenir une terrasse

Avant de profiter pleinement de sa terrasse ou de son espace extérieur, un peu d’entretien s’impose. Dans un premier temps, pensez à enlever le mobilier, les plantes et les éléments de décoration qui pourraient gêner l’opération.

Qu’il s’agisse de nettoyer une dalle de terrasse en ardoise, en carrelage, en bois, en pierre, en béton ou en composite, il existe différentes méthodes pour lui redonner de sa superbe tout en garantissant sa longévité. L’idéal étant évidemment d’utiliser des produits écologiques, sans danger pour l’environnement.

Comment nettoyer une terrasse en bois ?

La mousse et le lichen peuvent rendre votre terrasse en bois sale et surtout très glissante. Pour qu’elle garde un aspect propre et chaleureux, vous pouvez nettoyer votre terrasse en bois au savon noir. En effet, le savon noir est un produit naturel dégraissant, antibactérien et insecticide. Même s’il s’agit d’un bois particulièrement résistant, il est important d’appliquer ensuite une huile de protection pour le protéger au fil des saisons.

Pour ceux qui se posent la question, oui, il est possible de nettoyer une terrasse en bois au Karcher. Attention, lors de l’utilisation d’un nettoyeur à haute pression, il est primordial de tenir le jet d’eau à une distance de 50 cm minimum de la surface à traiter et d’éviter les pressions trop élevées. Pour information, les essences de bois exotiques tolèrent mieux le nettoyage à basse pression.

Comment nettoyer une terrasse en pierre ?

Basalte, granit, grès, ardoise ou marbre, il est essentiel d’utiliser des produits au pH neutre lors de l’entretien de votre terrasse en pierre naturelle. Ainsi, lorsque les mauvaises herbes élisent domicile entre les pierres de votre terrasse, vous pouvez facilement vous en débarrasser avec de l’eau bouillante. Habituellement salée, l’eau de cuisson des pâtes est un excellent désherbant naturel : une fois les plantes anéanties jusqu’aux racines, il est facile de les enlever.

Par ailleurs, afin de préserver ces matériaux de qualité, il est préférable d’éviter l’usage de nettoyeurs haute pression sur une pierre poreuse ou une pierre reconstituée. La puissance du jet rend sa surface plus fragile et sensible au gel.

Enfin, vous pouvez tout à fait protéger votre terrasse en pierre à l’aide d’un produit imperméabilisant. Ce dernier comble les pores de la pierre et forme une barrière contre les taches et l’invasion de micro-organismes, permettant d’espacer les nettoyages.

Comment nettoyer une terrasse en béton ?

Si vous prenez le temps de bichonner votre terrasse régulièrement, le bicarbonate de soude suffit à lui redonner tout son éclat. Appliquez un mélange d’eau chaude savonneuse (savon de Marseille ou savon noir) et de bicarbonate sur la surface, frottez avec une brosse, puis rincez à l’eau claire.

Lorsque votre terrasse est très sale, votre meilleur allié sera le vinaigre blanc. Laissez-le agir une quinzaine de minutes avant de frotter avec une brosse plutôt douce, puis rincez abondamment.

Nettoyer sa terrasse en béton à la javel est tentant, mais est-ce réellement une bonne idée ? Il semblerait que non. En effet, outre le fait que ce type de produit est polluant pour l’environnement, cela dégage également des vapeurs toxiques dangereuses pour la santé. Ainsi, une terrasse fraîchement nettoyée à l’eau de javel et chauffée par les rayons du soleil se transforme en cocktail toxique pour tous ceux qui viennent s’y relaxer. Par ailleurs, il s’agit d’un produit agressif susceptible d’attaquer la couche de protection du béton : la terrasse devient alors plus terne et plus vulnérable.

Autre solution : le percarbonate. Ce produit, que l’on surnomme “javel sans chlore” est sans danger pour l’environnement et offre des résultats spectaculaires.

Comment nettoyer une terrasse en carrelage ?

Il est préférable d’éviter le nettoyeur haute pression pour ce type de revêtement. En effet, il pourrait endommager irrémédiablement votre joli carrelage. Un peu d’eau chaude savonneuse suffit généralement à entretenir une terrasse en carrelage.

Néanmoins, si celle-ci est particulièrement encrassée, vous pouvez utiliser du vinaigre blanc ou du bicarbonate de soude pour venir à bout des taches tenaces. La recette est simple : un seau d’eau chaude additionné d’un bouchon de savon noir, auquel on ajoute un demi verre de bicarbonate de soude et un demi verre de vinaigre blanc. Ensuite, il suffit de brosser au balai, puis de rincer à l’eau claire.

Pour les joints, l’idéal est de les saupoudrer de bicarbonate de soude puis de les frotter à la brosse à dent avec un mélange d’eau chaude, de vinaigre blanc et de citron (un verre de vinaigre blanc et un verre de jus de citron pour un litre d’eau). Un peu d’huile de coude, et ils seront à nouveau impeccables !

Comment nettoyer une terrasse en composite ?

Entretenir une terrasse en composite est très facile : un coup de balai et de serpillère toutes les semaines suffit à éliminer les saletés et à sublimer l’aspect de votre espace extérieur. Lorsque les taches sont incrustées, n’hésitez pas à utiliser de l’eau chaude savonneuse à la place de l’eau claire.

Si cette méthode s’avère insuffisante, il est possible de nettoyer sa terrasse au vinaigre blanc. Pour ce faire, il est primordial de bien diluer le produit dans de l’eau et de le laisser agir seulement quelques minutes avant de frotter.

Contrairement au bois naturel, nettoyer une terrasse en bois composite demande finalement peu d’efforts : pas d’huile de protection, de lasure ou de dégriseur. La plupart des lames de bois composite sont d’ailleurs garanties résistantes aux taches, aux intempéries ainsi qu’à la décoloration à cause des UV.

Finalement, quel que soit le matériau de votre terrasse ou le produit que vous avez décidé d’utiliser pour la nettoyer, il est judicieux de faire un essai sur une partie peu visible afin d’éviter les mauvaises surprises.

Quel portail choisir en plein vent ?

BOUM ! Votre portail vient de rendre l’âme face aux assauts répétés du vent. Si vous vivez dans une région fortement exposée, vous devez à tout prix installer un portail qui résiste au vent, au risque d’en changer régulièrement. On vous apporte tous nos conseils pour choisir le portail le plus robuste possible.

Portail exposé au vent : que choisir ?

Renforcer votre portail face au vent est possible, à condition de choisir le bon modèle. On fait le tour des différentes possibilités !

Les matériaux

Pour les zones venteuses, un matériau de portail est particulièrement plébiscité : l’aluminium. Parce qu’il est à la fois robuste et flexible, l’aluminium est parfait pour les portails souvent aux prises avec le vent.

D’autres matériaux peuvent également être convenables, à condition qu’ils soient de bonne qualité : le bois et le PVC. Le bois est très résistant, même s’il est moins flexible et léger que l’alu. Pour le PVC, veillez à sa qualité, car ce n’est pas un matériau connu pour sa longévité.

N’hésitez pas à demander conseil auprès d’un professionnel lors des salons Viving. Ils sauront vous recommander le meilleur matériau en fonction de votre localisation et de l’orientation de votre portail.

Portail battant ou coulissant ?

Entre battant et coulissant, votre coeur balance ? Nous vous conseillons plutôt le portail coulissant en cas de prise au vent, car il y est moins sensible.

Le portail coulissant se déplace vers la droite ou vers la gauche, généralement sur un rail. Il est maintenu en hauteur par un guide ou par un poteau de guidage. Ainsi, il a moins de prise au vent qu’un portail battant, qui dispose de 2 vantaux qui s’ouvrent vers l’intérieur ou l’extérieur. Un vent fort peut gêner l’ouverture ou la fermeture du portail, selon son orientation. Sans parler des gonds, qui risquent d’être endommagés rapidement.

Vous ne voulez pas que votre portail soit arraché par le vent, n’est-ce pas ?

Portail ajouré ou plein ?

Généralement, le portail plein est apprécié pour l’intimité qu’il offre à ses propriétaires. Malheureusement, dans une région venteuse, il vaut mieux l’oublier !

Privilégiez un portail ajouré, qui laisse passer l’air grâce à ses lames espacées. Il a donc moins de prise au vent. Le portail plein reçoit une trop forte pression et a plus de risques d’être endommagé, voire arraché en cas de tempête.

Deuxième solution, le portail à lames persiennes. Les lames sont espacées comme le portail ajouré, mais inclinées, ce qui permet d’éviter les regards indiscrets. Un juste-milieu intéressant !

Comment bloquer un portail contre le vent ?

Si vous en avez assez que votre portail manuel s’ouvre à chaque coup de vent ou se referme en claquant, il est nécessaire d’installer un arrêt de portail. Il en existe plusieurs types : sabot de portail, arrêt de portail à bascule, butée… ces accessoires sont faciles à trouver sur le marché et aisés à installer.

Une alternative est possible : la serrure électrique. De plus en plus prisé, le système de blocage électrique est très efficace pour les portails manuels. L’intervention d’un artisan professionnel est toutefois nécessaire.

Si votre portail est motorisé, il n’est pas nécessaire d’opter pour une serrure électrique ou un arrêt de portail, puisque l’ouverture et la fermeture sont contrôlées par le moteur.

Quel moteur de portail contre le vent ?

C’est un fait, les portails motorisés résistent bien mieux au vent que les portails manuels. Même si vous choisissez un portail en aluminium, ajouré et coulissant, un portail manuel sera toujours moins robuste qu’un portail à ouverture automatique.

La motorisation d’un portail soumis aux vents forts est différente d’une motorisation de portail classique. D’autres critères entrent en compte, notamment la puissance du moteur et sa solidité.

Le moteur à vérin hydraulique réversible est à privilégier pour les portails exposés au vent, en particulier les portails battants. Il s’agit d’un moteur électrique qui actionne une pompe hydraulique, afin d’ouvrir ou fermer les vérins du portail. En cas de coupure de courant ou de panne moteur, le portail peut être ouvert manuellement.

Concernant la puissance, préférez un moteur en 230V si vous avez fréquemment de fortes rafales. En effet, cette puissance ne détecte pas les obstacles, un bon point pour éviter à votre portail de confondre le vent avec un humain. Cela vous évitera des dysfonctionnements !

Évitez si possible les moteurs avec des extrémités en plastique, car elles ne seront pas suffisamment résistantes en cas de coup de vent. Un alliage solide est toujours préférable.

Pour choisir la bonne motorisation pour votre portail, en fonction de sa taille, de son poids, de son ouverture et de la pente du terrain, demandez conseil aux experts Viving. Ils vous proposeront la motorisation qui convient parfaitement à vos besoins.

Les assurances en cas de dommage lié au vent

Les sinistres liés au vent entrent dans la catégorie des tempêtes, pas des catastrophes naturelles. Ainsi, vous êtes normalement couvert par votre assurance habitation si votre portail est endommagé ou arraché par une rafale de vent. Vérifiez bien que votre assurance habitation multirisques s’applique à votre jardin.

Conformément à l’article L122-7 du Code des assurances, toutes les assurances habitation disposent d’une garantie tempête. Cette garantie est engagée si la vitesse du vent est supérieure ou égale à 100 km/h.

Après avoir constaté le sinistre, vous disposez de 5 jours ouvrés pour avertir votre assureur. Envoyez des photos et expliquez la situation à votre assurance. Les factures de la pose de votre portail peuvent être utiles. Un certificat Météo France attestant de la vitesse du vent au moment où votre portail s’est envolé vous sera certainement demandé. Un expert pourra venir constater les dégâts sur place.

Quel dallage autour d’une piscine ?

Alors que les beaux jours arrivent, vous avez peut-être envie de poser un dallage autour de votre piscine, pour la rendre plus agréable. C’est le moment idéal ! On vous présente les critères à prendre en compte avant de choisir vos dalles, et les différents revêtements envisageables. Inspirez-vous !

Les critères pour choisir vos dalles de sol de piscine

L’étanchéité

Puisqu’on parle de dalle pour piscine, l’étanchéité est le critère n°1 à prendre en compte. Certains matériaux, comme le travertin, nécessitent l’utilisation d’un produit hydrofuge pour l’imperméabiliser. D’autres revêtements sont naturellement résistants à l’eau, comme le béton.

La robustesse

Pour l’extérieur, nous vous conseillons de choisir des revêtements robustes. Vos dalles doivent résister aux saletés, au gel, à l’eau, à la pluie ou encore aux produits d’entretien du bassin. Généralement, le dallage autour de la piscine est particulièrement résistant.

Le niveau antidérapant

Près d’une piscine, il est essentiel de choisir des dalles avec un fort indice antidérapant. Mieux vaut éviter les glissades… Nous vous recommandons un dallage de piscine antidérapant à indice R11 ou R12.

A noter : cet indice n’existe pas pour les matériaux comme la pierre naturelle, puisqu’elle est naturellement antidérapante.

L’apparence

La décoration, c’est important ! Heureusement, il existe aujourd’hui des centaines de coloris et de finitions dans de nombreux matériaux. Vous trouverez forcément le dallage de piscine qui s’accordera avec votre déco extérieure. Évitez tout de même les dalles trop sombres, surtout si vous êtes dans une région ensoleillée, au risque de vous brûler les pieds !

Le prix

Evidemment, le coût du dallage a son importance. Certains matériaux sont plus chers que d’autres et peuvent vite dépasser votre budget. Cela va également dépendre du coloris, de la finition, de la méthode de pose, etc. N’hésitez pas à demander plusieurs devis à vos fournisseurs.

>> A lire également : comment entretenir une piscine ?

Quel est le meilleur revêtement autour d’une piscine ?

Une multitude de matériaux existent pour entourer votre bassin, sans compter les coloris et les finitions possibles. Plutôt dallage de piscine en pierre naturelle ou carrelage ? Voyons ça ensemble.

Le dallage de piscine en travertin

Cette pierre naturelle est souvent plébiscitée pour les tours de piscine. En plus d’être accessible, le travertin est antidérapant, durable et très esthétique. La porosité du travertin lui permet d’absorber l’eau, ce qui vous évitera de glisser près du bassin. Résistant à la chaleur, il est très apprécié dans les régions ensoleillées puisqu’il reste frais au toucher.

Cependant, il est nécessaire de le protéger avec un produit hydrofuge résistant au sel, tous les 3 à 5 ans.

Les dalles en béton

Si le dallage en béton est encore rare pour les piscines (on le recouvre souvent d’un autre revêtement), il convient pourtant parfaitement aux amateurs de déco industrielle. Naturellement antidérapantes, vous serez en sécurité avec des dalles en béton. Elles restent fraîches, sont résistantes et faciles à entretenir.

Si l’aspect esthétique vous gêne, sachez qu’il existe plusieurs coloris et habillages pour éviter sa couleur grise. Il est également possible d’imprimer des motifs en relief. Niveau décoration, tout est permis avec le béton !

Les dalles en grès cérame

Très utilisé pour le dallage de piscine, le grès cérame est à la fois tendance et pratique. Résistant aux chocs, aux tâches et aux UV, il offre une longue durée de vie tout en étant plutôt abordable comparé à d’autres revêtements. L’avantage du grès cérame est qu’il imite parfaitement la pierre, le béton ou encore le bois.

Attention, préférez des tons clairs si vous vivez dans une région ensoleillée. Un dallage en grès cérame noir risque de vous brûler les pieds ! Un traitement antidérapant est nécessaire pour éviter les risques de glissade.

La pierre reconstituée pour piscine

Grâce à son excellent rapport qualité/prix, la pierre reconstituée peut être privilégiée à la pierre naturelle. Il s’agit de pierre concassée et mélangée à du béton, pour adopter l’allure de la pierre.

Sa surface rugueuse la rend antidérapante, ce qui est très pratique aux abords d’un bassin. En plus d’être solide, elle dispose de nombreux formats, couleurs et styles pour s’adapter à votre décoration extérieure.

Le dallage en bois

Bien que l’on voit plus souvent des dallages en pierre naturelle ou en pierre reconstituée, la plage de piscine en bois existe et offre un aspect chaleureux et naturel à votre extérieur. Les bois généralement utilisés sont le peuplier, le mélèze, le pin ou le frêne, de classe 4 minimum. Bien sûr, le bois doit absolument être traité ! Il doit être antidérapant, poli, imputrescible et résistant.

Si le bois naturel est hors de vos moyens, sachez que certains dallages de piscine imitation bois sont très ressemblants. Le carrelage imitation bois mime tous les atouts du bois et supprime ses inconvénients. L’entretien est bien plus facile, même si un traitement antidérapant reste nécessaire.

Vos questions sur le dallage de piscine

Comment poser des dalles autour de la piscine ?

Plusieurs méthodes existent pour poser une plage de piscine. Pose collée sur béton, pose sur sable stabilisé, pose sur plots… sans compter les traitements nécessaires par la suite.

A moins d’être très bricoleur, nous vous recommandons de faire appel à un professionnel pour poser votre dallage de piscine. Il choisira la méthode la plus adaptée pour un résultat à la hauteur de vos attentes. Rendez-vous aux prochains salons Viving pour rencontrer des piscinistes !

Comment entretenir le dallage de piscine ?

L’entretien des dalles dépend du matériau utilisé. Certaines pierres naturelles ne nécessitent aucun entretien, tandis que la pierre reconstituée doit être traitée chaque année avec un produit imperméabilisant. Renseignez-vous auprès du professionnel qui installera votre plage de piscine.

Quel dallage pour une piscine hors sol ?

Il est absolument indispensable de poser une dalle en béton sous votre piscine hors sol, car elle a besoin d’un support stable pour la soutenir. Par la suite, vous pourrez choisir le revêtement de votre choix si l’aspect du béton ne vous plaît pas.

Comment aménager un petit jardin ?

Tous les habitants d’appartement vous envient ! Hé oui, même si votre jardin est petit, vous avez énormément de chance d’avoir ce coin de verdure pour prendre l’air voire cultiver quelques légumes. Mais pour en profiter, il faut l’aménager ! Découvrez nos astuces pour aménager votre petit jardin et le rendre agréable à vivre.

Nos idées pour l’aménagement d’un petit jardin

Effacer les limites

Un jardin entouré de murs donne instantanément un sentiment d’oppression. Cela ne donne pas forcément envie de profiter de l’extérieur ! Mais si on ne voit pas les limites du jardin, vous aurez une impression de grandeur.

Notre conseil est donc de miser sur les végétaux grimpants, les massifs et les plantes, qui feront disparaître vos murs. Votre petit jardin paraîtra alors beaucoup plus grand !

Créer des espaces

On a tendance à penser qu’un petit jardin ne peut pas contenir plusieurs espaces définis. Pourtant, c’est possible : vous pouvez tout à fait donner plusieurs fonctions à votre coin de verdure.

Par exemple, un petit salon de jardin avec une table sur votre terrasse pourra servir de coin repas. Sur la pelouse, 2 chiliennes serviront de coin détente. Délimitez un coin potager pour faire pousser quelques légumes ou plantes aromatiques, qui prendront peu de place dans votre jardin. Si vous avez des enfants, vous pouvez également créer une petite aire de jeux.

Délimiter les zones

Une fois vos espaces créés, vous avez la possibilité de les délimiter. C’est d’autant plus important si vous avez créé un petit potager. Ardoise, rondins de bois ou clôture basse seront du plus bel effet, en plus d’éviter que vos animaux ne piétinent vos plantations.

Avec des délimitations claires, votre jardin aura tout d’un grand !

Privilégier le mobilier pratique

Dans un petit jardin, inutile d’acheter du mobilier imposant. Le risque est qu’il occupe tout l’espace et insiste sur la taille de votre extérieur. Choisissez plutôt du mobilier pliant ou amovible, qui prend un minimum de place !

Par exemple, une table avec des tabourets qui se glissent parfaitement en-dessous. Une table de jardin et des chaises pliantes sont également idéales pour les ranger après le repas. Pensez pratique pour conserver un maximum d’espace dans votre jardin !

Cacher un bac à sable sous la terrasse

Si vous avez des enfants, vous avez naturellement envie qu’ils profitent du jardin et passent du temps en extérieur. Le problème : avec un petit jardin, difficile d’aménager un espace dédié aux enfants !

Pour réussir à créer une aire de jeux pour vos enfants malgré la taille de votre jardin, voici notre idée : intégrer un bac à sable dans votre terrasse en bois ! En le dissimulant sous la terrasse, vos enfants pourront s’amuser dans le bac à sable puis le recouvrir une fois qu’ils auront fini de jouer. Ainsi, vous retrouvez tout l’espace de votre terrasse pour profiter du jardin.

>> Plus d’inspiration : DIY : des idées d’espaces pour les enfants dans le jardin

Aménager un petit jardin de 10m²

Maintenant que vous avez les grandes idées d’aménagement d’un petit jardin, passons à la pratique ! Vous avez un jardin de 10 m² ? C’est petit, c’est vrai, mais avec quelques aménagements, vous vous y sentirez à votre aise.

Dans un jardin de 10 m², l’objectif va être de donner un sentiment de grandeur. Par exemple, si vous n’arrivez pas à cacher vos murs ou vos clôtures avec des plantes et des massifs, vous pouvez utiliser la peinture !

Peindre un seul mur donnera de la profondeur à votre extérieur, de préférence le mur du fond. Le choix de la couleur dépend de vos goûts, mais nous vous recommandons d’utiliser des couleurs claires et lumineuses, et d’éviter les couleurs sombres. Orange, bleu, vert, jaune… à vous de trancher !

Des miroirs d’extérieur peuvent également donner un sentiment d’espace, avec l’impression que votre jardin fait le double de sa taille réelle. Attention, un entretien régulier est de mise !

Aménager un petit jardin de 20m²

Avec 20 m², vous avez un peu plus d’espace pour aménager le jardin de vos rêves. C’est l’occasion, par exemple, d’ajouter un point d’eau. Qu’il s’agisse d’un bassin ou d’une fontaine, cela donnera une sensation d’espace à votre jardin tout en le rendant plus lumineux et agréable.

Si vous aimez la décoration zen, n’hésitez pas à installer un jardin japonais près de votre bassin. Il n’a pas besoin d’être grand pour faire son effet ! Ajoutez à cela un coussin d’extérieur, et vous avez un espace idéal pour méditer.

Autre idée pour gagner de la place dans un petit jardin, c’est de jouer sur les hauteurs. Construisez une terrasse surélevée, pour briser la monotonie et créer un autre espace plus bas, par exemple une petite piscine enterrée ou semi-enterrée. Jouer sur la verticalité donnera l’impression que votre jardin est plus grand qu’il n’y paraît.

Si vous êtes un passionné de plantes, opter pour une végétation envahissante, type jardin à l’anglaise, permet de créer de la perspective et de donner l’impression que votre jardin est immense. Variez les types de plantes et misez sur les plantes grimpantes et les arbustes de différentes tailles.

Aménager un petit jardin en longueur

Peut-être que vous possédez un jardin en longueur : il paraît grand, mais il peut s’avérer difficile à aménager. L’important, c’est de briser cette sensation de longueur. En effet, lorsqu’on regarde ce type de jardin, nos yeux sont attirés par le fond et cela donne une impression d’espace très serré.

Il faut donc diviser votre terrain en plusieurs zones, pour ne pas se concentrer sur le fond du jardin. Près de la maison, installez une terrasse en bois par exemple, pour faire un espace détente / repas. Utilisez des clôtures verticales pour faire grimper des plantes ou des bambous afin de délimiter l’espace et éviter de voir directement le fond de votre jardin.

Le deuxième espace, au milieu de votre jardin, peut accueillir des transats, un bassin ou encore une petite piscine.

Enfin, le fond du jardin sera idéal pour faire un petit potager. Retrouvez tous nos conseils à ce sujet dans l’article “Démarrer un potager dans un petit jardin”.

Comment choisir son salon de jardin ?

L’entendez-vous ? L’appel de votre jardin qui vous invite déjà à des moments ensoleillés bien installés dans votre salon de jardin alors que les premiers soupçons de printemps commencent tout juste à embaumer l’air ? Comble du délice, le soleil s’attarde un peu plus chaque soir vous rappelant que votre chaise longue est impatiente de vous accueillir de nouveau pour des bains de soleil ! Vous n’avez pas de chaise longue ? Auriez-vous besoin des conseils de Viving pour choisir votre salon de jardin ? Si oui, suivez le guide !

Choisir son salon de jardin en fonction du matériau

Salon de jardin en bois

Quoi de plus harmonieux que d’installer du mobilier en bois dans un beau jardin ? La nature à la nature ! Votre choix se portera peut-être sur ce matériau chaleureux et qui a le mérite d’être solide !

Pour bien choisir votre salon de jardin en bois, il faut savoir que le bois de vos meubles se décline en plusieurs types d’essences qui sont plus ou moins résistantes à la chaleur, l’humidité et aux insectes. Ces essences sont classées sur une échelle croissante qui s’étend de l’échelon 1 au 5 en fonction de leur résilience.

Pour votre salon de jardin en bois, il faut commencer à choisir votre bois à partir de l’échelon 2, échelle qui peut occasionnellement supporter un taux d’humidité supérieur à 20 %. Si vous préférez posséder un salon de jardin en bois réellement résistant, optez pour du bois échelon 4 comme l’acacia, abordable et qui séduit par sa couleur uniforme.

Autre choix, le pin, en général d’un bon rapport qualité-prix et qui s’adaptera très bien à votre jardin une fois traité contre les agressions extérieures ! Considérez aussi le teck, un des plus résistants et naturellement imputrescible. Attention, il se patine avec le temps et prend une teinte grisée !

Salon de jardin en résine

Vous préférez choisir un salon de jardin haut en couleurs ? Avez-vous pensé à un salon de jardin en resine ? Il vous offre le même degré de résistance aux attaques extérieures mais se démarque grâce à sa grande variété possible de coloris !

Les autres avantages de la résine sont d’offrir une présentation plus moderne et d’être imperméable ! Léger et solide, ce matériau se présente sous trois formes : la première est la résine tressée. C’est une fibre synthétique plate ou ronde réalisée à partir de polyéthylène résistante aux UV qui est tressée, d’où son nom, autour de la structure du salon de jardin.

La deuxième sorte de résine est la résine moulée, qui ne diffère de la première que par son processus de fabrication : elle est moulée. La petite dernière est un petit dernier : le textilène. Fabriqué à base de PVC, il est utilisé pour créer les assises et les dossiers du salon de jardin résine. Il possède la même propriété de résistance aux UV que ses deux acolytes.

Salon de jardin en métal

« Pour un salon de jardin particulièrement résistant, il existe aussi le métal » Oui, vous avez raison, parlons-en ! Après tout, il en faut pour tous les goûts.

Accompagné d’un traitement efficace contre la corrosion et notamment la rouille, votre salon de jardin offrira une résistance et une robustesse à toute épreuve. Bonus : il apportera une touche romantique à votre havre de paix !

Pensez cependant à choisir votre salon de jardin en fer forgé car il est plus lourd que l’aluminium et cela permettra d’éviter de fâcheuses mésaventures lors de coups de vent.

Salon de jardin en palettes

Enfin, il existe une dernière option pour les plus bricoleurs d’entre vous qui vous permettra de vous adapter à l’espace disponible si vous n’en disposez pas beaucoup : le salon de jardin en palettes !

Vous pouvez les dénicher sur les chantiers, dans les magasins ou en entreprise et les retravailler. Il vous faudra découper les palettes et cette étape vous donnera la possibilité de créer un petit salon de jardin.

Ensuite, il faudra les nettoyer, leur appliquer une sous-couche avant de les peindre car le bois des palettes absorbe beaucoup la peinture. Il ne vous restera plus qu’à les assembler et à trouver des coussins pour palettes !

Votre petit salon de jardin en palettes témoignera de votre créativité et de votre ingéniosité et vous permettra à vous aussi qui ne disposez que d’un balcon de vous offrir votre salon de jardin tant espéré !

Choisir son salon de jardin en fonction du budget

De la même manière que nous venons de voir que l’opportunité de s’offrir un salon de jardin est parfois entravée par la contrainte de l’espace disponible, il faut aussi prendre en compte la contrainte du budget. Pas de panique, des solutions existent !

Pour choisir son salon de jardin en fonction d’un budget, il faut savoir que le coût n’est pas le même en fonction du matériau utilisé. A titre d’exemple, un mobilier en fer forgé coûte entre 205 et 800 €.

Pour les meubles en teck et autres bois imputrescibles auxquels nous faisions référence plus haut, préparez un budget compris entre 205 et 1500 €.

Le budget nécessaire pour un salon de jardin en PVC s’étire de 150 à 500 €.

Le mobilier en résine tressée, lui, revient à un coût situé entre 400 et 1800 €.

La solution la plus économique reste celle du salon de jardin en palettes même si elle ne vous conviendra peut-être pas si vous n’avez pas un profil de bricoleur. Proposez alors un marché à vos amis bricoleurs : ils seront toujours prioritaires pour s’y prélasser lors du barbecue s’ils vous aident à les construire !

Et si vous avez décidé de vous lancer vous-mêmes dans la construction de votre salon de jardin en palettes, pourquoi ne pas poursuivre sur votre lancée en commençant par lire notre article vous expliquant l’aménagement d’un pool house ?

Comment entretenir une piscine ?

Pour profiter de votre piscine tout l’été, un entretien régulier est nécessaire. Entre la pollution, les changements de température, la pluie, les insectes… La qualité de l’eau de votre piscine peut être affectée. Nous vous livrons nos conseils pour bien entretenir votre piscine.

Pourquoi entretenir sa piscine ?

L’eau de la piscine est quotidiennement polluée par des éléments extérieurs tels que des feuilles, des insectes, de la poussière ou encore des bactéries. Sans un entretien régulier, vous baigner peut devenir très désagréable !

Pour garantir la propreté de votre bassin, 3 gestes sont essentiels : filtrer la piscine, traiter l’eau et nettoyer.

Comment savoir si ma piscine est mal entretenue ?

Pour savoir si votre piscine est mal entretenue, il suffit de la regarder. La plupart des défauts d’entretien sont visibles ! Voici les problèmes qui doivent vous alerter et vous faire réagir :

  • un taux de pH incorrect : il doit être compris entre 7,2 et 7,6 ;
  • l’eau est verte ou trouble ;
  • des algues apparaissent au fond de la piscine et sur les parois ;
  • votre peau et vos yeux sont irrités lorsque vous vous baignez ;
  • une odeur de chlore se dégage de la piscine ;
  • le filtre de la piscine est encrassé.

Entretenir sa piscine : nos conseils

Avoir un bon système de filtration

Comment entretenir sa piscine ? Avec un bon système de filtration ! Il se compose d’une pompe et d’un filtre : la pompe aspire l’eau du bassin avant de la diriger vers le filtre, qui piège les impuretés et les débris. L’eau propre est ensuite renvoyée vers la piscine.

Une certaine durée de filtration doit être respectée : il est conseillé de filtrer sa piscine pendant 8 à 12h en continu. Le temps de filtration doit être égal à la température de l’eau divisée par 2. Plus votre eau est chaude, plus longtemps elle devra être filtrée.

Toutefois, la filtration traite seulement les impuretés visibles. L’eau contient toujours des parasites, des champignons et des bactéries. Il est donc indispensable de compléter la filtration de la piscine par un traitement de l’eau.

Traiter l’eau de la piscine

Que vous ayiez une piscine enterrée, semi-enterrée ou hors sol, le traitement de l’eau est une étape nécessaire pour entretenir votre piscine. Vous devez effectuer un traitement de fond, avec des galets ou des équipements automatiques, et des actions correctives courtes pour répondre à des problèmes spécifiques, comme une eau verte ou des algues.

Il est important de toujours vérifier le pH de l’eau avant tout traitement. Son niveau doit se situer entre 7,2 et 7,6. S’il n’a pas le bon taux, vos traitements seront inefficaces. Vous pouvez utiliser des bandelettes aquacheck pour le mesurer facilement.

Plusieurs traitements existent pour bien traiter votre eau de piscine :

→ le chlore : vous pouvez trouver du chlore sous forme de liquide, de granulés ou de pastilles. C’est le traitement le plus répandu du fait de son efficacité. Il est accessible à tous les budgets et simple d’utilisation.

→ le brome ou oxygène actif : le brome n’a pas d’odeur et est disponible sous forme de pastille ou de liquide. Son utilisation est néanmoins plus délicate car il est sensible aux variations de température. Il est idéal pour les spas.

→ l’électrolyse au sel : c’est le traitement le plus utilisé après le chlore. Il faut verser des sacs de sel dans l’eau et l’électrolyseur transforme le sel en chlore. C’est un traitement un peu plus onéreux que le chlore mais qui reste accessible. Il est plus sensible aux changements de pH que le chlore.

Nettoyer quotidiennement

Enfin, le troisième bon geste est de nettoyer de façon quotidienne votre piscine lors de la saison. Nettoyez régulièrement les équipements de filtration (skimmer, pompe et filtre), qui ont tendance à s’encrasser rapidement.

Vérifiez tous les jours le pH et le niveau de l’eau. En cas de besoin, une épuisette ou un robot aspirateur vous aideront à vous débarrasser des feuilles et des insectes flottant dans l’eau ou dans le fond du bassin. Pensez également à nettoyer la ligne d’eau de la piscine avec une éponge.

Lorsque vous n’utilisez pas la piscine, protégez-la avec une couverture de piscine ou un abri de piscine. Sinon, videz-la et remplissez-la à chaque saison.

>> Quel type de piscine choisir ?

Installer un abri de piscine

Justement, l’abri de piscine est une solution efficace pour faciliter l’entretien de votre piscine. L’abri protège la qualité et la température de l’eau tout en vous garantissant un accès sécurisé, notamment pour les enfants. L’utilisation de traitements est limitée car grâce à la température constante, le pH se dérègle moins.

Sous-traiter l’entretien de la piscine

Si vous n’avez vraiment pas envie de vous embêter à entretenir vous-même votre piscine, il est possible de souscrire un contrat d’entretien chez un pisciniste. Vous aurez le choix entre plusieurs prestations : intervention pour la mise en route et l’hivernage, entretien hebdomadaire durant la saison, livraison régulière de produits de traitement, etc.

Vous pouvez également installer une station de contrôle automatique. Des sondes mesurent en continu le pH de l’eau, son taux d’algicide et de désinfectant. Si nécessaire, un régulateur électronique injecte des traitements dans la piscine.

Quelle solution pour quel problème d’eau ?

Le taux de pH est incorrect ?

Utilisez un correcteur de pH pour ajuster le taux, soit du pH + soit du pH – selon le taux.

Des algues se forment ?

Réalisez une chloration choc de la piscine pour vous débarrasser des algues. Lavez et rincez votre filtre, puis utilisez un produit anti-algues compatible avec votre système de traitement. Sinon, stoppez votre traitement de fond le temps de régler le problème.

L’eau est verte et translucide ?

Du cuivre est présent dans votre eau, utilisez un séquestrant métaux.

Votre peau et vos yeux sont irrités ?

C’est le signe d’un niveau de chlore insuffisant. Effectuez une chloration choc pour augmenter le taux de chlore. Réajustez le pH entre 7,2 et 7,6.

Des débris sont en suspension ?

Augmentez la finesse de votre système de filtration avec un floculant de piscine.

L’eau est trouble ?

Plusieurs raisons sont envisageables. La première, votre filtre est peut-être encrassé. Vérifiez la pression de votre filtre à sable, elle ne doit pas être supérieure à 1,5 bars. Si c’est le cas, nettoyez votre filtre.

La deuxième, le pH est trop haut ou trop bas. Réajustez-le avec un produit correcteur du pH et si l’eau ne redevient pas limpide, faites une chloration choc.

La troisième, votre taux de chlore est peut-être insuffisant. Réalisez une chloration choc, utilisez un floculant pour agglomérer les particules fines puis effectuez 3 contre-lavages. Enfin, faites fonctionner votre système de filtration en continu pendant 24h.