Comment bien préparer un salon professionnel ?

Participer à un salon est une occasion parfaite pour étoffer son réseau, gagner en visibilité et attirer de nouveaux prospects. Mais cela représente aussi un investissement, tant sur le plan financier qu’en termes de temps. Découvrez les éléments essentiels pour réussir sa participation à un salon.

Définir les objectifs du salon professionnel

Organiser un bon salon passe dans un premier temps par la définition claire des résultats attendus. En effet, vous ne préparerez pas les choses de la même manière si vous présentez un nouveau produit ou service, si vous venez à la rencontre de nouveaux clients et partenaires ou si vous cherchez à renforcer votre image.

Une fois vos objectifs bien définis, il est intéressant de penser à mesurer le retour sur investissement. Pour ce faire, il vous faudra récolter des données chiffrées afin d’évaluer le nombre de contacts que vous avez pu établir, le nombre de bons de commande signés, et par la suite l’impact que le salon a eu sur le chiffre d’affaires.

Cibler le salon

Bien préparer un salon professionnel passe par le fait d’analyser le profil des visiteurs : s’agit-il plutôt de particuliers ou de professionnels ? Il est également intéressant de se renseigner sur les autres exposants présents, ainsi que leur nombre, afin d’appréhender l’impact du salon dans la région.

Enfin, pour avoir une idée de l’affluence, consultez l’historique de fréquentation du salon lorsque cela est possible, ou interrogez des exposants qui ont déjà participé à l’événement. Une fois toutes ces informations entre vos mains, vous serez en mesure d’optimiser votre participation au salon.

Evaluer le budget

Préparer un salon d’exposition implique généralement un investissement financier assez conséquent, surtout s’il s’agit d’un rendez-vous incontournable pour votre secteur d’activités.

D’ailleurs, le choix de l’emplacement de votre stand -et donc son coût- mérite une attention particulière, car cela peut avoir un impact sur l’affluence des visiteurs.

Outre la location de l’emplacement qui oscille entre 100€ et 300€ le m² en fonction du lieu et de la notoriété du salon, il faut prendre en compte l’aménagement de l’espace, les supports de communication, les frais de personnel et de déplacement, etc. Pour alléger ces dépenses, vous pouvez envisager de faire appel à des sponsors ou des partenaires financiers.

Elaborer une stratégie de communication

Avant le salon

Bien préparer un salon de l’habitat repose également sur le fait de choisir les bons outils de communication. En effet, pour vous assurer de nombreuses visites lors de l’événement, pensez à informer vos clients et prospects de votre présence. Pour cela, envoyez des invitations par mail ou courrier quelques semaines à l’avance en mentionnant votre numéro de stand si vous le connaissez. Pensez également à relayer l’information sur vos réseaux sociaux ou votre site internet.

Pendant le salon

L’habillage de votre stand joue un rôle essentiel puisqu’il renforce l’identité de votre entreprise lors de l’événement. En engageant un expert en aménagement, votre espace saura attirer le regard des visiteurs, tout en mettant en valeur votre société, vos collaborateurs et vos produits.

En fonction des produits ou des services que vous proposez, vous pouvez organiser une animation afin d’accroître votre visibilité. De la même manière, les goodies à l’effigie de votre entreprise ou les jeux-concours sont généralement appréciés par les visiteurs et contribuent à créer une expérience positive.

Enfin, l’idéal pour recueillir des informations sur des clients potentiels, ainsi que leur coordonnées, est d’avoir des formulaires de contact prêts à être complétés, que ce soit de manière manuscrite ou électronique.

Préparer les collaborateurs

Pensez à bien informer vos équipes sur les objectifs à atteindre lors du salon. Communiquez clairement les priorités afin que chacun puisse s’investir pleinement. D’ailleurs, n’oubliez pas de prévoir un nombre suffisant de supports de communication (cartes de visite, brochures commerciales, etc.) pour toute la durée de l’événement.

En outre, planifiez un roulement des équipes à l’avance, pour qu’il n’y ait pas de confusion pendant le salon. Chacun doit pouvoir prendre un vrai moment de pause, car la fatigue pourrait affecter la concentration ou la motivation de vos collaborateurs. En assurant un temps de récupération, vous maintiendrez le dynamisme et l’enthousiasme de vos équipes.

Check-list

Voici quelques derniers conseils afin de bien préparer votre venue à un salon de l’habitat :

Vérifiez bien les horaires d’arrivée et de départ avant votre participation.

Gagnez du temps en plaçant votre badge ou votre ticket d’entrée dans un endroit facilement accessible.

Prévoyez les objets essentiels tels que des stylos, des feuilles, et une agrafeuse pour être paré à toute éventualité.

Emportez des cartes de visites et des brochures qui détaillent votre activité.

Pensez à vous munir de produits de nettoyage pour garder un stand impeccable tout au long de l’événement.

Apportez une multiprise afin de charger tablettes, smartphones et ordinateurs.

Si le mobilier n’est pas fourni, n’oubliez pas de prendre une table et des chaises pour créer un espace accueillant et fonctionnel.

Problème de voisinage : que faire ?

Vivre en harmonie avec ses voisins est l’idéal que nous cherchons tous à atteindre. Mais que faire lorsque la réalité est tout autre et que les troubles anormaux du voisinage perturbent votre quotidien ? On vous aide à naviguer à travers les conflits de voisinage et trouver des solutions adaptées.

Identifier le problème

Les litiges entre voisins sont aussi variés que délicats à gérer. Ils peuvent surgir sous de multiples formes, nécessitant une identification précise pour adopter une stratégie de résolution adaptée. Le tapage nocturne, par exemple, est un classique des troubles du voisinage. Il peut s’agir de bruits de pas, de musique forte, d’aboiements répétés ou encore de travaux réalisés à des heures inappropriées.

Les nuisances olfactives sont un autre type de désagrément courant. Elles peuvent provenir d’ordures, de compost, de fumées ou d’autres odeurs persistantes qui perturbent le bien-être des voisins.

Les désaccords sur les limites de propriété, quant à eux, englobent les litiges liés aux plantations, aux clôtures, ou à l’utilisation des espaces communs et privatifs.

Les conflits peuvent également être liés à l’usage des parties communes dans le cas de copropriétés, comme les problèmes de stationnement, l’utilisation des espaces verts ou d’autres installations communes.

Identifier le type de litige est le premier pas pour déterminer les démarches à mettre en œuvre, que ce soit une approche amiable ou l’engagement d’une procédure judiciaire.

D’abord, la communication

En cas de conflit de voisinage, que faire ? La communication est souvent l’outil le plus puissant pour résoudre les litiges de voisinage. Avant de s’engager dans des démarches plus formelles, une discussion ouverte et honnête peut être la clé pour dissiper les malentendus et trouver des solutions mutuellement bénéfiques.

Commencez par approcher votre voisin de manière calme et respectueuse. Choisissez un moment approprié, où vous pouvez discuter sans être pressé par le temps. Exprimez clairement vos préoccupations, en étant précis sur les nuisances que vous subissez, tout en restant à l’écoute.

Restez courtois et montrez de l’empathie, en essayant de comprendre la situation de votre voisin. Cela peut aider à créer un environnement propice à la recherche de solutions.

N’hésitez pas à proposer des compromis ou à exprimer vos attentes clairement. La communication peut permettre de clarifier des malentendus, d’exprimer des attentes claires et de travailler ensemble pour trouver des solutions qui améliorent la cohabitation et le respect mutuel entre voisins.

Les solutions amiables

Quand le dialogue direct ne porte pas ses fruits, il est temps de considérer des solutions amiables pour résoudre les conflits de voisinage. Ces méthodes visent à trouver un accord mutuel sans avoir besoin de s’engager dans une procédure judiciaire, souvent longue et coûteuse.

La médiation est une option particulièrement efficace. Elle implique l’intervention d’un médiateur, un professionnel neutre et impartial, qui facilite la communication entre les parties. Le médiateur aide à clarifier les points de désaccord, à explorer des solutions et à négocier un accord qui satisfait toutes les parties impliquées.

La médiation permet de maintenir un certain contrôle sur la résolution du conflit, contrairement à une procédure judiciaire où les décisions sont prises par un juge. Elle offre également un espace confidentiel pour discuter ouvertement des problèmes, ce qui peut être particulièrement bénéfique pour préserver de bonnes relations de voisinage à l’avenir.

D’autres solutions amiables incluent la conciliation, où un conciliateur tente de rapprocher les parties et de les aider à trouver un accord, et l’arbitrage, où un arbitre prend une décision après avoir entendu les arguments de chaque côté.

Opter pour une solution amiable peut souvent conduire à une résolution plus rapide, moins stressante et plus satisfaisante des litiges entre voisins, tout en préservant une atmosphère de respect et de coopération.

Les recours juridiques

Lorsque les nuisances persistent malgré vos efforts de communication et de médiation, il peut être nécessaire de se tourner vers des recours juridiques pour faire valoir vos droits. Le code civil offre un cadre légal pour gérer les troubles de voisinage et peut être une ressource précieuse pour comprendre vos droits et obligations.

Pour engager une procédure, il faut d’abord documenter les nuisances subies. Comment prouver un trouble du voisinage ? Cela peut inclure la prise de photos ou de vidéos, la rédaction de notes détaillées sur la nature et la fréquence des nuisances, et la collecte de témoignages de tiers si possible. Ces éléments peuvent être essentiels pour prouver l’existence et l’impact des troubles du voisinage.

Trouble du voisinage : code civil

Les articles 544, 1240 et 1241 du code civil sont particulièrement pertinents en matière de troubles de voisinage. L’article 544 définit le droit de propriété et les limites associées, tandis que les articles 1240 et 1241 concernent la responsabilité civile en cas de dommages causés à autrui.

Une procédure judiciaire peut être engagée pour demander réparation, souvent sous forme de dommages et intérêts, et pour faire cesser les nuisances. Cela peut impliquer de saisir le tribunal d’instance ou de grande instance, selon la nature du litige.

Les recours juridiques peuvent être plus complexes et exigeants, mais ils sont parfois nécessaires pour résoudre des conflits persistants et garantir le respect de vos droits en tant que propriétaire ou occupant.

Prévention et bonnes pratiques

La prévention est votre alliée la plus puissante dans la gestion des troubles de voisinage. Adopter une attitude proactive, respectueuse et tolérante peut souvent désamorcer des tensions avant qu’elles ne se transforment en conflits majeurs. Voici quelques bonnes pratiques pour maintenir une cohabitation paisible et prévenir les problèmes de voisinage.

D’abord, cultivez de bonnes relations avec vos voisins dès le départ. Un simple bonjour, une petite discussion ou une attitude amicale peuvent créer un sentiment de communauté et de respect mutuel. Soyez également conscient des règles de vie commune, que ce soit en matière de bruit, d’utilisation des espaces communs ou de gestion des déchets.

Ensuite, soyez attentif aux préoccupations de vos voisins. Si un voisin exprime une gêne ou un mécontentement, écoutez-le attentivement, montrez de l’empathie et soyez prêt à faire des ajustements raisonnables pour résoudre le problème.

Enfin, n’hésitez pas à communiquer proactivement en cas de situations susceptibles de causer des désagréments, comme des travaux de rénovation ou une fête. Informer vos voisins à l’avance et montrer de la considération pour leur confort peut aider à maintenir une atmosphère harmonieuse.

En adoptant ces bonnes pratiques, vous pouvez contribuer à créer un environnement de vie agréable, minimiser les risques de conflits et favoriser une cohabitation respectueuse et paisible avec vos voisins.

Remettre à neuf son appartement avant l’état des lieux

Le locataire est en charge des petites réparations et de l’entretien courant du logement qu’il occupe et de ses équipements. Avant l’état des lieux, il faut donc remettre à neuf son appartement avant de le rendre au propriétaire, pour éviter une retenue sur le dépôt de garantie.

Remise à neuf de l’appartement : que dit la loi ?

Selon l’article 1730 du Code Civil, le locataire doit rendre son logement dans l’état où il l’a reçu. Son entretien courant et les petites réparations lui incombent donc pendant toute la durée du bail. La liste des réparations est fixée par le décret n°87-712 du 26 août 1987. On compte parmi elle les raccords de peinture, le remplacement des joints de robinet et des flexibles de douche, l’entretien des conduits de ventilation, etc. Après le départ du locataire, si celui-ci a négligé l’entretien du logement, le propriétaire peut lui demander le remboursement des dépenses d’entretien et de réparations qui étaient à sa charge (article 7-d de la loi du 6 juillet 1989).

Checklist pour remettre à neuf son appartement

Nettoyer et vider son appartement

C’est évident, mais on préfère vous le rappeler : vous devez faire un nettoyage complet de votre appartement avant l’état des lieux. L’appartement doit être vide et donc entièrement propre, du sol au plafond. Salon, cuisine, chambre, salle de bain, toilettes : tout doit être nickel. Pensez également à nettoyer les systèmes d’aération, à détartrer la robinetterie et à nettoyer les appareils ménagers fournis (hotte électrique, congélateur à dégivrer…).

Notre astuce :

Pour les taches récalcitrantes sur les murs, notamment de la cuisine, vous pouvez utiliser une rondelle de pomme de terre : il n’y a pas plus efficace que l’amidon contre les taches.

Vérifier l’état des portes, des murs et des fenêtres

Outre la propreté du logement, son bon état de fonctionnement sera aussi vérifié. Pensez donc à le faire quelques jours avant l’état des lieux pour avoir le temps de réparer les portes, les fenêtres ou les volets qui fonctionneraient mal. Examinez le jeu des portes intérieures, des placards, des tiroirs, des volets roulants. Assurez-vous que les poignées de porte et de fenêtre sont bien fixées et ne grincent pas.

Au niveau des murs, il est de votre devoir de reboucher les trous que vous avez pu faire pour accrocher des cadres ou des étagères. Inutile de repeindre les murs, mais vous devez retirer les chevilles et les vis, puis reboucher le trou avec de l’enduit pour obtenir un mur lisse.

Vérifier l’électricité et la plomberie

Concernant l’électricité, les prises et les interrupteurs ont une fâcheuse tendance à jaunir ou à se remplir de poussière, ne les oubliez pas pendant votre ménage. S’ils sont abîmés, il vous faudra les remplacer avant l’état des lieux. Les douilles et les convecteurs électriques doivent bien fonctionner et les ampoules cassées doivent être remplacées.

Pour la plomberie, vous devez vérifier l’état des joints d’étanchéité et des flexibles de douche, à changer s’ils sont en mauvais état. C’est également le cas des chaînettes de lavabo et de baignoire. Nettoyez bien les siphons et les bondes.

Comment se déroule l’état des lieux ?

L’état des lieux d’entrée et de sortie n’est pas obligatoire mais vivement conseillé afin d’éviter des complications. Il permet de décrire précisément l’état du logement et les dégradations déjà existantes. C’est par la comparaison entre l’état des lieux d’entrée et de sortie que le propriétaire pourra mettre en évidence les dégradations ou l’absence d’entretien. Au contraire, si le locataire a correctement entretenu le logement, il pourra le démontrer avec l’état des lieux de sortie.

A la sortie du logement, l’état des lieux doit contenir la nouvelle adresse du locataire, la date de l’état des lieux d’entrée et l’évolution de l’état de chaque partie du logement par rapport à l’état des lieux d’entrée.

6 hébergements insolites où passer ses vacances en France

En 2020, toute la France s’est mise aux hébergements insolites : encore rares il y a quelques années, on en voit aujourd’hui partout dans l’Hexagone, même dans les coins les plus reculés ! Cabanes dans les arbres, tipis, yourtes, bulles gonflables, maisons troglodytes ou encore zoos, vous trouverez forcément votre bonheur parmi l’offre disponible en France.

Dormir dans une cabane dans les arbres

La nuit dans une cabane dans les arbres est sûrement, aujourd’hui, l’hébergement insolite le plus répandu en France. Mais il fait toujours son petit effet, surtout si c’est la première fois pour vous ! Située à plusieurs mètres de haut, votre nid douillet vous attend pour une nuit atypique. La majorité des cabanes possèdent tout le confort nécessaire et parfois un jacuzzi privé sur la terrasse, pour profiter des soirées d’été dans l’eau.

Dormir dans un tipi

Pour retrouver son âme d’enfant, quoi de mieux que passer la nuit dans un tipi ? Certains ont même une ouverture pour regarder les étoiles… Si vous avez peur de ne pas avoir assez de confort (vous n’avez malheureusement plus 8 ans), n’ayez crainte : tous sont au moins équipés d’un lit confortable et les plus luxueux ressemblent à de petits studios. La salle de bain et les toilettes sont par contre généralement situées dans les espaces communs. Dans certains domaines, vous pourrez même profiter d’un spa, d’un jacuzzi ou d’une piscine près de votre tipi !

Dormir dans une maison troglodyte

Plus rares en France, les gîtes troglodytes possèdent pourtant un charme exceptionnel. Ces maisons creusées dans la pierre offrent tout le confort nécessaire pour un séjour atypique et inoubliable. La maison troglodyte se présente comme un petit studio avec un ou plusieurs lits, un coin salon, un coin cuisine, une salle de bain privative… en bref vous serez aussi bien que chez vous mais dans un habitat insolite !

Dormir dans une bulle transparente

Vous avez toujours rêvé de dormir à la belle étoile, mais craignez les moustiques et autres insectes ? Dans une bulle transparente, vous avez les étoiles et le confort en même temps ! Une expérience champêtre au contact de la nature dans cet hébergement atypique digne d’un hôtel. Certaines bulles sont surélevées, à plusieurs mètres de hauteur, pour éviter les regards indiscrets.

Dormir dans un zoo

Plus qu’une balade en famille, certains zoos en France proposent des expériences immersives dans des lodges en contact avec vos animaux préférés : zèbres, lions, girafes, guépards, antilopes, ours ou encore loups. Grâce aux larges baies vitrées des lodges, vous pouvez observer à loisir les animaux et leur univers, comme si vous étiez parmi eux.

Dormir dans une yourte

Si vous appréciez le camping, dormir dans une yourte ne vous posera aucun problème ! En effet, la yourte ressemble à une tente, mais la majorité des domaines font en sorte que votre expérience soit la plus confortable possible avec un lit spacieux et des commodités proches. Certaines yourtes sont fabriquées directement en Mongolie, avec du crin de yak pour une bonne isolation.

Fabriquez vos propres produits ménagers

Vous en avez assez d’acheter des produits ménagers chers et polluants ? Choisissez la facilité et fabriquez vous-même vos produits ménagers maison. Vous obtiendrez des produits de nettoyage 100% naturels, respectueux de l’environnement et économiques.

Pourquoi fabriquer ses produits ménagers maison ?

Fabriquer ses produits ménagers soi-même, c’est avant tout économique. Les ingrédients utilisés pour fabriquer les produits sont souvent les mêmes et ne sont pas très chers. Bicarbonate de soude, vinaigre, citron, savon de Marseille… la plupart se trouvent très facilement à des prix raisonnables.

C’est également meilleur pour la santé, puisque vos produits seront 100% naturels et ne contiendront pas de mélanges chimiques irritants. Vérifiez tout de même que certains de vos ingrédients peuvent être manipulés à main nue avant de les utiliser !

Les produits ménagers maison sont aussi écologiques, à base d’ingrédients naturels et respectueux de l’environnement. La plupart des ingrédients se trouvent sans emballages, ce qui évite de produire des déchets et nous vous conseillons d’utiliser des contenants réutilisables pour vos produits.

Fabriquer du liquide vaisselle maison

Le liquide vaisselle est certainement le produit ménager le plus facile à fabriquer soi-même ! Un basique pour commencer votre chemin vers les produits de nettoyage maison.

Vous aurez besoin de :

  • 1 cuillère à soupe de cristaux de soude
  • 1 cuillère à café de bicarbonate de soude
  • 1 cuillère à café de savon noir
  • facultatif : huile essentielle pour parfumer votre liquide vaisselle

Commencez par diluer le savon noir dans 2 cl d’eau, puis ajoutez les cristaux de soude et le bicarbonate. Mélangez. Ajoutez quelques gouttes d’huile essentielle de votre choix pour parfumer votre liquide vaisselle et le rendre plus agréable à utiliser au quotidien. Vous pouvez choisir par exemple de l’huile essentielle de tea tree, d’orange, de lavande ou de citron.

Fabriquer des pastilles pour lave-vaisselle maison

Vous avez un lave-vaisselle ? Vous pouvez aussi fabriquer des pastilles pour lave-vaisselle maison. C’est un produit assez cher et peu écologique : raison de plus pour les faire vous-même !

Vous aurez besoin de :

  • 2 cuillères à soupe de bicarbonate de soude
  • 2 cuillères à soupe de cristaux de soude
  • 2 cuillères à soupe de gros sel
  • 2 cuillères à soupe d’acide citrique

Mélangez l’ensemble dans un saladier et vaporiser un peu d’eau pour les colmater. Tassez le mélange dans un moule à glaçons en silicone pour créer une forme rectangulaire adaptée à votre lave-vaisselle. Laissez durcir une nuit à l’air libre puis démoulez les pastilles. Conservez-les dans un bocal hermétique, comme un pot à confiture.

Fabriquer de la lessive maison

La lessive est un produit coûteux, mais vous pouvez vous en passer en fabriquant vous-même votre lessive maison à base de savon de Marseille.

Vous aurez besoin de :

  • 60 g de copeaux de savon de Marseille
  • 1 litre d’eau très chaude
  • 1 litre d’eau froide
  • bicarbonate de soude
  • huile essentielle au choix
  • facultatif : vinaigre blanc

Utilisez un bidon réutilisable d’une capacité de 2 litres. Dissolvez les copeaux de savon de Marseille dans 1 litre d’eau très chaude. Secouez et laissez reposer une journée entière. Mélangez de nouveau et ajoutez 1 litre d’eau froide, puis du bicarbonate de soude, du vinaigre blanc et des huiles essentielles de lavande, d’eucalyptus, d’orange, de citron, de tea tree ou de menthe poivrée.

Fabriquer un adoucissant maison

Pour accompagner votre lessive maison, pourquoi pas fabriquer votre adoucissant maison ? La recette est encore plus facile et rapide !

Vous aurez besoin de :

  • 500 ml d’eau froide
  • 500 ml de vinaigre blanc
  • huile essentielle au choix (de préférence la même que pour la lessive)

Utilisez un contenant d’un litre. Mélangez l’eau froide et le vinaigre blanc, ainsi que 20 gouttes d’huile essentielle. Secouez bien, c’est déjà prêt !

Fabriquer un nettoyant multi-usages maison

Le nettoyant multi-usages est le produit ménager passe-partout : vous pouvez l’utiliser sur du carrelage, du parquet, de l’acier, de l’inox ou encore de la porcelaine. Votre maison entière sera propre grâce à cette recette de nettoyant maison.

Vous aurez besoin de :

  • 1 litre d’eau chaude
  • 1 cuillère à soupe de bicarbonate de soude
  • 1 cuillère soupe de vinaigre blanc
  • 1 cuillère à soupe d’huile essentielle au choix

Utilisez un bidon réutilisable d’un litre. Versez le bicarbonate, le vinaigre blanc et l’huile essentielle (citron, romarin, lavande…) dans le bidon. Ajoutez un litre d’eau chaude afin de dissoudre les ingrédients et secouez.

Fabriquer un nettoyant à vitres maison

Le nettoyant à vitres fait partie des indispensables à avoir dans ses produits ménagers, car il est utile à la fois pour les vitres et les surfaces vitrées ! Notre recette de nettoyant à vitres maison est écologique et ne laisse aucune traces, comme un nettoyant acheté en grande surface.

Vous aurez besoin de :

  • 40 ml de vinaigre blanc
  • 10 ml d’eau
  • 5 gouttes d’huile essentielle au choix

Versez l’ensemble des ingrédients dans un récipient vaporisateur et secouez : c’est prêt !

Fabriquer un nettoyant maison pour le sol

Pour laver votre sol (carrelage ou linoléum), vous pouvez fabriquer votre propre nettoyant maison.

Vous aurez besoin de :

  • 5 litres d’eau tiède
  • 2 à 3 cuillères à soupe de savon noir liquide
  • 4 cuillères à soupe de bicarbonate de soude
  • 5 à 10 gouttes d’huile essentielle au choix

Il vous suffit de mélanger les ingrédients dans un seau et de nettoyer votre maison !

Fabriquer un détachant maison pour tapis et moquettes

Vous avez des taches récalcitrantes sur votre moquette ou sur vos tapis ? Inutile d’acheter un détachant dans le commerce, fabriquez-le vous-même à la maison :

Vous aurez besoin de :

  • 200g de bicarbonate de soude
  • 3,5 ml d’huile essentielle de citron
  • 15 gouttes d’huile essentielle de tea tree

Mélangez les ingrédients dans un grand saladier et laissez reposer 24h. Vous pouvez conserver votre poudre dans un bocal hermétique. Pour faire partir les taches, saupoudrez votre moquette ou votre tapis, laissez agir 30 minutes et passez l’aspirateur.

Fabriquer des lingettes réutilisables maison

Les lingettes de nettoyage sont très polluantes, c’est un fait. Pour une démarche écologique et zéro déchet, fabriquez vous-même des lingettes réutilisables pour nettoyer vos surfaces.

Vous aurez besoin de :

  • 3 cuillères à soupe de vinaigre blanc
  • 1 cuillère à soupe de savon noir
  • 5 gouttes d’huile essentielle de citron
  • 1 vieux torchon

Versez le vinaigre blanc, le savon noir et l’huile essentielle dans un saladier. Ajoutez 2 tasses d’eau chaude et mélangez. Prenez votre vieux torchon et coupez des carrés de 10 cm environ et déposez-les dans le saladier. Laissez imbiber 1 heure puis essorez-les légèrement, pliez-les et rangez-les dans une boîte hermétique. Les lingettes, une fois utilisées, peuvent être lavées et réutilisées à volonté !

Recyclage : 6 déchets qui se recyclent

En 2019, l’ObSoCo (Observatoire Société & Consommation) a réalisé une enquête

 afin d’établir une cartographie des pratiques de consommation des Français. Cette étude a notamment révélé que 8 Français sur 10 trient régulièrement leurs déchets et que 7 Français sur 10 se disent préoccupés par le sujet des emballages.

Cet intérêt grandissant de la population pour le recyclage et la gestion des déchets prouve que c’est un sujet plus que d’actualité. On fait le point sur les déchets qui se recyclent pour vous aider à y voir plus clair !

Papier et carton

Quand on pense recyclage, on pense forcément au papier et au carton ! Journaux, lettres, boîtes de pizza ou de gâteaux : ces matières sont évidemment recyclables. Attention toutefois à un détail : elles doivent être vides et sans taches d’huile ou de gras. En effet, il n’y a pas de soucis si vos emballages sont un peu sales, mais le gras va altérer les propriétés de ces matières et empêcher leur recyclage.

Si vous possédez des emballages en carto

n volumineux, pensez à les déposer directement à la déchetterie.

Aujourd’hui, le papier et le carton sont recyclés à 68%. Malheureusement, le recyclage du carton et du papier n’est pas infini : la pâte à papier produite grâce au papier et au carton recyclés ne pourra être réutilisée qu’une dizaine de fois.

Les métaux

Concernant les métaux, il est possible de recycler l’acier et l’aluminium. C’est-à-dire les boîtes de conserve, les aérosols, les bouteilles de sirop, les pots en métal, les canettes de soda, etc. A noter que le papier d’aluminium est trop fin pour être recyclé.

Les emballages en acier sont recyclés à 100%, tandis que l’aluminium est seulement recyclé à 44%. Il est pourtant recyclable à l’infini !

Le plastique

Tous les plastiques ne se recyclent pas : vérifiez bien que le pictogramme représentant la boucle de recyclage est bien présent sur vos plastiques avant de les jeter dans votre poubelle de recyclage. En effet, ce matériau est complexe à recycler. Ce sont principalement les bouteilles et les flacons en plastique (eau, lait, soda, lessive, gel douche…) qui sont recyclables, mais seuls 58% d’entre eux sont effectivement recyclés. D’autres emballages en plastique peuvent être recyclés (pots de yaourt, sacs, barquettes, vaisselle plastique…), mais cela ne représente aujourd’hui que 4% du recyclage.

Le verre

Le verre est simple à recycler, mais seuls les emballages en verre sont acceptés : bocaux, bouteilles… les verres, plats et objets de décoration ne se recyclent pas de la même façon, car leur composition diffère des emballages en verre. Le verre est recyclable à l’infini et 86,5% du verre est effectivement recyclé en France.

Les déchets alimentaires

En ce qui concerne les déchets alimentaires ou organiques, il est possible de les recycler par le biais qu’un composteur ou d’un lombricomposteur. On peut y mettre des restes alimentaires, des épluchures, du marc de café, du pain, des laitages, des coquilles d’oeuf… Cela vous donnera du compost que vous pourrez utiliser pour cultiver votre potager.

Les déchets électroniques

Ces dernières années, les déchets électroniques ont fortement augmenté en France. Vous pouvez les amener dans des points de collecte spécifiques ou en magasin, qui sont tenus de reprendre vos appareils usagés, pouvant contenir des métaux lourds. La plupart des composants des déchets électroniques peuvent être recyclés.

On espère que ces informations vont vous aider à mieux recycler vos déchets, sans vous tromper !

Les bonnes adresses pour donner vos meubles : Finistère et Morbihan

Vous avez hérité d’une maison remplie de meubles imposants ? Vous avez envie de faire du tri dans vos propres meubles ? Vous déménagez et ne souhaitez pas tout garder ? Découvrez toutes nos bonnes adresses pour donner vos meubles dans le Finistère et le Morbihan.

Associations

Finistère

5 rue Abbé Pierre, 29480 Le Relecq Kerhuon | 02 98 28 08 28

Lieu-Dit Les Trois Pierres, 29300 Rédené | 02 98 96 18 13

14 rue Gay Lussac, 29200 Brest | 07.82.42.84.42

14A rue de la Troménie, 29102 Quimper | 02 98 55 60 80

31 rue Frédéric Chopin, 29200 Brest | 02 98 44 80 43

Morbihan

10 Rue de Lorraine, 56860 Séné | 02.97.66.01.77

Rue des Ursulines, 56000 Vannes | 02 97 54 71 71

38 rue du Gaillec, 56100 Lorient | 02 97 64 59 59

44 rue Paul Helleu, 56370 Sarzeau ou 4 rue de l’entrepôt, 56190 Ambon | 07.50.49.39.79

Antiquaires

Finistère

4 rue Yves Collet, 29200 Brest | 02 98 46 76 20

105 avenue de Kerrien, 29000 Quimper | 02 98 75 47 14

32 rue Rozavot Res Ty Frapp, 29780 Plouhinec | 06 27 79 23 57

30 rue Emile Zola, 29200 Brest | 02 98 43 80 82

Morbihan

ZA de Lann Vrihan, 56450 Le Hezo | 02 97 61 80 88

Lieu Dit des 5 Chemins, 56520 Guidel | 02 97 02 72 76

21 Rue Francis Decker, 56000 Vannes | 02 97 47 46 10

 

5 rue Ampère, PA de la ria, 56550 Belz | 06 50 08 97 17

2 rue Brizeux, 56000 Vannes | 02 97 01 27 77

14 rue de la Roche, 56800 Augan | 06 09 72 66 40

Dépôts-ventes & Brocantes

Finistère

7 rue Eric Tabarly – ZA Parcou Tranche 3, 29260 Lesneven | 02 98 83 31 57

23 rue Hervé de Guébriant, 29800 Landerneau | 02 98 21 79 33

1 rue de Kerbernard, 29200 Brest | 02 98 02 02 04

Route de Plouider Languengar, 29260 Lesneven | 02 98 83 00 24

Z.I. de Pouldavid, 29100 Douarnenez | 02 98 92 04 44

15 Rue Marie Milin, 29830 Ploudalmézeau | 09 67 20 53 59

Route de Paris – Zone de la Croix Rouge, 29600 Morlaix | 02 98 63 40 10

Keristinec, 29340 Riec-sur-Bélon | 02 98 06 92 07

Morbihan

ZAC du Poulfanc, 56860 Vannes | 02 97 68 80 81

51 ter Rue Jean Gougaud, 56000 Vannes | 09 81 85 46 84

54 Route Port Louis, 56670 Riantec | 09 70 35 57 18