Comment investir en Bretagne avec son crédit immobilier ?

La Bretagne est l’une des plus belles régions françaises et le tourisme estival et côtier représente l’un des principaux secteurs de l’économie bretonne. La région est l’une des plus plébiscitées pour les vacances et son climat tempéré et ses paysages mémorables sont idéaux pour profiter de l’été. Si vous êtes (tombé) amoureux de la région, vous pouvez également décider d’investir pour profiter d’une maison secondaire ou louer votre bien immobilier pendant les vacances estivales.

Comment contracter le meilleur crédit immobilier ?

Effectuer une simulation de crédit immobilier

Peu importe votre situation et la région et/ou la ville où vous souhaitez investir, il est conseillé d’effectuer une simulation de crédit immobilier pour mieux cerner ses besoins et anticiper les démarches administratives auprès des établissements bancaires.

La simulation de crédit immobilier va vous permettre d’estimer votre capacité d’emprunt et mieux ajuster votre projet selon les nombreux paramètres pris en compte au moment de la simulation.

  1. Votre situation socioprofessionnelle : CDI, intérim, etc.
  2. Vos revenus mensuels
  3. Vos éventuelles charges mensuelles
  4. Votre situation personnelle : célibataire, marié, père/mère, etc.
  5. Votre âge

Dans le cas où vous avez déjà trouver un bien immobilier, vous pouvez renseigner son prix pour faire apparaître ce paramètre dans l’estimation. Néanmoins, votre situation professionnelle et vos revenus représentent les paramètres les plus importants. De plus, si vous souhaitez contracter votre emprunt immobilier avec votre conjoint, sa situation socio-professionnelle est également déterminante.

L’estimation de crédit immobilier va vous permettre d’obtenir une vague idée du montant auquel vous pouvez prétendre, prenant en compte votre situation, vos revenus, le taux d’endettement décidé par les banques (33%) et votre reste-à-vivre. Tous ces éléments vont constituer votre capacité d’emprunt.

Cette capacité d’emprunt est essentielle pour mieux aborder la négociation avec les établissements bancaires pour contracter le crédit immobilier avec le meilleur taux d’intérêt.

Solliciter les services d’un courtier immobilier à Rennes, Vannes ou Brest

Dans le cas où vous ne souhaitez pas affronter toutes les démarches administratives pour contracter un crédit immobilier, vous pouvez solliciter les services d’un courtier immobilier à Rennes ou Quiberon, par exemple. Peu importe la région où vous souhaitez investir, vous pouvez contacter un courtier immobilier, réel professionnel du secteur immobilier et bancaire.

Le courtier immobilier est habilité à accompagner ses clients dans toutes les étapes, de la constitution du dossier jusqu’à la signature du crédit immobilier. Par conséquent, il va vous épauler et vous conseiller durant toute la durée du processus.

Sa principale mission est la négociation auprès des nombreux établissements bancaires pour dénicher le prêt immobilier avec le taux d’intérêt le plus intéressant. En effet, il connaît les différentes politiques commerciales des banques et les taux d’intérêts pratiqués. Il est le mieux placé pour négocier le taux d’intérêt de votre crédit immobilier et vous aider à réaliser des économies sur le long terme.

Si vous souhaitez solliciter les services d’un courtier immobilier, n’hésitez pas à comparer les différents avis clients et les tarifs pratiqués pour éviter les arnaques et jouer de la concurrence pour choisir le courtier immobilier le moins cher.

Quel crédit immobilier est le plus adapté pour investir en Bretagne ?

Il existe plusieurs types de crédit immobilier et certains s’adaptent particulièrement aux bretons qui souhaitent investir en Bretagne pour se créer un patrimoine immobilier à léguer à ses descendants ou louer pour compléter ses revenus. Si vous souhaitez investir dans l’immobilier en Bretagne, vous devez choisir un emprunt immobilier adapté à votre situation.

Le prêt-relais

Il s’agit d’un crédit immobilier particulier qui s’adresse uniquement aux propriétaires d’un bien immobilier. En effet, les primo-accédants ne peuvent pas bénéficier d’un prêt-relais puisqu’il s’agit d’un « relais » entre deux transactions : la vente d’un bien immobilier et un autre projet immobilier.

Vous remboursez les intérêts du crédit immobilier jusqu’au terme du contrat où vous devez rembourser l’intégralité du capital emprunté, après la vente du premier bien immobilier. Il s’agit d’une opération risquée puisqu’elle repose entièrement sur la réussite de la vente. Néanmoins, il s’agit d’une solution adaptée si vous souhaitez vendre votre logement pour déménager en Bretagne.

Le prêt immobilier in fine

 Le prêt immobilier in fine est le crédit immobilier le plus complexe et uniquement destiné aux propriétaires souhaitant réaliser des investissements locatifs. À l’instar du prêt-relais, vous payez uniquement les intérêts mensuellement et le capital est remboursé à échéance du contrat.

Vous devez être certain de pouvoir rembourser le capital à la fin du contrat. Par conséquent, il est conseillé d’investir dans un bien immobilier où vous pouvez tirer des bénéfices rapidement. Il est également recommandé de bénéficier d’une portion non négligeable du capital que vous devrez rembourser à l’échéance de votre crédit. Plus d’informations sur cette page.

Quid de l’immobilier locatif ?

Choisissez un emplacement stratégique dans la région !

Pour bien choisir l’adresse de votre investissement locatif, faites comme si c’était vous qui alliez habiter dans le logement, comme si c’était vous le locataire. Vous opterez pour un quartier agréable à vivre, bien équipé et bien desservi. Si vous investissez dans une grande surface ou dans une maison, votre locataire sera une famille. Donc pensez à la proximité des crèches et des écoles. Si vous louez à un étudiant, vous opterez soit pour un bien proche du campus, soit pour un appartement en centre-ville mais relié aux pôles universitaires par les transports en commun.

Eclairage extérieur : 9 idées pour illuminer vos soirées d’été

L’été arrive et par conséquent, les soirées dans le jardin se prolongent. Même s’il fait jour plus longtemps, il ne faut pas oublier d’installer des éclairages extérieurs pour habiller votre jardin et vous éclairer pendant vos repas en famille ou entre amis ! Fini les lampes toutes simples : on trouve désormais de nombreux éclairages extérieurs design pour donner du style à son jardin ou à sa terrasse. Découvrez 9 idées de lampes pour illuminer vos soirées d’été.

Lampadaire extérieur

Classique mais indémodable, le lampadaire extérieur est parfait si vous avez une grande terrasse, car il est souvent imposant. Conçus avec des matériaux résistants aux intempéries, les lampadaires extérieur allient solidité et élégance. Certains ont des pieds, d’autres se plantent directement en terre, dans le jardin : choisissez le modèle qui s’accordera le mieux avec la déco de votre extérieur !

Luminaire gonflable pour piscine

Vous avez une piscine ? Mettez-la en valeur avec des luminaires gonflables flottants. Ce sont des lampes LED sous forme de gros ballons qui flottent à la surface de l’eau, grâce à leurs structures étanches. La lumière est douce et éclaire peu, mais donne une ambiance design à votre extérieur. Vous êtes prêts pour une pool party !

Sphère lumineuse

Dans le même esprit que les luminaires gonflables, on trouve des sphères lumineuses pour éclairer le jardin ou la terrasse. Parfait en complément des luminaires de piscine ! On peut même en trouver dans d’autres formes, comme des lunes, des gouttes ou même des canards ! Là encore, la lumière est peu intense, elle ne suffira donc pas à éclairer votre jardin.

Arc lumineux

Vous avez une grande table dans votre jardin, mais vous ne savez pas comment l’éclairer sans avoir d’énormes lampadaires ? Utilisez des arcs lumineux ! Ce sont des arcs de cercle à planter dans votre pelouse, de part et d’autre de votre table. L’arc brille et vous éclaire suffisamment pour profiter d’un repas entre amis dans le jardin. Astucieux, non ?

Spot solaire

Si vous avez un petit jardin et peu de place pour disposer des lampes, des spots solaires à poser sur le sol sont parfaits pour éclairer votre jardin sans prendre de place. C’est très utile pour distinguer les chemins dans le jardin ! L’avantage des spots solaires, c’est que vous n’avez pas besoin de faire de raccordements électriques, la lumière du soleil suffit pour éclairer votre jardin toute la nuit.

Siège lumineux

Pourquoi ne pas vous asseoir directement dans la lumière ? On trouve de plus en plus de sièges lumineux : ces fauteuils design éclairent votre jardin, même si vous êtes assis dessus. De plus, ils sont très confortables !

Guirlande LED


Si vous souhaitez simplement décorer votre jardin sans avoir de véritable source de lumière, les guirlandes LED sont du plus bel effet dans les arbres. Vous pouvez les fixer au tronc ou dans les branches, pour une ambiance féerique et festive ! Il en existe de toutes les couleurs.

Baladeuses

Pour décorer vos arbres, vous pouvez également disposer des baladeuses sur les branches. Ces petites lampes nomades, qui ressemblent parfois à des lanternes suspendues, apportent une ambiance zen et chaleureuse à votre extérieur, tout en éclairant bien votre jardin.

Rubans LED

Pour allier sécurité et esthétique, vous pouvez intégrer des rubans LED sur chaque marche d’escalier. De cette façon, vous évitez les chutes tout en habillant élégamment vos escaliers extérieurs. Les rubans LED peuvent aussi s’installer sous un toit de terrasse, de pergola ou sous une corniche de façade.

Tout savoir sur l’assurance vie

Placement préféré des Français, l’assurance-vie est un contrat qui revêt de multiples casquettes : produit d’épargne, de prévoyance et niche fiscale attractive. On vous explique le fonctionnement de l’assurance vie, ses avantages et comment y souscrire.

Qu’est-ce qu’une assurance vie ?

Le contrat d’assurance vie est un produit d’épargne à moyen et à long-terme. Il permet au souscripteur de constituer une épargne ou de transmettre un capital à son décès. Cette épargne se crée par des primes investies sur des supports financiers. A la fin du contrat, vous ou vos bénéficiaires reçoivent les sommes investies augmentées des gains et non imposées. L’assurance vie fait partie des meilleurs produits d’épargne.

Fonds euros ou unités de compte ?

Le contrat d’assurance vie propose 2 familles de produits sur lesquelles investir : les fonds euros et les unités de compte.

Les fonds euros sont gérés par l’assureur, à capital garanti. Ils sont essentiellement investis en obligations d’états européens, mais également en actions ou en immobilier. Votre patrimoine ne peut que progresser au fil des années.

Les unités de compte sont un placement plus risqué et présentent un risque de perte en capital. En contrepartie, vous pouvez espérer recevoir de meilleurs gains sur le long terme. Ce sont des fonds d’actions et/ou des obligations (OPCVM), des trackers (panier d’actions), des SCI/SCPI/OPCI (immobilier) ou des produits structurés.

Gestion libre ou gestion pilotée ?

Vous pouvez ensuite décider de gérer-vous même votre assurance vie (gestion libre) ou la confier à un gestionnaire (gestion pilotée).

Avec une gestion libre, c’est vous qui définissez votre allocation fonds euros ou unités de compte. Cette gestion est plutôt conseillée aux connaisseurs qui souhaitent choisir leurs unités de compte, ou qui placent 100% de leur épargne en fonds euros, le placement le moins risqué.

Avec une gestion pilotée, vous confiez votre assurance vie à un gestionnaire professionnel qui va définir l’allocation fonds euros ou unités de compte selon votre profil (équilibré, défensif, offensif…).

A quoi sert une assurance vie ?

Le contrat d’assurance vie est un produit d’épargne, qui permet de se constituer un capital sur le long terme, en bénéficiant d’avantages fiscaux liés au contrat. En général, on l’ouvre pour valoriser son capital, préparer sa retraite, anticiper un achat immobilier ou transmettre son patrimoine à ses descendants de façon optimisée.

L’assurance vie offre d’importants avantages, notamment successoraux : on peut transmettre 152 500€ par bénéficiaire, sans frais de succession ni d’impôts à payer. Vos bénéficiaires ne sont pas forcément vos enfants ; cela peut être un neveu ou un ami.

Lorsque vous serez à la retraite, vous pourrez transformer votre capital en rente viagère, afin de recevoir un complément de revenus intéressant.

Souscrire une assurance vie

Tout d’abord, vous pouvez souscrire une assurance vie auprès d’une banque (la vôtre ou une autre qui propose une assurance plus attractive) ou d’une compagnie d’assurance. Ces contrats n’ont pas de durée légale : vous pouvez fixer une durée déterminée, prolongée par tacite reconduction.

Vous pouvez investir sur votre assurance vie par un versement initial, lors de la souscription au contrat ; par des versements complémentaires libres quand vous le souhaitez ou par des versements complémentaires programmés de façon mensuelle, trimestrielle, semestrielle ou annuelle. Ces versements programmés peuvent être modifiés ou interrompus à tout moment, sans incidence sur le contrat. Vous avez le droit de faire uniquement un versement initial, et aucun versement complémentaire.

Concernant les frais, on trouve 3 catégories :

  • les frais d’entrée et les frais de versement, qui varient de 0 à 5% ;
  • les frais de gestion, qui rémunèrent le gestionnaire. Il faut compter entre 0,5 et 1,5% pour les contrats en unités de compte ;
  • les frais d’arbitrage, lorsque l’on transfère des sommes d’un fonds à l’autre, jusqu’à 1% des sommes arbitrées.

Comment clôturer une assurance vie ?

Lorsque vous souscrivez une assurance vie, vous choisissez également les modalités de sortie. On en distingue 2 :

  • la sortie en capital, pour toucher la totalité des fonds en une fois ;
  • la sortie en rentes, pour recevoir un revenu complémentaire une fois à la retraite.

Pour clôturer votre contrat, vous devez rédiger une demande et l’envoyer par lettre recommandée avec accusé de réception, et y joindre votre RIB.

Si vous clôturez votre contrat avec une sortie en capital, les intérêts des fonds euros et les plus-values des unités de compte sont taxés. Si le rachat total est effectué avant les 4 premières années de détention, vous serez prélevé de 35%. Entre 4 et 8 ans, le taux baisse à 15%. Après 8 ans, le taux de prélèvement descend à 7,5% et le souscripteur profite d’un abattement de 4 600€.

Déco vintage : quels meubles et objets choisir ?

Vous êtes fan de déco vintage et avez hâte de parcourir les brocantes et les vides-grenier ? Découvrez les meubles et objets de décoration vintage à choisir pour la saison : meubles en formica, fauteuils en rotin ou encore miroir de barbier !

Vintage : d’où ça vient ?

Commençons par un rapide point sur la déco vintage. Le vintage désigne des vêtements, des accessoires, des meubles et des objets au caractère ancien, issus des années 1950 à 1990. Avant, c’est le style rétro ! Le vintage est un véritable art de vivre, basé sur la découverte de perles rares et l’hommage aux vieilles collections. De plus, cela incite au recyclage et à l’upcycling. Les objets vintage possèdent également une forte charge émotionnelle et rappellent souvent des souvenirs d’enfance.

Choisir des meubles et objets vintage

Meubles en cannage

Cela faisait quelques années que l’on ne voyait plus de cannage, mais il réintègre désormais notre intérieur, pour le plus grand plaisir des amateurs de vintage ! Conçus avec une technique de tissage de rotin ou du bambou, le cannage orne les tables basses, les buffets, les chaises, les fauteuils, les lampes ou encore les suspensions. Vous en trouverez facilement dans les brocantes ou les vides-grenier.

Vaisselle fleurie

Qui peut affirmer avoir une déco vintage sans vaisselle fleurie de toutes les couleurs ? Véritables objets de collection, certains les exposent seulement sans les utiliser. Pour encore plus d’effet, à ranger dans un vaisselier en bois !

Meubles en Formica

Symbole des années 60, le Formica fait son grand retour aujourd’hui pour une déco vintage ! Comment ne pas craquer pour ces meubles qui rappellent ceux qu’avaient nos parents et grands-parents, dans la cuisine ou dans le salon ? On retrouve tous types de meubles en Formica : tables, chaises, consoles, buffets, bureaux, tables d’appoint et même horloges. On évite cependant la déco 100% Formica au risque d’être kitsch !

Fauteuil en rotin

Tendance depuis quelques années déjà, le fauteuil en rotin se marie parfaitement avec les meubles en cannage, du même matériau ! Recherchez-en un ancien dans une brocante pour garder un esprit vintage.

Couturière

Indispensable de nos grands-mères, la couturière ou travailleuse en bois permettait de ranger les outils de couture. C’est une pièce vintage de grande qualité, qui sert également pour ranger des livres ou exposer des plantes, si vous n’aimez pas la couture !

Miroir barbier ou triptyque

Comme son nom l’indique, le miroir barbier était utilisé chez les barbiers pour observer le visage de face et sur les côtés en même temps. On l’appelle aussi miroir en triptyque. On trouve aujourd’hui de nouveaux modèles de miroirs barbiers, mais le mieux c’est encore d’en acheter un ancien.

Suspensions en macramé

La tendance du macramé est de retour et fait la part belle au DIY ! L’avantage de la déco en macramé, c’est qu’on peut la faire soi-même avec de la ficelle ou de la corde, pour suspendre des plantes dans votre intérieur ou faire une tenture murale. Pour les moins bricoleurs, direction les vides-grenier et les brocantes pour chiner des suspensions en macramé !

Les types de prêts immobiliers

Lors d’un achat immobilier, il est fréquent de demander un prêt immobilier pour acquérir le bien et le rembourser ensuite. Il existe plusieurs types de prêts immobiliers : le prêt libre, le prêt in fine, le prêt relais et les prêts réglementés ou d’aide à l’accession.

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Prêt libre

Le prêt libre, ou prêt amortissable, est le prêt bancaire le plus commun. Il n’est pas réglementé et est ouvert à tous, c’est donc celui qui est le plus souvent choisi pour acquérir un bien immobilier. C’est un prêt remboursé progressivement, selon des mensualités et des intérêts. A la dernière échéance, le prêt est entièrement remboursé.

Prêt relais

A la différence du prêt libre, le prêt relais n’est pas amortissable. Il est destiné aux emprunteurs déjà propriétaires d’un bien mis en vente, mais qui ne sera pas encore vendu avant l’achat du nouveau bien immobilier. C’est en quelque sorte une avance de la banque pour faire le relais entre vos deux transactions. De façon mensuelle, vous payez les intérêts mais ne remboursez la totalité du prêt qu’à son terme. Le prêt relais ne vaut que pour un ou deux ans et se base sur le prix du bien mis en vente, avec un prêt allant de 50% à 80% du montant de l’achat immobilier.

Prêt In Fine

Le prêt In Fine est relativement complexe : comme le prêt relais, il n’est remboursé qu’à son terme, vous ne devez payer que les intérêts de façon mensuelle. Il se destine particulièrement aux investisseurs locatifs, qui achètent un bien en vue de le louer. Cela permet à l’emprunteur de diminuer ses revenus fonciers imposables en déduisant les intérêts bancaires de leurs revenus locatifs. Il est recommandé de posséder au moins le tiers du capital à rembourser avant de choisir le prêt In Fine, car vous devez être certain de pouvoir rembourser le prêt à son terme : le bien loué doit donc vous rapporter de l’argent.

Prêt réglementé ou d’aide à l’accession

Les prêts réglementés ou d’aide à l’accession sont destinés majoritairement aux primo-accédants, pour financer leur résidence principale. Voici les différents prêts réglementés :

Le prêt d’accession sociale

Ce prêt est accessible pour l’achat de la résidence principale, pour des biens neufs ou anciens. Le prêt d’accession sociale peut financer à 100% le bien, y compris les frais d’agence immobilière. Par contre, il ne finance pas les frais de notaire.

Prêt à taux zéro (PTZ)

Le prêt à taux zéro ou PTZ aide les ménages primo-accédants à accéder à la propriété pour une résidence principale. Son taux d’emprunt est à zéro, parfait pour les acquéreurs à faibles revenus. Il est possible de le coupler à un autre prêt réglementé.

Prêt conventionné

Octroyé sans conditions de revenus, le prêt conventionné finance à 100% la résidence principale, y compris les frais d’agence. Le logement doit être occupé au moins 8 mois par an pendant toute la durée du remboursement du prêt.

Prêt action logement

Ce prêt est une aide des entreprises pour financer une partie de la résidence principale de leurs salariés. Tous deux doivent répondre à des conditions pour obtenir ce financement. Les montants prêtés sont généralement de 7000 à 25000€, avec un taux à 1% pour une durée maximale de 20 ans. Il est possible de le coupler à un autre prêt réglementé.

Prêt Paris Logement 0%

Dédié aux parisiens, le Prêt Paris Logement est un prêt sans intérêt pour les primo-accédants, pour obtenir jusqu’à 39 600€ de prêt à 0%. Il est accordé par la Mairie de Paris et peut être cumulé avec un PTZ.

Tout savoir pour installer une véranda

Baignée de soleil, la véranda est un prolongement de votre maison entièrement vitré pour laisser passer la chaleur et la lumière. Idéal en été pour profiter du beau temps tout en restant chez soi ! Emplacement, matériaux, autorisations, budget, isolation… l’installation d’une véranda ne s’improvise pas. On vous explique tout ce que vous devez savoir avant de faire installer votre véranda.

Faire installer une véranda

Pour profiter d’une belle véranda, respectueuse des normes, nous vous recommandons de faire appel à un professionnel pour installer votre véranda. S’il existe des vérandas en kit à monter soi-même, le résultat peut être très différent de ce que vous espériez si vous n’avez pas les qualités d’un véritable artisan. Les vérandalistes installent des vérandas personnalisées en bois, en aluminium, en PVC ou en acier qui correspondent à vos attentes.

Pour choisir votre artisan, n’hésitez pas à demander des exemples de réalisation de vérandas à plusieurs entreprises. Vérifiez la garantie décennale de l’artisan et ses certifications, notamment Qualibat, gage de qualité.

Où installer une véranda ?

L’emplacement de votre véranda va dépendre de plusieurs critères, notamment la qualité de votre terrain et l’exposition. Un professionnel spécialisé dans les vérandas vous indiquera s’il faut réaliser un terrassement, des tranchées ou des travaux de nivellement avant d’installer votre véranda. Attention, cela peut augmenter drastiquement le coût de votre véranda.

Ensuite, l’orientation de votre véranda est indispensable à prendre en compte : une exposition au sud est idéale dans les régions peu ensoleillées, mais dans le sud de la France, on conseillera une véranda exposée à l’Ouest ou au Nord.

Les autorisations pour installer une véranda

Avant de faire installer votre véranda, vous devez effectuer quelques démarches administratives et obtenir des autorisations. Il vous faut notamment consulter le Plan Local d’Urbanisme (PLU) de votre commune, pour vous assurer être en règle par rapport à vos voisins ou pour votre toiture : une pente peut être imposée dans les régions très pluvieuses ou neigeuses.

Vous devez également informer l’administration fiscale de votre projet d’extension, car votre véranda augmentera certainement la valeur foncière de votre maison.

Faut-il un permis de construire pour une véranda ?

Un permis de construire n’est pas forcément nécessaire pour construire votre véranda. Si elle n’excède pas 40 m² et que la surface habitable de votre maison ne dépasse pas 170 m², vous n’aurez qu’à demander une simple autorisation de travaux. En revanche, si votre projet de véranda ne respecte pas ces limites, vous devez déposer un permis de construire.

Quels matériaux choisir pour sa véranda ?

Une véranda en bois

Pour une véranda esthétique et chaleureuse, choisissez le bois pour votre véranda. Il s’intégrera bien à votre décoration, même dans les maisons les plus modernes. S’il nécessite un traitement régulier, le bois vieillit bien et dure longtemps. De plus, le bois est un isolant thermique et phonique naturel, idéal pour une bonne isolation dans votre véranda. Cependant, c’est un matériau assez cher et, si vous voulez une grande véranda, il vous faudra un budget conséquent.

Une véranda en PVC

Matériau le plus répandu pour les vérandas, le PVC offre plusieurs avantages, notamment celui d’être le moins cher ! C’est également un matériau résistant et solide, dont l’entretien est léger et rapide (lavage à l’eau savonneuse). Très isolant et étanche, le PVC vous permet de faire des économies d’énergie, encore plus si vous installez un double vitrage. Par contre, le PVC ternit au fil des années et ne peut pas être peint, même s’il existe désormais du PVC coloré.

Une véranda en aluminium

Particulièrement intéressante pour son rapport qualité/prix, la véranda en aluminium est adaptée aux petits budgets tout en offrant une grande robustesse et peu d’entretien. Léger, l’aluminium permet de construire de grandes vérandas, contrairement au PVC. Toutefois, l’isolation de la véranda en aluminium laisse à désirer : discutez-en avec votre vérandaliste pour qu’il renforce l’isolation thermique de votre véranda avec des barrettes isolantes, par exemple.

Une véranda en acier

Adaptée à tous types de maisons, traditionnelles comme contemporaines, la véranda en acier sublime votre extérieur. L’acier se décline dans de nombreux coloris et possède une longue durée de vie après un traitement anti-corrosion. C’est aussi le matériau le plus cher pour une véranda, sans offrir une bonne isolation thermique. Il est cependant possible de renforcer l’isolation lors de son installation, comme pour la véranda en aluminium.

Comment isoler une véranda ?

Si certains matériaux offrent une excellente isolation thermique à la véranda, comme le PVC et le bois, d’autres sont moins efficaces. Il est tout de même possible d’améliorer l’isolation de la véranda, notamment avec du double vitrage. Pour la façade, un double vitrage à isolation thermique renforcée est idéal pour conserver la chaleur à l’intérieur de la maison, et pour la toiture, un double vitrage peu émissif limite les déperditions d’énergie. Il est également recommandé d’installer des barrettes isolantes pour améliorer les performances thermiques de la véranda.

Pour protéger votre véranda du soleil et conserver la fraîcheur en été, n’hésitez pas à l’équiper de stores intérieurs et extérieurs, simples mais très efficaces. De plus, ils peuvent être motorisés pour plus de confort.

Le prix pour installer une véranda

Le coût de votre véranda va globalement dépendre du type de matériau que vous choisissez pour la véranda, sans compter les tarifs de l’artisan auquel vous faites appel.

Voici un tableau indiquant une fourchette de prix pour chaque matériau :

Type de véranda (entre 10 et 20 m²) Fourchette de prix
Véranda en kit 2 000 à 15 000€
Véranda en PVC 10 000 à 30 000€
Véranda en bois 15 000 à 45 000€
Véranda en aluminium 15 000 à 50 000€
Véranda en acier 30 000 à 55 000€

Les aides pour installer une véranda

Il existe malheureusement peu d’aides pour vous aider à financer votre véranda. Vous pouvez tout de même prétendre à 3 dispositifs : la TVA à taux réduit, les aides de l’ANAH et l’éco-prêt à taux zéro.

Dans le cadre d’une rénovation énergétique de véranda, notamment le remplacement des vitrages, vous pouvez bénéficier du crédit d’impôt pour la transition énergétique.

DIY : des idées d’espaces pour les enfants dans le jardin

Dès que le beau temps revient, les enfants adorent passer du temps dans le jardin à s’amuser. Avec peu de matériaux, vous pouvez facilement fabriquer des espaces de jeux pour vos enfants dans le jardin, avec d’anciens meubles, du carrelage ou quelques boîtes de conserve, mais surtout beaucoup d’imagination !

Un bac à sable

C’est très facile de faire un bac à sable dans le jardin, et vous n’avez pas besoin de beaucoup de matériel ! Vous pouvez utiliser une vieille étagère, la vider de ses planches et déposer du sable à l’intérieur. Si vous vous sentez un peu plus bricoleur, n’hésitez pas à simplement solidariser quelques planches entre elles de sorte à faire un rectangle, et verser du sable au milieu. L’avantage : c’est vous qui choisissez la taille du bac à sable ! Pensez également à fabriquer un couvercle pour garder votre bac à sable propre.

Un coin cosy pour la sieste

Ce n’est pas parce que vos enfants s’amusent bien dans le jardin qu’il faut oublier de faire la sieste. S’il fait beau et chaud, pourquoi ne pas leur proposer de se reposer dans le jardin ? Installez un coin cosy avec des tapis et de nombreux coussins, voire un mini matelas pour un maximum de confort. Ils seront ravis !

Une marelle

On peut s’amuser avec peu de choses, nos enfants nous le prouvent chaque jour ! Une marelle est très simple à créer dans le jardin, il suffit d’avoir des carreaux de carrelage ou de ciment et de les peindre (en plus, vos enfants peuvent vous aider !) avec des numéros. Placez-les dans le jardin pour que vos enfants s’amusent, et retirez-les quand vous le souhaitez !

Un jeu de lancer

Vous pensiez qu’on ne pouvait rien faire avec des boîtes de conserve et 3 branches d’arbres ? Si vous avez un petit arbre, vous pouvez même faire l’impasse sur les branches ! Fabriquez un jeu de lancer en accrochant une ficelle aux boîtes de conserve afin de les suspendre, soit à un arbre, soit à un assemblage de 3 branches d’arbres (solidarisées entre elles pour faire un pont). Une petite balle en mousse, et vos enfants vont pouvoir s’amuser à lancer la balle dans les boîtes de conserve !

Un coin potager

Si vous avez votre propre potager, vous avez remarqué que vos enfants aiment jardiner avec vous. Pourquoi ne pas leur créer leur coin potager avec leurs propres plantations ? Vous n’avez pas besoin d’un grand espace : un petit bac ou une table de chevet transformé en carré potager, de la terre, quelques graines ou des jeunes plants et le tour est joué !

Un tableau noir géant

Si l’école leur manque même à la maison, vous pouvez fabriquer un tableau noir géant à accrocher sur un mur ou une palissade dans le jardin. Il vous suffit de fixer un support (comme une planche) et de le peindre avec de la peinture noire ardoise, pour faire un tableau grandeur nature. Avec quelques craies de couleur, vos enfants pourront dessiner dessus et effacer à l’infini.

13 astuces pour réduire sa facture d’eau

En moyenne, chaque Français consomme 148 litres d’eau potable par jour ! Vous voulez faire des économies et réduire votre facture d’eau ? Découvrez nos 13 astuces pour économiser l’eau !

Réduire sa facture d’eau dans la salle de bain

1.   Ne pas laisser couler l’eau

Lorsque vous utilisez l’eau du robinet, ne laissez pas couler l’eau trop longtemps ou quand ce n’est pas nécessaire. Cela vaut pour le lavage des mains, des dents ou pour le rasage. Pendant que vous vous savonnez ou que vous vous brossez les dents, coupez l’eau. Cela peut sembler anodin, mais sur une année, cela fait des milliers de litres d’eau économisés !

2.   Utilisez un mousseur de robinet

Un mousseur de robinet permet d’économiser de l’eau : c’est un embout que l’on fixe sur la sortie d’eau du robinet, et qui mélange de l’air sous pression avec l’eau afin de consommer moins d’eau avec le même confort d’utilisation ! Avec un mousseur de robinet, vous passez de 15 litres d’eau par minute à seulement 5 litres.

3.   Privilégier les douches

Même si prendre un bain est très agréable, pour réduire votre facture d’eau, on vous recommande de privilégier les douches. Un bain nécessite entre 150 et 200 litres d’eau, alors qu’une douche, 60 litres même sans couper l’eau. En coupant l’eau pendant que vous vous savonnez, vous économisez 20 litres supplémentaires.

4.   Minuter votre douche

On vous dit souvent qu’une douche doit durer 5 minutes pour ne pas consommer trop d’eau. Mais comment le savoir exactement ? Avec un minuteur ! Que ce soit le minuteur de votre téléphone ou de votre cuisine, il suffit de le lancer pour 5 minutes et de respecter le temps imparti.

5.   Installer un mitigeur thermostatique

Lorsque vous prenez votre douche, vous êtes obligé de laisser couler l’eau un certain temps pour obtenir la température souhaitée. Avec un mitigeur thermostatique, vous pouvez choisir la température et l’avoir quasi instantanément. Parfait pour économiser une dizaine de litres d’eau à chaque douche !

6.   Récupérer l’eau de douche pour le jardin

Si vous ne pouvez pas investir dans un mitigeur thermostatique, vous n’êtes pas obligés de laisser l’eau couler pour rien : vous pouvez récupérer l’eau de douche dans un seau, afin de l’utiliser pour arroser vos plantes plus tard.

7.   Installer une chasse d’eau à double débit

Dans les toilettes, la chasse d’eau à double débit permet de varier le nombre de litres d’eau utilisés. En installer une permet d’utiliser entre 3 et 8 litres d’eau au lieu de 10 à 12 sans double débit !

8.   Remplir complètement la machine à laver

Vous voulez laver vos vêtements ? Remplissez complètement votre machine à laver, pour ne pas gâcher de l’eau pour une machine à moitié vide. Pensez également à la fonction Éco pour économiser à la fois de l’eau et de l’énergie.

>> Lisez également : 6 astuces pour faire baisser votre facture énergétique

Réduire sa facture d’eau dans le jardin

9.   Choisir des plantes peu gourmandes en eau

Certaines plantes ont moins besoin d’eau que d’autres, que ce soit dans le jardin ou en pot à l’intérieur. Si vous voulez faire des économies d’eau, choisissez des plantes qui ont besoin de peu d’eau pour vivre.

10.               Mettre du paillage dans son potager

Le paillage permet de retenir l’humidité de l’arrosage et de la rosée dans votre potager, pour garder vos cultures humides. Vous pouvez donc arroser moins souvent !

11.               Utiliser un arroseur goutte à goutte

Vous avez un grand jardin ? Investissez dans un arroseur goutte à goutte, très pratique pour arroser automatiquement vos cultures et réguler votre consommation d’eau. Ce type d’arroseur est idéal pour ne pas gaspiller d’eau.

12.               Arroser le soir

Un conseil vu et revu, mais pourtant essentiel : arrosez le soir, pour éviter que l’eau ne s’évapore à cause du soleil et de la chaleur. Le soir, l’eau hydrate mieux les plantes et l’évaporation est réduite.

13.               Récupérer l’eau de pluie

L’eau du robinet coûte cher, c’est pour cela que l’on veut réduire sa facture d’eau. Alors pourquoi ne pas récupérer l’eau de pluie ? Elle peut vous servir pour arroser votre jardin, laver votre voiture, et vous pouvez même la potabiliser pour la consommer chez vous.

Démarrer un potager dans un petit jardin

Vous avez un petit jardin, mais tout de même envie de cultiver vos propres légumes et aromates ? C’est possible malgré votre espace réduit ! Certaines plantations ne nécessitent pas beaucoup de place et poussent très facilement. Découvrez nos conseils pour démarrer votre potager dans un petit jardin.

Quand démarrer son potager ?

Tout d’abord, il faut savoir que vous ne pouvez pas démarrer votre petit potager en plein hiver ! C’est au printemps qu’il est conseillé de le faire, car c’est la période la plus propice aux plantations de légumes, notamment au mois de mai. Selon les légumes que vous voulez cultiver, vérifiez bien la période de plantation : certains légumes se plantent tôt, dès mars, et d’autres doivent attendre mi-mai. Il y en a aussi qui peuvent toujours être plantés fin août !

Bien sûr, si vous devez créer votre potager de toute pièce, vous pouvez commencer un peu plus tôt.

Choisir le bon emplacement pour le potager

Avec un petit jardin, votre choix d’emplacement risque d’être réduit mais quelques règles doivent être suivies pour que votre potager soit généreux :

  • avoir une bonne terre arable, riche et profonde ;
  • avoir un terrain plat ou légèrement pentu, plus facile à cultiver ;
  • choisir un emplacement aéré, mais à l’abri des vents froids et dominants ;
  • choisir un emplacement ensoleillé, si possible orienté au Sud.

Si par malheur votre terre semble mauvaise, vous pouvez lui ajouter du compost ou du fumier pour fertiliser la terre ou cultiver des engrais verts comme la moutarde, qui vont enrichir le sol.

Une autre solution : réaliser un carré potager surélevé, qui ne touche pas votre sol, avec un mélange de terre adapté.

Choisir son type de potager

Si vous pensez ne pas pouvoir cultiver en pleine terre, vous pouvez fabriquer un potager en carrés surélevé, très esthétique et pratique pour les jardiniers débutants. C’est également un type de potager adapté aux petits jardins. Dans ce cas, il faut délimiter le potager par des planches en bois, et le subdiviser en carrés de 40×40. La taille de votre potager en carrés va dépendre de la surface que vous pouvez lui accorder. Ensuite, vous n’avez plus qu’à planter vos légumes par carré (par exemple : un plant de tomate ou deux plants de carottes pour un carré).

Au contraire, si votre terre est riche et arable, n’hésitez pas à cultiver vos légumes en pleine terre : on appelle ça le potager en rangs. Vous pouvez planter vos légumes en rangs, ou en associant les différentes cultures pour repousser les ravageurs. Cependant, ce type de culture est davantage adapté aux grands espaces : adaptez-la aux contraintes de votre petit jardin.

Des légumes et aromates faciles à cultiver

Pour un petit potager, et encore plus si vous êtes débutant, nous vous conseillons de privilégier des légumes et aromates faciles à cultiver. Quelques suggestions :

  • la laitue, qui pousse rapidement et se plante d’avril à fin septembre ;
  • le chou, et notamment le chou kale (très facile à cultiver), qui se plante d’avril à fin juin et de mi-août à mi-septembre ;
  • la courgette qui produit en nombre tout l’été, à planter après le 15 mai ;
  • la courge, le potiron et le potimarron se plantent entre mai et fin juin et sont des légumes généreux, même s’ils peuvent prendre beaucoup de place ;
  • les pommes de terre, de mi-mars à fin mai, sont faciles à cultiver et donnent beaucoup ;
  • les radis poussent en à peine un mois, et peuvent être plantés entre mars et fin septembre ;
  • l’épinard doit être bien arrosé mais pousse facilement, à planter de mars à mi-mai ;
  • le topinambour est idéal pour le jardinier débutant, car c’est un légume très résistant, à planter entre mars et avril ;
  • l’échalote et l’oignon poussent assez facilement, à planter de février à fin avril ;
  • la rhubarbe est généreuse et repousse chaque année, à planter entre mars et avril ;
  • n’oublions pas les aromates comme la ciboulette, le persil, la menthe, le thym ou le romarin qui sont très faciles à cultiver ;
  • les tomates sont un peu plus délicates car sensibles aux maladies comme le mildiou, mais il est difficile de parler de potager sans tomates ! A planter à partir du 15 mai.

Préparer votre potager

Le moment est venu de planter vos légumes ! Mais avant, il faut vous assurer que votre potager est prêt à les accueillir dans de bonnes conditions. Y’a t-il des mauvaises herbes ? La terre est-elle compacte ? Faut-il ajouter de la terre ou du compost pour l’enrichir ?

Vu que vous avez un petit potager, arracher les mauvaises herbes, les racines et les cailloux peut facilement se faire à la main, en peu de temps. Vous pouvez bêcher votre terre pour la rendre moins compacte, si vous plantez en pleine terre. Si vous avez un petit potager en carrés surélevé, normalement votre terre est déjà facile à travailler.

Enfin, si vous cultivez en pleine terre et que vous avez besoin de nourrir votre sol, c’est le moment d’ajouter des sacs de compost ou de fumier pour enrichir votre terre.

Planter vos légumes et aromates

Lorsque vous démarrer votre plantation, veillez à ce que chaque légume ait suffisamment d’espace pour se développer. Par exemple, il faut espacer les oignons d’au moins 5 cm, les pommes de terre d’au moins 20 cm et les radis, seulement 2 cm. Selon les légumes que vous plantez, vérifiez bien l’espace nécessaire, au risque de diminuer votre rendement !

Attention aux légumes “coureurs” comme la courgette ou le potiron, qui ont besoin de beaucoup d’espace pour pousser et ont tendance à s’étaler dans le potager.

Après avoir planté vos légumes, surveillez régulièrement votre petit potager. Chassez les limaces, les espaces, les pucerons, coupez les feuilles malades et les gourmands… si vous vous en occupez régulièrement, votre potager sera généreux. N’hésitez pas à protéger la terre avec du paillis épais, et à grillager certaines cultures sensibles comme les laitues.

Entretenir votre petit potager

L’avantage du petit potager, qu’il soit en pleine terre ou en carré, c’est que son entretien est beaucoup plus facile et rapide que pour un grand potager. Sur une petite surface, la terre est souple, donc facile à travailler, et contient peu de mauvaises herbes. En 5 minutes par jour, l’entretien de votre potager est fait !

Concernant les outils, vous avez besoin d’un plantoir pour effectuer des trous et placer les plants de légumes dans la terre ; d’un sécateur pour tailler et couper vos plants (notamment pour les tomates) ; de tuteurs pour aider vos légumes à pousser ; d’une griffe à main ou d’un petit râteau pour sarcler la terre ; et bien sûr… d’un arrosoir pour arroser vos plantations s’il ne pleut pas !

Réaménager une chambre après le départ des enfants

Le syndrome du nid vide, vous connaissez ? C’est un vide que l’on ressent lorsque nos enfants quittent le “nid familial” : une page qui se tourne, pour vous mais aussi pour votre maison ! Beaucoup de parents craquent en découvrant la chambre presque vide de leur enfant. Inutile de se morfondre : réaménagez sa chambre pour combler son absence et donner un nouveau souffle à cet espace inoccupé.

Triez et rangez la chambre

Le déménagement de votre enfant laisse une chambre vide, ou presque, dans la maison. Evitez à tout prix de la laisser en l’état, au risque de garder un espace inutile qui vous rappellera sans cesse le vide qu’a laissé votre enfant !

Commencez par la réaménager en douceur, en faisant un tri et en la rangeant. Bien sûr, ne le faites pas sans l’accord de votre enfant, qui pourrait se sentir interdit de séjour ! Dans un premier temps, le but est de ranger, pas de transformer sa chambre. N’hésitez pas à donner les affaires qu’il n’utilise plus, ou à les vendre.

Une fois que votre enfant est bien installé dans son nouvel appartement, c’est le moment de penser à réaménager la pièce de façon plus globale, pour lui donner une seconde vie.

Transformez la chambre en chambre d’amis

Le changement le moins impactant, c’est de faire de la chambre d’enfant une chambre d’amis, qu’il pourra en plus utiliser s’il vient passer quelques jours chez vous.

L’avantage, c’est que vous pouvez conserver le même lit et la plupart des meubles qui se trouvaient déjà dans la chambre : armoire, commode, bibliothèque, télévision… s’ils ne sont pas partis avec votre enfant, bien sûr ! Dans ce cas, rachetez quelques meubles et un lit convertible pour en faire un espace confortable pour vos invités.

Contrairement à la chambre de votre enfant qui était certainement surchargée, ne laissez que le nécessaire dans la chambre d’amis. Côté décoration, choisissez des couleurs harmonieuses avec le reste de votre maison, de préférence des teintes pastel et lumineuses.

Transformez la chambre en bureau

Si vous avez besoin d’un espace pour travailler, n’hésitez pas à transformer la chambre de votre enfant en bureau. Si vous travaillez à la maison, il est préférable d’avoir un espace dédié au travail, pour gagner en productivité.

Dans ce cas-là, inutile de garder le lit et les meubles de votre enfant : vous avez besoin d’un bureau, suffisamment grand pour convenir à votre activité, une chaise de bureau, des meubles de rangement et des fauteuils si vous comptez recevoir des clients.

Côté décoration, vous pouvez repeindre les murs avec des couleurs vives : cela stimule la créativité. Vous pouvez également ajouter quelques tableaux et objets de décoration qui sont adaptés à l’ambiance de travail que vous souhaitez donner à votre nouveau bureau.

Transformez la chambre en salle d’activité

Peut-être que vous avez besoin d’un espace pour pratiquer votre passion ? Peinture, musique, bricolage, sport… vous pouvez faire ce que vous voulez, selon vos envies. Cette pièce vous apporte l’espace qui vous manquait pour pratiquer vos activités en toute tranquillité.

Fan de sport ? Aménagez un tapis de gym, un vélo d’appartement et des haltères pour vous entraîner !

Passionné de musique ? Profitez de votre guitare, de votre batterie et de votre accordéon dans cet espace.

Adepte de bricolage ? Disposez un établi, vos outils et votre matériel pour créer autant que vous le souhaitez, sans gêner personne.