Tout savoir sur les panneaux solaires

Vous envisagez d’installer des panneaux solaires sur votre toit pour faire des économies d’énergie ? L’énergie solaire peut être convertie en chaleur ou en électricité. Dans cet article, vous découvrirez tout ce qu’il faut connaître sur les panneaux solaires, leur fonctionnement, les types de panneaux solaires et leur installation.

Panneau solaire : qu’est-ce que c’est ?

Un panneau solaire recueille de l’énergie solaire afin de la transformer en énergie thermique (chaleur) ou en énergie électrique (électricité). L’énergie thermique apporte du chauffage ou de l’eau chaude à une habitation.

Il existe donc 2 types de panneaux solaires : le panneau solaire thermique, pour la chaleur, et le panneau photovoltaïque, pour l’électricité.

L’énergie solaire est une énergie renouvelable, sans émission carbone, à privilégier pour répondre aux enjeux environnementaux actuels.

Fonctionnement du panneau solaire thermique

Pour transformer la lumière en chaleur, les panneaux solaires thermiques recueillent l’énergie solaire par une plaque de verre transparente. L’absorbeur noir présent sous ce verre collecte 80 à 90% des rayons du soleil. Du fait de la chaleur, l’absorbeur émet des infrarouges. Ces infrarouges sont bloqués entre la plaque de verre et la plaque de métal : l’air entre les 2 plaques chauffe et améliore le rendement. Cette énergie thermique est ensuite transmise au liquide caloporteur et acheminée vers le ballon d’eau chaude.

Fonctionnement du panneau photovoltaïque

Le panneau photovoltaïque produit de l’électricité en 3 étapes. D’abord, les photons du soleil frappent les cellules photovoltaïques. Ils transmettent leur énergie aux électrons présents dans le silicium (le matériau semi-conducteur qui compose les cellules), qui se mettent en mouvement et produisent un courant électrique continu.

Les onduleurs vont ensuite transformer ce courant électrique continu en courant alternatif, afin que l’électricité soit disponible à l’utilisation ou à la revente.

Quels panneaux solaires choisir ?

Qu’est-ce qu’un panneau solaire thermique ?

Les panneaux solaires thermiques convertissent l’énergie solaire en chaleur pour produire du chauffage et de l’eau chaude. Le solaire thermique ne produit pas d’électricité, contrairement aux panneaux photovoltaïques. C’est une énergie renouvelable sans aucune émission carbone.

Le panneau solaire thermique capte les rayons solaires et chauffe ainsi un fluide caloporteur, présent sous la surface du panneau. Le fluide rejoint un ballon de stockage pour produire de l’eau chaude. Si vous possédez un système solaire combiné, le ballon de stockage peut produire de l’eau chaude et du chauffage.

Dans la gamme des panneaux solaires thermiques, il existe plusieurs sortes de capteurs thermiques : les capteurs plans vitrés, les capteurs plans, les capteurs monobloc, les capteurs tubulaires sous vide et les capteurs autovidangeables.

Qu’est-ce qu’un capteur solaire à plan vitré ?

Très répandu, le capteur solaire à plan vitré est un type de capteur solaire thermique, utilisé pour produire de l’eau chaude et du chauffage. C’est grâce à l’effet de serre qu’il recueille l’énergie du soleil. Il est habituellement composé d’un châssis, d’un isolant, d’une vitre et d’un absorbeur noir en tubes de cuivre avec des ailettes pour faire circuler le fluide caloporteur.

Qu’est-ce qu’un panneau photovoltaïque ?

Les panneaux photovoltaïques convertissent l’énergie solaire en électricité. C’est un assemblage de cellules photovoltaïques, généralement en silicium. Les panneaux photovoltaïques peuvent être monocristallins, polycristallins ou amorphes. La production d’électricité est possible grâce à des matériaux semi-conducteurs, lorsqu’ils sont éclairés par le soleil. L’énergie solaire est transformée en un courant continu, puis un onduleur le convertit en courant alternatif.

Il est possible de revendre l’énergie produite au réseau ENEDIS, de la consommer directement ou de la stocker dans des batteries électriques.

Qu’est-ce qu’un panneau photovoltaïque monocristallin ?

Le panneau photovoltaïque monocristallin est un panneau dont les cellules proviennent d’un seul cristal de silicium. Sa couleur est parfaitement noire et apporte un rendement plus élevé. Un panneau monocristallin peut produire 1 à 3% de plus qu’un panneau polycristallin. Cependant, leur fabrication est complexe et donc plus chère.

Qu’est-ce qu’un panneau photovoltaïque polycristallin ?

Le panneau photovoltaïque polycristallin est un panneau dont les cellules proviennent de plusieurs cristaux de silicium. Sa couleur est plutôt bleutée et non homogène. Ils coûtent moins cher à l’achat que les panneaux monocristallins, car leur fabrication est plus simple et leur rendement moins élevé.

Qu’est-ce qu’un panneau photovoltaïque amorphe ?

Le panneau photovoltaïque amorphe est composé de silicium amorphe à couche mince : les panneaux sont souples et plus fins que les panneaux cristallins. Ils peuvent produire de l’électricité même en cas de faible luminosité, mais ont un rendement moins important que les autres types de panneaux.

Pourquoi installer des panneaux solaires ?

Le principal avantage des panneaux solaires est l’économie d’énergie. En effet, l’énergie solaire est renouvelable et non polluante, et consomme très peu comparé aux énergies fossiles.

Les panneaux solaires sont très efficaces, que ce soit pour la production d’eau chaude, pour le chauffage ou pour l’électricité. Cela permet de réduire la consommation de l’habitation et de faire des économies sur le long terme.

De plus, les panneaux photovoltaïques peuvent vous faire gagner de l’argent si vous revendez votre énergie au réseau ENEDIS, ce qui rentabilise rapidement votre investissement.

Comment installer des panneaux solaires ?

Avant d’installer des panneaux solaires sur votre toit, vous devez d’abord demander des autorisations.

Lors de la construction d’une nouvelle maison, vous devez mentionner l’installation de panneaux solaires dans la demande de permis de construire. Normalement, vous n’aurez pas de mal à obtenir l’autorisation de la mairie. Si l’idée d’installer des panneaux solaires vous vient après la demande de permis, vous pouvez faire modifier votre permis de construire pour l’ajouter.

Les panneaux solaires peuvent être installés sur le toit de la maison ou sur sa façade. Idéalement, l’inclinaison doit être de 30 à 60° face au sud. Selon la région, l’orientation peut varier entre le sud-ouest et le sud-est.

Choisissez avec précaution votre installateur : il doit être formé au chauffage solaire et aux énergies renouvelables. La pose des panneaux solaires, l’installation du système et le mode de régulation doivent être correctement mis en place, au risque de ne pas réaliser autant d’économies que vous le souhaitez. N’hésitez pas à consulter le guide du Salon Viving le plus proche de chez vous afin de repérer les professionnels compétents.

Comment entretenir un panneau solaire ?

Pour conserver un bon niveau de rendement, il est indispensable d’entretenir ses panneaux solaires tous les 2 à 3 ans. Vous pouvez les nettoyer vous-même ou faire appel à un professionnel. En effet, les modules sont glissants et peuvent occasionner des chutes. Si vous choisissez de vous en occuper seul, faites attention à ne pas prendre appui sur les plaques, à ne pas utiliser de raclette en plastique, de produits corrosifs et à ne pas utiliser d’eau froide si le soleil tape trop fort (pour éviter les chocs thermiques).

Concernant l’entretien de l’onduleur, un entretien annuel par un professionnel est nécessaire pour assurer le bon fonctionnement de vos panneaux solaires.

Comment choisir sa cheminée ?

Le rêve d’un feu qui crépite dans la cheminée du salon séduit de plus en plus les Français. Le marché de la cheminée n’a cessé d’évoluer ces dernières années, au point de permettre à chacun de trouver le modèle adapté à son logement. Alors, quelle cheminée choisir pour votre maison ?

Quel type de cheminée choisir ?

Les cheminées à foyer fermé

Conçues pour optimiser le rendement du chauffage au bois, les cheminées à foyer fermé offrent une source de chaleur rayonnante performante et pratique. Grâce à leur vitre ou à leur porte, elles ont un rendement de 85% de chaleur, soit 5 fois plus que les cheminées traditionnelles.

Les cheminées à foyer fermé sont montées sur place, en fonte ou en brique réfractaire. La fonte vous assure une robustesse à toute épreuve, tandis que les briques réfractaires ont une bonne restitution de la chaleur mais surtout, un prix plus accessible que la fonte.

L’air frais de la pièce est aspiré par des bouches situées en bas de la cheminée puis il est réchauffé par les flammes de la cheminée puis rejeté dans la pièce par d’autres bouches sur la partie haute.

On utilise des bûches de bois ou des bûches de bois densifiées pour alimenter ce type de cheminées. Elles offrent une autonomie de 10h.

Les cheminées à gaz

Propres et confortables, les cheminées alimentées par du gaz offrent les avantages d’une cheminée à bois sans pour autant en avoir les inconvénients. Le rendement atteint 90%. Fonctionnant sans conduit ni fumée, elles produisent cependant les mêmes flammes que des foyers classiques.

Véritables appareils de chauffage, ces cheminées hors du commun sont même dotées d’un système de thermostat et peuvent chauffer de grandes surfaces. Alimentées par du gaz naturel ou du propane, ces cheminées ne nécessitent aucun ramonage et peu d’entretien.

Une simple télécommande vous permet d’allumer et d’éteindre instantanément votre cheminée à gaz ! Certaines disposent même d’une application smartphone pour les contrôler.

Les inserts de cheminée

En acier ou en fonte, les inserts ressemblent à des poêles à bois et se classent dans la catégorie des cheminées à foyer fermé. Ils améliorent nettement les performances calorifiques des cheminées ouvertes auxquelles ils s’adaptent sans aucun problème.

Comment choisir son insert de cheminée ? Vous avez le choix entre deux sources d’énergie : bûches ou granulés de bois. Les 2 solutions sont excellentes : les inserts à bûches offrent un rendement de 80%, et jusqu’à 90% pour un insert à granulés. Vous multipliez votre rendement par 5 comparé à une cheminée traditionnelle.

De plus, il s’agit d’une solution abordable, efficace et avec une excellente inertie.

Les cheminées à foyer ouvert

C’est la cheminée traditionnelle ! Celle que vous connaissez tous et dont vous avez profité chez vos parents, voire vos grands-parents. Son plus bel atout, c’est le charme du crépitement des flammes et l’odeur agréable du feu de bois.

Pourtant, ce n’est pas le type de cheminée le plus approprié pour vous chauffer. En effet, les cheminées à foyer ouvert traditionnelles souffrent d’une énorme déperdition de chaleur (90%) et d’une gêne occasionnée par la suie. Elles demandent un stock de bois important qu’il n’est pas évident d’approvisionner.

N’hésitez pas à transformer votre cheminée ouverte en insert, bien plus efficace tout en étant agréable à regarder.

Les cheminées au bioéthanol

Ces cheminées n’ont d’écologique que le nom. Elles fonctionnent comme les cheminées à gaz mais sont alimentées par du bioéthanol. Ce combustible, produit à partir de betteraves, consomme énormément d’énergie lors de sa production.

De plus, le bioéthanol coûte relativement cher par rapport aux autres combustibles et amène une odeur désagréable. La cheminée au bioéthanol nécessite une aération fréquente de la pièce, du fait de ses rejets de vapeur d’eau et de CO2.

S’il vous fallait un autre argument pour ne pas vous chauffer au bioéthanol : ces cheminées ne sont pas classées dans les appareils de chauffage, mais comme décoration. Leur pouvoir calorifique est extrêmement faible.

Cheminée ou poele à bois : que choisir ?

Tout dépend de votre besoin de chauffage. Avec une cheminée à gaz, à foyer fermé ou un insert, vous pourrez aisément chauffer de grandes surfaces. Leur excellent rendement occasionne très peu de déperditions de chaleur.

En revanche, le poêle à bois sera parfait si vous souhaitez un chauffage d’appoint, pour des petites surfaces. C’est un appareil de chauffage avec une puissance peu élevée. Vous pouvez parfaitement installer une cheminée et un poêle à bois dans votre maison.

Quel budget pour une cheminée ?

Le prix d’une cheminée va varier en fonction du type de cheminée que vous sélectionnez, mais aussi de ses dimensions, de son design, du tarif de l’installateur, etc. Sans compter les combustibles à utiliser !

Par exemple, il faut compter entre 550 et 2000€ pour une cheminée à foyer ouvert, entre 500 et 5500€ pour une cheminée à foyer fermé et entre 500 et 5000€ pour un insert de cheminée. Ces tarifs ne comprennent pas la pose par un professionnel.

Le bois est le combustible le moins cher sur le marché. A ce jour, il s’agit de la solution la plus économique.

Comment choisir son installateur de cheminée ?

Nous vous recommandons de faire appel à un professionnel pour installer votre cheminée, afin d’être certain de sa bonne installation et d’éviter tout risque.

Si certaines cheminées nécessitent simplement de percer un trou dans un mur, d’autres demandent de créer un conduit d’arrivée d’air, de traiter les conduits d’évacuation, de raccorder la cheminée au tube d’évacuation, etc. Ces travaux doivent être réalisés par un artisan qualifié. N’hésitez pas à vous renseigner lors du prochain salon Viving près de chez vous.

La domotique dans la maison, avantages et contraintes

La domotique est synonyme de modernité et de technologie mais pas seulement. C’est également un excellent moyen pour contrôler ses dépenses énergétiques, que ce soit pour le chauffage, l’éclairage ou encore les volets. Les nouvelles technologies offrent des appareils toujours plus précis pour gérer les plages horaires de chauffage selon l’occupation de la maison, automatiser la fermeture des volets ou l’extinction des lumières, etc…

crédit photo@PhonAndroid

  • Les avantages de la domotique

Un confort de vie

Le système domotique se charge d’exécuter les ordres liés aux scénarios prédéterminés par l’utilisateur. Les interrupteurs deviennent « intelligents » et changent de fonctions à l’envi. Avec affichage, ils informent d’une fenêtre ouverte, de la température, d’une détection de présence… La domotique nous évite de faire le tour du propriétaire chaque fois que l’on sort de chez soi pour vérifier que les lumières sont bien éteintes, que le gaz est bien coupé ou que les fenêtres sont bien fermées.

Economie d’énergie et aspects liés à l’environnement

La domotique permet de grandes économies d’énergie grâce aux programmations heures creuses, au chauffage déclenché dans certaines pièces seulement lorsqu’elles sont visitées.

Des outils modernes et appropriés sont conçus pour gérer les économies d’énergie, sécuriser et mieux vivre son intérieur.

Côté économies d’énergie, la Domotique, permet, par exemple, d’obtenir dans chaque pièce la chaleur exacte désirée. Elle permet de baisser de 30 à 70 % la facture d’électricité à l’aide notamment de détecteurs de lumière.

Sécurisation de l’habitat

La Domotique permet de sécuriser son habitat, à l’intérieur comme à l’extérieur. Tout équipement de surveillance équipé d’un bus EIB/KNX (standard à vocation internationale utilisé dans les installations électriques modernes de l’habitat) est capable d’émettre un message sur l’installation, repris et traité par un module spécialisé dans la surveillance. Cette centrale peut alors enclencher ou couper n’importe quel composant présent dans cette installation (lumière, prise 230 V, téléphone, moteur de porte ou de stores, serrure électrique, électrovanne d’arrivée d’eau…).

Ainsi, le système peut allumer les lumières intérieures pour simuler une présence, déclencher une alarme, avertir le propriétaire ou une société de sécurité contactée par un numéro de téléphone ou un SMS. Ces actions sont programmées et mises en route depuis un téléphone ou un ordinateur via Internet. Pour l’intérieur, il existe différents types de capteurs et de détecteurs de sécurité : inondation, bris de verre, feu… Il suffit d’appuyer sur un seul bouton pour déclencher le scénario anti-catastrophes préprogrammé : portes verrouillées, alarme mise, mais aussi allumage aléatoire des lumières et de la télévision pour simuler une présence… pendant toute la durée de notre absence !

Enfin, l’installation peut être couplée à une vidéosurveillance qui avertit en cas d’intrusion dans la maison, enregistre et stocke les images numériques. Un système très simple. À condition de bénéficier de l’ADSL et d’y connecter ses caméras. L’intérêt : pouvoir visualiser sa maison de n’importe où dans le monde. Car la domotique permet aussi de gérer l’habitat à distance.

  • Inconvénients de la Domotique

La domotique reste peu accessible. Si vous surfez sur les sites spécialisés, vous remarquerez très vite un vocabulaire très spécifique et technique.

D’autre part, le prix des équipements reste assez élevé. La Domotique est donc plutôt envisagée comme un luxe. Ces équipements ingénieux sont très chers. Les Français semblent encore réticents à installer ces techniques de domotique qui, dans une maison ordinaire, coûtent environ 14 000 à 23 000 euros, contre 9 000 à 15 000 euros pour une installation électrique classique.

De plus, dans un environnement où le consommateur est quelquefois excédé de devoir mémoriser tous les modes d’emploi des nombreux outils technologiques qui l’entourent, la Domotique apparaît comme une complication supplémentaire. Elle vise pourtant l’inverse.

Il existe aussi le problème de la durée de vie : une maison dure 50 ou 100 ans, une chaudière 20 ans. Pour un système électronique c’est moins beaucoup moins ; C’est un frein non négligeable si l’on ajoute à cela les difficultés du service après-vente.

S’équiper d’une alarme pour protéger son habitat

Plus de 1 000 cambriolages ont été recensés par jour en 2013 en France selon les données de la Fédération française des sociétés d’assurances (FFSA).
Dans 95% des cas, le déclenchement d’une alarme fait fuir les intrus. S’équiper d’un système d’alarme s’avère donc être le meilleur moyen de protéger son habitat. Plusieurs équipements sont proposés sur le marché.

Alarme-Crédit photo@www.somfy.fr

NOS CONSEILS MAISON

 L’ALARME SANS FIL

C’est aujourd’hui, le système de protection le plus développé. Il se résume à la mise en place de contacteurs sur les portes et les fenêtres et d’un ou plusieurs détecteurs de mouvement placés à des endroits stratégiques. Dans la grande majorité des cas, les différents éléments se connectent sans fil à la centrale, avec un protocole propre au fabricant. Pour optimiser l’efficacité du système, il est préférable d’installer la centrale dans un lieu caché, difficilement détectable par les intrus.

Il est important de bien protéger les pièces situées à l’arrière de la maison car c’est souvent à cet endroit plus isolé que les effractions sont commises.

La gestion de l’alarme (mise en fonctionnement et arrêt) se gère avec la simple composition d’un code sur un clavier ou par le biais d’une télécommande. Les alarmes sans fil  nécessitent souvent la souscription d’un abonnement mensuel qui propose des services différents : simple mail ou message quand il y a une intrusion, déplacement d’une équipe de surveillance…

Les avantages de ce type d’alarme sont nombreux : facilité de transport (en cas de déménagement), facilité d’installation, possibilité de brancher des détecteurs supplémentaires.

L’alarme « connectée »

Son installation requiert les mêmes équipements que l’alarme traditionnelle. La centrale est quant à elle reliée à la box internet de l’habitat. Les différents éléments se connectent sans fil et se paramètrent depuis l’interface web du fabricant.

En  téléchargeant une application donnée par le fournisseur web,  le système d’alarme peut-être activé via le site web du fabricant, depuis un smartphone ou une tablette. En cas d’intrusion, l’utilisateur est alerté par mail, SMS (en option) ou par messagerie vocal.

LA CAMÉRA DE VIDÉOSURVEILLANCE

Pour cette option, il suffit d’équiper les pièces de la maison de caméras de surveillance aujourd’hui accessibles en terme de prix et d’installation. Ces caméras sont reliées à la box en wifi. Ce système permet de voir en direct ce qui se passe chez soi à partir d’un ordinateur ou d’un smartphone après téléchargement d’une application vendue par l’opérateur.

Pour éviter les désagréments de la coupure de courant qui mettraient la connexion ADSL hors service, il est primordial que la centrale soit équipée d’un module de transmission GSM ou GPRS (dans ce cas, les alertes sont transmises par le réseau mobile).

En fonction de la valeur des biens, l’assureur peut imposer l’installation d’un système de protection répondant à la norme NF A2P.

Il est important aussi de se renseigner sur les services proposés par l’opérateur ou l’installateur. Le plus souvent, le visionnage en direct des images est gratuit, mais leur enregistrement et leur stockage sont souvent payants. La plupart des systèmes proposent également un service complémentaire de télésurveillance, payant lui aussi.

Installer un système de vidéosurveillance chez soi ne nécessite aucune déclaration préalable.

Pourquoi choisir un chauffage au sol ?

CONSEIL MAISON

POURQUOI CHOISIR UN CHAUFFAGE AU SOL ?

Encastré dans le sol, ce chauffage fournit une source de chaleur homogène à la pièce. Il peut fonctionner à l’électricité ou à l’eau chaude. Facile d’entretien et invisible, le chauffage au sol a le vent en poupe. Il présente de nombreux avantages et quelques bémols. Passage en revue des pour et des contre.

QU’EST-CE QU’UN PLANCHER CHAUFFANT ?

C’est un procédé de chaleur destiné à chauffer une pièce en utilisant la surface du sol intérieur. Le principe consiste à chauffer à une faible température toute la surface de la pièce en délivrant le même nombre de calories que de radiateurs classiques. La plancher chauffant basse température se compose d’un réseau de tubes encastrés dans le sol, dans lequel circule l’eau chaude à très basse température.

Credit ThinkstockCrédit@Thinkstock

QUELS SONT LES AVANTAGES DU CHAUFFAGE PAR LE SOL ?

Il est plus sain car il ne produit pas d’air pulsé ni de convection et donc n’occasionne pas de déplacement d’air.

La grande surface de rayonnement à basse température, par rapport aux radiateurs, garantit une chaleur agréable et permet à la température de l’air de rester basse.

Le choix d’un chauffage par le sol se fait aussi pour des motifs esthétiques : le chauffage est « caché » dans le sol et ne nécessite donc pas de radiateurs. La place libérée peut donc être consacrée à autre chose. En d’autres termes : le chauffage par le sol est invisible.

Le chauffage par le sol à l’eau chaude demande peu d’entretien. En outre, il consomme moins que le chauffage par le sol électrique.

La faible consommation d’énergie est due au chauffage de la pièce avec une faible température de l’air.

Le chauffage par le sol peut être facilement combiné avec d’autres systèmes favorisant les économies d’énergie tels que les panneaux solaires ou les pompes à chaleur.

ET LES BÉMOLS ?

Le chauffage par le sol présente l’inconvénient que les canalisations doivent être installées sous le sol. C’est pourquoi ce système est souvent utilisé pour des projets de rénovation ou de nouvelles constructions. Ce système de chauffage est rarement présent dans les habitations plus anciennes. Dans celles-ci il est pourtant possible de tailler des rainures dans la chape qui permettent d’installer les canalisations.

Il est déconseillé de couvrir le sol de tapis car la chaleur restera prisonnière entre le carrelage et le tapis.

En cas de transformations, et certainement lorsque les pièces sont réparties autrement, il est parfois très compliqué d’adapter le chauffage par le sol.

Le chauffage par le sol est un système à réchauffement et refroidissement lent.

Pour certains meubles ou objets tels qu’un piano ou d’autres instruments de musique en bois, le chauffage par le sol est néfaste.

Entretien d’une chaudière : quelles sont les règles ?

Rendu obligatoire en 2009, l’entretien annuel des chaudières a permis de réduire sensiblement le nombre d’accidents domestiques liés à des installations défaillantes. Cet entretien prolonge la vie de la chaudière de plusieurs années. Il permet également de conserver un meilleur rendement et évite une surconsommation de gaz. Une chaudière bien réglée consomme jusqu’à 10% de moins.

La loi sur l’entretien de chaudière

L’entretien des chaudières est régi par le décret n°2009-649 du 9 juin 2009 du code de l’environnement. Le texte de loi est entré en vigueur le 1er janvier 2010.

Il indique que l’entretien d’une chaudière collective ou individuelle est obligatoire chaque année pour les modèles dont la puissance est comprise entre 4 et 400 kW. La loi concerne également les pompes à chaleur et les appareils de chauffage avec ventilation.

L’entretien doit impérativement être réalisé par un chauffagiste professionnel. La visite donne lieu à une attestation d’entretien, à conserver.

Pourquoi est-ce obligatoire ?

La révision de chaudière est obligatoire pour assurer votre sécurité et celle des membres de votre foyer, tout simplement. Lors de sa visite, le chauffagiste contrôle les points suivants :

  • le taux de monoxyde de carbone ;
  • vérification des émissions polluantes de votre système de chauffage ;
  • évaluation du niveau de performance énergétique ;
  • optimisation des réglages de la chaudière ;
  • nettoyage, réparation ou remplacement des composants de l’appareil si nécessaire.

A savoir : en cas d’accident domestique, votre assurance peut refuser de vous couvrir si vous n’êtes pas en mesure de présenter l’attestation de conformité de votre chaudière.

Focus sur le monoxyde de carbone

L’entretien d’une chaudière a pour but essentiel d’éviter les risques d’intoxication au monoxyde de carbone, à l’origine de nombreux accidents domestiques. Ce gaz est invisible et inodore.

Il provoque des maux de tête, des nausées et des vertiges et peut être mortel. L’intoxication est causée par un appareil de chauffage mal entretenu, associé à une mauvaise aération du logement.

En cas de soupçon d’intoxication, il faut aérer les locaux, arrêter les appareils à combustion et appeler les secours.

Qui doit payer l’entretien de la chaudière ?

L’entretien de la chaudière revient au locataire, c’est à lui de le payer. La révision est effectuée à son initiative et sous sa responsabilité, pas celle du propriétaire.

Le propriétaire ne paye l’entretien de la chaudière que s’il occupe son logement en tant que résidence principale ou secondaire.

Il existe néanmoins 2 exceptions : c’est au propriétaire de payer l’entretien de la chaudière si le bail de location le stipule, ou si la chaudière est collective et que son entretien est pris en charge par le syndicat de copropriété.

Qui réalise l’entretien de la chaudière annuel ?

L’entretien d’une chaudière doit être effectué par le chauffagiste agréé de votre choix. Cet entretien consiste en la vérification de la chaudière, son nettoyage et son réglage, ainsi qu’une évaluation des polluants atmosphériques.

Le professionnel doit remettre une attestation d’entretien au locataire dans un délai de 15 jours suivant sa visite. Ce document doit être conservé pendant 2 ans au moins pour la présenter en cas de demande du bailleur ou de l’assurance en cas de sinistre.

À l’issue de l’entretien, le professionnel doit également donner des conseils sur le bon usage de la chaudière, les améliorations possibles de l’ensemble de l’installation de chauffage, et l’intérêt éventuel du remplacement de la chaudière.

Les sanctions en cas de non-entretien

La réglementation ne prévoit pas de sanction pénale en cas de défaut d’entretien annuel. Aucune amende n’est donc applicable.

Cependant, si le locataire quitte son logement sans avoir entretenu la chaudière, le bailleur peut retenir le montant de l’entretien sur le dépôt de garantie.

En cas d’accident avec une chaudière mal entretenue, l’assureur peut également refuser d’indemniser la personne concernée.

Vos questions sur l’entretien de la chaudière

Est-ce obligatoire de faire réviser sa chaudière ?

Oui, l’entretien de la chaudière est obligatoire et ce, chaque année. L’obligation concerne tous les types de chaudières : standard, murale, à condensation ou basse température. Peu importe également le combustible : gaz naturel, fioul, bois, charbon, multi combustible.

Vous ne pouvez pas le faire vous-même, il faut faire appel à un professionnel.

Est-il obligatoire d’avoir un contrat d’entretien ?

Non, un contrat d’entretien de chaudière n’est pas obligatoire. Ce qui n’empêche pas la révision annuelle de l’être, elle ! Ainsi, souscrire un contrat d’entretien est recommandé si vous craignez d’oublier ce rendez-vous obligatoire.

Cela vous permet de mensualiser le coût de votre contrat d’entretien, de programmer automatiquement la visite annuelle, de garder le même chauffagiste et de souscrire des prestations annexes. A vous de voir ce que vous préférez !

Quel est le prix moyen d’un entretien de chaudière ?

Il faut compter entre 80 et 200€ en moyenne, en fonction du plombier chauffagiste que vous choisissez. En cas de panne ou de remplacement de pièce, le tarif peut être plus important. N’hésitez pas à comparer les devis de plusieurs chauffagistes près de chez vous avant d’arrêter votre choix.

Avantages d’installer un système de récupération des eaux de pluie

Les mesures de restriction d’eau deviennent fréquentes dans de plus en plus de régions et les amendes prononcées sont sévères. Avec les cuves enterrées, on peut continuer à vivre normalement en arrosant les pelouses sans contrainte et en alimentant une partie des besoins de notre maison.

Crédit photo @www.ekoolos.fr

Lorsque l’on parle de récupérer son eau de pluie, on pense tout de suite aux cuves hors-sol à installer à l’extérieur dans le prolongement de sa descente de gouttière. Grâce à elles, on peut ainsi arroser son jardin ou sa voiture sans débourser un centime. Une autre solution existe pour valoriser son eau de pluie, c’est la récupération enterrée, un système très réglementé qui repose sur l’enfouissement d’une cuve dans le sol d’un jardin.

  • L’alimentation de certains équipements de la maison

Dans les grandes lignes, il fonctionne sur le même principe que les systèmes hors-sol sauf qu’au lieu de servir uniquement à stocker l’eau, il la filtre, la rendant ainsi utilisable à l’intérieur de la maison pour alimenter certains équipements ou appareils électroménagers comme, par exemple, les WC ou les lave-linges. L’eau est stockée à une température constante et l’abri de la lumière. Du coup, contrairement à de l’eau issue d’une cuve hors-sol qui va avoir tendance à devenir verte, elle reste transparente et sans odeur.

  • Un investissement important

Le budget à prévoir n’est pas le même. Dans un cas, il suffit d’acheter son équipement et de le raccorder à sa descente de gouttière tandis que dans l’autre, il faut réaliser des travaux de terrassement et de plomberie. Parce qu’il est difficile pour un particulier de se lancer dans de telles opérations, certaines entreprises spécialisées, proposent des formules clé en main. Le système s’adapte aussi bien aux constructions neuves qu’anciennes.

  • Un crédit d’impôt et des factures allégées de moitié

L’investissement peut être rapidement rentabilisé grâce notamment au crédit d’impôt de 22% à valoir sur le matériel – si, et seulement si, l’installation a été réalisée par un professionnel – et aux économies d’eau réalisées. Grâce au système enterré, on peut arriver à alléger sa facture d’eau de 50%.

La domotique dans l’habitat : connecter sa maison

De nos jours, les solutions domotiques se multiplient : objets connectés, compteurs intelligents, programmation d’équipements… Votre maison devient une véritable maison connectée et intelligente, au service de vos besoins.

L’évolution de la domotique dans l’habitat

La domotique est apparue dans les années 1980 et s’adressait à une élite. Aujourd’hui, la domotique concerne tout le monde : elle s’applique au confort, à la sécurité ou encore à la consommation d’énergie. De plus en plus d’équipements sont désormais interconnectés, rendant votre maison intelligente. La plupart des boitiers domotiques se pilotent depuis un ordinateur ou un smartphone pour un confort d’utilisation maximal. Ces systèmes restent malgré tout encore assez chers, mais leurs possibilités infinies en feront des compagnons indispensables.

 

 

La domotique : quelles fonctions ?

La domotique possède à ce jour trois fonctions principales : la sécurité, le confort et l’énergie.

 

LA DOMOTIQUE AU SERVICE DE LA SÉCURITÉ

 

Domotique sécuritéVotre maison connectée peut être “bienveillante” en vous permettant de vous sentir en totale sécurité chez vous. La domotique optimise la sécurité de votre maison, notamment face aux vols et aux accidents domestiques.

 

Que pouvez-vous installer pour renforcer vos dispositifs de sécurité connectés ?

–       Une caméra de sécurité connectée, pour surveiller votre maison en votre absence ;

–       Des détecteurs de fumée connectés qui vous alertent sur votre smartphone ;

–       Des détecteurs de mouvements afin de signaler la présence d’un individu…

 

LA DOMOTIQUE AU SERVICE DU CONFORT

 

Domotique confortC’est certainement la domotique dont vous avez le plus l’habitude : gestion de volets roulants, du chauffage, de l’éclairage… tout cela grâce à une simple télécommande ou directement sur votre smartphone. Désormais, il est même possible de décider via une application de l’heure d’ouverture des volets, de la température des pièces au cours de la journée ou d’allumer les lumières en présence d’individus. Un confort optimal qui peut être très utile pour les personnes âgées ou en situation de handicap.

 

LA DOMOTIQUE AU SERVICE DE L’ÉNERGIE

La domotique peut améliorer de façon significative l’efficacité énergétique de votre maison. Les maisons connectées peuvent être équipées d’un ensemble de technologies améliorant leurs performances énergétiques. Cela passe par la gestion de la ventilation ou du chauffage, en fonction des conditions climatiques et intérieures. Qui ne rêve pas de réduire automatiquement sa facture de chauffage ?

 

 

Quels sont les avantages de la domotique pour la maison ?

Récapitulons les principaux avantages de la domotique pour votre maison :

 

–       Le pilotage à distance de vos équipements, via une télécommande ou un smartphone ;

–       Une installation facile et rapide des équipements domotiques ;

–       Optimiser vos performances énergétiques en limitant votre consommation ;

–       Améliorer votre confort de vie en automatisant les tâches rébarbatives ;

–       Renforcer votre sécurité, que vous soyez présent ou absent.

6 conseils pour sécuriser votre maison

Vous avez une chance sur 10 d’être cambriolé tous les 5 ans. C’est le constat de Jean-Sébastien Prunet, directeur marketing de Somfy Protect. Comment se prémunir du risque de cambriolage ? Nous vous dévoilons 6 conseils pour vous protéger et sécuriser votre maison.

Simuler votre présence en votre absence

Que vous soyez en vacances ou en déplacement professionnel, certains signes ne trompent pas les cambrioleurs : volets fermés, lumières éteintes, courrier qui s’entasse… Ce sont autant d’éléments qui trahissent votre absence et font de votre maison une cible idéale. Pour éviter d’attirer les cambrioleurs, notre premier conseil est de simuler votre présence. Vous pouvez demander à vos voisins ou à vos proches de surveiller votre maison et de passer chez vous pour récupérer votre courrier, ouvrir les volets, arroser les plantes, sortir les poubelles, etc. Cela donnera l’impression que votre maison est habitée.

Verrouiller vos entrées

En moyenne, un cambrioleur expérimenté met moins d’une minute à forcer une porte d’entrée. En plus d’une serrure de bonne qualité, on vous conseille d’installer un éclairage à détecteur de mouvement devant l’entrée de votre maison, qui pourra dissuader le cambrioleur, et de poser un verrou sur vos volets pour éviter qu’il ne force vos fenêtres ou porte-fenêtres.

Installer des portes anti-effraction

Certaines portes, appelées portes anti-effraction, sont capables de résister 5 minutes à une tentative de cambriolage. 5 minutes, cela peut être décisif pour le cambrioleur qui risque d’abandonner. La résistance de la serrure est classé en 3 niveaux : AP1, A2P et AP3. Une serrure A2P est le modèle minimum pour une bonne résistance. Si vous vivez dans une zone à risque, vous pouvez également choisir une porte blindée qui sera encore plus robuste, mais également plus coûteuse.

Protéger vos fenêtres

Si la porte ne s’ouvre pas, les cambrioleurs s’attaquent généralement aux fenêtres et porte-fenêtres. N’hésitez pas à les équiper de défenses métalliques ou à faire poser des fenêtres blindées. Vous pouvez également les rendre difficiles d’accès, en faisant pousser des cactus ou des rosiers sous vos fenêtres. Pour protéger vos fenêtres de toit, vous pouvez faire installer des volets roulants à verrou auto-bloquant, qui empêchera l’ouverture des volets.

Sécuriser votre maison avec une alarme

L’installation d’une alarme complète de façon efficace nos précédents conseils. Il existe de nombreux modèles, dans toutes les gammes de prix. Certaines alarmes peuvent même prévenir directement les autorités. Si vous êtes partisan de la maison connectée, des alarmes connectées interagissent directement avec vous via votre smartphone et vous permettent d’activer les appareils de la maison en votre absence, afin de simuler votre présence. Un SMS vous prévient lorsqu’un mouvement est détecté.

Surveiller votre maison avec une caméra

Le marché des caméras de surveillance connectées est en plein essor. Ces caméras vous avertissent par e-mail ou par SMS de toute détection de mouvement. On peut trouver des caméras basiques comme des caméras rotatives à 360 degrés. On vous conseille d’investir d’abord dans une caméra surveillant votre entrée, et de compléter le système avec d’autres caméras placées à des endroits stratégiques, comme à l’extérieur ou dans votre salon. Certaines caméras intègrent une sirène en cas de détection de mouvement : un élément dissuasif qui fera fuir les cambrioleurs !

Grâce à ces conseils, vous êtes parés pour sécuriser efficacement votre maison et vous protéger des cambriolages et des intrusions.

Vos questions sur la sécurité de la maison

Comment sécuriser l’extérieur de la maison ?

80% des cambrioleurs s’introduisent par les portes et les fenêtres, mais avant cela, ils passent par votre jardin ! La sécurité du jardin ne doit donc pas être négligée.

Première chose à faire : ne jamais laisser de meubles ou d’objets pouvant être escaladés et permettre au cambrioleur d’entrer chez vous. Ensuite, vous pouvez installer un système d’éclairage automatique, une clôture fortifiée ou un panneau indiquant la présence d’un chien (même si vous n’en avez pas).

L’installation d’une caméra de sécurité connectée ou d’un détecteur de mouvement peut être dissuasif et vous prévenir en cas d’intrusion dans votre jardin. Cela vous laissera le temps d’alerter les forces de l’ordre !

En cas de cambriolage sans effraction, peut-on être indemnisé ?

Chaque année, on recense un certain nombre de cambriolages sans effraction. Tous les cambrioleurs ne forcent pas la porte d’entrée ou ne brisent pas une vitre. Certains profitent d’une fenêtre laissée ouverte, ou se font passer pour un artisan ou un pompier pour vous duper.

En général, il est compliqué d’obtenir un remboursement de son assurance dans ces cas-là, étant donné qu’il n’existe pas de trace matérielle de l’intrusion. Vérifiez tout de même votre contrat d’assurance et essayez de récolter des preuves du cambriolage : empreintes digitales, traces de pas, images de vidéosurveillance, etc.

Comment protéger son garage ?

Si l’on pense généralement à protéger sa maison, on oublie trop souvent de sécuriser le garage, alors qu’il peut être directement relié à la maison ou contenir des objets de valeur. Voiture, moto, vélo ou outils de bricolage : ce sont des objets qui intéressent les cambrioleurs.

En premier lieu, fermez toujours votre porte de garage à clé. Nous vous recommandons d’investir dans une serrure A2P et une porte anti-effraction. Pour plus de sécurité, vous pouvez également installer une alarme de garage, qui vous alertera en cas d’intrusion et fera fuir le cambrioleur.

Que faire en cas de tentative de cambriolage ?

Vous soupçonnez une tentative d’effraction à cause de traces de pas dans l’allée, de meubles déplacés ou d’une porte forcée ? La première chose à faire est de prévenir la police après avoir vérifié que vos portes et fenêtres sont intactes. Si vous craignez qu’un intrus soit présent dans votre maison, n’entrez pas : attendez l’arrivée de la police. Une fois dans votre maison, ne touchez à rien au risque d’effacer des preuves.

Vous pourrez ensuite faire vérifier votre porte par un professionnel, car elle a pu être fragilisée même si la tentative de cambriolage n’a pas abouti. N’oubliez pas de porter plainte sous 48h auprès des forces de l’ordre. Pour vous rassurer, vous pouvez faire installer un équipement de vidéosurveillance ou améliorer la sécurité de vos portes et de vos serrures.

Grâce à ces conseils, vous êtes parés pour sécuriser efficacement votre maison et vous protéger des cambriolages et des intrusions.

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