Pourquoi faire appel à un architecte paysagiste ?

Faire appel à un architecte paysagiste, c’est bénéficier de son regard global sur les notions d’esthétisme, d’équilibre, d’harmonie, de proportions… mais aussi l’ensemble de l’ingénierie technique, réglementaire et financière de vos projets d’aménagement extérieur. Indispensable !

Quelle est la différence entre un jardinier, un paysagiste et un architecte paysagiste ?

Un jardinier plante et entretient le jardin, mais sans le dessiner. Son rôle est purement exécutif, bien qu’il puisse rendre votre jardin bien plus joli en prenant soin de l’existant.

Un paysagiste peut imaginer l’aménagement d’un jardin et réaliser les plantations. La conception de plan n’est pas son cœur d’activité, il est expert en réalisation et en entretien d’espaces extérieurs. Généralement, il intervient sous les ordres de l’architecte d’aménagement extérieur.

L’architecte paysagiste a la capacité d’imaginer un projet global et durable, qui s’inscrira dans la continuité de l’habitation, tout en respectant les contraintes de faisabilité et l’environnement existant. Un vrai travail d’architecte !

Quel est le rôle de l’architecte paysagiste ?

Architecte paysagiste est un titre répandu dans de nombreux pays francophones. C’est un métier protégé dont le diplôme est délivré par des écoles d’architecture et de paysage. Il n’en existe que 5 en France, il s’agit donc d’un parcours sélectif. Par la suite, vous obtiendrez le diplôme de paysagiste diplômé d’État.

L’architecte paysagiste, à l’instar de l’architecte en bâtiments ou l’architecte d’intérieur, est un concepteur. Il imagine l’ensemble des espaces extérieurs, qu’ils soient publics ou privés. Il manage ensuite les entreprises (paysagistes, paveurs, électriciens, maçons, ébénistes, …) pour traduire sa conception dans la réalité.

Quels travaux peut faire un paysagiste architecte extérieur ?

L’architecte extérieur de jardin travaille sur un projet global, qu’il s’agisse de terrassement, d’aménagement paysager ou d’installation d’ouvrages en bois.

Lors d’un premier rendez-vous, il recueillera vos besoins et vos souhaits, et vous offrira des conseils pour orienter votre projet. Cela lui permettra également d’appréhender les espaces et d’estimer la faisabilité de votre projet d’aménagement extérieur.

Ensuite, il vous proposera un avant-projet sur plan accompagné d’un devis et d’échantillons. Jardin à la française, jardin anglais, jardin japonais, jardin contemporain… Il fera de son mieux pour retranscrire vos envies dans un plan sur-mesure.

Son rôle ne se limite généralement pas à la conception d’un plan. Si vous le désirez, il pourra se charger de la réalisation des travaux, de la préparation du terrain à l’installation des différents équipements. Il peut également chercher une entreprise capable de mener les travaux demandés et assurer la supervision. Cela dépend de l’envergure de votre projet.

Sa dimension de conseil dépasse l’aspect technique et vise la recherche de l’esthétisme pour créer des espaces de vie sur mesure et personnalisés.

Quand faire intervenir un artisan paysagiste ?

L’architecte jardinier peut intervenir en amont de votre projet, en concevant le paysage et les plans pour aménager au mieux votre jardin. Il peut également s’occuper de la réalisation et du suivi de chantier.

Quel budget pour aménager un jardin ?

Plusieurs critères influencent le coût des travaux d’architecture d’extérieur. Tout d’abord, la taille de votre jardin va déterminer la quantité de terre et de végétaux nécessaires pour l’aménagement. La topographie du terrain influera également sur la complexité des travaux.

Toutes les plantes, les fleurs et les arbres ne valent pas le même prix, en fonction de vos choix l’enveloppe sera plus ou moins importante.

Les types d’aménagement prennent plus ou moins de temps et de matériaux. Créer une pelouse ne vous coûtera pas la même chose que tracer une allée de jardin, semer un parterre de fleurs ou construire un muret.

Intégrer une terrasse, une pergola ou un abri de jardin va nécessairement augmenter la facture, si vous souhaitez ajouter ce type d’aménagements paysagers.

Dans tous les cas, votre architecte de jardin saura vous conseiller les meilleures solutions pour respecter votre budget.

Construire une cabane en bois dans les arbres de son jardin

COMMENT CONSTRUIRE UNE CABANE EN BOIS DANS LES ARBRES ?

Il existe toujours en soi une part de l’enfant. Construire une cabane en bois est l’occasion se relier avec des désirs profonds de refuge haut perché dans les arbres. Une jolie façon de se rapprocher de la nature, d’observer ses habitants… Et de créer un moment de partage avec les enfants au moment où on conçoit et construit notre cabane en bois. Il existe bien évidemment des kits prêt à monter mais on peut aussi la concevoir personnellement. Pour vous, quelques pistes à suivre pour réaliser votre projet comme un grand !

DEMANDE D’AUTORISATION ?

Avant toute chose, il est préférable de passer en mairie afin de vous renseigner sur ce que vous avez le droit de faire. Et si vous vivez dans une copropriété, il est également judicieux d’informer le conseil syndical et le syndic afin de vous assurer que votre rêve de cabane ne vienne pas perturber les règles de vie en communauté !

comment fait-on mainImage-main-4315897Crédit@Comment fait-on ?
Légende : cabane d’enfant dans les arbres

QUELQUES BONS RÉFLEXES

Puisque vous allez travailler en hauteur, dans un espace étroit, avec des branches autour de vous, il est bon de vous sécuriser en portant un harnais et de toujours vérifier la stabilité de vos appuis.

Si vos enfants sont très jeunes, préférez une première cabane de jardin au sol… Plus prudent avant de passer à une projet plus ambitieux dans les airs.

TROUVER LE BON ARBRE

Sachez que la robustesse de l’arbre est fondamentale, c’est lui qui va porter la cabane.

Portez votre choix sur des essences connues pour leur stabilité comme le chêne, le châtaigner, l’épicéa, le sapin, le platane, le tilleul, le marronnier, le cèdre, le frêne…

Etudiez et observez  la mobilité des branches, leur prise au vent et surtout le devenir et le développement prochain de l’arbre.

FAITES UN CROQUIS DE VOTRE CABANE

Cette étape est importante car elle va vous plonger de façon technique dans les potentialités de l’arbre. Vous ferez un relevé précis branches sur lesquels vous pouvez baser les fondations notamment.

Pour le développement proprement dit de la cabane, inspirez-vous des images trouvées sur internet et dans les ouvrages consacrés à ce sujet.

SOIGNEZ LES FONDATIONS DE LA CABANE

Les premières branches d’un arbre sont les plus résistances. C’est donc sur elles que se posent les poutres (madriers, troncs) à la hauteur désirée.

S’il s’agit d’une construction simple, vous pouvez les suspendre, les caler dans une fourche. Ainsi, la cabane bougera avec l’arbre.

Pour une construction plus élaborée, plus lourde, vissez-les de chaque côté du tronc en intercalant une plaque de métal. Pour les relier, posez des traverses découpées à la dimension voulue selon la forme définitive de la cabane.

FIXER SOLIDEMENT LES PLANCHES DU SOL

Point essentiel dans la construction d’une cabane dans un arbre : la fixation. Solide, elle doit cependant respecter l’arbre, tenir compte de ses mouvements. Ne sous-estimez pas le poids des planches. Utilisez un gros tire-fond inoxydable pour traverser une branche de part en part plutôt que de multiples vis ou clous dans l’écorce. Il faut veiller à ne pas trop percer dans l’écorce ni étouffer le tronc, ce qui le fragiliserait à terme.

INSPIRATION CONSTRUCTION UNE CABANE EN BOIS DANS LES ARBRES

source cabane en Lorraine - 2012-12-18 mardi 12.15.21 2Crédit@Cabane en Lorraine
Légende : cabane en construction dans les arbres

DÉVELOPPER LE PLANCHER ET LES MURS

Le bois de clayette est parfait pour le plancher. Il suffit de fixer des lattes côte à côte sans interstice. Jouez avec le passage des branches d’arbre dans chaque panneau de mur. Cela renforcera le côté très naturel de la construction.

FINISSEZ PAR LA TOITURE

Posez les éléments de charpente sur les lesquels vous fixerez le revêtement de votre choix pour protéger la cabane de la pluie.

credit Nid PercheCrédit@Nid Perché
Légende : cabane dans les arbres

Quels luminaires choisir pour l’extérieur ?

LA MISE EN LUMIÈRE DU JARDIN ET DE LA TERRASSE EST DEVENUE UNE ÉVIDENCE. ON AIME SCÉNOGRAPHIER L’ESPACE EXTÉRIEUR  AFIN DE CRÉER DES AMBIANCES DANS LESQUELS ON SE SENT BIEN.

Il existe aujourd’hui un grand nombre de luminaires qui s’installent à des endroits bien spécifiques. On vous donne quelques pistes pour rendre votre jardin lumineux.

LES ALLÉES

Pour mettre en lumière l’entrée d’une maison, il est conseillé dans la tendance jardin, d’installer des bornes extérieures de chacun des côtés à distance régulière. On peut aussi placer des spots à même le sol. L’idée est d’orienter le faisceau lumineux vers le bas afin de ne pas éblouir.

L’éclairage LED (résistant et peu consommateur d’énergie, facile à mettre en œuvre), est particulièrement recommandé pour baliser une allée.

KENDAL-Bornes-extérieures-Crédit@Kendal

LA TERRASSE

Espace de réception ou de détente, la terrasse mérite un éclairage à la fois direct pour y voir clair mais aussi indirect pour créer une jolie ambiance. Ici, on jouera avec des appliques fixées aux murs, on pourra également marquer l’emplacement de la terrasse en lui associant des spots au sol. Pour la magie et la décoration, on n’hésite pas à multiplier les sources lumineuses indirectes en associant des photophores, des guirlandes lumineuses…

LOLA---LampadaireCrédit@Lola

MALIBU-Projecteur-allogèneCrédit@Malibu

MORINO-applique-extérieure-muraleCrédit@Morino

LES ARBRES ET LES MASSIFS

Les arbres très feuillus et les conifères réclament un éclairage directionnel qui orientera la lumière du bas vers le haut. Les éclairages halogènes (éclairage puissant) sont ici particulièrement recommandés.

Les espèces au feuillage peu dense s’appréhendent avec plus de subtilité. On leur choisit des éclairages diffus positionnés à différents niveaux afin de créer des jeux d’ombres qui donneront du relief aux massifs.

VARIO-Spot-oreintable-rondCrédit@Vario

COMMENT METTRE EN LUMIÈRE SON JARDIN ? TOUS NOS CONSEILS ET IDÉES JARDIN.

. Eviter de trop éclairer
L’idée est d’attirer le regard sur quelques zones comme les grands arbres feuillus et de jouer avec les zones d’ombre. L’important est de trouver un bon équilibre afin de créer des perspectives entre ombre et lumière.
. Bien orienter les faisceaux lumineux
Il faut toujours garder en tête que la lumière met en valeur un espace bien précis. Il ne s’agit jamais de créer un éclairage général mais un focus sur un détail en particulier.

QUELLES SONT LES NORMES DE SÉCURITÉ ?

Il est important d’acheter des luminaires extérieurs conformes, aptes à résister aux intempéries, ainsi qu’un transformateur à la puissance adéquate, calculée en fonction du nombre de points lumineux désiré… Une installation en T.B.T.S. permet de cacher les fils en bordure de massifs et de les recouvrir d’écorces.

Jardinage en automne : 10 travaux à faire impérativement

L’été touche petit à petit à sa fin… Pour profiter du jardin l’année prochaine, il est conseillé de le préparer aux conditions automnales en effectuant les bons travaux de jardin. Dès que les feuilles commencent à tomber des arbres et à changer de couleur, il est temps de sortir les bottes, le sécateur, la bêche, le râteau, le souffleur de feuilles… Passage en revue des gestes à adopter au jardin en automne.

Tondez une dernière fois la pelouse

Vers la fin du mois de septembre, dès que les feuilles mortes commencent à tomber, c’est le moment de ramasser les feuilles à l’aide d’un râteau ou d’un souffleur pour éviter que la pelouse ne jaunisse ou ne soit envahie de mousse. Recyclez les feuilles mortes dans le compost ou comme paillis pour protéger vos plantations.

Lors de la dernière tonte, entre la fin octobre et le début du mois de novembre, il est conseillé de régler les lames de la tondeuse pour qu’elles soient un peu plus hautes. Des herbes plus longues captent plus de soleil et empêchent ainsi l’apparition de mauvaises herbes et de mousse.  C‘est aussi le moment de répandre un peu d’engrais aux endroits qui manquent d’herbe.

Plantez les bulbes et les fleurs bisannuelles

On plante les bulbes (tulipes, jacinthes, crocus, perce-neige, muscaris… ) qui doivent fleurir à la fin de l’hiver ou au printemps au plus tard en octobre, lorsque l’automne est au jardin. A cette période, la terre est encore assez meuble et tiède pour qu’on puisse les enfoncer assez profondément (environ deux fois la hauteur du bulbe).

Certaines fleurs bisannuelles peuvent être plantées à l’automne, au mois d’octobre. C’est le cas des primevères, des myosotis ou des pensées d’automne. Dès le printemps prochain, vous aurez de jolies fleurs !

Rentrez les plantes d’été

A l’inverse, on pense à rempoter les végétaux d’été (bougainvillier, laurier rose, cactus…) et à les entreposer dans un local frais et aéré pour les replanter à l’arrivée des beaux jours. Si vous avez un abri de jardin, c’est l’idéal !

Récoltez les derniers légumes

Si vous avez planté des légumes d’été, il est temps d’achever leur récolte en octobre. Récoltez les tomates, les poivrons, les courgettes et les aubergines restants dans votre potager. Si vous en avez trop, vous pourrez les congeler pour en profiter durant l’hiver.

Travaillez et aérez le sol

L’automne est la saison où le sol a besoin d’un peu de repos. Il faut d’abord bêcher et labourer le sol pour l’aérer, mais pas trop profondément, pour éviter de briser les racines et de chambouler les micro-organismes qui s’y trouvent.

C’est également le moment d’amender le sol, c’est-à-dire de l’enrichir. On utilise un fertilisant naturel comme du compost.

Taillez les haies, les arbustes et les buissons

Avec l’apparition du froid, les arbres et arbustes rétractent leur sève vers leur tronc et leurs racines pour éviter de geler. Par conséquent, les extrémités commencent à jaunir. C’est à ce moment-là qu’il faut les tailler, pour qu’elles puissent repousser correctement au printemps.

On coupe les buissons et les arbustes environ aux trois quarts. Vos déchets verts, tout comme les feuilles mortes, serviront de paillis ou iront dans le composteur.

Prenez soin de vos rosiers

Si vous avez de jolis rosiers, vous avez certainement envie qu’ils survivent à l’hiver. Enlevez les mauvaises herbes qui poussent autour et retirez les fleurs fanées au fur et à mesure.

L’humidité de l’automne peut favoriser la prolifération de champignons, qui font jaunir les feuilles et entraînent leur chute. Ramassez-les rapidement et prévoyez un traitement fongicide une fois toutes les feuilles tombées.

Plantez de nouveaux végétaux

“A la Sainte Catherine, tout bois prend racine” !

C’est pourquoi le mois de novembre est le meilleur moment pour planter de nouveaux végétaux : arbres fruitiers, arbustes, rosiers… En procédant ainsi, vous facilitez l’enracinement des végétaux avant les gelées hivernales.

Semez les légumes d’hiver

L’automne ne signifie pas que vous ne pouvez plus rien planter dans votre potager : de nombreux légumes peuvent être plantés en automne et récoltés pendant l’hiver.

Vous pouvez semer des brocolis, des choux, des carottes, des céleris, des pois, des rutabagas, des chou-fleurs et des épinards. La mâche se sème très tôt, 4 à 8 semaines avant les premières gelées. La roquette, la betterave et le chou frisé peuvent être plantés toute l’année.

Nettoyez vos outils de jardinage

L’automne reste aussi la saison parfaite pour nettoyer correctement vos outils de travaux de jardinage. Vous prolongerez leur durée de vie en les entretenant régulièrement.

Retirez la terre de vos outils, lavez-les, séchez-les. Si vos outils sont un peu rouillés, nettoyez les parties métalliques avec du papier de verre très fin.

Utilisez une pierre à affûter pour aiguiser vos petits outils (comme le sécateur) et une lime à fer ou une meuleuse pour les gros outils (comme la pelle bêche).

Abri de jardin en bois, en PVC ou en métal ?

Un abri de jardin, ça ne se construit pas sur un coup de tête. Avant de se lancer, il faut s’interroger sur le type de matériau à choisir selon l’utilisation que vous souhaitez en faire. Abri de jardin en bois, en PVC, en métal : on vous aide à trouver le meilleur matériau selon vos besoins.

Abri de jardin en bois

L’abri de jardin en bois possède de nombreuses qualités : très esthétique, il s’adapte à tous types de jardins grâce à son aspect naturel et brut. La possibilité de personnalisation est un atout majeur, car il existe de nombreux types de bois, de couleurs ou de peintures adaptées à ce matériau. Généralement, la construction d’un abri de jardin en bois est simple et nécessite moins de matériel que les abris en métal.

 

De plus, l’abri en bois s’adapte à tous vos besoins : vous pouvez autant l’utiliser pour ranger vos outils, pour bricoler comme en faire une pièce de vie. Ces abris extérieurs sont résistants au vent, à la grêle et à la neige, mais peuvent avoir besoin d’un traitement régulier contre l’humidité et un renforcement de leur isolation. Un traitement insecticide et fongicide est également nécessaire pour préserver votre abri.

–       Comptez entre 400 et 4000€ pour un abri de jardin en bois.

 

Abri de jardin en PVC

L’abri de jardin en PVC comporte un avantage non négligeable : son prix très abordable, défiant toute concurrence. Ainsi, si vous avez besoin d’un simple lieu de stockage, l’abri en PVC vous conviendra parfaitement. Concernant l’entretien, un nettoyage au jet d’eau est amplement suffisant !

 

S’ils se montreront résistants face à la pluie et à la grêle, les abris de jardin en PVC ne sont pas forcément adaptés si votre jardin est fortement exposé au vent. De même, certains abris bas de gamme risquent, au fil du temps, de se déformer et de se délaver.

–       Les prix varient entre 200 et 1500€.

 

Abri de jardin en métal

Comparé aux précédents matériaux, les abris de jardin en métal sont les plus solides et les plus durables. Garanti jusqu’à 25 ans, votre abri extérieur fera face à toutes les météos : pluie, vent, grêle… Tout comme le PVC, son nettoyage est facile et ne nécessite qu’un jet d’eau de temps en temps. Cependant, en bord de mer, votre abri en métal risque de s’user plus rapidement.

 

Si vous n’êtes pas bricoleur, le montage de votre abri de jardin en métal va vous paraître fastidieux : beaucoup de pièces, de vis, un assemblage complexe… pour un résultat plus pratique qu’esthétique, avec une isolation souvent insuffisante.

–       On estime entre 350 et 2000€ le prix d’un abri en métal.

 

En un mot, les abris de jardin en bois, en PVC et en métal ont chacun leurs atouts et leurs inconvénients : à vous de choisir celui qui est le plus adapté à vos besoins et à votre budget.