La piscine naturelle en 7 questions

La piscine naturelle a vu le jour en Allemagne et en Autriche il y a plus de 20 ans. Des écologistes avant-gardistes souhaitaient se baigner dans une eau préservée de la corrosivité des produits chimiques : ils ont donc eu l’idée de construire une piscine naturelle. En France, cette vague est apparue plus tard et connaît aujourd’hui un véritable engouement. Découvrez tout ce qu’il y a à savoir sur les piscines naturelles !

Piscine-naturelle-crédit@TeichMeister

1. Qu’est-ce qu’une piscine naturelle ?

Une piscine naturelle, ou piscine biologique, donne le sentiment de se baigner dans un étang naturel parmi la végétation. Elle reproduit un écosystème en utilisant les propriétés des plantes et des bactéries pour garantir une eau toujours claire et limpide. Elle n’utilise aucun produit chimique, contrairement aux piscines classiques.

L’écosystème se divise en trois parties distinctes : la zone de baignade, de filtration et de régénération.

La zone de baignade

Cette partie est l’endroit où vous pouvez vous baigner. Il s’agit du bassin de natation. La zone est équipée d’un filtre à sable, d’une écumoire, d’un filtre UV et d’un compartiment de sédimentation.

La zone de filtration

Cette partie du bassin accueille les plantes épuratrices et oxygénantes qui vont naturellement assainir et filtrer l’eau. On appelle ça le lagunage : c’est un système naturel d’épuration effectué par des micro-organismes, des plantes aquatiques et des algues. La zone est généralement peu profonde.

Des petits animaux peuvent également y élire domicile : grenouilles, crevettes ou petits poissons. Ils transformeront les matières organiques en substances nutritives pour les plantes.

La zone de régénération

Cet espace est facultatif. Il peut accueillir une cascade ou une chute pour aérer le bassin et oxygéner l’eau.

Ces 3 zones garantissent la qualité de l’eau du bassin de natation. La circulation de l’eau entre les différentes zones est assurée par une pompe.

L’eau passe dans la zone de baignade puis dans une colonne de décantation dans laquelle se déposent les particules organiques lourdes. Les particules fines (azote, nitrate, oligo-éléments…) remontent vers les racines des végétaux plantés dans le bassin de filtration. L’eau arrive ensuite dans le bassin de régénération (aussi appelé « lagunage » et garni de galets), peu profond, qui termine le traitement et réchauffe naturellement l’eau.

2. Comment préserver l’équilibre de l’écosystème d’une piscine naturelle ?

Au moment de la construction de la piscine naturelle, il faut avoir en tête que la surface de lagunage doit être égale à la surface de baignade pour préserver l’équilibre de l’écosystème. La zone de végétation est le poumon de la piscine.

Pour s’assurer de la bonne filtration de la piscine naturelle, il faut choisir des plantes aquatiques efficaces comme la jacinthe d’eau, le roseau, l’iris des marais, la callitriche et la myriophylle.

L’hiver, la pompe reste en fonctionnement pour assurer un mouvement d’eau et une oxygénation constante du bassin. Il faut simplement couper les végétaux à une vingtaine de centimètres du niveau de l’eau pour éviter que le feuillage sec ne se désagrège dans l’eau.

3. Les piscines naturelles sont-elles toujours vertes ?

Comme pour les piscines traditionnelles, le bassin de baignade est recouvert d’un liner pour s’assurer d’une parfaite étanchéité. On peut donc en choisir librement la couleur. Le vert est majoritairement choisi en écho aux couleurs de l’environnement naturel.

4.  Quel entretien pour une piscine naturelle ?

Une piscine naturelle nécessite moins d’entretien qu’une piscine classique.

Aucun produit chimique n’est nécessaire pour désinfecter l’eau : l’eau est filtrée et épurée grâce à l’écosystème mis en place. Cet écosystème va attirer des petits animaux (poissons, grenouilles, tritons) qui vont aussi assurer l’épuration du bassin en se nourrissant de micro-algues et de petits insectes.

Chaque semaine, vous devrez nettoyer le fond du bassin, vider les skimmers et aspirer les algues sur les galets. Certains robots de piscine sont adaptés aux piscines naturelles.

Il vous faudra tailler les plantes en automne et protéger le bassin de la chute des feuilles. Pour cela, n’hésitez pas à installer un filet protecteur durant l’automne. En hiver, videz les tuyaux de filtration pour les protéger du gel.

5. Combien coûte la construction d’une piscine naturelle ?

Le prix d’une piscine naturelle est plus élevé que celui d’une piscine classique. Il faut compter entre 20 000 et 60 000€ pour faire une piscine naturelle.

En général, une piscine écologique est 2 fois plus grande qu’une piscine traditionnelle, car le bassin de filtration doit avoir une taille équivalente au bassin de baignade. Ainsi, même si vous choisissez de construire une petite piscine naturelle, elle vous coûtera aussi cher qu’un grand bassin.

6.  Quels sont les grands avantages d’une piscine naturelle ?

Disposer d’une piscine naturelle dans votre jardin vous offre bon nombre de bénéfices. Par exemple :

 

  • une eau filtrée sans traitement chimique
  • aucun risque d’allergie, de mycose ou d’yeux rouges
  • une piscine esthétique, qui se fond parfaitement dans votre jardin
  • un entretien simple et peu coûteux

7. Quels sont les inconvénients de la piscine naturelle ?

Les piscines naturelles ont aussi leurs inconvénients. Par exemple, le fond des bassins est généralement glissant, du fait de l’écosystème. La température de l’eau est également plus fraîche. Une eau trop chaude (au-dessus de 24°C) perturberait l’écosystème en place et encouragerait la prolifération des bactéries.

D’un point de vue financier, en plus de coûter cher à la construction, la piscine naturelle est onéreuse toute l’année. Il faut compter environ 40 m3 par an pour renouveler l’eau d’une piscine de 100 m². La consommation électrique est également importante car la pompe fonctionne en continu.

Quel portail associer à son habitat ?

Le portail s’impose comme la première chose que l’on voit. Il laisse imaginer en fonction de son esthétique, à quel style de maison il renvoie. Son choix vaut la peine que l’on se penche sur les différentes possibilités de composition qu’il offre : système d’ouverture, matériau, finition…

  • Le portail de la maison : battant, coulissant, motorisé ?

Le portail battant se compose de deux vantaux qui mesurent entre 2 et 4 mètres de largeur et s’ouvrent à angle droit, voire à 180° pour certains modèles. Selon l’espace dont on dispose sur la propriété, on peut choisir une ouverture vers l’intérieur ou vers l’extérieur.

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Le portail coulissant est très souvent formé d’un seul ventail s’ouvrant latéralement est, comme son nom l’indique, composé d’une porte qui coulisse le long de la clôture. Si on a peu d’espace entre le garage et le portail ou bien si l’entrée de la propriété se trouve en bordure de la route, ce système permet de gagner de la place.

Quel que soit le système choisi, un portail peut être à ouverture manuelle ou motorisée.

  • Quel matériau : PVC, bois, alu, fer forgé ?
  • Le portail PVC est avant tout une solution économique. Son prix est abordable et il
  • nécessite peu d’entretien. Une éponge, de l’eau et du savon suffisent pour le garder
  • propre et neuf. Toutefois, sa durée de vie est limitée. Même s’il supporte froid,
  • humidité et rouille, le PVC n’est pas une matière très résistante aux chocs. Il offre
  • l’avantage d’être abordable et facile à monter.

Le portail en bois est plus traditionnel. Très résistant dans le temps, il aura tout de même besoin d’être traité régulièrement pour être protégé des intempéries avec l’application d’une lasure. Ce matériau laisse un large choix de couleurs et surtout d’essences (chêne, pin, bois exotique, etc.). Son budget est assez élevé pour un modèle de qualité.

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Le portail en aluminium représente une valeur sûre tant sa durée de vie est élevée. Il est beaucoup plus coûteux que le PVC ou le bois mais ne nécessite pas d’entretien particulier. Solide, il résiste à toutes sortes d’intempéries et ne rouille pas. S’il se tord suite à un choc violent, il peut être redressé pour retrouver sa forme originale. L’aluminium offre une multitude de possibilités de coloris, de finitions et de formes.

Le portail en fer forgé fait son grand retour. Sobre et élégant, il est solide et robuste dans le temps, à condition de le traiter régulièrement contre la corrosion. Il peut être peint de toutes les couleurs de notre choix.

  • Les critères de choix à retenir

Les dimensions : si l’espace de l’entrée n’est pas standard, il faudra opter pour un portail sur mesure.

Le prix : les portails en PVC sont les moins chers tandis que les portails en aluminium et fer forgé sont les plus onéreux.

La durée de vie : l’aluminium et le fer forgé sont les plus résistants dans le temps.

Le rapport qualité/prix : les portails en aluminium offrent le meilleur rapport qualité/prix dans la mesure où ils nécessitent peu d’entretien.

Comment agrandir sa terrasse ?

C’est pendant l’été que l’on se rend compte que notre terrasse est trop petite par rapport à l’usage que l’on aimerait en faire. La solution : agrandir sa terrasse, pour améliorer sa surface, son esthétique et notre confort !

Terrasse de plan-pied ou terrasse surélevée ?

Il existe deux types de terrasse, et c’est ce qui va déterminer les modalités d’extension, les matériaux nécessaires et les autorisations à obtenir.

 

–       la terrasse de plain-pied, située au niveau du sol ;

–       la terrasse surélevée par rapport au terrain, sur pilotis ou sur murs.

 

Le choix de la terrasse surélevée dépend notamment de votre terrain : s’il est pentu, il est conseillé de surélever votre terrasse afin qu’elle reste au même niveau que votre habitation.

 

 

Autorisations obligatoires pour agrandir sa terrasse 

Selon votre type de terrasse, vous aurez besoin de recueillir des autorisations pour vos travaux. Cela dépend de l’emprise au sol de votre terrasse et de sa surface de plancher.

Agrandir une terrasse de plain-pied ne requiert aucune autorisation, car elle n’a pas de projection verticale sur le sol : ce n’est donc pas une construction créant de l’emprise au sol. Si vous avez une terrasse de plain-pied, vous pouvez commencer les travaux dès maintenant.

Par contre, pour une terrasse surélevée ou une couverture de terrasse entre 5m² et 20m², il vous faudra déposer une déclaration de travaux auprès de votre mairie. Si votre agrandissement dépasse les 20m², il vous faudra un permis de construire.

Les vues directes entre deux propriétés sont également réglementées, vérifiez donc bien que l’extension de votre terrasse n’aura pas d’incidence sur les vues.

 

 

Quels sont les travaux nécessaires pour agrandir sa terrasse ?

AGRANDIR UNE  TERRASSE DE PLAIN-PIED

L’extension de la terrasse de plain-pied devra être construite de la même manière que la terrasse existante, afin qu’elles soient au même niveau. Il faudra décaisser le sol et y couler une chape sur treillis métallique. Un coffrage perdu en parpaings devra être créé afin de faire couler proprement la chape de béton. La terre doit obligatoirement arriver 5 cm au-dessous du niveau fini de votre terrasse, pour éviter que l’eau ne coule dans le sol terreux, et remonte sur la terrasse.

 

 

AGRANDIR UNE TERRASSE SURÉLEVÉE

La procédure d’agrandissement de votre terrasse surélevée doit être identique à celle de la terrasse existante, notamment pour la structure et la hauteur des pilotis. Vous pouvez placer des poutres de rive à la hauteur désirée, pour confectionner le cadre support de la terrasse.

 

Pour tous les types de terrasse, il est nécessaire de refaire entièrement le support de la terrasse pour l’agrandir, surtout si elle est surélevée. Pour éviter que l’eau ne stagne sous la terrasse, elle doit disposer d’une faible pente, de 1.5 à 2.5%.

 

Vous pouvez vous lancer seul dans l’agrandissement de votre terrasse, mais cela requiert un grand nombre de connaissances, notamment pour décaisser le sol ou poser les pilotis. Si vous avez peur de faire des erreurs, n’hésitez pas à confier la réalisation de votre extension à un artisan, afin d’être certain de la qualité de votre extension de terrasse.

Nos idées déco pour aménager sa terrasse

Pièce outdoor, la terrasse devient l’élément central de notre décoration dès l’arrivée des beaux jours. Style décalé, verdoyant, coloré ou encore zen, découvrez nos meilleures idées déco pour aménager et décorer votre terrasse.

Décorer sa terrasse avec des plantes

Envie d’une ambiance dépaysante ou bien reposante ? Dans les deux cas, les plantes et les fleurs sont les bienvenues sur votre terrasse. Pour végétaliser votre terrasse, vous avez plusieurs possibilités :

–       les traditionnelles fleursplantes ou arbustes peuvent siéger dans des pots ou dans des jardinières. Directement au sol de votre terrasse ou sur le rebord de vos fenêtres, elles vous offriront une bulle d’oxygène.

–       pour habiller vos murs ou vos palissades, misez sur les plantes grimpantes pour un effet jungle urbaine. Si vous n’êtes pas fan de lierre, pas de panique : de nombreuses fleurs s’accrochent aux façades. La clématite, le jasmin étoilé, le bougainvillier ou la passiflore sont des plantes grimpantes qui ajouteront de la couleur à votre terrasse.

–       pensez à aménager un coin potager si vous désirez cueillir les fruits (et les légumes) de votre travail. Inutile d’avoir beaucoup d’espace : aromates, tomates cerises, fraises ou encore radis prennent très peu de place et sont faciles à cultiver.

 

 

Dynamiser sa terrasse avec des couleurs

Généralement, on ne peut profiter de notre terrasse qu’en été. Avec les beaux jours qui reviennent, c’est l’occasion d’oser les couleurs dans cette pièce outdoor ! Le jaune, le rose, le vert, le rouge ou le bleu dynamiseront votre terrasse. Selon vos envies, vous pouvez ajouter de la couleur par petites touches grâce à des pots de fleurs ou des coussins colorés, ou alors opter pour la tendance maximaliste avec des salons de jardin ou des hamacs aux couleurs vives. Et pourquoi pas repeindre un mur ?

 

 

Fabriquer ses propres meubles pour sa terrasse

Pour les terrasses, la tendance est à la récup’ et au Do it yourself ! Qui n’a jamais flashé sur une table ou un salon de jardin en palettes ? Très simples à fabriquer soi-même, les meubles en palettes sont de plus en plus plébiscités pour décorer les terrasses. Vous pouvez aussi simplement récupérer une caisse en bois pour en faire une table d’appoint ! Avec un peu d’imagination, vous pourrez créer une terrasse à votre image, sans dépenser une fortune !

 

 

 

 

Faire de sa terrasse un coin détente

Si vous avez une petite terrasse, c’est l’endroit idéal pour en faire un coin détente et cosy. Des assises confortables, une table basse en bois, un tapis d’extérieur, un hamac pour la sieste, des guirlandes lumineuses pour les soirées d’été et le tour est joué ! Votre terrasse deviendra rapidement votre pièce préférée pour vous prélasser.

 

Jardinage en automne : 10 travaux à faire impérativement

L’été touche petit à petit à sa fin… Pour profiter du jardin l’année prochaine, il est conseillé de le préparer aux conditions automnales en effectuant les bons travaux de jardin. Dès que les feuilles commencent à tomber des arbres et à changer de couleur, il est temps de sortir les bottes, le sécateur, la bêche, le râteau, le souffleur de feuilles… Passage en revue des gestes à adopter au jardin en automne.

Tondez une dernière fois la pelouse

Vers la fin du mois de septembre, dès que les feuilles mortes commencent à tomber, c’est le moment de ramasser les feuilles à l’aide d’un râteau ou d’un souffleur pour éviter que la pelouse ne jaunisse ou ne soit envahie de mousse. Recyclez les feuilles mortes dans le compost ou comme paillis pour protéger vos plantations.

Lors de la dernière tonte, entre la fin octobre et le début du mois de novembre, il est conseillé de régler les lames de la tondeuse pour qu’elles soient un peu plus hautes. Des herbes plus longues captent plus de soleil et empêchent ainsi l’apparition de mauvaises herbes et de mousse.  C‘est aussi le moment de répandre un peu d’engrais aux endroits qui manquent d’herbe.

Plantez les bulbes et les fleurs bisannuelles

On plante les bulbes (tulipes, jacinthes, crocus, perce-neige, muscaris… ) qui doivent fleurir à la fin de l’hiver ou au printemps au plus tard en octobre, lorsque l’automne est au jardin. A cette période, la terre est encore assez meuble et tiède pour qu’on puisse les enfoncer assez profondément (environ deux fois la hauteur du bulbe).

Certaines fleurs bisannuelles peuvent être plantées à l’automne, au mois d’octobre. C’est le cas des primevères, des myosotis ou des pensées d’automne. Dès le printemps prochain, vous aurez de jolies fleurs !

Rentrez les plantes d’été

A l’inverse, on pense à rempoter les végétaux d’été (bougainvillier, laurier rose, cactus…) et à les entreposer dans un local frais et aéré pour les replanter à l’arrivée des beaux jours. Si vous avez un abri de jardin, c’est l’idéal !

Récoltez les derniers légumes

Si vous avez planté des légumes d’été, il est temps d’achever leur récolte en octobre. Récoltez les tomates, les poivrons, les courgettes et les aubergines restants dans votre potager. Si vous en avez trop, vous pourrez les congeler pour en profiter durant l’hiver.

Travaillez et aérez le sol

L’automne est la saison où le sol a besoin d’un peu de repos. Il faut d’abord bêcher et labourer le sol pour l’aérer, mais pas trop profondément, pour éviter de briser les racines et de chambouler les micro-organismes qui s’y trouvent.

C’est également le moment d’amender le sol, c’est-à-dire de l’enrichir. On utilise un fertilisant naturel comme du compost.

Taillez les haies, les arbustes et les buissons

Avec l’apparition du froid, les arbres et arbustes rétractent leur sève vers leur tronc et leurs racines pour éviter de geler. Par conséquent, les extrémités commencent à jaunir. C’est à ce moment-là qu’il faut les tailler, pour qu’elles puissent repousser correctement au printemps.

On coupe les buissons et les arbustes environ aux trois quarts. Vos déchets verts, tout comme les feuilles mortes, serviront de paillis ou iront dans le composteur.

Prenez soin de vos rosiers

Si vous avez de jolis rosiers, vous avez certainement envie qu’ils survivent à l’hiver. Enlevez les mauvaises herbes qui poussent autour et retirez les fleurs fanées au fur et à mesure.

L’humidité de l’automne peut favoriser la prolifération de champignons, qui font jaunir les feuilles et entraînent leur chute. Ramassez-les rapidement et prévoyez un traitement fongicide une fois toutes les feuilles tombées.

Plantez de nouveaux végétaux

“A la Sainte Catherine, tout bois prend racine” !

C’est pourquoi le mois de novembre est le meilleur moment pour planter de nouveaux végétaux : arbres fruitiers, arbustes, rosiers… En procédant ainsi, vous facilitez l’enracinement des végétaux avant les gelées hivernales.

Semez les légumes d’hiver

L’automne ne signifie pas que vous ne pouvez plus rien planter dans votre potager : de nombreux légumes peuvent être plantés en automne et récoltés pendant l’hiver.

Vous pouvez semer des brocolis, des choux, des carottes, des céleris, des pois, des rutabagas, des chou-fleurs et des épinards. La mâche se sème très tôt, 4 à 8 semaines avant les premières gelées. La roquette, la betterave et le chou frisé peuvent être plantés toute l’année.

Nettoyez vos outils de jardinage

L’automne reste aussi la saison parfaite pour nettoyer correctement vos outils de travaux de jardinage. Vous prolongerez leur durée de vie en les entretenant régulièrement.

Retirez la terre de vos outils, lavez-les, séchez-les. Si vos outils sont un peu rouillés, nettoyez les parties métalliques avec du papier de verre très fin.

Utilisez une pierre à affûter pour aiguiser vos petits outils (comme le sécateur) et une lime à fer ou une meuleuse pour les gros outils (comme la pelle bêche).

Abri de jardin en bois, en PVC ou en métal ?

Un abri de jardin, ça ne se construit pas sur un coup de tête. Avant de se lancer, il faut s’interroger sur le type de matériau à choisir selon l’utilisation que vous souhaitez en faire. Abri de jardin en bois, en PVC, en métal : on vous aide à trouver le meilleur matériau selon vos besoins.

Abri de jardin en bois

L’abri de jardin en bois possède de nombreuses qualités : très esthétique, il s’adapte à tous types de jardins grâce à son aspect naturel et brut. La possibilité de personnalisation est un atout majeur, car il existe de nombreux types de bois, de couleurs ou de peintures adaptées à ce matériau. Généralement, la construction d’un abri de jardin en bois est simple et nécessite moins de matériel que les abris en métal.

 

De plus, l’abri en bois s’adapte à tous vos besoins : vous pouvez autant l’utiliser pour ranger vos outils, pour bricoler comme en faire une pièce de vie. Ces abris extérieurs sont résistants au vent, à la grêle et à la neige, mais peuvent avoir besoin d’un traitement régulier contre l’humidité et un renforcement de leur isolation. Un traitement insecticide et fongicide est également nécessaire pour préserver votre abri.

–       Comptez entre 400 et 4000€ pour un abri de jardin en bois.

 

Abri de jardin en PVC

L’abri de jardin en PVC comporte un avantage non négligeable : son prix très abordable, défiant toute concurrence. Ainsi, si vous avez besoin d’un simple lieu de stockage, l’abri en PVC vous conviendra parfaitement. Concernant l’entretien, un nettoyage au jet d’eau est amplement suffisant !

 

S’ils se montreront résistants face à la pluie et à la grêle, les abris de jardin en PVC ne sont pas forcément adaptés si votre jardin est fortement exposé au vent. De même, certains abris bas de gamme risquent, au fil du temps, de se déformer et de se délaver.

–       Les prix varient entre 200 et 1500€.

 

Abri de jardin en métal

Comparé aux précédents matériaux, les abris de jardin en métal sont les plus solides et les plus durables. Garanti jusqu’à 25 ans, votre abri extérieur fera face à toutes les météos : pluie, vent, grêle… Tout comme le PVC, son nettoyage est facile et ne nécessite qu’un jet d’eau de temps en temps. Cependant, en bord de mer, votre abri en métal risque de s’user plus rapidement.

 

Si vous n’êtes pas bricoleur, le montage de votre abri de jardin en métal va vous paraître fastidieux : beaucoup de pièces, de vis, un assemblage complexe… pour un résultat plus pratique qu’esthétique, avec une isolation souvent insuffisante.

–       On estime entre 350 et 2000€ le prix d’un abri en métal.

 

En un mot, les abris de jardin en bois, en PVC et en métal ont chacun leurs atouts et leurs inconvénients : à vous de choisir celui qui est le plus adapté à vos besoins et à votre budget.

Piscines : tendances et innovations en 2019

Au fil des années, la piscine devient de plus en plus confortable et connectée. On fait le point sur les tendances et les innovations qui marquent les piscines en 2019.

L’entretien des piscines

La principale charge de travail selon les possesseurs de piscines, c’est l’entretien que cela représente. Les innovations récentes en matière d’équipements d’entretien connectés vont vous rendre la tâche plus facile ! Voici quelques objets connectés qui vous facilitent la vie :

 

–       OFI analyse en permanence l’état de l’eau de votre piscine, et envoie les informations recueillies sur votre smartphone. Il relève notamment le taux de chlore, de sel, la température, le pH, la dureté, la conductivité et l’alcalinité.

–       AquaRite+ est un électrolyseur de sel qui contrôle tous vos équipements de piscine et le traitement de l’eau à distance, à partir d’un boîtier.

–       AquaVac 650 est un robot nettoyeur pilotable à distance.

–       Lilypad est un thermomètre connecté qui mesure la température et l’exposition UV.

–       Flipr prend en charge l’entretien de votre piscine, en mesurant la qualité de l’eau, sa température et en vous donnant des conseils d’entretien via son application sur smartphone.

 

Le chauffage des piscines 

Grâce aux piscines connectées, vous n’avez plus besoin d’attendre que l’eau soit suffisamment chaude pour vous baigner : c’est vous qui choisissez la température ! Il existe aujourd’hui plusieurs sortes de chauffage de piscines : la pompe à chaleur, le chauffage solaire, le réchauffeur électrique et l’échangeur thermique.

 

–       La pompe à chaleur allie économie, performance et écologie en consommant peu d’électricité et en utilisant de l’énergie renouvelable. Elle restitue la chaleur présente dans l’air dans l’eau de la piscine, à une température supérieure.

–       Le chauffage solaire utilise des capteurs solaires pour exploiter l’énergie du soleil et réchauffer l’eau de votre piscine. C’est une solution naturelle mais moins efficace que d’autres types de chauffages.

–       Le réchauffeur électrique est pratique, efficace et économique, mais très gourmand en électricité. Ce système s’installe sur le circuit de filtration de la piscine et fonctionne grâce à une résistance électrique.

–       L’échangeur thermique utilise le chauffage de votre maison pour chauffer votre piscine, par un circuit distinct. Sa consommation énergétique va donc dépendre de votre type de chaudière.

 

Les couvertures et volets de piscines

Bien avant les robots et les systèmes de traitement de l’eau, les couvertures et volets automatiques sont les premiers équipements des piscines.

Le volet automatique de piscine est de plus en plus utilisé grâce à son confort et sa facilité d’utilisation. Il peut être hors-sol, dissimulé dans un coffre ou immergé, généralement conçu sur-mesure pour s’adapter à votre piscine.

En 2019, la tendance est aux volets automatiques immergés, qui s’enroulent et se déroulent grâce à un moteur discret. Les modèles de volets favoris sont sobres et épurés, aux tons naturels.

Les volets à alimentation solaire sont également plébiscités par les consommateurs sensibles aux économies d’énergie et à l’environnement.