Les aides pour la construction/rénovation en 2021

Votre bonne résolution pour 2021 ? Un projet de construction ou de rénovation de votre maison ! Félicitations ! Vous n’êtes certainement pas contre quelques aides pour appuyer le financement de votre projet. Ces aides existent, et peuvent prendre différentes formes suivant s’il s’agit d’une entreprise de construction ou de rénovation. Elles permettront tantôt d’alléger vos mensualités, tantôt d’augmenter votre capacité d’emprunt. Voici donc un récapitulatif des aides pour la construction et la rénovation en 2021.

Les aides pour la construction en 2021

Éco-prêt à taux zéro (Éco-PTZ)

L’ÉCO-PTZ, C’EST QUOI ?

Probablement l’aide financière la plus intéressante pour les primo-accédants qui recherchent des aides pour la construction en 2021. L’éco-PTZ permet d’emprunter sans intérêt pour financer jusqu’à 40% du montant global du projet de construction, incluant l’achat du terrain à bâtir et les coûts de construction. Le montant accordé pour ce prêt est calculé en fonction du nombre de personnes qui va occuper le logement, de la zone de la commune dans laquelle se fait la construction, et des revenus du foyer.

L’ÉCO-PTZ, CONCERNE QUI ?

Pour bénéficier de ce prêt à taux zéro, il faut être primo-accédant, c’est-à-dire ne pas avoir été propriétaire de sa résidence principale au cours des 2 années précédant l’emprunt. Autrement dit, si vous êtes locataire ou hébergé à titre gracieux depuis plus de 2 ans, vous êtes primo-accédant ! Attention toutefois, l’éco-PTZ ne peut pas couvrir intégralement votre projet de construction, il doit être complété par un prêt immobilier classique par exemple. Cela reste toutefois une bonne aide pour la construction en 2021.

Prêt Action Logement (PAL)

LE PRÊT ACTION LOGEMENT, C’EST QUOI ?

Le PAL est un prêt immobilier qui permet de financer une partie de son projet de construction à un taux intéressant. Le logement doit être une résidence principale et respecter la réglementation thermique en vigueur.

LE PRÊT ACTION LOGEMENT CONCERNE QUI ?

Une entreprise du secteur privé non agricole employant au moins 10 personnes est redevable de la PEEC (Participation des Employeurs à l’Effort de Construction), qui permet à ses salariés de profiter de ce PAL à un taux bonifié. À noter toutefois que les assurances emprunteurs sont obligatoires pour souscrire à ce prêt. Si vous faites partie des bénéficiaires du prêt action logement, il est intéressant de demander cette aide à la construction !

Prêt Accession Sociale (PAS)

LE PRÊT ACCESSION SOCIALE, C’EST QUOI ?

Le prêt accession sociale (PAS) est un prêt qui doit servir à devenir propriétaire de sa résidence principale (achat ou construction) ou éventuellement à y réaliser des travaux. Attention, lorsque le PAS finance des travaux, ceux-ci doivent être achevés dans le délai de remboursement du prêt. Il est possible de demander un allongement de délai, dans certaines situations.

LE PRÊT ACCESSION SOCIALE, C’EST POUR QUI ?

Le PAS est un prêt immobilier accordé aux personnes ayant des revenus modestes. Pour y prétendre il faut remplir des conditions de revenus, qui varient selon la localisation du logement concerné et le nombre d’occupants. Bon à savoir : pour qu’un logement soit considéré comme une résidence principale, il faut l’occuper au moins 8 mois par an.

Les autres aides à la construction en 2021

LES AIDES DES COLLECTIVITÉS LOCALES

Les conseils régionaux, départementaux et les collectivités locales peuvent accorder des aides pour financer votre projet de construction en 2021. Celles-ci se présentent sous forme de prêts à taux réduit, de primes ou de subventions. N’hésitez pas à les contacter pour vous renseigner !

LE PASSEPORT ACCESSION

Pour profiter du « Passeport Accession », il faut se rapprocher de l’Association Départementale Information Logement (ADIL) de votre lieu d’habitation. Sous réserve d’être primo-accédant et de respecter les conditions d’attribution du PTZ, vous pouvez prétendre à une prime allant de 1500€ à 4000€. Attention, cette demande de subvention doit impérativement être réalisée avant la signature de l’acte notarié.

Les aides pour la rénovation en 2021

L’Agence Nationale de l’Habitat (ANAH)

RÉNOVATION ÉNERGÉTIQUE

« Habiter mieux sérénité »

L’ANAH accorde la prime « Habiter Mieux Sérénité » pour la réalisation d’importants travaux de rénovation énergétique dans un logement qui a au minimum 15 ans. Votre projet doit permettre de réaliser une performance énergétique d’au moins 35 % et vous devez impérativement faire appel à un professionnel agréé. Par ailleurs, le montant de cette prime varie en fonction de vos ressources et vous ne devez pas avoir bénéficié d’un Éco-PTZ durant les 5 dernières années.

« Ma prime rénov »

MaPrimeRénov’ permet de financer des travaux de rénovation énergétique dans votre logement. Cette prime s’adresse à tout propriétaire qui occupe son logement. Il faut impérativement faire appel à des professionnels RGE pour la réalisation de vos travaux. Cette aide à la rénovation évolue en 2021, pour encourager la rénovation énergétique de tous les ménages.

AMÉLIORATION DU LOGEMENT

« Habiter sain ou habiter serein »

Grâce à l’aide financière « Habiter sain ou Habiter serein », et selon l’ampleur des travaux, l’ANAH peut financer jusqu’à la moitié de vos travaux et vous accompagner dans toutes les étapes de votre projet. L’aide à la rénovation « Habiter sain » est de 10 000 € maximum, et l’aide « Habiter serein » de 25 000 € maximum dans le cas de gros travaux. Cette prime s’adresse plus particulièrement aux revenus modestes, mais n’hésitez pas à vous renseigner auprès de l’ANAH.

Adapter son logement

PERTE D’AUTONOMIE

– Votre caisse de retraite peut vous accorder une aide dans le but de prévenir la perte d’autonomie. Cette prime appelée « Pour bien vieillir chez soi » est attribuée aux retraités du régime général ou retraités de l’État.

– Grâce à l’aide financière « Habiter facile », l’ANAH peut éventuellement financer jusqu’à la moitié de vos travaux et vous accompagner dans les différentes étapes de votre projet.

– Il existe également des aides complémentaires pour la rénovation et l’adaptation de votre logement proposées par la Maison Départementale des Personnes Handicapées (MDPH) ou le Conseil départemental.

Prime « coup de pouce énergie »

C’EST POUR QUOI ?

L’aide « Coup de pouce économies d’énergie » permet de financer le remplacement d’un chauffage ou de faire des travaux d’isolation. Elle concerne plus particulièrement les travaux de rénovation suivants :

  • Installation d’une chaudière biomasse performante
  • Installation d’une pompe à chaleur air/eau ou eau/eau ou hybride
  • Installation d’un système solaire combiné
  • Raccordement à un réseau de chaleur alimenté par des énergies renouvelables (ENR&R)
  • Installation d’une chaudière au gaz à très haute performance énergétique
  • Installation d’un appareil de chauffage au bois très performant
  • Isolation des combles et toitures
  • Isolation des planchers bas

C’EST JUSQU’À QUAND ?

Cette aide peut être demandée jusqu’au 31 décembre 2021 et se cumule, sous certaines conditions, avec d’autres aides. Elle est versée par les signataires des chartes « Coupe de pouce chauffage » et ou « Coup de pouce isolation » qui sont principalement des vendeurs d’énergie. L’installation du nouvel équipement, de chauffage par exemple, doit être réalisée par un professionnel RGE.

Vos questions sur les aides à la construction/rénovation en 2021

Après la construction d’une maison neuve, puis-je être exonéré de la taxe foncière ?

Une fois la construction de votre maison neuve achevée, vous pourrez bénéficier d’une exonération de la taxe foncière durant les 2 premières années. Pour cela, vous devez effectuer une déclaration au Centre des Finances Publiques du lieu dont vous dépendez, dans les 90 jours qui suivent l’achèvement des travaux. Cette exonération est soumise à l’acceptation du maire de votre commune, il est donc important de contacter votre mairie au préalable.

Que penser des offres à 1€ ?

L’« offre à 1€ » est un terme commercial utilisé par les professionnels pour promouvoir les possibilités d’aides financières auprès des particuliers, en les encourageant à faire des travaux. Attention, cette offre n’est pas une aide en soi, mais est liée aux travaux réalisés, à la situation énergétique du logement notamment en matière de chauffage et aux revenus des occupants. Une entreprise ne peut donc pas vous certifier que vous pourrez en bénéficier sur un simple appel téléphonique. Ces aides à la rénovation sont encadrées par l’État et il faut répondre aux exigences de MaprimeRénov’ et de l’opération « Coup de pouce ». Quelques précautions indispensables : Le professionnel auquel vous faites appel doit avoir la mention RGE. Vous devez obligatoirement établir les demandes d’aides à la rénovation et obtenir un accord AVANT de signer le devis.

Qu’est-ce que le label RGE ?

La mention RGE «Reconnu Garant de l’Environnement » vous assure des professionnels reconnus pour leurs compétences, et des critères exigeants contrôlés par des organismes conventionnés par les pouvoirs publics et attestant de la qualification des entreprises.

Comment choisir sa clôture ?

Vous venez tout juste de terminer la décoration intérieure de votre nouvelle maison et vous souhaitez maintenant vous attaquer à l’aménagement extérieur ? La palissade qui entourait votre jardin depuis tant d’années a besoin d’un rafraîchissement ? Que ce soit pour délimiter votre propriété et en améliorer la sécurité, restreindre le vis-à-vis ou parfaire l’esthétique de votre extérieur, voici quelques conseils pour vous aider à bien choisir votre clôture.

Pourquoi est-il important de choisir sa clôture ?

Une clôture peut avoir plusieurs fonctions, qu’on se place du point de vue esthétique ou du point de vue sécurité. Pour faire le meilleur choix en matière de clôture, il est donc important de déterminer quel en sera votre usage. En effet, pour simplement délimiter un terrain, choisir une clôture en grillage peut tout à fait suffire. En revanche, pour vous protéger de regards indiscrets, des claustras ou brise-vues semblent indispensables !

Comment choisir sa clôture : les critères à prendre en compte

Il en existe de nombreux types, avec des avantages et des inconvénients. Alors, comment choisir sa clôture parmi une offre abondante ? Vous pouvez déjà vous interroger sur les points suivants :

  1. Le matériau : à choisir en fonction de vos goûts évidemment, mais aussi de votre capacité à en assurer l’entretien.
  2. Le type : plutôt rigide ou souple ? Si votre terrain est accidenté par exemple, une clôture souple sera plus adaptée.
  3. La hauteur : la hauteur de votre mur de clôture est soumise à une réglementation spécifique. Il ne doit pas excéder 3,20 mètres de haut si vous vivez dans une commune de plus de 50 000 habitants. Pour les communes de moins de 50 000 habitants, la hauteur est fixée à 2,60 mètres.
  4. La longueur : il est possible de varier l’esthétique ou le type de pose en fonction de la surface à couvrir. Optimisons le budget !
  5. Le budget : outre le prix de la clôture, il ne faut pas négliger les outils d’installation ou les produits d’entretien notamment.
  6. La durée de vie : tout dépend de l’entretien et du matériau choisi. Souhaitez-vous un investissement pérenne ?
  7. L’usage : choisir sa clôture pour délimiter un terrain ? Se protéger des intrus ? S’isoler des voisins ?
  8. L’esthétique : l’idée est de trouver un juste équilibre entre style, budget et  réglementation.

Comment choisir sa clôture : les différents types de matériaux

Comment choisir sa clôture en grillage

Choisir sa clôture en grillage permet de délimiter parfaitement une propriété, et reste parmi les moins chères du marché. Très rapide à mettre en place, elle ne protège cependant pas du vis-à-vis.

Comment choisir sa clôture en PVC

La clôture en PVC est pratique et peu coûteuse. Le plus souvent de couleur claire, le PVC se décline aujourd’hui en différentes teintes ! Ce type de clôture permet de délimiter l’espace et de garantir une certaine sécurité, tout en donnant un style élégant à vos extérieurs.

Comment choisir sa clôture en composite

La clôture en composite est vraiment tendance et apporte du design à votre propriété. Bien que son prix soit plus élevé que pour une clôture en PVC ou en grillage, ce type de matériau est particulièrement résistant et ne nécessite pas d’entretien. L’investissement de départ est donc compensé par la durée de vie de l’installation !

Comment choisir sa clôture en aluminium

La clôture en aluminium offre un rendu soigné qui s’accorde aussi bien avec des maisons traditionnelles que des maisons plus contemporaines. La clôture alu existe en de multiples coloris et résiste pourtant parfaitement aux UV. Même si elle peut repousser à cause de son prix, elle a de véritables avantages : légère, la clôture alu ne nécessite aucun entretien !

Comment choisir sa clôture en bois

Si vous êtes un adepte des matériaux bruts, vous ne direz pas le contraire : choisir sa clôture en bois, c’est beau, plutôt écologique et véritablement charmant. Cependant, une clôture en bois a besoin d’un entretien régulier ! Pour qu’elles durent et gardent cet aspect chaleureux, il va falloir les peindre ou appliquer une lasure au moins une fois par an.

Comment choisir sa clôture en fer forgé

Classique et intemporelle, choisir sa clôture en fer forgé apporte de l’élégance à votre extérieur. Elle permet de jouer avec les formes, mais implique là encore un entretien régulier afin d’éviter l’apparition de rouille. Une clôture en fer forgé donne une touche délicate à des maisons anciennes ou atypiques, surtout quand on pense que la ferronnerie est un artisanat d’art !

Comment choisir sa clôture végétale

Pour bien choisir sa clôture végétale, l’idéal est de faire appel à un paysagiste. Cette clôture naturelle s’adresse évidemment aux plus patients, mais la multiplicité de variété d’arbres ou d’arbustes permet tout à fait d’occulter un vis-à-vis ou de délimiter une propriété. Sans doute la clôture la plus agréable à regarder, elle est aussi celle qui nécessite le plus d’entretien, notamment pour respecter les obligations de hauteur.

Vos questions sur le choix de la clôture

Quelle est la réglementation en matière de clôture ?

En France, il est possible de clôturer son terrain sans demander d’autorisation particulière. Toutefois, afin de respecter les règles fixées par votre commune, il est important de consulter les prescriptions du PLU (Plan Local d’Urbanisme). En effet, certains matériaux ou coloris ne répondent pas aux prescriptions et le propriétaire s’expose alors à une contravention, avec l’obligation de rectifier l’aménagement. Voilà déjà une étape qui vous permettra d’apporter des réponses à la question « Comment choisir sa clôture ? ».

Pourquoi faire installer sa clôture par un professionnel ?

L’installation d’une clôture par un professionnel se fait dans le respect des lois en vigueur. Les artisans connaissent les règles d’urbanisme de votre région et les appliquent systématiquement. Par ailleurs, si vous faites appel à des artisans professionnels, vous bénéficierez de taux de TVA attractifs sur les matériaux et la main d’œuvre. Ils sauront également vous prodiguer les meilleurs conseils sur comment choisir sa clôture !

En cas de clôture mitoyenne, qui s’en charge ?

Selon l’article 663 du Code civil, les voisins mitoyens doivent se partager les frais de construction ou de réparation de clôture. L’idéal est alors d’en discuter et de se mettre d’accord sur ce que l’on souhaite mettre en place.

Comment entretenir son potager en hiver ?

L’hiver n’est pas la saison idéale pour planter et récolter des légumes, mais il est nécessaire d’entretenir son potager pour préparer la terre avant le printemps. Cela vous apportera de belles récoltes si la terre est bien entretenue ! Nous vous informons des étapes indispensables pour préparer et entretenir son potager en hiver.

Arracher les plantations mortes

Restes de vos plantations d’été ou d’automne, arrachez toutes les plantations mortes de votre potager pour faire place neuve. Vous pourrez les déposer dans votre composteur ou les amener à la déchetterie pour vous en débarrasser. Votre potager sera ainsi nettoyé et prêt à accueillir de nouvelles plantations dans quelques mois.

Récolter les derniers légumes

Il vous reste peut-être quelques légumes à récolter de vos cultures d’été et d’automne : c’est le moment de les ramasser pour les consommer ! Courgettes, laitues, radis, blettes, épinards, fenouils… Vous pourrez les cuisiner ou les congeler pour vous en servir toute l’année.

Quant aux légumes qui continuent de pousser en hiver, protégez-les avec un voile d’hivernage si l’hiver est doux ou dans un silo s’il fait très froid dans votre région. C’est le cas des carottes, des navets, des salsifis, des betteraves, des panais, des poireaux, des brocolis, des endives, des topinambours ou de la mâche.

Travailler le potager avant l’hiver

Une fois vos plantations arrachées et les dernières récoltes effectuées, vous allez pouvoir travailler le sol pour le préparer. A l’aide d’une fourche bêche, bêchez l’ensemble de votre potager et enlevez les mauvaises herbes. Faites attention à ne pas tuer les insectes qui y ont élu domicile ! Votre sol doit être bien aéré.

Nourrir le sol avec du compost ou du fumier

Pour vous assurer de belles récoltes au printemps et en été, nous vous recommandons de nourrir le sol avec 2 kg de compost ou de fumier par m². Utilisez votre compost maison ou achetez du fumier en granulés si vous n’en avez pas. Ne l’enfouissez pas trop en profondeur, étalez-le simplement sur votre potager et griffez-le rapidement pour qu’il s’intègre à votre terre. Ainsi, la matière organique nourrira les insectes qui vivent là.

Pailler le potager

Pendant l’hiver, évitez de laisser votre sol à découvert : vous risquez de le voir geler et ce n’est pas une bonne chose pour les êtres vivants qui habitent votre potager. Utilisez un paillis organique pour le protéger du vent, de la pluie et du gel. Vous pouvez choisir de la paille, des feuilles mortes, des écorces de pin, des tontes de gazon, des sciures de bois, des paillettes de chanvre ou du bois raméal fragmenté, sur environ 5 cm d’épaisseur pour bien protéger votre potager.

Comment bien choisir son matelas ?

Pour bien dormir, il est recommandé d’avoir un bon matelas. Mais selon quels critères faut-il le choisir ? Comment choisir la taille, la fermeté ou le type de matelas ? Quel matelas choisir selon son poids ? Et quand on a mal au dos ? Voici comment bien choisir votre matelas pour améliorer votre qualité de sommeil.

Bien choisir la taille du matelas

Tout d’abord, pour choisir un matelas, il faut définir la taille dont vous avez besoin. Cela se décide selon votre taille et l’espace que vous possédez. Pour un matelas 2 personnes, les tailles standards sont 140×190 et 160×200. On trouve bien sûr d’autres tailles, et la possibilité de commander un matelas sur-mesure, si vous êtes très grand par exemple. Il ne faut pas que vos pieds dépassent du lit !

On dort mieux lorsqu’on a beaucoup de place dans un lit, alors privilégiez les grandes tailles de matelas. Choisissez de préférence un matelas 15 à 20 cm plus grand que la plus grande personne du couple.

Comment choisir son matelas par rapport à son poids ?

Ensuite, il vous faudra choisir la fermeté du matelas. Elle se choisit selon vos préférences, mais surtout par rapport à votre poids. En effet, plus vous êtes lourd, plus vous aurez besoin de soutien pour passer une bonne nuit.

Si vous êtes mince, nous vous recommandons de choisir un matelas moelleux et pourquoi pas à mémoire de forme.

Si vous êtes plus lourd, un matelas semi-ferme ou ferme sera idéal pour vous offrir un bon soutien et éviter les maux de dos.

A deux, choisissez la fermeté la plus élevée selon le poids de chacun. En effet, le corps peut accepter une fermeté plus importante, mais pas un soutien “mou”. Il est donc préférable de choisir un matelas ferme.

Bien choisir le type de matelas

On trouve plusieurs technologies de matelas : ressort, mousse, latex, mémoire de forme sont les suspensions les plus courantes. Ces types de matelas participent au maintien de votre corps pendant la nuit, il est donc important de bien le sélectionner.

Matelas à ressort

Les matelas à ressort sont parmi les plus agréables du marché. Leurs points forts : une aération importante pour ne pas avoir chaud pendant la nuit, et l’indépendance de couchage pour ne pas ressentir les mouvements de votre partenaire.

Matelas en mousse

Très répandus, les matelas en mousse s’adaptent à toutes les morphologies. On trouve des matelas en mousse polyuréthane et en mousse polyéther. Leur rapport qualité/prix est très bon, car ils sont abordables tout en étant confortables. Choisissez de préférence une bonne densité de mousse, d’au moins 30 kg/m3 pour un adulte, afin de conserver un bon maintien.

Matelas en latex

Les matelas en latex sont fortement recommandés pour les personnes allergiques, car cette matière hypoallergénique détruit les bactéries et empêche la prolifération des acariens. Leur composition alvéolaire offre une bonne aération et ils possèdent une longue durée de vie.

Matelas à mémoire de forme

Le matelas à mémoire de forme a d’abord été créé pour les astronautes, mais s’est vite démocratisé grâce à ses avantages. Ce matelas s’adapte à votre corps et à vos positions, en vous enveloppant pour un meilleur confort. Le matelas à mémoire de forme est thermosensible, c’est-à-dire qu’il réagit à la température de votre corps : il est déconseillé si vous avez souvent chaud la nuit.

Quel est le meilleur matelas pour mal de dos ?

Vous souffrez de maux de dos et de cou ? Nous vous conseillons d’investir dans un matelas orthopédique, parfaitement adapté aux douleurs dorsales. C’est un matelas conçu pour soutenir la colonne vertébrale pendant la nuit, en répartissant au mieux le poids de votre corps. Généralement, ce sont des matelas fermes, car une fermeté importante permet de réduire les douleurs dans le haut du dos et au niveau des lombaires.

Acheter à 2 : les 8 erreurs qui peuvent vous coûter cher

Lorsqu’on est en couple ou mariés, l’achat d’un appartement ou d’une maison à 2 est une étape cruciale. Cet achat immobilier comporte néanmoins des risques et il est facile de faire des erreurs au moment de la signature. Ne vous précipitez pas et faites-vous conseiller par un notaire avant de prendre des décisions importantes. Découvrez les 8 erreurs à éviter si vous achetez à deux !

Négliger le régime d’acquisition du bien

Lorsqu’on achète à deux, il faut bien choisir le régime d’acquisition du bien immobilier. En général, l’indivision et la SCI (société civile immobilière) sont conseillés par les notaires.

La SCI est plébiscitée pour l’investissement locatif à plusieurs. En effet, la société civile immobilière permet de mieux organiser la gestion du bien immobilier avec un gérant ou des co-gérants et des règles sur-mesure pour les associés. Par exemple, les statuts fixent une règle de majorité pertinente pour la prise de décision, afin d’éviter de devoir prendre des décisions à l’unanimité. De plus, la SCI facilite la transmission d’un bien immobilier, par donation ou succession.

Le régime de l’indivision est couramment utilisé par les couples pour acheter une résidence principale. L’indivision simplifie les démarches et est moins contraignante que la SCI. Les 2 acheteurs ont des droits sur l’ensemble du bien mais possèdent des parts à hauteur de leur investissement. Toutes les décisions liées au bien doivent être prises à l’unanimité, cela peut donc poser problème en cas de séparation. Nous vous recommandons d’établir une convention d’indivision devant un notaire, en incluant des clauses pour protéger les intérêts de chaque indivisaire et définir la responsabilité de chacun.

Ne pas calculer les quote-parts

Nombreux sont les couples à déclarer acheter à 50-50 de quote-part à la signature de l’achat. Pourtant, il arrive qu’un des partenaires finance plutôt 60 à 100% du bien immobilier, sans le signaler dans le contrat. Cela peut poser de gros problèmes en cas de séparation ou de divorce, car l’acte de vente fait foi ! Le partenaire qui a le plus dépensé dans l’achat ne sera pas remboursé de la totalité de sa part.

Il est conseillé de bien calculer la quote-part de chaque partie selon sa contribution financière réelle et de l’indiquer dans l’acte de vente, pour déterminer la proportion de remboursement de dette de chaque acheteur. Il est également primordial de préciser l’origine des fonds lorsque le couple est marié, afin de faciliter la répartition des biens en cas de séparation.

Acheter en concubinage

Votre statut civil a un impact sur vos droits sur le bien immobilier acheté : le mariage est bien plus protecteur que le PACS ou le concubinage ! En effet, en cas de décès de l’un des propriétaires et sans testament, le conjoint survivant n’a aucun droit d’héritage sur le bien, sauf s’ils étaient mariés. Les droits de succession sont exonérés pour les couples mariés et pacsés, mais pas pour les concubins qui doivent payer des frais.

Si vous ne souhaitez pas vous marier, il est néanmoins possible de protéger votre partenaire en signant une donation au dernier vivant chez un notaire, pour que le conjoint survivant bénéficie de la succession en usufruit.

Mal choisir son régime matrimonial

Si vous décidez de vous marier avant d’acheter un bien immobilier ensemble, faites bien attention à votre régime matrimonial. Voici les différents régimes possibles :

  • le régime de la communauté universelle : tous les biens sont communs mais le contrat de mariage peut définir que certains biens restent la propriété d’un seul époux, dans le cadre d’une succession par exemple ;
  • le régime de la communauté réduite aux acquêts : les biens achetés pendants le mariage sont communs, mais chacun reste propriétaire des biens qu’il possédait avant le mariage ou qu’il reçoit par héritage ou donation ;
  • le régime de la séparation des biens : chaque époux est propriétaire des biens qu’il achète, et le bien immobilier est soumis au régime de l’indivision.

En cas de divorce, le régime de la communauté peut compliquer le partage du bien immobilier, c’est pourquoi nous vous conseillons d’opter pour la séparation des biens et de faire un contrat de mariage.

Ne pas rédiger de testament

Même si vous êtes jeunes, il est indispensable de rédiger un testament, surtout si vous vivez en union libre ou pacsés. Le testament vous permet de désigner votre compagnon ou votre compagne comme héritier pour lui léguer votre quote-part de propriété ou lui attribuer le logement en cas de décès. Sinon, les parts reviendront automatiquement à ses parents, ses frères ou ses sœurs. Pour ne pas vous tromper, n’hésitez pas à faire appel à un notaire.

Construire sa maison sur le terrain de son partenaire

D’un point de vue juridique, toute construction appartient au propriétaire du terrain. Il est préconisé d’acheter la moitié du terrain avant d’entamer la construction d’une maison. Il est également possible de créer une SCI afin que l’un apporte le terrain et l’autre l’argent nécessaire à la construction du bien. Dans ce cas, il faudra rédiger une reconnaissance de dette chez un notaire, afin que le conjoint propriétaire du terrain rembourse cet investissement en cas de séparation.

Ne pas souscrire d’assurance emprunteur

Souvent, les banques imposent de souscrire le prêt immobilier à deux avec une clause de solidarité : en cas de défaillance d’une partie, l’autre est tenu de rembourser la totalité du prêt. C’est pourquoi nous vous recommandons de souscrire une assurance emprunteur (invalidité, décès, perte d’emploi) selon les ressources des deux parties. Une assurance décès peut également être utile pour que le conjoint survivant rachète la part de l’autre.

Rechercher un bien séparément

Certains couples prennent la décision de rechercher un bien immobilier séparément afin de gagner du temps. Cependant, cela peut s’avérer contre-productif car vous allez multiplier les contacts, faire des visites sans votre conjoint… alors que la décision d’achat se prend à 2 ! Vous risquez de perdre du temps par la suite, il est donc préférable d’effectuer vos recherches de maison ou d’appartement ensemble afin d’avoir le même niveau d’informations sur les biens que vous sélectionnez.

 

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Extension de maison : réussir son agrandissement

En regardant votre maison, avez-vous déjà pensé “Trop petit” ? Si c’est le cas, oubliez vos idées de déménagement : une extension peut suffire pour augmenter votre surface à vivre tout en apportant une valeur ajoutée à votre domicile. Consultez nos conseils pour réussir votre agrandissement !

Pourquoi agrandir sa maison ?

De nombreuses raisons peuvent vous pousser à vouloir agrandir votre maison : arrivée d’un enfant, besoin d’un bureau, envie d’avoir plus d’espace pour vivre… et surtout sans avoir à déménager. Car en effet, il pourrait être plus simple de changer de maison, non ? Mais si vous vivez déjà dans la maison de vos rêves, un simple problème de surface ne doit pas vous obliger à déménager. Construire une extension de maison permet de créer un nouvel espace adapté à vos besoins. Faites appel à un architecte d’intérieur afin de connaître la meilleure solution pour augmenter votre surface à vivre.

Quelles sont les solutions d’agrandissement pour une maison ?

On trouve plusieurs solutions d’agrandissement pour une maison. Choisissez-la selon vos attentes, mais aussi les possibilités que vous offre votre maison. Faites-vous conseiller par un professionnel de l’habitat pour sélectionner la meilleure solution pour votre extension.

Extension de maison latérale

L’extension de maison latérale est certainement la solution d’agrandissement la plus plébiscitée par les propriétaires. Il est toutefois nécessaire de posséder un terrain suffisamment important pour prolonger la maison. Cette extension peut se faire de plain pied ou avec étage, selon l’architecture existante.

Surélévation de maison

Cette solution d’extension est souvent mise en œuvre dans les villes, où la densité ne permet pas de prolonger une maison. Elle consiste à ajouter un ou plusieurs étages à votre maison. Avant de choisir la surélévation, il faut s’assurer que la construction est assez solide pour supporter une élévation : si ce n’est pas le cas, vous devrez prévoir un renfort de fondations.  La plupart des surélévations sont en bois, par souci de légèreté.

Annexe de maison

Comme pour l’extension latérale, l’annexe suppose d’avoir un grand terrain. Son usage doit également être spécifique, puisqu’elle sera à l’écart de la maison. C’est un bon choix pour un lieu de travail, de loisirs ou pour une habitation indépendante. La construction indépendante est plus facile à réaliser d’un point de vue architectural, sans se soucier de la cohérence avec la maison.

Véranda

Si vous n’avez pas besoin de beaucoup d’espace supplémentaire et un petit budget, peut-être qu’une simple véranda peut suffire ! De toutes les extensions, c’est celle dont l’implémentation est la plus facile. Le choix des matériaux est vaste et elle peut agrandir n’importe quelle pièce : entrée, salon, cuisine, salle à manger, etc.

Comment choisir les matériaux de son extension ?

Dans le cadre d’une extension de maison, on retrouve souvent les mêmes matériaux : bois, parpaing ou métal.

Le bois est idéal pour tous les types d’extension et est généralement moins cher que les autres matériaux. Le parpaing est également très utilisé, apprécié pour sa durabilité et sa solidité. Quant au métal, c’est un excellent isolant sonore et il est 100% recyclable.

Le choix des matériaux est essentiel avant de réaliser votre extension. Pour celles qui sont supérieures à 150 m² ou à 30% de la surface existante, il est obligatoire de respecter les exigences environnementales de la RT 2012, et de la RT 2020 dès 2021. Vous devez donc vous diriger vers des matériaux performants énergétiquement et respectueux de la planète. Les matières naturelles et les énergies renouvelables doivent être privilégiées.

Quel budget pour une extension de maison ?

Si un projet d’extension de maison est généralement coûteux, les plus petites extensions sont accessibles aux budgets réduits. Par exemple, l’installation d’une véranda peut vous apporter davantage d’espace sans vous coûter trop cher. C’est l’extension la plus accessible sur le marché.

 

Solution d’extension de maison Prix au m² TTC
Véranda Entre 300 et 2000€
Extension en bois Entre 1100 et 1500€
Extension en parpaing Entre 1200 et 2500€
Extension en métal Entre 1700 et 3100€
Surélévation de maison Entre 1800 et 2200€ sans aménagement

Quel permis pour une extension de maison ?

Plusieurs démarches sont obligatoires pour avoir l’autorisation d’agrandir sa maison. D’abord, vous devez consulter le Plan Local d’Urbanisme (PLU) ou le Plan d’Occupation des Sols (POS) de la commune disponible en mairie, afin de vous assurer que vous avez le droit de réaliser une extension de maison, et dans quelles conditions.

Ensuite, vous devrez déposer une déclaration préalable de travaux en mairie si votre extension de maison est en bois et est comprise entre 5 et 40 m² de surface habitable. Pour les projets d’agrandissements en briques ou en bois supérieurs à 40 m² de surface habitable, un permis de construire devra être demandé.

Dès lors que votre projet d’agrandissement porte votre surface totale à plus de 170 m², le recours à un architecte est obligatoire en plus du permis de construire. Néanmoins, nous vous recommandons de faire appel à un architecte pour les travaux les plus complexes comme la surélévation de toitures, la construction d’un annexe ou d’une extension latérale.

Une fois les travaux terminés, vous devrez remplir une déclaration d’achèvement de travaux (DAACT), et demander une attestation de non contestation aux services de l’urbanisme.

Harmoniser son extension avec sa maison

Vous avez choisi la véranda, l’extension latérale ou la surélévation ? Dans ces 3 cas, il est absolument indispensable d’harmoniser votre extension et votre maison actuelle. Vous ne devez pas imaginer que cette extension est une partie indépendante de la maison, sauf si c’est une véritable annexe. Il faut donc que l’extension soit cohérente par rapport au reste de votre logement : c’est un prolongement logique, fonctionnel et esthétique.

A l’extérieur aussi, l’agrandissement doit être en harmonie avec la façade existante. Un ravalement de façade devra peut-être être envisagé pour un rendu agréable et soigné, sans démarcation entre votre maison et sa nouvelle extension.

Nous vous recommandons de contacter un architecte d’intérieur pour qu’il fasse les bons choix architecturaux et penser à la continuité des peintures et des revêtements de sol. L’objectif : donner l’impression que votre extension a été prévue dès le début de la construction !

 

Carport en bois ou en alu ?

Pour garer votre voiture, vous envisagez de construire un carport plutôt qu’un garage ? Découvrez quel matériau choisir entre le bois et l’aluminium, les deux matériaux les plus utilisés dans la construction de carport.

Pourquoi installer un carport ?

Le carport est particulièrement recommandé pour préserver votre véhicule des intempéries et des dégâts conjoints. Le carport offre les mêmes fonctionnalités qu’un garage : protéger votre voiture en période de pluie, de grêle ou de neige, tout en le laissant à l’air pour sécher plus rapidement et diminuer les risques de rouille. Elle sera également préservée des feuilles mortes ou des fruits qui peuvent tomber sur votre capot et sur votre toit.

Un carport est relativement simple à installer, mais il doit être solide. Trop fragile, il ne résistera pas aux intempéries. Les matériaux choisis sont essentiels pour s’assurer de sa durabilité : pour le squelette du carport, on utilise généralement le bois ou l’aluminium.

Construire un carport en bois

Le bois est le matériau le plus plébiscité pour construire un carport car il est très accessible tout en étant solide. Nous vous conseillons de contacter un professionnel pour qu’il construise votre carport et s’assure de sa résistance aux intempéries.

Plusieurs types de bois peuvent être utilisés : sapin du Nord, Douglas, pin, bois secs, etc. Il sera nécessaire d’appliquer du vernis et des insecticides pour assurer leur durabilité et éviter que des insectes n’y élisent domicile. Le traitement THT (très haute température), pour empêcher sa putréfaction et augmenter sa résistance aux agressions extérieures, est généralement recommandé par les professionnels.

Néanmoins, le bois est un matériau qui se fragilise avec le temps, malgré les traitements que l’on peut lui apporter.

Construire un carport en alu

L’aluminium est autant utilisé que le bois pour construire un carport. Il dispose des mêmes avantages que le bois : accessibilité, résistance, solidité… on peut même affirmer que sa solidité est supérieure à celle du bois et il résiste à la rouille. Le carport en alu ne nécessite aucun traitement spécifique ou d’entretien pour assurer sa durabilité. Seul un coup de peinture est nécessaire de temps en temps pour redonner toute sa jeunesse à votre carport.

Si l’alu reste un matériau accessible, il faut tout de même noter qu’il est plus cher que le bois.

Carport adossé ou autoporté ?

Que vous choisissiez un carport en bois ou un carport en alu, vous pouvez faire construire un carport adossé ou autoporté, selon votre préférence.

Le carport adossé nécessite un mur porteur pour maintenir le toit du carport. Son emprise au sol se fait sur deux poteaux seulement.

Le carport autoporté requiert quatre poteaux minimum pour soutenir la structure du carport, dominé par un toit.

Rideaux : comment habiller ses fenêtres ?

Utiles pour occulter les fenêtres et vous préserver du vis-à-vis, les rideaux habillent également votre intérieur et s’accordent à votre décoration ! Unis, graphiques, colorés, imprimés : les rideaux se déclinent à l’infini, selon vos besoins et votre style.

Comment habiller une fenêtre ?

Les rideaux sont parfaits pour habiller une fenêtre, dans n’importe quelle pièce : salon, chambre, entrée, salle de bain et même cuisine. On trouve plusieurs types de rideaux, davantage adaptés aux grandes fenêtres ou aux fenêtres coulissantes.

Rideaux en lin

Très élégants, les rideaux en lin arborent des tons neutres et doux. Avec un parquet en bois ou des meubles en rotin, le côté naturel des rideaux en lin se mariera à merveille avec votre décoration intérieure.

Voilages

Si vous ne souhaitez pas des rideaux occultants et épais, mais que vous voulez préserver votre intimité, les voilages sont parfaits pour habiller vos fenêtres avec légèreté. Choisissez bien la teinte, car leur couleur se diffusera dans votre pièce !

Rideaux en velours

Les rideaux en velours sont parfaits pour l’hiver et pour apporter de la douceur dans une pièce à la décoration industrielle. Cette matière enveloppante rendra votre intérieur plus chaleureux, en vous protégeant du froid.

Rideaux bicolores

Les rideaux bicolores et dépareillés vont apporter davantage de personnalité à la pièce, en dynamisant l’espace. Choisissez néanmoins des teintes qui s’accordent bien ensemble : une teinte claire et une teinte colorée. Gris et rose, bleu et chocolat…

Rideaux colorés

Dans le salon, affirmez votre personnalité avec des rideaux colorés et fantaisie. Les couleurs vives apportent de l’éclat à une pièce et égayeront votre salon. Choisissez une couleur forte qui s’associe bien à votre décoration.

Des rideaux pour chaque type de fenêtre

Comment habiller une fenêtre coulissante ?

Pour habiller une fenêtre coulissante ou une baie vitrée, tous les rideaux vous sont permis : voilages, rideaux drapés, rideaux à oeillets… Pour laisser entrer la lumière, favorisez les rideaux légers !

Comment habiller des petites fenêtres ?

Pour habiller des petites fenêtres, privilégiez les petits rideaux qui laissent entrer la lumière, comme les vitrages. Ce sont des rideaux ou voilages conçus spécialement pour les vitres des petites fenêtres : ils épousent parfaitement leur taille. Ils n’entravent absolument pas l’ouverture et la fermeture des petites fenêtres.

Vous pouvez aussi opter pour des rideaux longs afin de masquer la fenêtre et son encadrement, uniquement si rien ne se trouve sous la fenêtre. Si vous avez des meubles ou un radiateur, nous vous recommandons de vous diriger vers des rideaux courts.

Comment habiller une grande fenêtre ?

Une grande fenêtre va généralement jusqu’au sol et possède un ouvrant, simple ou double. Il faut donc choisir des longs rideaux ou voilages qui s’ouvrent facilement, eux aussi. Selon la luminosité de la pièce, vous pourrez choisir un rideau occultant ou fin.

Comment habiller une fenêtre de toit ?

Pour habiller une fenêtre de toit, vous pouvez installer des tringles supérieures et inférieures afin de maintenir les rideaux. Choisissez un voilage classique, qui épouse la forme de la petite fenêtre et laisse passer la lumière.

Quel style de rideaux pour ma fenêtre ?

Nous vous recommandons de choisir votre style de rideaux selon vos besoins, en termes de luminosité et d’isolation.

Si votre pièce est très lumineuse car exposée plein sud, vous pouvez installer des rideaux opaques, qui laissent la lumière passer sans trop assombrir la pièce. En revanche, si votre pièce est plutôt sombre, choisissez des rideaux légers qui vous préservent uniquement du vis-à-vis.

Si votre fenêtre ne vous apporte pas une bonne isolation, n’hésitez pas à choisir des rideaux épais et opaques, en velours par exemple, parfaits pour vous protéger du froid de l’hiver. En été, laissez entrer la chaleur avec des voilages plus fins.

 

Comment choisir les options de son store banne ?

Pour une protection solaire efficace sur votre terrasse, choisissez un store banne élégant qui soulignera la façade de votre maison tout en vous permettant de profiter de votre extérieur. Découvrez les multiples options des store bannes et comment les choisir selon vos envies.

Choisir les dimensions du store banne

La première chose à choisir, ce sont les dimensions de votre store banne. Sa surface doit être supérieure à celle de la zone à recouvrir, car les rayons du soleil sont obliques (sauf à midi). Un lambrequin peut être intéressant à installer pour protéger davantage votre terrasse.

Les largeurs de store banne sont généralement comprises entre 3 et 7 mètres, mais vous pouvez choisir un store banne sur mesure, adapté à la configuration de votre terrasse.

Choisir la toile de store banne

La matière de la toile du store banne est un critère de choix essentiel, car elle détermine la résistance du store-banne et souligne votre façade de maison. On trouve 3 types de toiles : la toile polyester, la toile micro-perforée et la toile acrylique.

→ La toile polyester est très accessible mais sensible aux rayons UV, qui la fragilisent. Elle est peu résistante au temps, à utiliser donc de façon occasionnelle.

→ La toile micro-perforée résiste bien aux rayons UV, aux déchirures et aux déformations. Elle laisse également passer l’air pour une bonne ventilation sous le store banne. Elle n’est cependant pas imperméable.

→ La toile acrylique filtre à 80% les rayons UV et possède des coloris résistants. La toile acrylique est déperlante, il n’y a donc aucun risques d’humidité ou de moisissures sur le store banne en cas de pluie.

Choisir un store banne manuel ou motorisé

On trouve deux types de store banne : manuel ou motorisé, à choisir selon le degré de confort que vous désirez.

→ Le store banne manuel se compose d’un treuil et d’une manivelle. C’est un modèle économique, mais plutôt adapté pour les petits store bannes car les efforts pour le dérouler sont moins importants.

→ Le store banne motorisé existe sous 2 systèmes : avec un moteur sans fil actionné par une télécommande ou un moteur filaire avec interrupteur mural. Cela va donc dépendre de l’installation que vous pouvez envisager dans votre maison. Dans les deux cas, le store banne s’enroule et se déroule automatiquement pour plus de confort.

Store banne avec coffre ou semi-coffre ?

Même si vous choisissez une toile de store-banne ultra résistante, il vous faut le protéger pour prolonger sa durée de vie, avec un coffre intégral ou un semi-coffre.

Store banne semi-coffre : il protège complètement la toile du store banne qui s’enroule dans le coffre, mais pas les bras articulés qui se replient en dessous.

Store banne coffre intégral : il protège le store banne et ses bras articulés qui se replient à l’intérieur du coffre. C’est une solution esthétique car bien plus discrète.

Les capteurs pour le store banne

Capteurs solaires

En cas de fort rayonnement solaire, le capteur solaire s’active pour déclencher l’ouverture du store banne et éviter la surchauffe de votre intérieur, même lorsque vous êtes absent. Il se referme dès que le soleil se couche.

Capteurs de pluie

Grâce à une sonde de pluie, les averses sont détectées et votre store banne se ferme automatiquement en cas de pluie, sans besoin d’intervenir. A utiliser si votre store banne ne supporte pas la pluie !

Capteurs de vent

En mesurant la vitesse du vent, le capteur déclenche la fermeture du store banne si le vent est trop fort, pour éviter des dégâts irréversibles.

Éclairage LED

Pour les soirées, l’éclairage LED intégré est un bon investissement pour éclairer la terrasse, que le store soit ouvert ou fermé.

Construire sa maison sur un terrain à bâtir : nos conseils

Lorsqu’on se décide à acheter un terrain pour construire sa maison, le parcours peut s’avérer compliqué. Faire construire une maison demande beaucoup d’investissement sur la durée et les étapes sont nombreuses : choisir le bon terrain, engager un constructeur, choisir sa maison, demander un permis de construire, financer les travaux, etc.

Définir son budget de construction

Avant de vous lancer dans l’achat d’un terrain et d’une maison neuve, soyez certain que vous avez le budget pour la construire. En moyenne, le m² d’une maison neuve vaut environ 1400€ mais cela varie évidemment selon l’emplacement de votre terrain. En France, le prix moyen d’une maison neuve avec son terrain coûte 240 000€.

Le recours à un crédit immobilier est généralement nécessaire pour construire une maison sur un terrain à bâtir. Prenez rendez-vous rapidement avec plusieurs banques (dont la vôtre) pour parler de votre projet immobilier, afin de déterminer votre capacité d’endettement et votre apport personnel.  Le fait de mettre plusieurs organismes bancaires en concurrence vous permettra d’obtenir de meilleures conditions de prêt et d’intérêts.

Choisir un terrain pour construire sa maison

Avant de construire une maison, il faut choisir un terrain constructible. Vous pouvez trouver des annonces de terrains à vendre dans des agences immobilières, auprès d’aménageurs lotisseurs et de constructeurs de maisons individuelles, à la mairie ou directement auprès de particuliers.

La localisation

La localisation fait partie des critères essentiels lorsqu’on choisit un terrain à bâtir. Nous vous conseillons d’opter pour un emplacement “côté”, à proximité de commerces, d’écoles et de transports en commun, pour que votre maison ne perde pas de valeur avec le temps. De la même façon, faites attention aux nuisances : chemins de fer, axes routiers, couloirs aériens, champs… cela pourrait déprécier votre maison.

Secteur diffus ou lotissement

On trouve deux types de terrains à bâtir : les terrains en secteur diffus, ou isolés, et les terrains situés dans un lotissement.

Dans un secteur diffus, votre liberté sera plus grande : vous pourrez faire construire la maison de votre choix. Cependant, les travaux de raccordement (tout à l’égout, eau, gaz, internet, etc) seront aussi à votre charge si la parcelle n’est pas viabilisée.

Dans un lotissement, votre terrain sera déjà viable. Mais les terrains sont généralement petits et soumis à des règles d’urbanisme contraignantes.

Caractéristiques de votre terrain

Avant d’acheter votre terrain, vérifiez que vous avez bien accès aux informations concernant votre parcelle, et consultez le plan local d’urbanisme de la mairie. Pour faire un choix éclairé, vous devez avoir en tête les règles d’urbanisme liées à votre terrain qui vous limiteront peut-être. Vous pouvez aussi consulter les risques naturels et technologiques de votre parcelle sur le site georisques.gouv.fr.

Modèle de construction

Le modèle de construction va grandement dépendre de l’emplacement de votre terrain, en lotissement ou en secteur diffus. En général, les terrains en lotissement imposent leur constructeur de maisons individuelles, ce qui vous offre davantage de garanties. Dans un secteur diffus, vous pouvez acheter un terrain libre de constructeur, ce qui vous permet de choisir vous-même le constructeur qui réalisera la maison de vos rêves.

Engager un constructeur de maison

Dans le cas où vous achetez un terrain libre de constructeur, c’est à vous d’engager un constructeur de maisons. C’est lui qui supervisera votre chantier et coordonnera l’ensemble des artisans qui interviendront. A savoir : si la maison dépasse les 150 m², le recours à un architecte est obligatoire.

Nous vous recommandons de vous adresser à un constructeur de maisons individuelles qui travaille dans le cadre du CCMI (Contrat de construction de maison individuelle), régi par la loi de 1990. C’est un cadre juridique très protecteur pour l’acheteur, qui garantit une livraison à prix et délais convenus.

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Choisir sa maison

Lorsque vous engagez votre constructeur de maisons individuelles, il est possible qu’il vous propose un catalogue de maisons. C’est un bon point de départ pour déterminer une base de maison à personnaliser selon vos désirs. Vous pouvez ainsi choisir une architecture, des plans, des équipements et des aménagements facilement. D’autres constructeurs proposent des maisons sur-mesure et créent votre projet immobilier de A à Z.

Signer le contrat de construction

Une fois que votre projet est validé et que vous avez trouvé votre constructeur, il ne vous reste plus qu’à signer un contrat de construction de maison individuelle – loi de 1990 ou CCMI. Ce contrat fixe un prix global forfaitaire et définitif et vous garantit une livraison à prix et délais convenus. Le paiement est également échelonné : la banque débloque les fonds au fur et à mesure de l’avancement des travaux.

Le non-respect des règles de construction est un délit passible de sanctions pénales : une amende de 45 000€ et, en cas de récidive, une amende de 75 000€ et 6 mois d’emprisonnement.

Demander un permis de construire

En faisant appel à un constructeur, vous êtes débarrassé de la demande du permis de construire : c’est à lui de déposer le dossier complet en mairie. Il ne vous reste qu’à attendre 2 ou 3 mois pour recevoir l’autorisation.

En secteur protégé, les règles de construction sont plus strictes et cela allonge le délai d’autorisation du permis de construire. De plus, vous devrez également obtenir l’avis d’un architecte des Bâtiments de France avant d’entamer la construction. En effet, l’architecture, la volumétrie, le type et les couleurs de matériaux sont réglementés et vous devrez vous conformer à l’avis de l’architecte spécialisé.

Pensez également à demander un certificat d’urbanisme qui informe sur la constructibilité, les équipements publics existants, les dispositions d’urbanisme, les droits et les obligations liées à votre parcelle. C’est un document administratif gratuit.

Financer la construction de sa maison

Après avoir estimé votre budget et avoir choisi votre terrain et votre maison, il faut passer à l’étape du financement. Vous pouvez souscrire un crédit immobilier pour le terrain puis pour la construction de la maison, mais nous vous recommandons d’opter pour un crédit global comprenant le terrain et la maison : ce sera bien plus avantageux. La banque débloquera dans un premier temps les fonds pour le terrain, puis pour la maison.

Le contrat de construction de maison individuelle (CCMI) rassure les banques, car c’est le cadre le plus sécurisant pour l’acheteur qui est certain de ne pas payer de frais supplémentaires à ce qui était convenu.

Pour financer votre construction, n’hésitez pas à vous renseigner sur les différents types de prêts immobiliers. Votre banque devrait normalement vous proposer le crédit le plus adapté à votre situation.

Signer la réception de chantier et devenir propriétaire

Une fois le chantier terminé, c’est le moment de réceptionner votre maison et d’en devenir le propriétaire officiel. Vous devez vérifier que la maison livrée est bien conforme à ce qui était prévu avant de signer le procès-verbal de réception du chantier.

Si ce n’est pas le cas, vous avez le droit d’émettre des réserves sous 8 jours et de vous faire assister par un expert afin qu’il repère les éventuelles imperfections.

Assurer sa maison neuve

Une fois que vous êtes propriétaire, vous êtes responsable des sinistres qui pourraient survenir : vous devez absolument souscrire une assurance multirisque habitation pour vous protéger.

La garantie de parfait achèvement oblige le constructeur à réparer les malfaçons survenues dans l’année de la réception des travaux. La garantie décennale, elle, dure 10 ans à compter de la réception des travaux.

 

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