Quel budget pour préparer un salon ?

Participer à un salon B2C permet de renforcer sa position sur le marché et d’aller à la rencontre de ses clients. Mais avant de partir à l’aventure, un peu de préparation et un budget bien défini s’imposent ! Pour vous aider à organiser au mieux l’événement et à anticiper les coûts, voici un aperçu des principales dépenses à prendre en compte.

La location de l’espace

Les frais associés à la location d’un espace d’exposition représentent un coût important. Le prix varie en fonction de la taille du stand et de son emplacement au sein de l’événement. Ainsi, un stand proche de l’entrée ou situé dans l’une des artères principales coûtera plus cher que celui qui se trouve dans un coin de la salle. Pour vous faire une idée, les exposants dépensent en moyenne 6 000 € pour un espace d’environ 30 m² dans un salon de grande envergure.

Par ailleurs, lorsque vous souhaitez exposer dans un salon professionnel, il faut également penser aux frais d’inscription. Ceux-ci varient de 500 à 3 000€, en fonction de la taille et de la renommée de l’événement auquel vous envisagez de participer.

L’agencement du stand

Outre la location de l’espace et les frais d’inscription, il y a d’autres coûts à considérer pour parfaire l’évaluation du budget de préparation à un salon. Par exemple, les frais liés à la conception et à la construction du stand, qui peuvent inclure les services d’un designer professionnel. En effet, faire appel à une agence événementielle pour gérer votre projet de A à Z n’aura pas le même coût qu’un stand simple à monter soi-même. Un stand personnalisé peut coûter entre 300 et 1 000 € par m².

Par ailleurs, les dépenses liées à l’équipement audiovisuel, à l’éclairage, et à la décoration ne doivent pas être oubliées. Pensez aux fauteuils, chaises, tables, bureau, télé, enceintes et animations interactives afin de donner envie aux visiteurs de rester sur votre stand et de tout savoir sur vos produits et vos services !

A cela s’ajoute le coût des matériaux ou encore de la main-d’œuvre pour monter l’ensemble, surtout si vous n’êtes pas à l’aise avec le bricolage. L’idée est de parvenir à créer un espace à la fois attractif et fonctionnel pour représenter votre marque et obtenir de bons résultats commerciaux.

>> Comment bien préparer un salon professionnel ?

La logistique

Les coûts de transport et de logistique pour acheminer le matériel d’exposition et les produits jusqu’au salon, ainsi que les dépenses liées à l’hébergement et au déplacement pour le personnel présent durant l’événement, constituent également une part importante du budget prévisionnel.

En effet, les frais peuvent vite grimper, surtout si le salon se déroule loin du siège de l’entreprise. Nous vous conseillons de vous y prendre à l’avance, car les tarifs hôteliers ont tendance à augmenter durant les grands événements comme les salons de l’habitat et de l’immobilier.

Assurez-vous que votre équipe soit bien formée et alerte pour accueillir et engager les visiteurs. Le budget doit donc inclure les salaires et les frais de déplacement. N’oubliez pas d’intégrer les frais de restauration pour chacun lors de l’évaluation de votre budget car il est bien connu que l’on travaille mieux avec le ventre bien rempli !

Le marketing et la communication

Parmi les éléments à ne pas négliger lorsque l’on prépare un salon grand public, il y a les frais de marketing et de communication. En effet, la plupart des entreprises participent à ce type d’événement pour établir des premiers contacts et mieux engager les prospects. Il est donc indispensable d’assurer un plan de communication efficace pour promouvoir la présence de votre entreprise. Rien de tel que l’impression de brochures ou de flyers, ainsi que l’utilisation des réseaux sociaux !

Songez aussi à organiser des campagnes publicitaires avant et pendant l’événement. Et, même si cela représente une part importante des coûts en termes de communication, vous pouvez envisager de distribuer des goodies à l’effigie de votre marque pour continuer à marquer les esprits même une fois l’événement terminé.

Si vous n’êtes pas suffisamment à l’aise pour le faire en interne, vous pouvez faire appel à une agence pour préparer vos différents supports de communication, vous faisant ainsi gagner du temps et de la sérénité.

>> Attirer les visiteurs sur son stand dans un salon

Les imprévus

Enfin, il est toujours intéressant de prévoir une marge pour les imprévus, afin de pallier tout ce qui pourrait nuire au bon déroulement du salon. En effet, votre participation pourrait être perturbée par des frais supplémentaires liés à un problème de transport, des coûts de gardiennage ou de douane s’il s’agit d’un événement à l’international, ou encore des dépenses pour l’entretien et le nettoyage du stand et des divers équipements.

Une panne d’équipement, un besoin de matériel supplémentaire, ou encore des réparations d’urgence peuvent nécessiter une intervention rapide et donc des fonds disponibles immédiatement. En anticipant, vous vous assurez d’être prêt à répondre à toute situation inattendue !

Comment calculer le coût de participation à un salon ?

Voici un modèle de répartition des coûts, afin de vous aider à planifier le budget pour préparer votre salon professionnel :

  • 35 % pour la location de l’emplacement
  • 15 % pour la conception et l’aménagement de l’espace
  • 20% pour la logistique, le transport et l’hébergement
  • 20% pour le marketing et la communication
  • 10 % pour faire face aux imprévus

La préparation d’un salon demande évidemment une organisation rigoureuse. En répartissant judicieusement votre budget entre les différents postes de dépenses, vous optimisez vos chances de succès. Nous sommes impatients de voir ce que les exposants ont préparé pour les prochains salons Viving !

Gazon synthétique : avantages et inconvénients

gazon artificiel et parquet

Le gazon synthétique a gagné en popularité, que ce soit dans les jardins résidentiels, sur les terrasses et balcons ou dans les espaces publics. Alors, est-ce la solution idéale pour vous, ou est-ce que la perspective de tondre votre pelouse le dimanche matin vous enchante plus que tout ? Voyons quels sont les avantages et les inconvénients d’un tel revêtement avant de peut-être céder à la tentation du gazon artificiel.

gazon artificiel et parquet

Les avantages du gazon synthétique

Le confort

Nous avons tous fait l’expérience désagréable de marcher sur une pelouse détrempée par la pluie et de se retrouver avec les chaussures couvertes de boue. Difficile de garder une entrée propre dans ces conditions. Le gazon synthétique a l’avantage d’être posé sur une couche de tissu géotextile qui l’isole de la surface de la terre : terminés les terrains glissants et les traces de boue à l’intérieur !

L’entretien

L’un des principaux atouts du gazon synthétique est qu’il nécessite vraiment très peu d’entretien, ce qui est parfait pour ceux qui n’ont absolument pas la main verte ! Contrairement au gazon naturel, il n’a pas besoin d’être arrosé, tondu ou fertilisé. Il vous suffit de le brosser pour éliminer les déchets (poussière, feuilles mortes, etc.) et éventuellement de le nettoyer avec un nettoyeur à haute pression une fois dans l’année.

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Économique et durable

En période de sécheresse, le gazon synthétique s’avère être une solution écologique car il ne demande pas d’eau pour rester vert et en bon état. Par ailleurs, inutile d’investir sans des anti-limaces, des insecticides, des herbicides et des engrais qui perturbent les écosystèmes. Enfin, la fausse pelouse est conçue pour résister à l’usure. Elle est d’ailleurs idéale pour les zones à fort passage.

Le réalisme

Avec ses brins mats et multidirectionnels, vous ne rêvez pas, votre gazon artificiel se prend pour une pelouse naturelle ! La différence ? Il reste toujours vert et luxuriant, quelle que soit le temps qu’il fait. Il résiste aux maladies, aux parasites et aux conditions climatiques extrêmes, garantissant une belle pelouse toute l’année.

La polyvalence

La pelouse synthétique peut être installée dans des lieux où le gazon naturel aurait du mal à pousser, comme les zones ombragées, les toits-terrasses, ou même à l’intérieur. Aujourd’hui, il existe des matériaux qui offrent une sensation de confort et de douceur, donnant l’impression que l’on marche sur un tapis de mousse bien moelleux.

Les inconvénients du gazon synthétique

Le coût

Pour assurer un rendu esthétique impeccable, la pose du gazon artificiel doit être réalisée avec soin et précision. Si vous n’êtes pas patient avec les travaux manuels, vous devrez sans doute faire appel à des professionnels qualifiés pour le faire, ce qui ajoutera des coûts supplémentaires au prix du matériau. Même si les économies en termes d’entretien et d’eau peuvent compenser cet investissement, l’installation du gazon synthétique peut donc s’avérer coûteuse.

La météo

Bien que le gazon synthétique soit généralement robuste, il peut être vulnérable face aux vents violents. En effet, lors d’une tempête, de fortes rafales peuvent soulever et déplacer de grandes sections de gazon, en particulier dans les cas où le matériau n’a pas été correctement fixé au sol.

La température

De la même manière qu’il est sensible à la météo hivernale, le gazon artificiel peut devenir très chaud lorsqu’il est exposé directement au soleil. Ce phénomène est comparable à d’autres matériaux comme la pierre, l’ardoise ou le bois, rendant la surface inconfortable pour marcher pieds nus. Pour pallier cet inconfort, il suffit d’arroser légèrement le gazon synthétique ou d’installer un parasol qui va créer une zone d’ombre.

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L’impact environnemental

Bien que le gazon synthétique ne nécessite pas d’arrosage, il reste fabriqué à partir de matériaux plastiques dérivés du pétrole, ce qui soulève des préoccupations environnementales. De plus, lorsque cette fausse herbe arrive en fin de vie, elle reste plutôt difficile à recycler.

L’utilisation

Comme toutes les matières plastiques, le gazon synthétique, bien que très résistant, n’est pas indestructible. Au contact du feu ou de braises incandescentes, l’herbe artificielle va se rétracter puis fondre. Fumer une cigarette ou utiliser un barbecue à charbon à proximité d’un gazon synthétique n’est donc pas une bonne idée ! Évidemment, ce problème ne se pose pas si vous utilisez des moyens de cuisson électriques ou à gaz.

Alors, gazon synthétique : bonne ou mauvaise idée ? Le choix entre gazon synthétique et pelouse naturelle dépend de nombreux facteurs comme le budget, le climat, l’utilisation prévue mais aussi l’impact environnemental. Le gazon synthétique offre des avantages considérables en termes d’entretien et de durabilité, mais il présente aussi des inconvénients. Afin de faire le meilleur choix pour votre espace vert, venez rencontrer nos spécialistes lors d’un salon Viving !

Piscine lagon : prix, avantages, inconvénients

Vous souhaitez transformer votre jardin en paradis aquatique ? Les piscines lagon, avec un design naturel et des formes organiques, sont une alternative séduisante aux piscines traditionnelles. Découvrez les coûts associés à leur construction, ainsi que les principaux avantages et inconvénients de ces bassins atypiques.

Quelles sont les caractéristiques d’une piscine lagon ?

Une piscine lagon est une piscine creusée qui imite les bassins que l’on retrouve dans la nature. Personnalisable avec des formes irrégulières, elle contraste tout à fait avec les piscines traditionnelles plutôt symétriques.

Quoi qu’il en soit, la piscine de style lagon s’intègre harmonieusement dans un jardin avec des plantes ou des arbustes tropicaux. Piscine biodesign, elle est en effet généralement ornée de végétaux, de pierres ou de fontaines qui renforcent l’aspect naturel.

L’architecture de ce type de piscine organique inclut également une pente douce au lieu de marches, et parfois un revêtement imitant le sable pour donner un effet lagon. Les abords peuvent être aménagés en plage et se révèlent alors parfaits pour installer transats et parasols et profiter d’un moment de détente.

Quel prix pour une piscine lagon ?

Le coût d’une piscine dépend de plusieurs paramètres comme la complexité de sa forme, sa superficie, le système de filtration ou encore les matériaux choisis.

Prix d’une piscine lagon en béton ou béton sablé

  • Entre 250 et 900€ le m², fournitures et main d’œuvre comprises

La piscine lagon en béton est robuste et permet de créer des formes libres et des aménagements sur mesure comme de petits îlots. Elle constitue un choix idéal pour ceux qui cherchent à véritablement personnaliser leur espace aquatique.

Le béton sablé, quant à lui, est plus cher que le béton traditionnel. Ce revêtement séduit grâce à sa texture antidérapante qui rappelle les plages naturelles.

Prix d’une piscine lagon en caoutchouc ou en gomme

  • Entre 500 et 1100€ le m², fournitures et main d’œuvre comprises

La piscine lagon, qu’elle soit en gomme ou en caoutchouc, offre une surface douce et sécurisante. Ce revêtement est d’ailleurs souvent choisi pour les aires de jeux aquatiques destinées aux enfants.

Prix d’une piscine lagon en pierre reconstituée

  • Entre 600 et 1500€ le m², fournitures et main d’œuvre comprises

La piscine lagon en pierre reconstituée est évidemment la reine de l’allure naturelle ! Cette option est à privilégier lorsque l’on souhaite un bassin de baignade qui se fond dans le décor du jardin.

>> En savoir plus : Quelles démarches pour construire une piscine ?

Quel budget prévoir pour la construction d’une piscine lagon ?

Les piscines dont la taille dépasse 10 m² nécessitent une déclaration préalable de travaux, voire un permis de construire pour celles excédant 100 m². En plus des coûts de construction, il faut donc prendre en compte les implications fiscales.

  • La taxe d’aménagement : Cette taxe est calculée en fonction de la superficie de la piscine. Pour 2024, la base d’imposition forfaitaire est de 250€ par m². Ensuite, il y a un taux fixé par la commune, le département et la région qui s’applique à cette base.
  • La taxe foncière : Une piscine est considérée comme une dépendance de l’habitation principale et augmente la valeur locative cadastrale du bien, qui est la base de calcul de la taxe foncière.
  • La taxe d’habitation : La taxe d’habitation ne s’applique plus aux résidences principales. Mais elle impacte encore les résidences secondaires, où la présence d’une piscine est considérée comme un élément de confort augmentant la valeur locative.

En outre, il convient de considérer le coût des équipements de sécurité :

  • L’alarme : Entre 100 et 300€ pour une alarme immergée, et entre 200 et 600€ pour une alarme périmétrique.
  • La barrière de protection : Entre 50 et 100€ pour une barrière amovible, et entre 100 et 200€ par mètre linéaire pour une barrière en verre.
  • L’abri de piscine : Entre 2 000 et 8 000€ pour un abri bas, entre 6 000 et 15 000€ pour un abri mi-haut qui permet de se déplacer partiellement sous l’abri et entre 10 000 et 30 000€ pour un abri haut qui permet d’obtenir un espace de vie autour de la piscine.

Quels sont les avantages et les inconvénients d’une piscine lagon ?

Les piscines lagon offrent une multitude d’avantages, parmi lesquels on retrouve :

  • L’esthétique : Elles s’intègrent harmonieusement au jardin.
  • L’expérience de baignade : Les bords en pente douce permettent une entrée progressive dans l’eau, idéale pour les enfants, les personnes âgées ou les personnes à mobilité réduite. Ce type de piscine propose des zones dédiées à la nage et des zones peu profondes pour se détendre.
  • L’aspect écologique : En intégrant un système de lagunage, la piscine se filtre naturellement. Cela évite l’attirail énergivore et polluant pour l’entretien de l’eau.

>> En savoir plus : Comment entretenir une piscine ?

Malgré leurs nombreux atouts, les piscines lagon présentent également quelques inconvénients qu’il est important de connaître avant d’investir :

  • Le coût : Les piscines lagon sont généralement plus coûteuses que les piscines traditionnelles en raison de leur complexité et des matériaux utilisés.
  • L’entretien : Il peut être complexe, notamment si le plan d’eau comporte des plantes aquatiques. Par ailleurs, les bords en pente douce accueillent généralement des débris et nécessitent un nettoyage régulier pour éviter la prolifération des algues.
  • La sécurité : Il est difficile d’adapter un équipement de sécurité sans dénaturer le charme du bassin.

Bien que les dépenses pour l’aménagement d’une piscine lagon soient importantes, gardons à l’esprit qu’elle a le pouvoir d’embellir les espaces extérieurs et peut augmenter la valeur immobilière d’environ 20 %. Si vous envisagez d’investir dans un tel équipement pour la période estivale, venez rencontrer nos spécialistes lors d’un salon Viving !

 

15 plantes dépolluantes pour votre intérieur

Bill Wolverton, ingénieur à la Nasa, fut l’un des premiers chercheurs à étudier la capacité des plantes à purifier l’air. Découvrez les noms de 15 plantes dépolluantes pour votre intérieur, reconnues pour leur vertus assainissantes, à installer partout dans votre maison !

1.  Aloe vera

Connue pour ses propriétés cicatrisantes, hydratantes et adoucissantes, l’Aloe vera est aussi une plante dépolluante, qui agit contre le monoxyde de carbone et les ondes électromagnétiques. Elle trouve sa place à l’intérieur, près d’un ordinateur, avec une belle exposition au soleil. L’Aloe vera préfère les sols bien drainés et apprécie un léger séchage entre les arrosages.

2.  Anthurium

L’Anthurium est particulièrement efficace pour dépolluer l’air, notamment lorsqu’il s’agit d’éliminer l’ammoniac. Cette plante absorbe également le xylène et, dans une moindre mesure, le formaldéhyde. Cependant, il convient de la manipuler avec précaution car elle est toxique : son contact peut provoquer des irritations et des réactions allergiques. L’Anthurium s’épanouit dans la cuisine ou la salle de bains où elle se fera un devoir d’absorber les émanations des produits d’entretien.

3.  Azalée

L’Azalée, appréciée pour ses couleurs vives, figure parmi les meilleures plantes dépolluantes. Elle élimine les substances nocives souvent présentes dans la cuisine ou la salle de bain. D’autant plus qu’elle affectionne tout particulièrement les atmosphères humides et supporte bien les lieux enfumés !

4.  Dragonnier Marginata

Le Dragonnier Marginata est un allié de choix pour purifier l’air intérieur, capable d’éliminer le benzène, le formaldéhyde, le xylène et le trichloréthylène. Outre sa polyvalence, cette plante est vraiment peu exigeante en termes d’entretien. Avis à ceux qui n’ont pas la main verte !

5.  Dracaena odorant de Massange

Le Dracaena lutte efficacement contre les composés organiques volatils (COV) issus des bougies, la fumée de cigarette, les produits de nettoyage et les émissions nocives des chaudières. Très élégant, on le reconnaît à ses larges feuilles vertes, ornées d’une bande dorée en leur centre.

6.  Ficus sabre

Malgré son nom peu rassurant, le ficus sabre s’avère très bénéfique. Ses feuilles longues et fines, semblables à des lames, sont en mesure de traiter les pics de pollution liés au silène, au toluène, au benzène et au trichloréthylène. Placez-le loin du soleil direct et il ne vous fera aucun mal.

7.  Fougère de Boston

La fougère de Boston fonctionne comme un purificateur d’air, neutralisant de multiples substances polluantes présentes dans nos intérieurs. Si elle est régulièrement vaporisée, elle servira également d’humidificateur d’air naturel dans les pièces très chauffées.

8.  Fougère Kimberly Queen

À l’instar de sa cousine de Boston, la fougère Kimberly Queen améliore la qualité de l’air en faisant un sort au formaldéhyde, au toluène et au xylène présents à l’intérieur des habitations. Pour pouvoir s’acquitter de sa mission, elle réclame une lumière indirecte et un environnement constamment humide.

9.  Gerbera Daisy

La Gerbera Daisy est tout à fait indiquée pour éliminer des toxines cancérigènes telles que le benzène. Elle raffole également du dioxyde de carbone. Il est recommandé de la dépoussiérer régulièrement avec un chiffon humide pour lui faciliter l’absorption des particules.

10.              Liane du Diable

Le Pothos, ou liane du Diable, n’a rien de diabolique. En réalité, c’est l’un des végétaux les plus efficaces en termes d’assainissement de l’air. Une plante dépolluante pour la maison qui a besoin de lumière partielle et d’un arrosage modéré, surtout en cas de températures fraîches.

11.              Orchidée

L’orchidée est une plante indéniablement plébiscitée pour son aspect esthétique. Mais elle est aussi dans le top des plantes dépolluantes pour la maison, en tant que reine de l’élimination des COV ! La demoiselle apprécie une ambiance plutôt humide et une lumière abondante, et supporte mal la chaleur.

12.              Palmier Areca

Le palmier Areca est capable d’agir sur un grand nombre de toxines : xylène, toluène, benzène, etc. Sachez, d’ailleurs, que l’efficacité de cette plante augmente au fur et à mesure qu’elle grandit. Attention toutefois, car un sujet adulte peut atteindre entre 1,50 et 2,50 m de hauteur !

13.              Philodendron

Les toxines et autres polluants intérieurs n’ont qu’à bien se tenir face au philodendron ! Il s’épanouira dans votre salon, où vous pourrez apprécier sa silhouette fine et ses grandes feuilles aux formes originales, tandis qu’il s’occupera d’absorber formaldéhyde, benzène et trichloréthylène.

14.              Palmier Lady

Le palmier Lady, ou Rhapis, doit son nom à l’élégance de son feuillage. Cette plante dépolluante pour l’intérieur est particulièrement gourmande lorsqu’il s’agit d’ammoniac. Cette demoiselle trouvera donc sa place dans la cuisine ou la salle de bain, c’est-à-dire dans les lieux où l’on utilise le plus de produits d’entretien. D’autant plus qu’elle raffole des environnements à l’hygrométrie élevée !

15.              Spatiphyllum

On dirait bien qu’aucun polluant ne résiste au Spatiphyllum ! Cette plante, qui porte également le joli nom de Fleur de Lune, élimine les émanations et les particules des détergents, des vernis, des mastics ou encore de la fumée de cigarette.

 

Vous l’aurez compris, les plantes vertes sont nos alliées. Elles diminuent le stress, humidifient l’air, produisent de l’oxygène et absorbent les agents polluants. Quel dommage de s’en priver ! Pour autant, malgré leur grande capacité d’absorption, ne vous privez pas de renouveler l’air intérieur en ouvrant les fenêtres une dizaine de minutes chaque jour.

Attirer les visiteurs sur son stand dans un salon

clients et exposants discutent en salon

Les salons professionnels représentent l’occasion idéale pour les entreprises de se démarquer, de réseauter et de promouvoir leurs produits et services. De l’élaboration de la stratégie de communication pour l’événement à la conception de l’emplacement, découvrons comment être bien visible sur un salon. Voici nos conseils sur la manière d’attirer efficacement les visiteurs sur son stand !

clients et exposants discutent en salon

Tout commence avant le salon professionnelPasser plusieurs heures sur un salon de l’habitat sans aucune interaction n’est évidemment pas une perspective très réjouissante. Votre objectif est donc d’attirer un maximum de visiteurs sur votre stand. La première chose à faire, avant même de réfléchir à l’aménagement de l’espace, est d’inviter vos propres clients, prospects et partenaires. Vous pouvez prendre le parti d’inviter tous vos contacts, ou bien de segmenter votre fichier client en fonction de l’importance ou du thème du salon.

Outre le fait d’informer de votre présence sur un salon par le biais d’invitations, vous pouvez également lancer une campagne d’e-mailing ou partager sur vos réseaux sociaux quelques indices afin d’éveiller la curiosité des visiteurs : quels seront les participants sur votre stand, quelles animations seront proposées, quelles offres spéciales seront disponibles pour l’occasion, etc.

>> Pour aller plus loin : Comment bien préparer un salon professionnel ? 

Attirer le public sur son stand professionnel

Concevoir un stand esthétique et accueillant

En installant un décor travaillé, votre stand se démarquera des autres. C’est le moment idéal pour oser des structures originales, des designs avant-gardistes ou des agencements inattendus ! Tous les éléments de votre stand, des panneaux aux présentoirs en passant par la PLV, doivent être pensés avec soin.

Choisissez des couleurs qui incarnent l’identité de votre marque, car le design de votre stand raconte une part de votre histoire lors des salons. Pensez aux visuels percutants qui attisent la curiosité des badauds. En outre, assurez-vous d’être visible de loin en investissant dans une banderole de grande taille ou en jouant avec des jeux de lumière. En effet, la combinaison de lumière et de son peut faire la différence sur votre stand : cela capte l’attention des visiteurs et crée une expérience multi sensorielle.

Créer une ambiance propice aux échanges

Ce type d’événement est l’endroit parfait pour attirer les visiteurs sur votre stand afin de présenter votre entreprise à un public déjà partiellement engagé. L’interaction directe est un levier efficace qui pousse les consommateurs à passer à l’acte d’achat. Un personnel chaleureux et compétent, ainsi qu’un espace accueillant sont des éléments clés pour susciter l’intérêt et engager le public sur le stand.

Que faire si votre équipe est déjà occupée avec des visiteurs, et que d’autres personnes montrent de l’intérêt pour votre stand ? Dans ce cas, l’utilisation de présentations vidéo peut s’avérer judicieux pour garder l’attention des clients sur votre stand.

Stand professionnel attractif : 6 idées d’animations

1.   Inviter des personnalités publiques

La collaboration avec des influenceurs peut considérablement accroître votre visibilité sur un salon. En effet, vous tirez parti de leur notoriété pour attirer une audience ciblée. Inviter ces figures influentes à participer à des échanges enrichit l’expérience des visiteurs et apporte une valeur ajoutée à vos prestations. Petit bonus, annoncer la participation de personnalités qui incarnent votre marque ou vos services via les réseaux sociaux crée un buzz avant l’événement, ce qui devrait booster la visibilité du stand.

2.   Donner des conseils personnalisés

Proposer des sessions de coaching ou de conseils personnalisés sur votre stand lors d’un salon B2B peut clairement faire la différence. En se focalisant sur l’utilisation d’un produit ou en partageant des astuces adaptées, vous répondez directement aux attentes des visiteurs. Le fait d’offrir des consultations express transforme votre espace en lieu privilégié où aborder les questions les plus courantes. Cette stratégie renforce indéniablement l’attrait de votre stand dans environnement très concurrentiel.

3.   Prévoir des ateliers

Organiser des ateliers créatifs sur votre stand apporte une réelle valeur ajoutée. Ces sessions permettent d’approfondir les échanges et d’impliquer les visiteurs avec votre marque. Les ateliers rendent le stand d’exposition plus attractif et donnent l’opportunité aux visiteurs de poser toutes leurs questions. En offrant aux passants la possibilité de tester vos produits ou solutions, ils peuvent mieux appréhender vos offres et se projettent plus facilement.

4.   Organiser des démonstrations

Les démonstrations, lorsque cela est possible, sont également une façon créative de se démarquer. C’est un moyen pour les visiteurs du salon de voir le produit ou le service en action, et donc de les convaincre de son utilité.

Les démonstrations peuvent avoir lieu tout au long de la journée ou sous forme de rendez-vous à ne pas manquer, afin de maximiser l’impact de votre stand. Par ailleurs, proposer une démonstration permet de se démarquer de la concurrence et de mettre en lumière les avantages de ce que vous proposez.

5.   Proposer des jeux

L’une des meilleures façons de capter l’attention des gens sur votre stand est de proposer des activités ludiques. Vous pouvez, par exemple, organiser un jeu-concours sur toute la durée du salon. Même si cela implique un coût supplémentaire, ce type d’animation fonctionne toujours.

Pour ce faire, il vous suffit de distribuer des bulletins de participation aux visiteurs dans les allées ou à l’entrée du salon, en les invitant à venir les déposer dans une urne sur votre stand. Ainsi, le bénéfice est double : vous attirez des personnes qui ne se seraient peut-être pas arrêtées sur votre stand, et vous enrichissez votre base de données prospects grâce aux informations recueillies. Attention toutefois à établir un règlement au jeu-concours, consultable par tous les participants, afin d’éviter les mauvaises surprises.

6.   Offrir des cadeaux

Les cadeaux publicitaires attirent généralement les gens et peuvent être distribués aux visiteurs accompagnés d’un dépliant ou d’une carte de visite. L’objectif est d’offrir des cadeaux pertinents et utiles pour les participants. Des stylos en bambou ou en liège, des marque-pages et des jeux de cartes en papier recyclé, des cartes ou sous-verres à planter, sont autant d’idées créatives et écologiques pour ravir vos visiteurs. Pour les plus gourmands, prévoyez plutôt biscuits et chocolats, éventuellement personnalisés avec votre logo.

Un stand qui sort du lot et propose des animations encourage la participation, promeut vos produits, et laisse une impression positive aux visiteurs. Nous avons hâte de découvrir ce que les exposants nous réservent lors des prochains salons Viving !

Piscine et jacuzzi écologiques, c’est possible ?

piscine ecologique

L’été arrive, et vous rêvez de pouvoir vous détendre dans une piscine ou dans un spa tout en préservant notre chère planète. Profiter d’un bain à remous dans son jardin et être écolo, c’est compatible ? Eh bien, oui, à condition de faire les bons choix en matière d’équipement et de mettre en place quelques astuces que nous vous partageons. Attention, risque d’éclaboussures !

piscine ecologique

Adopter des pratiques durables

Les piscines tout comme les jacuzzis sont de grands consommateurs d’énergie. Pour en profiter pleinement sans risquer de développer un sentiment de culpabilité, privilégiez des installations de bonne qualité, durable et éco énergétiques.

A titre indicatif, un spa standard pour 4 personnes peut consommer entre 2000 et 7500 kWh d’électricité par an. Ces chiffres vont dépendre de la taille et de la qualité de l’isolation de la cuve, de l’entretien des systèmes de chauffage et de filtration, de la fréquence d’utilisation et, évidemment, s’il s’agit d’un spa intérieur ou d’un spa extérieur.

Comment rendre une piscine plus écologique ? Vous pouvez limiter votre impact en réservant son utilisation aux beaux jours, en réduisant légèrement la température de l’eau, ou en utilisant de l’eau de pluie filtrée pour remplir les bassins. Par ailleurs, le nettoyage régulier du bassin et des filtres est un moyen efficace de soulager la pompe qui va fonctionner sans forcer et donc réduire sa consommation électrique.

Les équipements indispensables

Afin de ménager la planète tout en se faisant plaisir, il existe des moyens naturels pour chauffer sa piscine ou son jacuzzi. Commencez par identifier et remplacer, lorsque cela vous est possible, les éléments les plus gourmands en électricité : pompe de filtration, robots, pompe à chaleur, etc. Par ailleurs, les piscinistes proposent toute une gamme d’accessoires qui font appel à l’énergie solaire : tapis, abris, bâche à bulles ou encore chauffage solaire.

Le fait de couvrir les bassins permet d’éviter à l’eau de s’évaporer, de devenir le lit privilégié des feuilles qui tombent des arbres ou de trop se refroidir durant la nuit. Oui, ne pas utiliser de bâche de protection revient à ouvrir les fenêtres de sa maison avec le chauffage allumé !

Par ailleurs, un abri de piscine, sans qu’il soit nécessairement chauffé, permet d’augmenter de 5 à 6 degrés la température grâce à l’effet de serre. Combiner couverture et abris est même recommandé, du moment qu’ils respectent les normes NFP 90 308 et NFP 90 309.

Stop aux produits chimiques

L’entretien des piscines et autres bains à bulles rime souvent avec l’utilisation de produits chimiques tels que le brome, le PHMB ou le chlore. Puisque ces méthodes sont anti-écologiques, quelles sont les alternatives respectueuses de l’environnement ?

Certains jacuzzis écologiques intègrent des systèmes de filtration d’eau qui permettent d’éviter les produits chimiques. Ils sont suffisamment efficaces pour que l’eau n’ait besoin d’être changée qu’une fois par an. Cela permet donc de réaliser de belles économies d’eau, mais aussi de minimiser l’impact sur l’environnement aquatique.

Des solutions écologiques existent également pour l’entretien des spas et des piscines. Ainsi, l’utilisation d’un ozonateur permet de désinfecter l’eau en éliminant les germes. De plus, on trouve désormais des produits d’entretien biodégradables et non irritants pour la peau pour maintenir la propreté de l’eau. Par ailleurs, les purificateurs minéraux ou le traitement de l’eau au sel ont prouvé leur efficacité face aux bactéries.

Créer un spa écologique ou une piscine naturelle

Vous pouvez utiliser votre spa de manière responsable en abaissant légèrement la température et en remplaçant l’eau évaporée par de l’eau de pluie récupérée et filtrée. Par ailleurs,  il existe des jacuzzis en bois, fabriqués à partir d’essences d’arbres certifiés FSC ou PEFC, parfaitement adaptés à cet usage.  Appelés également bains nordiques, ils sont traditionnellement chauffés au poêle à bois.

Les piscinistes proposent également une alternative à la piscine traditionnelle : la piscine écologique et bio, ou bassin de baignade naturelle. Non traitée avec des produits chimiques, elle est idéale pour ceux qui aiment se baigner dans une eau fraîche au cœur d’un cadre naturel.

Enfin, la norme NF EN 17645 permet de classer les piscines de A à F selon leur impact environnemental, ce qui offre aux consommateurs la possibilité de comparer plus facilement les divers équipements.

>> Aller plus loin : « Quel type de piscine choisir ? »

Quid de l’hivernage ?

Contrairement à ce que l’on est tenté de faire, il n’est pas nécessaire de vider l’eau de votre piscine chaque année. Il est plutôt conseillé de renouveler 30 % du volume total. L’hivernage, qu’il soit passif (avec tous les équipements à l’arrêt) ou actif (avec un fonctionnement ralenti), protège votre installation des conditions météorologiques. Si ces étapes sont correctement effectuées, elles permettent de gagner du temps et de réduire les coûts de remise en service à la belle saison.

Vous envisagez d’installer un espace détente ? Venez rencontrer nos spécialistes sur les différents salons Viving ! Ils sauront vous conseiller pour choisir un spa durable et le moins énergivore possible, ou une piscine respectueuse de l’environnement.

Comment récupérer l’eau de pluie ?

Installer un récupérateur d’eau permet d’adopter un comportement éco-citoyen en utilisant l’eau de pluie pour arroser le jardin, le potager ou encore nettoyer les toilettes. A la clé ? Réduction de l’utilisation d’eau potable pour des usages qui n’en présentent pas la nécessité, et économies qui peuvent aller jusqu’à 50% de votre consommation d’eau ! On vous dit comment procéder.

Comment récupérer l’eau de pluie facilement ?

S’équiper d’un récupérateur d’eau est relativement simple. La pluie qui tombe sur le toit est récupérée par des gouttières directement reliées à une cuve par l’intermédiaire d’un collecteur d’eau. Selon les modèles, les réservoirs ont une capacité de 200 à 10 000 litres.

Une fois placé à proximité de l’une des descentes de toit vous pouvez, dans un premier temps, relier le récupérateur directement à un tonneau, une grande bassine ou alors une cuve pour vérifier la pertinence de l’installation.

Enfin, l’idéal est de placer une grille de protection sur vos gouttières afin d’éviter l’obstruction à cause de feuilles ou d’insectes piégés dans les descentes. Assurez-vous également de placer votre récupérateur sur une surface plane, solide, et de manière à éviter l’accumulation de débris (type feuilles) dans le réservoir.

La plupart des récupérateurs d’eau sont conçus pour un stockage en extérieur. Il existe même des modèles dotés d’éléments décoratifs pour se fondre harmonieusement dans le paysage. Toutefois, rien ne vous empêche de les placer à l’intérieur de votre maison, que ce soit dans un sous-sol ou une cave.

Pour les installations plus importantes, on retrouve des cuves enterrées. Dans ce cas, renseignez-vous sur la nature de votre sol avant d’entamer les travaux. Par ailleurs, les toits en ardoise ou en tuiles sont à privilégier par rapport aux revêtements en aluminium, en goudron, ou en matériaux synthétiques.

8 astuces pour récupérer l’eau de pluie pour le jardin

  1. Assurez-vous que votre toit est bien adapté à la collecte des eaux pluviales (pente, nature de la couverture, surface).
  2. Sélectionnez un réservoir avec une capacité appropriée à votre région et à vos besoins estimés en eau.
  3. Prévenez l’accumulation de débris végétaux dans votre réservoir en installant des grilles de protection sur vos gouttières. De la même manière, optez pour un collecteur d’eau équipé d’un filtre, capable de retenir les boues et les sédiments.
  4. Prévoyez un système de trop-plein pour éviter les débordements de la cuve et de la gouttière.
  5. Installez des clapets au niveau des conduits d’entrée et de sortie de votre réservoir pour dissuader les insectes d’y pénétrer.
  6. Couvrez la cuve pour prévenir la formation d’algues et la prolifération de micro-organismes et d’insectes.
  7. Investissez dans un système de pompage pour une distribution efficace de l’eau à l’intérieur comme à l’extérieur de la maison.
  8. Nettoyez vos gouttières une à deux fois par an.

Quel système pour récupérer l’eau de pluie ?

Selon l’usage que vous comptez faire de l’eau récoltée, de la superficie de votre toit, du nombre d’occupants dans votre foyer mais surtout de la pluviométrie de votre région, vous allez orienter votre choix vers un modèle de récupérateur de pluie plutôt qu’un autre.

Ainsi, si vous avez un simple potager à arroser, un petit collecteur d’eau extérieur peut tout à fait suffire. Posée directement sur le sol, c’est la solution la plus rapide à mettre en place et la plus facile à utiliser. En revanche, pour irriguer une plus grande surface, un système de récupération d’eau de plus grande capacité, installé dans une cave ou directement enterré dans le jardin, est plus adapté.

Les différentes cuves

Pour stocker l’eau recueillie, il existe deux catégories de réservoirs sur le marché : les récupérateurs d’eau de pluie en béton et les récupérateurs d’eau de pluie en plastique ou polyéthylène (PE).

Le béton neutralise l’acidité naturelle de l’eau, ce qui adoucit celle-ci lorsqu’elle y est stockée pendant quelques jours. De plus, les parois opaques du béton préservent l’eau de la lumière, même lorsque la cuve n’est pas enterrée, limitant ainsi les variations de température. De leur côté, les cuves en plastique sont résistantes aux fissures, même par temps de gel, ainsi qu’aux rayons du soleil.

Récupération des eaux de pluie : réglementation

La récupération de l’eau de pluie est une pratique courante pour un usage personnel, et est autorisée hors consommation alimentaire. Vous ne devez ni la boire, ni l’utiliser pour cuisiner ou faire la vaisselle, en raison de sa potentielle teneur en éléments polluants tels que des sulfates, des nitrates ou des pesticides.

Au sein de votre domicile, l’eau de pluie doit être utilisée uniquement pour :

  • Laver le linge, sous réserve d’utiliser un dispositif de traitement de l’eau qui assure sa désinfection ;
  • Remplir la chasse d’eau des toilettes ;
  • Nettoyer les sols.

Il est cependant interdit d’utiliser à l’intérieur de votre maison l’eau de pluie provenant d’un toit contenant de l’amiante ou du plomb.

L’utilisation de l’eau de pluie est libre en extérieur, notamment pour l’arrosage du jardin ou le lavage de la voiture.

Enfin, sachez que certaines municipalités accordent des subventions pour l’achat de matériel de récupération d’eau. Pour savoir si votre commune offre cette possibilité, contactez votre mairie.

Est-il possible de vendre sa maison soi-même ?

Vendre sa maison sans agence immobilière est tout à fait possible, et peut même présenter certains avantages : exit les frais qui peuvent atteindre jusqu’à 10% de la valeur du bien et freiner les acquéreurs. Cependant, cela demande une organisation minutieuse afin que la transaction se passe sans accroc. Découvrez comment il est possible de vendre un bien sans passer par une agence !

Les avantages à vendre sa maison soi-même

Ne pas faire appel à un tiers pour vendre son bien immobilier permet de faire l’économie des frais d’agence, mais ne dispense pas des dépenses liées aux diagnostics immobiliers obligatoires (comme le DPE) ainsi que des frais de notaire.

Vous pouvez rédiger un compromis de vente sous seing privé vous-même, reprenant toutes les clauses juridiques obligatoires, mais recourir à un notaire permet de sécuriser l’opération. D’autant plus qu’aucun frais supplémentaire n’est exigé entre la rédaction et la signature d’un compromis de vente.

Enfin, vendre sa maison par ses propres moyens offre une grande liberté d’organisation et la possibilité de fixer un prix selon ses propres critères.

Les défis à relever quand on décide de vendre sa maison soi-même

Il est tout à fait envisageable de vendre sa maison ou son appartement sans faire appel à une agence immobilière, mais cela demande du temps et exige une bonne préparation. Quels sont les risques de vendre une maison de particulier à particulier ? Voici quelques éléments à ne pas négliger.

Déterminer le prix

La première étape lorsque l’on décide de vendre sa maison soi-même est de fixer le prix du bien. Cela implique de bien connaître le marché immobilier local. Pour maximiser vos chances de succès, veillez à appliquer un prix compétitif. En évitant de surévaluer le bien, vous vous assurez des visites ou des offres d’achat.

Le meilleur moyen de vendre sans agence est donc de comparer les maisons similaires à la vôtre, localisation comprise, qui ont été vendues récemment. Vous pouvez aussi solliciter les conseils d’un notaire, ou vous renseignez sur internet sur les sites de vente de particulier à particulier.

Présenter son bien

Quand on fait le choix de ne pas passer par une agence immobilière pour vendre un bien, on doit rédiger et poster l’annonce soi-même.

Le texte n’est pas à négliger, car c’est lui qui va donner envie aux potentiels acheteurs de vous contacter. Il doit donc être clair et précis : la surface, le nombre de pièces, les éventuelles dépendances, la présence d’une cave ou d’un garage, le secteur, etc. Afin d’éviter les appels indésirables d’agents immobiliers, pensez à ajouter la mention « Agences s’abstenir ».

Autre point important : les photos. Prenez le temps de faire de belles photos des différentes pièces, en format paysage et avec plusieurs angles de vue de préférence. L’objectif est d’obtenir des clichés de pièces bien rangées, avec une bonne luminosité, qui vont mettre en valeur votre logement.

Organiser les visites

Une visite, cela se prépare. Alors, avant d’inviter de potentiels acheteurs à faire le tour du propriétaire, faites un grand ménage et rangez. Votre logement doit être accueillant, sans être encombré : les potentiels acquéreurs doivent pouvoir se projeter immédiatement.

Pour chaque visite, réservez environ une heure de votre temps pour pouvoir échanger tranquillement avec chaque visiteur. En effet, plus une personne sera intéressée, plus elle saisira l’occasion de poser des questions.

Enfin, si vous devez vous montrer disponible pour fournir des informations sur le quartier, le voisinage ou encore les spécificités du logement, inutile de suivre votre visiteur partout : laissez-le plutôt explorer à son rythme.

Ne rien oublier

Outre les diagnostics obligatoires pour la vente, pensez à regrouper quelques documents qui pourraient être utiles pour répondre aux questions des visiteurs : l’avis de taxe foncière, les factures des travaux effectués, de gaz ou d’électricité, etc.

Vous l’aurez compris, vendre sa maison soi-même est possible mais demande un investissement important, car vous êtes seul à veiller au bon déroulement de toutes les phases du processus de vente.

Comment vendre ma maison moi-même ?

Les documents pour vendre sa maison

La réalisation d’un dossier de diagnostic technique (DDT) est obligatoire afin d’informer les futurs acquéreurs sur l’état du logement. Selon l’année de construction et la localisation du bien, divers diagnostics doivent être effectués par un professionnel agréé :

  • Diagnostic termites et autres insectes xylophages, uniquement dans les communes désignées par un arrêté préfectoral
  • Diagnostic de performance énergétique (DPE), accompagné d’un audit énergétique si le logement est classé F ou G.
  • Constat de risque d’exposition au plomb (CREP), pour les logements construits avant 1949
  • État de l’installation intérieure gaz et électricité, pour celles qui ont plus de 15 ans
  • État des risques et pollutions : indication sur les risques naturels, miniers, technologiques, sismiques, radon, etc.
  • Diagnostic amiante, indique la présence ou l’absence de matériaux ou produits contenant de l’amiante dans un logement dont le permis de construire à été délivré avant juillet 1997
  • Diagnostic mérule, pour les zones concernées par un arrêté préfectoral
  • État du système d’assainissement, si le bien n’est pas raccordé au réseau public pour la collecte des eaux usées

Les acheteurs potentiels peuvent vous demander l’ensemble des diagnostics immobiliers obligatoires lors de la visite, l’idéal est donc de prendre contact avec un expert au préalable.

La rédaction du compromis de vente

La promesse de vente doit être conclue 3 mois avant la signature de l’acte authentique chez le notaire. Vendre son bien immobilier seul n’a aucune incidence sur le délai ou les procédures de vente. Ce laps de temps permet à l’acheteur de débloquer son financement auprès d’un organisme bancaire.

La promesse de vente immobilière doit comporter les coordonnées du vendeur et de l’acquéreur, ainsi que des détails sur le bien et la transaction :

  • Adresse du bien
  • Origine du bien (précédent acte de vente, etc.)
  • Descriptif détaillé du bien et de ses équipements
  • Existence d’une hypothèque et/ou servitude
  • Conditions suspensives le cas échéant
  • Prix du bien et modalités de paiement
  • Durée de validité de la promesse de vente et date limite de signature de l’acte définitif
  • Informations relatives au droit de rétractation (le manquement à cette obligation est passible d’une amende allant jusqu’à 15 000€)
  • Date de disponibilité du bien

En ce qui concerne l’offre d’achat, elle prend en général la forme d’une lettre et doit comporter la désignation du bien, la date de l’offre, le prix fixé par l’acheteur et la durée de validité de l’offre. L’acheteur dispose d’un délai de rétractation de 10 jours à partir de la signature du compromis de vente.

Puis-je vendre ma maison par moi-même alors qu’elle est en agence ?

Oui, il est possible de vendre sa maison entre particuliers, même si elle est déjà proposée à la vente par le biais d’une agence immobilière.

En effet, lorsque vous avez conclu un accord avec l’agent immobilier, appelé mandat de vente, vous lui avez confié la recherche d’un acquéreur et la vente du bien.

Selon le contrat, vous avez la possibilité de vendre vous-même votre bien et de déléguer la vente à une ou plusieurs autres agences.

Il existe 3 types de mandat de vente :

  • Le mandat simple, avec une ou plusieurs agences, qui vous autorise à vendre le bien vous-même.
  • Le mandat exclusif, avec une agence, qui est seule à pouvoir le vendre.
  • Le mandat semi-exclusif, confié à une seule agence, qui vous permet toutefois de vendre le bien vous-même.

Pourquoi installer une verrière ?

Les verrières permettent de transformer l’atmosphère des espaces intérieurs, qu’il s’agisse d’un lieu d’habitation ou de travail. Pourquoi mettre une verrière ? Entre lumière naturelle, esthétique et fonctionnalité, elle apporte un « je-ne-sais-quoi » qui ne laisse pas indifférent. L’idée de cloisonner l’espace sans le fermer vous plait ? Voyons ensemble les nombreux avantages et les diverses possibilités qu’offre ce type d’aménagement.

Les 5 avantages d’une verrière

Faire entrer la lumière

Certains recoins de la maison manquent de lumière naturelle et deviennent des espaces peu exploités voire complètement perdus. Pourtant, installer une verrière permet de créer un coin bureau dans un espace un peu sombre et oublié, par exemple. Cela donne une nouvelle dynamique à la zone de travail, et tend à stimuler la créativité !

Changer de perspective

Lorsque l’on souhaite aménager un espace restreint, les cloisons en transparence sont un élément intéressant. Cela permet de délimiter de vraies pièces avec leurs propres fonctions, sans pour autant avoir la sensation d’évoluer au cœur d’un espace confiné et minuscule.

Naturellement, nos yeux cherchent à s’évader vers l’horizon, alors une pièce réduite et complètement fermée paraîtra toujours plus petite que si elle est ouverte sur l’extérieur. Poser une verrière permet de créer un véritable trompe-l’œil !

Agrandir l’espace

Si on a la chance d’avoir une grande hauteur sous plafond, il serait dommage de ne pas en profiter en aménageant une pièce supplémentaire en mezzanine. Pour ne pas se contenter de cette belle perspective depuis le rez-de-chaussée uniquement, pourquoi ne pas installer une verrière atelier ? Ainsi, on jouit d’un havre de paix avec un point de vue singulier depuis le niveau supérieur comme depuis le niveau inférieur.

Cloisonner sans séparer

En matière de décoration, les espaces ouverts sont à l’honneur. Pourtant, il est parfois difficile de concilier zone de réception et espace privé, tout en gardant quelque chose de fonctionnel. La verrière, tout en préservant cette sensation de fluidité et de continuité, délimite de manière plus ou moins formelle les univers distincts.

Optimiser l’espace

Afin de gagner de la place, on a tendance à privilégier les portes coulissantes pour délimiter les espaces entre les différentes pièces. Ainsi, la porte coulissante tout en transparence, avec une structure métallique qui évoque l’esthétique de la verrière, se fond complètement dans les cloisons pour libérer l’espace.

Quelle différence entre une verrière et une véranda ?

La verrière et la véranda présentent des atouts différents. La véranda constitue un excellent choix lorsque l’on souhaite agrandir son logement tout en profitant de la luminosité extérieure. Elle permet d’ajouter une pièce supplémentaire, isolée sur le plan thermique et acoustique, comme un salon ou un jardin d’hiver. Extension transparente de la maison, elle se décline en différents matériaux comme le bois, le PVC ou encore l’aluminium.

La verrière, quant à elle, est une solution de décoration ou de cloisonnement pratique qui s’intègre dans la structure existante de l’habitation. Elles peuvent être installées verticalement, en façade, ou horizontalement pour profiter d’un plafond de verre qui laisse entrer la lumière naturelle. La verrière d’intérieur permet également de séparer deux espaces, comme une cuisine et un salon, grâce à une cloison vitrée. Une fois en place, elle donne une impression de volume, et permet de gagner en luminosité dans les pièces sombres ou aveugles.

Quel prix pour installer une verrière ?

Sur le marché, vous trouverez deux types de verrières : celles en kit, avec des dimensions préétablies, et les verrières sur-mesure, conçues spécifiquement selon vos besoins et la configuration de votre espace. Les prix peuvent varier considérablement entre une verrière en kit à monter soi-même et une version sur-mesure. Le choix des matériaux a également un impact significatif sur le coût final.

Prix d’une verrière en bois

  • Entre 200 et 300€ pour une verrière à monter soi-même
  • Entre 400 et 600€ pour un modèle sur mesure

Prix d’une verrière industrielle

  • Entre 300 et 400€ pour un modèle en kit
  • Entre 600 et 1000€ pour une verrière en acier sur mesure

Prix d’une verrière intérieure en aluminium

  • Entre 250 et 350€ pour un modèle à monter soi-même
  • Entre 500 et 800€ pour une verrière sur mesure

Si vous souhaitez concevoir et installer une verrière sur mesure dans votre logement, venez rencontrer les experts présents sur les salons Viving. Ils sauront vous orienter sur la solution à retenir en fonction de votre projet, et selon la configuration de la pièce dans laquelle vous souhaitez poser une verrière.

Adopter le style haussmannien chez soi

Qui a dit que pour recréer une ambiance haussmannienne, il fallait nécessairement habiter en plein cœur de Paris ? Parquets en bois massif, cheminées majestueuses, moulures et soubassements : découvrons ensemble comment apporter du charme à sa maison ou à son appartement grâce à un intérieur haussmannien.

Qu’est ce que le style haussmannien, à l’origine?

Le préfet de Paris, Georges-Eugène Haussmann, a dirigé la transformation urbaine de la capitale française au XIXe siècle. Il a également inspiré l’aménagement de plusieurs autres villes françaises sous le Second Empire et le début de la Troisième République comme Rouen, Dijon, Angers, Toulouse, Lille, Toulon ou encore Marseille.

Les travaux d’urbanismes menés entre 1853 et 1870 ont fait de Paris, cité médiévale aux rues étroites et insalubres, une métropole moderne. Haussmann a une obsession pour la ligne droite, que l’on appellera le « culte de l’axe », qui le pousse à détruire de nombreux bâtiments, y compris  la maison qui l’a vu naître.

Toute son attention se porte sur les proportions, avec des bâtiments qui se déclinent selon les mêmes dimensions pour offrir un ensemble harmonieux et rectiligne. L’architecture de style haussmannien se caractérise par une façade majestueuse de 6 étages maximum, agrémentée de riches moulures en pierre de taille et de grandes fenêtres.

Son projet se base sur une organisation sociale précise. Le rez-de-chaussée abritait les commerces et leurs réserves, tandis que le premier étage était réservé aux plus riches qui avaient peu de marches à gravir pour atteindre leur domicile et profitaient des plus hauts plafonds et des plus belles moulures de l’édifice. Plus on montait les étages, moins l’architecture était travaillée.

Le style haussmannien intérieur

Au cœur des appartements style haussmannien, on retrouve souvent des éléments tels que des parquets en bois massif, des soubassements, des cheminées en marbre, des moulures décoratives (plinthes, corniches, chambranles, cimaises et plafonds), des fenêtres en bois avec des poignées en fer forgé ainsi que des plafonds hauts. Ce style architectural incarne le raffinement et le prestige de l’époque haussmannienne, et reste aujourd’hui une référence en matière d’élégance.

Mais, bonne nouvelle, il n’est pas obligatoire de résider dans un immeuble haussmannien pour adopter ce style chez soi ! Voyons comment intégrer ce charme intemporel dans nos espaces de vie, qu’ils soient grands ou petits.

Les moulures

En optant pour des moulures décoratives, vous passerez rapidement d’un logement dénué de charme à un intérieur au style haussmannien caractéristique. Autrefois réalisées en plâtre par un staffeur-ornemaniste, les moulures originelles étaient souvent onéreuses. Aujourd’hui, il existe des alternatives plus économiques en polymère extrudé, en bois ou en PVC !

Ces ornements apportent du relief et un aspect travaillé à chaque pièce. On aime les moulures en rosace au plafond, autour des portes ou sur les murs pour matérialiser les soubassements. Il s’agit d’un atout déco indéniable pour redessiner les pièces, et leur donner un côté iconique.

Le parquet

Pour donner la sensation d’être dans un intérieur haussmannien dès l’entrée, le parquet massif en chêne est certainement le meilleur argument. Posé à l’anglaise, à bâton rompu ou en point de Hongrie (chevrons), il évoque indéniablement les appartements d’époque.

On le trouve désormais dans des matériaux comme le carrelage ou le vinyle, qui imitent très bien l’apparence des plus beaux parquets anciens. En ajoutant un énorme tapis au milieu de votre salon, vous profiterez d’une ambiance chaleureuse tout en ayant l’impression de vivre en plein cœur de Paris.

La cheminée

Lorsque l’on pense aux logements type haussmannien, on imagine d’immenses cheminées à foyer ouvert dans chaque pièce. Sans pour autant en arriver là, installer une cheminée dans la pièce principale apporte une touche de caractère. Si ce n’est pas le cas, une cheminée factice purement décorative ou faisant office de chauffage d’appoint peut être intéressant. Quoi qu’il en soit, cet élément de décor apportera de la chaleur et de la convivialité à votre intérieur.

N’hésitez pas à consulter nos idées pour habiller les manteaux de cheminée !

La décoration haussmanienne

Pour recréer l’ampleur caractéristique des intérieurs haussmanniens, il existe quelques astuces. Par exemple, appliquer une peinture blanche au plafond ou prolonger la couleur du mur sur celui-ci d’une vingtaine de centimètres. De la même manière, choisir une teinte plus sombre en soubassement va ajouter de la profondeur à la pièce.

Parce que tout est une question d’équilibre, nous vous conseillons d’interrompre les lignes droites qui structurent la pièce avec quelques courbes : moulures, miroirs, fauteuils arrondis, etc.

Par ailleurs, il faudra contrarier l’uni qui occupe une place forte avec des motifs, que ce soit par l’intermédiaire de rideaux, de tableaux ou d’un papier peint panoramique sur un pan de mur.

Enfin, bien que l’élégance du blanc domine, l’ajout de touches de couleurs par le biais d’un canapé en velours vert ou de chaises couleur bronze devrait enrichir l’esthétique globale.

Vous souhaitez d’autres idées pour aménager votre intérieur dans un style typiquement haussmannien ? Rendez-vous dans l’un de nos salons Viving pour rencontrer nos exposants qui fourmillent d’idées !