Comment nettoyer une terrasse : les meilleures méthodes

Lorsque l’on a la chance d’avoir une terrasse ou un balcon, rien d’étonnant à ce que l’on souhaite en profiter au moindre rayon de soleil. Les intempéries hivernales ayant laissé quelques traces de leur passage, un brin de toilette est indispensable pour que votre extérieur retrouve son charme. Voici quelques conseils pour nettoyer sa terrasse en fonction du matériau qui l’habille.

Bien entretenir une terrasse

Avant de profiter pleinement de sa terrasse ou de son espace extérieur, un peu d’entretien s’impose. Dans un premier temps, pensez à enlever le mobilier, les plantes et les éléments de décoration qui pourraient gêner l’opération.

Qu’il s’agisse de nettoyer une dalle de terrasse en ardoise, en carrelage, en bois, en pierre, en béton ou en composite, il existe différentes méthodes pour lui redonner de sa superbe tout en garantissant sa longévité. L’idéal étant évidemment d’utiliser des produits écologiques, sans danger pour l’environnement.

Comment nettoyer une terrasse en bois ?

La mousse et le lichen peuvent rendre votre terrasse en bois sale et surtout très glissante. Pour qu’elle garde un aspect propre et chaleureux, vous pouvez nettoyer votre terrasse en bois au savon noir. En effet, le savon noir est un produit naturel dégraissant, antibactérien et insecticide. Même s’il s’agit d’un bois particulièrement résistant, il est important d’appliquer ensuite une huile de protection pour le protéger au fil des saisons.

Pour ceux qui se posent la question, oui, il est possible de nettoyer une terrasse en bois au Karcher. Attention, lors de l’utilisation d’un nettoyeur à haute pression, il est primordial de tenir le jet d’eau à une distance de 50 cm minimum de la surface à traiter et d’éviter les pressions trop élevées. Pour information, les essences de bois exotiques tolèrent mieux le nettoyage à basse pression.

Comment nettoyer une terrasse en pierre ?

Basalte, granit, grès, ardoise ou marbre, il est essentiel d’utiliser des produits au pH neutre lors de l’entretien de votre terrasse en pierre naturelle. Ainsi, lorsque les mauvaises herbes élisent domicile entre les pierres de votre terrasse, vous pouvez facilement vous en débarrasser avec de l’eau bouillante. Habituellement salée, l’eau de cuisson des pâtes est un excellent désherbant naturel : une fois les plantes anéanties jusqu’aux racines, il est facile de les enlever.

Vous vous demandez comment nettoyer une terrasse en pierre très sale ? Il faut s’armer de patience et d’un peu d’huile de coude. En effet, afin de préserver ces matériaux de qualité, il est préférable d’éviter l’usage de nettoyeurs haute pression sur une pierre poreuse ou une pierre reconstituée. La puissance du jet rend sa surface plus fragile et sensible au gel.

Enfin, vous pouvez tout à fait protéger votre terrasse en pierre à l’aide d’un produit imperméabilisant. Ce dernier comble les pores de la pierre et forme une barrière contre les taches et l’invasion de micro-organismes, permettant d’espacer les nettoyages.

Nettoyer sa terrasse au vinaigre blanc lorsqu’elle est en pierre naturelle, est-ce vraiment une bonne idée ? Oui, s’il s’agit de pierres non calcaires comme le granit ou le quartz. En revanche, on évite absolument le vinaigre blanc sur le marbre ou le travertin qui vont s’abîmer au contact de l’acidité.

Comment nettoyer une terrasse en béton ?

Si vous prenez le temps de bichonner votre terrasse régulièrement, le bicarbonate de soude suffit à lui redonner tout son éclat. Appliquez un mélange d’eau chaude savonneuse (savon de Marseille ou savon noir) et de bicarbonate sur la surface, frottez avec une brosse, puis rincez à l’eau claire.

Lorsque votre terrasse est très sale, votre meilleur allié sera le vinaigre blanc. Laissez-le agir une quinzaine de minutes avant de frotter avec une brosse plutôt douce, puis rincez abondamment.

Nettoyer sa terrasse en béton à la javel est tentant, mais est-ce réellement une bonne idée ? Il semblerait que non. En effet, outre le fait que ce type de produit est polluant pour l’environnement, cela dégage également des vapeurs toxiques dangereuses pour la santé. Ainsi, une terrasse fraîchement nettoyée à l’eau de javel et chauffée par les rayons du soleil se transforme en cocktail toxique pour tous ceux qui viennent s’y relaxer. Par ailleurs, il s’agit d’un produit agressif susceptible d’attaquer la couche de protection du béton : la terrasse devient alors plus terne et plus vulnérable.

Autre solution : le percarbonate. Ce produit, que l’on surnomme “javel sans chlore” est sans danger pour l’environnement et offre des résultats spectaculaires.

Comment nettoyer une terrasse en carrelage ?

Il est préférable d’éviter le nettoyeur haute pression pour ce type de revêtement. En effet, il pourrait endommager irrémédiablement votre joli carrelage. Un peu d’eau chaude savonneuse suffit généralement à entretenir une terrasse en carrelage.

Néanmoins, si celle-ci est particulièrement encrassée, vous pouvez utiliser du vinaigre blanc ou du bicarbonate de soude pour venir à bout des taches tenaces. La recette est simple : un seau d’eau chaude additionné d’un bouchon de savon noir, auquel on ajoute un demi verre de bicarbonate de soude et un demi verre de vinaigre blanc. Ensuite, il suffit de brosser au balai, puis de rincer à l’eau claire.

Pour les joints, l’idéal est de les saupoudrer de bicarbonate de soude puis de les frotter à la brosse à dent avec un mélange d’eau chaude, de vinaigre blanc et de citron (un verre de vinaigre blanc et un verre de jus de citron pour un litre d’eau). Un peu d’huile de coude, et ils seront à nouveau impeccables !

Pour nettoyer la terrasse en carrelage à la Javel, utilisez une solution composée d’un volume de produit et de 10 volumes d’eau froide. Il est préférable de ne pas tenter une concentration plus forte au risque d’abîmer les joints ou d’altérer définitivement la couleur du revêtement. Alors, combien de temps laisser l’eau de Javel agir sur la terrasse sans craindre les dégâts ? Appliquez la solution durant 10 à 15 minutes maximum avant de rincer abondamment.

Comment nettoyer une terrasse en composite ?

Entretenir une terrasse en composite est très facile : un coup de balai et de serpillère toutes les semaines suffit à éliminer les saletés et à sublimer l’aspect de votre espace extérieur. Lorsque les taches sont incrustées, n’hésitez pas à utiliser de l’eau chaude savonneuse à la place de l’eau claire.

Si cette méthode s’avère insuffisante, il est possible de nettoyer sa terrasse au vinaigre blanc. Pour ce faire, il est primordial de bien diluer le produit dans de l’eau et de le laisser agir seulement quelques minutes avant de frotter.

Contrairement au bois naturel, nettoyer une terrasse en bois composite demande finalement peu d’efforts : pas d’huile de protection, de lasure ou de dégriseur. La plupart des lames de bois composite sont d’ailleurs garanties résistantes aux taches, aux intempéries ainsi qu’à la décoloration à cause des UV.

Finalement, quel que soit le matériau de votre terrasse ou le produit que vous avez décidé d’utiliser pour la nettoyer, il est judicieux de faire un essai sur une partie peu visible afin d’éviter les mauvaises surprises.

Comment nettoyer une terrasse avec du bicarbonate de soude ?

Bichonner sa terrasse avec du bicarbonate convient à la plupart des revêtements, y compris les surfaces en carrelage, en béton ou en bois brut. En suivant le bon dosage de bicarbonate de soude pour nettoyer la terrasse, vous obtiendrez un résultat efficace et sans risque pour l’environnement.

Pour un entretien classique : Mélangez 2 cuillères à soupe de bicarbonate de soude par litre d’eau chaude.

Pour des taches tenaces : Préparez une pâte à base de 3 parts de bicarbonate de soude et une part d’eau.

Surélever une maison : tout ce qu’il faut savoir

Vous manquez de place chez vous, mais vous ne pouvez pas construire d’extension en longueur ? Choisissez l’extension verticale en surélevant votre maison ! En créant un voire plusieurs étages, vous bénéficierez de plus de pièces sans avoir besoin de déménager.

En quoi consiste la surélévation ?

La surélévation de maison est une construction qui permet de gagner de l’espace sans empiéter sur votre terrain. Cela consiste à ajouter un étage ou une partie d’étage (surélévation partielle) à une maison, en modifiant la structure et le toit de la bâtisse. La toiture peut aussi être déposée puis reposée telle quelle.

Il n’est pas obligatoire de surélever votre maison sur toute sa longueur. Selon votre budget et vos envies, vous pouvez décider de rehausser une partie seulement de votre maison.

Pourquoi surélever une maison ?

Plusieurs raisons peuvent vous donner envie de faire construire une extension verticale :

  • vous agrandissez votre surface habitable ;
  • si vous avez une maison de ville, vous n’avez sûrement pas la place pour une extension horizontale ;
  • vous gagnez en confort de vie grâce à une ou plusieurs pièces supplémentaires ;
  • votre maison prend de la valeur pour une potentielle revente ;
  • si votre couverture ou votre charpente présentent des faiblesses, la surélévation sera l’occasion de les rénover ;
  • vous aurez une meilleure efficacité énergétique, avec une isolation refaite à neuf ;
  • vous pourrez installer des panneaux solaires en captant mieux le rayonnement solaire.

Surélévation de maison : la réglementation à connaître

Surélever sa maison induit des travaux importants. Les règles d’urbanisme régissent la construction et l’extension de maison en France. Vous pouvez les consulter dans le plan local d’urbanisme (PLU) à la mairie de votre commune.

Elles vous indiqueront la hauteur maximale d’un bâtiment dans votre ville, une information à connaître avant de vous lancer dans une extension verticale. Les règles de mitoyenneté et de distance y sont également stipulées, tout comme les règles esthétiques et architecturales imposées par la commune ou par les architectes des bâtiments de France si vous vivez dans un secteur protégé.

2ème point à vérifier : l’acte notarié de l’achat de votre parcelle. Il peut indiquer des limites qui ne vous permettront pas de réaliser une surélévation. C’est généralement le cas dans les lotissements.

Demander une étude de faisabilité

Une fois que vous avez consulté votre PLU et que vous vous êtes assuré que la surélévation n’était pas interdite, il est temps de demander une étude de faisabilité à un bureau d’études.

En effet, vous devez vérifier la capacité de votre maison à supporter le poids et les contraintes d’un étage supplémentaire. Un bureau d’études structure est tout à fait habilité pour ce type d’étude.

Le technicien bureau d’études examinera la nature et la résistance de votre sol, la profondeur et la largeur des fondations, la solidité des murs porteurs et des planchers, la hauteur sous plafond et la pente de la toiture.

Si tout est parfait, votre projet continue, sinon il vous proposera des solutions adaptées : renforcer les fondations, modifier la charpente, consolider les murs porteurs, etc.

La demande d’autorisation de travaux

C’est l’heure des démarches administratives ! Alors, permis de construire ou déclaration de travaux ?

C’est très simple : si la surface ajoutée ne dépasse pas les 20 m² (ou les 40 m² pour les communes avec PLU ou POS), et que la surface habitable après travaux ne dépasse pas les 150 m², alors une déclaration préalable de travaux suffit.

Ce n’est pas le cas ? Il vous faudra donc demander un permis de construire.

A noter : si votre maison est située dans une zone sensible ou classée, un permis de construire est obligatoire dans tous les cas.

Le recours à un architecte est exigé si la surface habitable totale dépasse les 150 m² après l’ajout de l’étage.

N’oubliez pas de demander une autorisation d’occuper le domaine public routier pour les échafaudages ou la grue s’ils risquent d’empiéter sur la voie publique.

Une fois votre demande déposée, il faudra attendre un mois pour obtenir une réponse à votre demande préalable de travaux, ou deux à trois mois pour un permis de construire. Si votre projet est jugé non conforme, vous ne pourrez pas faire votre surélévation.

La surélévation de maison en copropriété

Surélévation de maison et voisinage font rarement bon ménage. En effet, cela peut occasionner des désagréments à vos voisins : perte de luminosité, vis à vis plus important, privation de vue, ombrage…

Même si l’autorisation de vos voisins n’est absolument pas requise pour ce type de travaux (sauf si vos maisons sont mitoyennes), il vaut mieux leur demander leur accord écrit afin d’éviter de créer un conflit. Sinon, ils pourraient porter réclamation durant la procédure de déclaration de travaux ou de permis de construire et faire échouer votre projet.

Parmi les règles à respecter concernant la surélévation d’une maison et le voisinage, on retrouve :

  • La privation de vue : il faut veiller à ne pas engendrer une perte de vue ou d’ensoleillement.
  • Les servitudes de voisinage : la distance entre les maisons doit être respectée par la surélévation, cela ne doit pas gêner leur accès à la voie publique, etc.
  • Les nuisances sonores : prendre des mesures d’isolation acoustique éviter de perturber le calme du voisinage.

Quel matériau choisir ?

Plusieurs matériaux sont utilisables pour une surélévation : bois, béton cellulaire ou acier.

La surélévation de maison en bois est un choix de plus en plus privilégié par les propriétaires ! C’est un matériau écologique, recyclable, qui fournit une excellente isolation sans trop d’épaisseur. Sa légèreté simplifie la tâche des artisans, tout en sollicitant peu la structure existante.

Autre matériau isolant, le béton cellulaire prend la forme de blocs. Bien qu’il soit plus coûteux que le bois, c’est un bon investissement de par sa longévité.

Enfin, l’acier est parfait pour poser la structure sur la charpente existante : il n’est donc pas nécessaire de la déposer. Très léger également, sa pose est simple, ce qui facilite les travaux.

Prix d’une surélévation de maison

Étant donné la complexité des travaux, le coût d’une surélévation de maison est très important. Plus qu’une extension latérale.

Rentrons tout de suite dans le vif du sujet : il faut compter entre 1800 et 2500€ TTC par m² ajouté, sur une maison saine. Mais sachez que le prix peut considérablement varier en fonction de votre projet : taille de l’agrandissement, qualité du bâti, matériau choisi, pente, type de pièces, isolation, aménagement de terrasse, fenêtres, revêtements intérieurs et extérieurs, etc.

Notre conseil, c’est de demander plusieurs devis à des artisans différents pour comparer leurs propositions. Vous pourrez en rencontrer lors des salons Viving !

Des dépenses administratives sont également à prévoir. Par exemple, vous devrez payer un droit d’occupation du domaine public en cas d’installation de grue ou d’échafaudage sur la voie publique. N’oubliez pas que cette extension verticale doit être déclarée aux impôts, qui revaloriseront alors votre taxe foncière. Vous devez également prévenir votre assureur, qui modifiera votre assurance habitation en conséquence.

Vos questions sur les maisons surélevées

Comment savoir si on peut surélever sa maison ?

Toutes les maisons ne peuvent pas être surélevées. Il faut d’abord vérifier que votre maison peut supporter un étage supplémentaire, via une étude de faisabilité. Autre point qui peut vous empêcher de surélever votre maison : le plan local d’urbanisme et le plan d’occupation des sols. Si la surélévation n’est pas conforme au PLU ou au COS, vous ne pourrez pas vous lancer dans de tels travaux.

Peut-on surélever une maison sans permis de construire ?

C’est possible si votre agrandissement est inférieur à 20 ou 40 m², en fonction de votre PLU. Dans ce cas, une simple déclaration préalable de travaux suffit. Au-delà, le permis de construire est obligatoire, même si la surélévation n’a pas d’incidence sur l’emprise au sol de votre maison.

Peut-on surélever une maison sans fondations ?

Non. Si les fondations de votre maison sont insuffisantes ou inexistantes, il faut à tout prix les renforcer ou les créer avant de surélever votre maison. Une étude de faisabilité technique vous aiguillera.

Quelles sont les techniques utilisées lors de la surélévation d’une maison de ville ?

Quand il s’agit de surélévation de maison et de fondation, il n’y a parfois pas d’autre choix que de prendre de la hauteur pour gagner de précieux m². Mais avant de réhausser sa maison, il est important d’évaluer la capacité des fondations à supporter le poids supplémentaire d’un ou plusieurs étages. Si les fondations existantes ne sont pas assez solides, il est possible de renforcer. Une des techniques consiste à injecter de la résine dans le sol, ce qui permet de remplir les interstices et de renforcer le compactage du sol. Autrement, il est envisageable de faire une reprise en sous-œuvre qui va permettre de répartir différemment le poids de la maison. Pour cela, le professionnel va déterminer soit l’augmentation de la surface d’appui, soit le transfert des charges plus en profondeur.

Quel portail choisir en plein vent ?

BOUM ! Votre portail vient de rendre l’âme face aux assauts répétés du vent. Si vous vivez dans une région fortement exposée, vous devez à tout prix installer un portail qui résiste au vent, au risque d’en changer régulièrement. On vous apporte tous nos conseils pour choisir le portail le plus robuste possible.

Portail exposé au vent : que choisir ?

Renforcer votre portail face au vent est possible, à condition de choisir le bon modèle. On fait le tour des différentes possibilités !

Les matériaux

Pour les zones venteuses, un matériau de portail est particulièrement plébiscité : l’aluminium. Parce qu’il est à la fois robuste et flexible, l’aluminium est parfait pour les portails souvent aux prises avec le vent.

D’autres matériaux peuvent également être convenables, à condition qu’ils soient de bonne qualité : le bois et le PVC. Le bois est très résistant, même s’il est moins flexible et léger que l’alu. Pour le PVC, veillez à sa qualité, car ce n’est pas un matériau connu pour sa longévité.

N’hésitez pas à demander conseil auprès d’un professionnel lors des salons Viving. Ils sauront vous recommander le meilleur matériau en fonction de votre localisation et de l’orientation de votre portail.

Portail battant ou coulissant ?

Entre battant et coulissant, votre coeur balance ? Nous vous conseillons plutôt le portail coulissant en cas de prise au vent, car il y est moins sensible.

Le portail coulissant se déplace vers la droite ou vers la gauche, généralement sur un rail. Il est maintenu en hauteur par un guide ou par un poteau de guidage. Ainsi, il a moins de prise au vent qu’un portail battant, qui dispose de 2 vantaux qui s’ouvrent vers l’intérieur ou l’extérieur. Un vent fort peut gêner l’ouverture ou la fermeture du portail, selon son orientation. Sans parler des gonds, qui risquent d’être endommagés rapidement.

Vous ne voulez pas que votre portail soit arraché par le vent, n’est-ce pas ?

Portail ajouré ou plein ?

Généralement, le portail plein est apprécié pour l’intimité qu’il offre à ses propriétaires. Malheureusement, dans une région venteuse, il vaut mieux l’oublier !

Privilégiez un portail ajouré, qui laisse passer l’air grâce à ses lames espacées. Il a donc moins de prise au vent. Le portail plein reçoit une trop forte pression et a plus de risques d’être endommagé, voire arraché en cas de tempête.

Deuxième solution, le portail à lames persiennes. Les lames sont espacées comme le portail ajouré, mais inclinées, ce qui permet d’éviter les regards indiscrets. Un juste-milieu intéressant !

Comment bloquer un portail contre le vent ?

Si vous en avez assez que votre portail manuel s’ouvre à chaque coup de vent ou se referme en claquant, il est nécessaire d’installer un arrêt de portail. Il en existe plusieurs types : sabot de portail, arrêt de portail à bascule, butée… ces accessoires sont faciles à trouver sur le marché et aisés à installer.

Une alternative est possible : la serrure électrique. De plus en plus prisé, le système de blocage électrique est très efficace pour les portails manuels. L’intervention d’un artisan professionnel est toutefois nécessaire.

Si votre portail est motorisé, il n’est pas nécessaire d’opter pour une serrure électrique ou un arrêt de portail, puisque l’ouverture et la fermeture sont contrôlées par le moteur.

Quel moteur de portail contre le vent ?

C’est un fait, les portails motorisés résistent bien mieux au vent que les portails manuels. Même si vous choisissez un portail en aluminium, ajouré et coulissant, un portail manuel sera toujours moins robuste qu’un portail à ouverture automatique.

La motorisation d’un portail soumis aux vents forts est différente d’une motorisation de portail classique. D’autres critères entrent en compte, notamment la puissance du moteur et sa solidité.

Le moteur à vérin hydraulique réversible est à privilégier pour les portails exposés au vent, en particulier les portails battants. Il s’agit d’un moteur électrique qui actionne une pompe hydraulique, afin d’ouvrir ou fermer les vérins du portail. En cas de coupure de courant ou de panne moteur, le portail peut être ouvert manuellement.

Concernant la puissance, préférez un moteur en 230V si vous avez fréquemment de fortes rafales. En effet, cette puissance ne détecte pas les obstacles, un bon point pour éviter à votre portail de confondre le vent avec un humain. Cela vous évitera des dysfonctionnements !

Évitez si possible les moteurs avec des extrémités en plastique, car elles ne seront pas suffisamment résistantes en cas de coup de vent. Un alliage solide est toujours préférable.

Pour choisir la bonne motorisation pour votre portail, en fonction de sa taille, de son poids, de son ouverture et de la pente du terrain, demandez conseil aux experts Viving. Ils vous proposeront la motorisation qui convient parfaitement à vos besoins.

Les assurances en cas de dommage lié au vent

Les sinistres liés au vent entrent dans la catégorie des tempêtes, pas des catastrophes naturelles. Ainsi, vous êtes normalement couvert par votre assurance habitation si votre portail est endommagé ou arraché par une rafale de vent. Vérifiez bien que votre assurance habitation multirisques s’applique à votre jardin.

Conformément à l’article L122-7 du Code des assurances, toutes les assurances habitation disposent d’une garantie tempête. Cette garantie est engagée si la vitesse du vent est supérieure ou égale à 100 km/h.

Après avoir constaté le sinistre, vous disposez de 5 jours ouvrés pour avertir votre assureur. Envoyez des photos et expliquez la situation à votre assurance. Les factures de la pose de votre portail peuvent être utiles. Un certificat Météo France attestant de la vitesse du vent au moment où votre portail s’est envolé vous sera certainement demandé. Un expert pourra venir constater les dégâts sur place.

Comment bien choisir un monte-escalier ?

Autrefois désuet, le monte-escalier s’est aujourd’hui largement démocratisé auprès des personnes âgées ou souffrant de difficultés pour se déplacer. Mais comment choisir un monte-escalier ? Retrouvez nos conseils pour pouvoir vous décider en toute sérénité.

Le monte-escalier : à quoi sert-il ? 

Le monte-escalier est un appareil qui permet d’aider les personnes âgées ou ayant des difficultés à se déplacer à monter les escaliers. 

L’installation d’un monte-escalier pour personne âgée ou présentant des difficultés ne nécessite pas de travaux. Il peut être installé en quelques heures, uniquement par un professionnel expérimenté.  

Monte-escalier : que choisir ? 

Le choix de votre monte-escalier dépend non seulement de votre intérieur, mais aussi de votre budget et de vos besoins. 

Certains modèles peuvent s’adapter à tous types d’escaliers, mais il est important de bien fournir les mesures de votre escalier à votre prestataire. L’installation d’un monte-escalier nécessite en général une largeur minimum de 65 cm. 

Vérifiez également que votre siège monte-escaliers répond à la norme européenne de type C, NF EN 81-40 de décembre 2008. 

Le monte-escalier électrique  

Le monte-escalier électrique figure parmi les modèles les plus communs. Un rail est fixé tout au long de votre escalier (quel que soit le matériau de votre escalier). Il permet la circulation d’un siège élévateur grâce à un moteur électrique afin de monter et descendre les escaliers sans difficultés. 

Pour garantir la sécurité de l’usager, le siège élévateur comporte une ceinture de sécurité et des accoudoirs sur lesquels figurent peuvent figurer les commandes. Il est aussi doté d’un détecteur d’obstacle, d’un système d’arrêt d’urgence et de la possibilité de le verrouiller afin d’éviter les mises en fonction accidentelles. Pour plus de confort, le siège est généralement pivotant et rabattable. 

Pratique, le monte-escalier électrique est privilégié par les personnes qui bénéficient encore d’une certaine autonomie car il faut être capable de se tenir debout et de s’asseoir pour l’utiliser.  

Bon à savoir : la plupart des monte-escaliers électriques sont dotés d’un système avec du courant continu. Celui-ci se recharge automatiquement, ce qui permet une utilisation en cas de coupure électrique.

Le monte-escalier à plateforme  

Le monte-escalier à plateforme est le modèle recommandé lorsqu’il est utilisé par une personne en fauteuil roulant ou avec un déambulateur. Il peut en général supporter entre 200 et 300 kilos.  

Tout comme le monte-escalier électrique, il est équipé d’un rail mais une plateforme rabattable remplace le siège. Lorsqu’elle se déplie au niveau du sol, elle peut accueillir une personne en fauteuil roulant ou avec un déambulateur.  

La chaise élévatrice  

La chaise élévatrice se fixe au plafond plutôt qu’au mur ou le long des escaliers. Elle peut être installée quelle que soit la configuration de votre escalier. 

Particulièrement pratique, elle peut être entièrement escamotable et ne gêne pas le passage dans l’escalier. Deux types de modèles existent : pour fauteuil roulant ou pour personnes avec une mobilité réduite.

Ce type de monte-escalier présente de nombreux avantages, dont son prix plus raisonnable, mais il offre moins de confort que les autres modèles. 

Le mini-ascenseur 

Si la personne éprouve de grosses difficultés à se déplacer, un mini-ascenseur à domicile peut être installé. Il supporte à peu près le même poids qu’un monte-escalier à plateforme (environ 250 kilos). 

Facile d’utilisation, l’installation d’un mini-ascenseur est généralement coûteuse et nécessite des frais d’entretien.

Le diable monte-escalier 

Le diable monte-escalier peut être utilisé en complément d’un monte-escalier classique pour faciliter les déplacements d’une personne âgée. 

Ce dispositif permet à la personne qui a des difficultés à se déplacer de franchir facilement les escaliers en extérieur. Cependant, il doit être maîtrisé par une personne valide qui comprend bien son fonctionnement.

Différents modèles existent, du diable monte-escalier pour fauteuil roulant à celui avec siège détachable ou non. Le confort dépend bien sûr du modèle et de la gamme de prix, certains modèles sont équipés d’un frein par exemple. 

Monte escalier : le prix

Le prix d’un monte-escalier peut varier entre quelques milliers d’euros et jusqu’à plusieurs dizaines de milliers d’euros. Ce prix dépend non seulement des modèles, mais aussi de la configuration de votre intérieur. Les prix moyens sont compris entre 2 500 et 12 000 euros.

Un monte-escalier pour un escalier droit a un tarif plus abordable (entre 2 500 et 5 000 euros) car il nécessite une installation moins complexe. Les monte-escaliers tournant ou en colimaçon ont un prix moyen plus élevé (jusqu’à 12 000 euros). Enfin, le prix d’un monte-escalier à plateforme est situé entre 6 000 et 12 000 euros.

Pour faire votre choix, prenez également en compte la garantie des équipements fournis (minimum 5 ans) ainsi que les services d’assistance proposés. 

Parking haut ou parking bas ?

Le parking désigne l’endroit où le monte-escalier sera garé lorsqu’il n’est pas en fonctionnement : en haut de l’escalier ou en bas.

Le parking haut est recommandé pour les personnes qui ont une vraie difficulté à se déplacer ou des troubles de l’équilibre. Il permet de laisser l’espace libre dans l’escalier et de s’asseoir à niveau.

Le parking bas permet une libre circulation dans le couloir et libère l’escalier qui peut être emprunté sans monte-escalier. Il est adapté aux personnes avec déambulateur, fauteuil roulant ou béquilles.

Pourquoi faire appel à un bureau d’études pour mon projet ?

Vous avez décidé de faire construire votre maison ? Félicitations ! Plusieurs acteurs sont nécessaires pour une construction, notamment un ou plusieurs bureaux d’études, en fonction de vos besoins. On vous aide à y voir plus clair !

Qu’est-ce qu’un bureau d’étude ?

Le but du bureau d’études ( ou BE) est de vous aider à faire les bons choix structurels et techniques pour la construction ou la rénovation de votre maison individuelle, via des études. S’ils travaillent pour des particuliers, ils peuvent aussi travailler pour des entreprises ou des promoteurs immobiliers.

Les ingénieurs et techniciens effectuent des recommandations pour réaliser vos travaux, ou partagent leur expertise concernant la qualité de l’existant.

En général, ce sont les maîtres d’œuvre ou les maîtres d’ouvrage qui font appel aux bureaux d’études, mais vous pouvez tout à fait en contacter un directement en tant que particulier, dans le cadre d’une construction ou d’une rénovation.

Quels sont les types de bureaux d’études ?

Il existe des bureaux d’études pour chaque spécialité ! On vous présente les différents types de bureaux d’études, en fonction de leur expertise :

Le bureau d’études structure

Le bureau d’étude structure pour les particuliers s’occupe des composantes structurelles : charpentes, poutres, poteaux, etc. Tout ce qui permet à la maison de tenir debout !

Certains BE structure sont dédiés à des constructions bien précises, comme les ouvrages en béton, les ouvrages en bois ou les structures métalliques.

Le bureau d’études assainissement

Pour installer ou remplacer un système d’assainissement non collectif dans une maison, faire appel à un bureau d’études assainissement est obligatoire. Les techniciens vont s’intéresser aux caractéristiques du sol pour recommander la meilleure solution d’assainissement pour votre logement.

Le bureau d’études infiltrométrie

Ce bureau d’études s’occupe de l’étanchéité à l’air de la maison, pour choisir le meilleur système d’étanchéité possible. Ils réalisent des tests pour vérifier la conformité d’une construction d’après les exigences de la RE 2020.

Le bureau d’études géotechnique

Très important, le bureau d’étude géotechnique produit des rapports pour proposer les fondations adaptées superficielles ou profondes pour votre maison. Son objectif est de bien répartir les charges dans le sol, en fonction de la nature du sol et du poids du bâti. C’est également ce BE qui réalise les études de sol géotechniques pour déterminer sa nature.

Le bureau d’études thermique

Le but du BE thermique est de réduire la consommation énergétique de la maison, que ce soit dans le cadre d’une construction ou d’une rénovation. Il étudie les dissipations thermiques pour proposer de meilleurs matériaux et/ou équipements, dans le respect de la RE 2020.

Est-ce obligatoire ?

Faire appel à un bureau d’étude technique peut être indispensable dans certains cas :

  • Pour installer un système d’assainissement non collectif : une étude de sol assainissement doit être jointe au dossier soumis au SPANC (service public d’assainissement non collectif) ;
  • Pour bénéficier de l’assurance dommages-ouvrage : une étude géotechnique est requise par les assureurs ;
  • Pour déposer un permis de construire : un bureau d’études thermique doit être recruté.

Quels sont les services proposés par un bureau d’étude ?

Plusieurs missions peuvent être confiées à un bureau d’études.

La conception d’ouvrage

Pour ce service, le bureau d’études se charge de réaliser les calculs nécessaires pour concevoir l’ouvrage. Par exemple, le bureau d’étude structure pour une maison individuelle va définir comment assurer la bonne tenue de la structure et sa durabilité, avec un certain type d’équipement. Le maître d’œuvre pourra se référer à cette méthodologie.

La rénovation

On peut également faire appel à un BE dans le cadre d’une rénovation de maison ou d’une extension. Il faut effectuer un diagnostic de l’existant et vérifier que les travaux envisagés n’aient pas d’impact sur la structure existante. Le bureau d’études thermique peut aussi prendre part à ce type de mission, si vous cherchez à réduire votre consommation d’énergie.

Le diagnostic

Hors construction ou modification, les bureaux d’études sont utiles pour réaliser toutes sortes de diagnostics : état de la structure, étude de sol, étanchéité, dissipation thermique, etc. Cela pourra vous aider à affiner votre projet de construction, de rénovation ou d’extension, en ayant une idée plus précise des coûts.

La maîtrise d’oeuvre

Certains bureaux d’études proposent également d’être maître d’œuvre, c’est-à-dire de gérer la réalisation de vos travaux. Cela peut être un avantage, car vous êtes certain que les études produites seront bien appliquées.

Les avantages pour un particulier

Bien que le bureau d’études soit un poste de dépense supplémentaire, il peut néanmoins vous apporter des bénéfices. N’oubliez pas que dans certains cas, il s’agit même d’une obligation.

Le premier avantage est de profiter de l’expertise et du savoir-faire des ingénieurs du bureau d’études. Vous serez certain que votre projet de construction ou de rénovation est entre de bonnes mains, et que la conception du bâti sera idéale, dans le respect des normes en vigueur.

Le deuxième avantage est de vous assurer de la faisabilité de votre projet avant même de le débuter. Grâce aux diagnostics, vous saurez si votre projet est faisable en l’état ou si des problèmes techniques vous empêchent de le réaliser. Vous aurez également une meilleure idée des coûts et des délais de réalisation.

Enfin, le bureau d’études peut s’occuper pour vous des formalités administratives. Pré-déclarer les travaux, demander des permis de construire ou des autorisations de voirie : les techniciens peuvent s’occuper de ce type de demande pour que vos travaux commencent dans les temps.

Quand faire appel à un bureau d’étude ?

Quand vous voulez ! Sauf une fois le projet terminé, bien sûr.

Vous pouvez contacter un bureau d’études techniques avant de débuter votre projet, afin d’effectuer des diagnostics et fournir une méthodologie de réalisation. Mais aussi au début du projet, pour être accompagné sur les aspects techniques. Enfin, si vous avez besoin d’un maître d’œuvre pendant le projet, certains bureaux d’études proposent ce type de prestation.

Comment transformer ses WC en espace déco ?

Les WC sont malheureusement la pièce la plus délaissée côté déco. Pourtant, il est possible de rendre design cette petite pièce ! Tour d’horizon des styles, couleurs et revêtements avec lesquels vous pouvez vous amuser…

3 idées déco pour les WC

Déco WC moderne

Les WC suspendus seront du plus bel effet dans une décoration moderne et design. Avec une simple cuvette, vous aurez plus de liberté pour décorer vos toilettes !

Par exemple, vous pourriez choisir un papier peint avec des motifs géométriques, ou les peindre vous-même si vous avez l’âme d’un bricoleur. Jaune, rouge, bleu, rose… ces couleurs dynamiques peuvent revitalisent cette pièce qui a souvent peu de caractère. Le duo noir et blanc fait aussi toujours son petit effet.

N’oubliez pas les éclairages : les spots lumineux ou les barres LED prennent peu de place et apportent une ambiance moderne.

Déco WC nature

Vous avez envie que vos toilettes riment avec détente ? Faites de vos WC un havre de nature, avec de belles plantes si vous avez la chance d’avoir une fenêtre. Sinon, des plantes grasses ou des fleurs séchées seront parfaites.

Osez le papier peint tropical, très à la mode, pour agrémenter vos toilettes nature sur un pan de mur. Vous pouvez choisir un papier peint noir et blanc, pour une déco douce, ou un papier peint coloré si vous aimez la fantaisie. Un revêtement mural en bois ou imitation bois apportera tout de suite un effet cocooning.

Les accessoires en osier seront du plus bel effet dans une déco naturelle. Pourquoi pas un panier pour ranger le papier toilette ? Ou des pots en osier pour vos plantes ?

Déco WC zen

Faites de vos toilettes une bulle de réconfort, loin du brouhaha des autres pièces. Avec des couleurs claires, du mobilier en bois ou en bambou et quelques plantes, vous aurez l’ambiance zen parfaite. Prenez garde à ne pas trop surcharger la pièce, à la façon de la déco japandi.

La touche déco : une bougie parfumée ou un diffuseur d’huiles essentielles, pour que cette pièce soit toujours agréablement parfumée et vous aide à vous relaxer.

>> Déco Japandi : comment l’adopter ?

Comment agrandir ses toilettes ?

Même si vos toilettes ne font que quelques m², vous pouvez toujours créer un espace qui semble plus grand avec quelques astuces de décoration. Pour donner une impression de grandeur, il existe plusieurs solutions de déco de WC pour petit espace :

  • Optez pour des couleurs claires et lumineuses pour vos murs ;
  • Utilisez des miroirs pour refléter la lumière et agrandir visuellement l’espace ;
  • Installez des étagères murales flottantes pour ne pas encombrer le sol.

Quelles couleurs pour les toilettes ?

Lorsqu’il s’agit de choisir les couleurs pour vos WC, on pense naturellement à des teintes claires et pastel. Les couleurs telles que le blanc, le beige, le gris clair, le vert pastel et le bleu clair sont des choix judicieux pour créer une ambiance calme et cosy.

Si vous cherchez à ajouter une touche d’originalité à vos toilettes, vous pouvez oser des couleurs plus audacieuses. Le noir est une couleur qui peut sembler risquée, mais lorsqu’elle est utilisée correctement, elle peut créer une ambiance élégante et sophistiquée. Évitez le total look si vos toilettes sont petites, au risque de rendre l’espace encore plus réduit. Privilégiez des touches de noir dans la décoration ou sur un seul mur.

Les couleurs métalliques comme l’argent, l’or ou le cuivre sont également une option intéressante pour ajouter une touche de glamour et de modernité.

Vous pouvez également utiliser des couleurs plus vives comme le rouge, le vert ou le jaune pour créer une ambiance dynamique et stimulante. Dosez bien les couleurs pour ne pas surcharger l’espace.

Quels revêtements muraux choisir ?

Choisir le bon revêtement mural pour vos WC est crucial pour créer la déco que vous recherchez, tout en étant pratique pour cette pièce généralement humide.

Les panneaux muraux en PVC sont une option populaire pour les toilettes, car ils sont faciles à installer et résistent à l’humidité. Les panneaux en PVC sont disponibles dans une grande variété de couleurs et de motifs, ce qui vous permet d’ajouter votre touche !

Le papier peint est également attractif, car il peut tout de suite donner une ambiance particulière à vos murs de WC. Choisissez un papier peint vinyle, plus facile à nettoyer.

Enfin, les murs en bois peuvent apporter une touche chaleureuse à vos toilettes, en particulier si vous adoptez une déco de WC en bois, nature ou zen. Prenez garde au type de bois que vous choisissez : mieux vaut qu’il soit résistant à l’humidité.

Quel sol pour une déco de WC originale ?

Maintenant que les murs et les couleurs sont choisies, qu’en est-il du sol des WC ?

Les carreaux en céramique sont intéressants pour les toilettes car ils sont résistants à l’eau et extrêmement faciles à nettoyer. Niveau déco, on retrouve une grande variété de couleurs et de motifs. Pour plus d’originalité, pourquoi ne pas choisir un carrelage bicolore ?

Et un sol en vinyle ? Un grand classique ! Il imite à la perfection le parquet en bois, le béton ou encore la pierre. Pratique pour s’adapter au style de déco que vous avez choisi pour vos toilettes.

Enfin, les sols en bois apportent une touche de chaleur et de confort à vos WC, mais attention : sélectionnez un bois résistant à l’humidité pour éviter les problèmes de pourriture. Privilégiez le teck, le chêne, le cèdre ou l’ipé, qui sont des bois particulièrement robustes, parfaits pour les toilettes.

Quel dallage autour d’une piscine ?

Alors que les beaux jours arrivent, vous avez peut-être envie de poser un dallage autour de votre piscine, pour la rendre plus agréable. C’est le moment idéal ! On vous présente les critères à prendre en compte avant de choisir vos dalles, et les différents revêtements envisageables. Inspirez-vous !

Les critères pour choisir vos dalles de sol de piscine

L’étanchéité

Puisqu’on parle de dalle pour piscine, l’étanchéité est le critère n°1 à prendre en compte. Certains matériaux, comme le travertin, nécessitent l’utilisation d’un produit hydrofuge pour l’imperméabiliser. D’autres revêtements sont naturellement résistants à l’eau, comme le béton.

La robustesse

Pour l’extérieur, nous vous conseillons de choisir des revêtements robustes. Vos dalles doivent résister aux saletés, au gel, à l’eau, à la pluie ou encore aux produits d’entretien du bassin. Généralement, le dallage autour de la piscine est particulièrement résistant.

Le niveau antidérapant

Près d’une piscine, il est essentiel de choisir des dalles avec un fort indice antidérapant. Mieux vaut éviter les glissades… Nous vous recommandons un dallage de piscine antidérapant à indice R11 ou R12.

A noter : cet indice n’existe pas pour les matériaux comme la pierre naturelle, puisqu’elle est naturellement antidérapante.

L’apparence

La décoration, c’est important ! Heureusement, il existe aujourd’hui des centaines de coloris et de finitions dans de nombreux matériaux. Vous trouverez forcément le dallage de piscine qui s’accordera avec votre déco extérieure. Évitez tout de même les dalles trop sombres, surtout si vous êtes dans une région ensoleillée, au risque de vous brûler les pieds !

Le prix

Evidemment, le coût du dallage a son importance. Certains matériaux sont plus chers que d’autres et peuvent vite dépasser votre budget. Cela va également dépendre du coloris, de la finition, de la méthode de pose, etc. N’hésitez pas à demander plusieurs devis à vos fournisseurs pour votre dallage de piscine.

L’entretien

Entretenir régulièrement la dalle de contour de la piscine permet de préserver son aspect. En effet, les divers revêtements sont exposés aux éléments comme le chlore, l’humidité, les algues ou encore les rayons UV. Autant d’agressions qui peuvent provoquer des taches ou accélérer l’usure du sol de votre piscine.

>> A lire également : comment entretenir une piscine ?

Quel est le meilleur revêtement autour d’une piscine ?

Une multitude de matériaux existent pour entourer votre bassin, sans compter les coloris et les finitions possibles. Plutôt dallage piscine en pierre naturelle ou carrelage ? Voyons ça ensemble.

Le dallage de piscine en travertin

Cette pierre naturelle est souvent plébiscitée pour les tours de piscine. En plus d’être accessible, le travertin est antidérapant, durable et très esthétique. La porosité du travertin lui permet d’absorber l’eau, ce qui vous évitera de glisser près du bassin. Résistant à la chaleur, il est très apprécié dans les régions ensoleillées puisqu’il reste frais au toucher.

Cependant, il est nécessaire de le protéger avec un produit hydrofuge résistant au sel, tous les 3 à 5 ans.

Les dalles en béton

Si le dallage en béton est encore rare pour les piscines (on le recouvre souvent d’un autre revêtement), il convient pourtant parfaitement aux amateurs de déco industrielle. Naturellement antidérapantes, vous serez en sécurité avec des dalles en béton. Elles restent fraîches, sont résistantes et faciles à entretenir.

Si l’aspect esthétique d’une dalle béton autour de la piscine vous gêne, sachez qu’il existe plusieurs coloris et habillages pour éviter sa couleur grise. Il est également possible d’imprimer des motifs en relief. Niveau décoration, tout est permis avec le béton !

Les dalles en grès cérame

Très utilisé pour le dallage de piscine, le grès cérame est à la fois tendance et pratique. Résistant aux chocs, aux tâches et aux UV, il offre une longue durée de vie tout en étant plutôt abordable comparé à d’autres revêtements. L’avantage du grès cérame est qu’il imite parfaitement la pierre, le béton ou encore le bois.

Attention, préférez des tons clairs si vous vivez dans une région ensoleillée. Un dallage en grès cérame noir risque de vous brûler les pieds ! Un traitement antidérapant est nécessaire pour éviter les risques de glissade sur la dalle autour de la piscine.

La pierre reconstituée pour piscine

Grâce à son excellent rapport qualité/prix, la pierre reconstituée peut être privilégiée à la pierre naturelle. Il s’agit de pierre concassée et mélangée à du béton, pour adopter l’allure de la pierre.

Sa surface rugueuse la rend antidérapante, ce qui est très pratique aux abords d’un bassin. En plus d’être solide, elle dispose de nombreux formats, couleurs et styles pour s’adapter à votre décoration extérieure.

Le dallage en bois

Bien que l’on voit plus souvent des dallages en pierre naturelle ou en pierre reconstituée, la plage de piscine en bois existe et offre un aspect chaleureux et naturel à votre extérieur. Les bois généralement utilisés sont le peuplier, le mélèze, le pin ou le frêne, de classe 4 minimum. Bien sûr, le bois doit absolument être traité ! Il doit être antidérapant, poli, imputrescible et résistant.

Si le bois naturel est hors de vos moyens, sachez que certains dallages de piscine imitation bois sont très ressemblants. Le carrelage imitation bois mime tous les atouts du bois et supprime ses inconvénients. L’entretien est bien plus facile, même si un traitement antidérapant reste nécessaire. Vous profitez d’un superbe dallage autour de votre piscine sans les inconvénients !

Vos questions sur le dallage de piscine

Comment poser des dalles autour de la piscine ?

Plusieurs méthodes existent pour poser une plage de piscine. Pose collée sur béton, pose sur sable stabilisé, pose sur plots… sans compter les traitements nécessaires par la suite.

A moins d’être très bricoleur, nous vous recommandons de faire appel à un professionnel pour poser votre dallage de piscine. Il choisira la méthode la plus adaptée pour un résultat à la hauteur de vos attentes. Rendez-vous aux prochains salons Viving pour rencontrer des piscinistes !

Comment entretenir le dallage de piscine ?

L’entretien des dalles dépend du matériau utilisé. Certaines pierres naturelles ne nécessitent aucun entretien, tandis que la pierre reconstituée doit être traitée chaque année avec un produit imperméabilisant. Renseignez-vous auprès du professionnel qui installera votre plage de piscine.

Quel dallage pour une piscine hors sol ?

Il est absolument indispensable de poser une dalle en béton sous votre piscine hors sol, car elle a besoin d’un support stable pour la soutenir. Par la suite, vous pourrez choisir le revêtement de votre choix si l’aspect du béton ne vous plaît pas.

Comment négocier les frais de dossier de mon prêt immobilier ?

Quand on achète un bien immobilier, la banque est un passage obligatoire, si vous demandez un crédit bancaire. Pour l’étude de votre dossier, celle-ci va vous demander de vous acquitter de frais de dossier. Puisqu’ils font partie de votre offre de prêt immobilier, il est possible de les négocier !

Quels sont les frais de dossier pour un prêt immobilier ?

Lorsque vous vous rendez dans votre banque pour demander un prêt immobilier, on vous demandera forcément des frais de dossier. A quoi correspondent-ils ?

Ils rémunèrent la banque pour le temps qu’elle passe à analyser et traiter votre demande et votre dossier. Son rôle est de vérifier tous les documents que vous lui fournissez. Par exemple, elle contrôle la cohérence entre vos fiches de paie, vos relevés de compte et vos déclarations d’impôts. Le but ? S’assurer de votre capacité à rembourser votre prêt !

Les frais de dossier du prêt immobilier couvrent les coûts liés au traitement de votre dossier. En général, ils varient entre 500 et 1500€ selon la banque. Sachez que ces frais sont inclus dans le calcul du TAEG (taux annuel effectif global). C’est un indicateur du coût total de votre financement, à fournir par la banque lors de la signature de votre contrat.

Le TAEG est calculé à partir de plusieurs éléments : taux nominal, frais de dossier, assurance, frais de garantie, frais de courtage si vous avez fait appel à un courtier, etc. Attention, les frais de notaire ne sont pas inclus dans le calcul du TAEG !

Dans tous les cas, rapprochez-vous de votre banque pour avoir une idée plus précise du montant des frais de dossier. N’oubliez pas que vous pouvez faire des demandes à plusieurs banques, comme pour negocier un crédit immobilier.

Les cas particuliers

Si les frais de dossier s’appliquent pour les demandes de prêt classiques, il existe des exceptions à connaître. Par exemple, il est interdit d’appliquer des frais bancaires sur les prêts à taux zéro (PTZ) et sur les prêts épargne logement (PEL).

Pour un prêt d’accession sociale (PAS), les frais sont plafonnés à 500€, et à 700€ pour le prêt locatif social (PLS). Bien sûr, vous pouvez encore essayer de faire baisser la note !

Comment négocier les frais bancaires ?

Les frais bancaires font partie intégrante de la négociation du prêt immobilier. C’est une bonne nouvelle, puisque les banques sont généralement prêtes à faire un effort de ce côté-là, étant donné qu’ils dépassent rarement les 1500€. Ce n’est pas là-dessus qu’elles se rémunèrent le plus.

Voici quelques conseils pour vous aider à bien négocier vos frais de dossier de prêt immobilier :

Avoir un bon profil emprunteur

Si vous avez un dossier “facile”, votre négociation le sera également. N’oubliez pas que votre objectif est de rassurer votre banque quant à votre capacité à rembourser votre prêt.

Par exemple, le fait d’avoir un bon historique bancaire, un faible taux d’endettement, 15% d’apport minimum et un CDI sont des arguments qui peuvent jouer en votre faveur.

Proposer un apport important

Un apport d’au moins 20% du montant total de l’achat immobilier prouve votre sérieux et votre fiabilité. Cela montre que vous avez une bonne capacité d’épargne. En rassurant votre banque, vous pourrez faire baisser vos frais de dossier.

Se renseigner sur les frais de dossier pratiqués

Vous pouvez connaître les frais de dossiers pratiqués grâce aux guides tarifaires des banques. Plusieurs guides comparatifs sont également disponibles sur le web, mais ils ne sont peut-être pas à jour.

Le fait de vous renseigner en amont vous permet de cibler les banques qui ont des frais bancaires raisonnables, ou de les mettre en concurrence avec des banques qui demandent des frais importants.

Mettre les banques en concurrence

N’hésitez pas à faire des demandes de prêt immobilier dans différentes banques. Vous n’aurez pas les mêmes offres, ni les mêmes frais de dossier. Cela vous permettra de comparer les offres et de négocier plus facilement avec les banques pour leur demander un geste commercial, notamment sur les frais bancaires.

Demander à votre banque historique

Votre qualité d’ancien client peut faciliter votre négociation. Si cela fait plusieurs années que vous êtes client, demandez un geste pour votre fidélité.

Domicilier vos comptes dans la banque

Bien que la loi Murcef (11 décembre 2001) permette de ne plus domicilier ses comptes dans une banque lorsqu’elle nous octroie un prêt, cela peut tout de même vous aider dans votre négociation. Certaines banques proposent d’elles-même d’offrir les frais de dossier en cas de domiciliation de compte.

Vos questions sur la négociation des frais de dossier

Comment sont calculés les frais de dossier ?

Ils correspondent généralement à un pourcentage du montant total emprunté, entre 0,5 et 1,5%. Les banques ont souvent un montant minimum et un montant plafond à ne pas dépasser si l’emprunt est important. Les frais bancaires s’élèvent entre 500 et 1500€ en moyenne.

Faire appel à un courtier m’exonère-t-il de frais bancaires ?

Non, faire appel à un courtier immobilier ne vous évitera pas de payer des frais de dossier. D’ailleurs, vous aurez des frais de courtage à régler en supplément. L’avantage du courtier est qu’il peut negocier vos frais bancaires afin de les réduire, voire les supprimer.

Dois-je payer des frais si la demande de prêt n’aboutit pas ?

Non. Si la banque ne vous accorde pas de prêt, elle ne vous demandera pas non plus de régler les frais bancaires. Le paiement se fait généralement lors du remboursement de la première échéance, ou en même temps que votre apport.

Les frais de dossier peuvent-ils être offerts ?

Oui, si vous négociez bien vos frais de dossier ! Il arrive également qu’ils soient offerts par la banque lors de promotions. Le but est souvent d’attirer des profils comme les primo-accédants.

Toutes les banques facturent-elles des frais de dossier ?

Non ! Outre les cas particuliers comme les prêts à taux zéro ou les prêts épargne logement, certaines banques ont décidé de ne pas facturer de frais bancaires à leurs clients. Il s’agit généralement de banques en ligne (Fortuneo, Monabanq, BforBank), donc il faut que vous soyez à l’aise à l’idée d’entretenir une relation digitale. Mais cela peut vous éviter de passer du temps à négocier.

Comment rénover un escalier en bois ?

Vous voulez donner un coup de neuf à votre escalier en bois, mais sans le refaire entièrement ? Vous pouvez choisir l’option rénovation, si votre escalier n’est pas trop abîmé. Faites confiance aux menuisiers qui exposent aux salons Viving pour vous accompagner dans votre projet !

Les étapes de la rénovation d’un escalier en bois

1.   Décaper l’escalier en bois

Pour retrouver l’aspect initial du bois et découvrir le véritable état de votre escalier, la première étape, c’est le nettoyage profond !

D’abord, vous dépoussiérez, et ensuite vous décapez. Le produit décapant à utiliser dépend du revêtement de votre escalier en bois. S’il est peint ou vernis, vous aurez besoin d’un décapant spécial bois. S’il est ciré, un produit décireur sera nécessaire, sans oublier de poncer pour faire disparaître les résidus. Aujourd’hui, les escaliers cirés sont plutôt rares.

Enfin, il est temps de lessiver vos escaliers avec un produit nettoyant, de l’eau chaude et une brosse. Laissez sécher avant de poursuivre la rénovation.

2.   Combler les fissures

Une fois l’escalier nettoyé, vous pouvez voir plus facilement s’il est abîmé par des fissures ou des trous. S’il y en a beaucoup, il faudra peut-être faire refaire votre escalier en bois.

S’il sont peu nombreux, vous pouvez les combler avec une pâte à bois et une spatule, assez large pour reboucher les ouvertures. Disposez l’enduit sur les trous et les fissures, puis lissez avec la spatule pour bien les colmater et avoir une surface plane. Laissez durcir la pâte à bois.

3.   Poncer l’escalier

Rénover un escalier en bois sans poncer ? Impossible ! Le ponçage est une étape indispensable dans la rénovation d’un escalier.

A présent que vous vous êtes occupé des trous, vous devez poncer vos escaliers pour que la peinture adhère plus facilement. Le ponçage se fait toujours dans le sens des veines du bois. Nous vous recommandons d’utiliser une ponceuse électrique, qui vous évitera de vous épuiser à la tâche !

Deux ponceuses vous seront utiles : la ponceuse à bande et la ponceuse triangulaire (ou ponceuse d’angle) afin d’atteindre les recoins des marches d’escalier. Avant de peindre, pensez à passer l’aspirateur pour dépoussiérer.

4.   Appliquer une sous-couche

La préparation est terminée, vous pouvez passer aux choses sérieuses. Avant de repeindre l’escalier, il est indispensable d’appliquer une sous-couche pour éviter que la peinture ne soit absorbée par le bois et pour favoriser sa tenue.

Munissez-vous d’un pinceau plat et commencez par le haut des escaliers avant de descendre. La peinture se fait dans le sens de la fibre du bois. Si vous avez besoin d’utiliser vos escaliers, petite astuce : peignez une marche sur deux, attendez que ça sèche, puis peignez les marches restantes.

5.   Peindre l’escalier en bois

Lorsque votre sous-couche est sèche, il est temps de passer à la peinture pour la rénovation de votre escalier en bois. On vous recommande de commencer par la rampe d’escalier, avant de passer aux marches en suivant la même astuce que pour la sous-couche. Surtout, n’oubliez pas les contremarches !

Après le séchage, poncez de nouveau, de façon très légère, pour préparer la deuxième couche de peinture. Répétez l’opération. Généralement, deux couches suffisent, à moins que vous ne changiez complètement la couleur de votre escalier. Dans ce cas, une troisième couche risque d’être nécessaire.

6.   Traiter le bois

Votre escalier est décapé, poncé, repeint : mais ce n’est pas encore tout à fait terminé. Il faut à présent protéger le bois, pour éviter de le rénover dans peu de temps.

Oubliez la cire : ça ne se fait plus aujourd’hui, c’est bien trop dangereux et vous n’avez vraiment pas envie de glisser dans un escalier. Ce que l’on vous conseille, c’est d’utiliser un vitrificateur spécial escalier.

Le vitrificateur vous offre une finition mate, brillante ou satinée, et peut être incolore ou teinté. L’occasion de laisser parler votre âme de décorateur ! Performant, il vous évitera les rayures et les écaillements.

Quel bois choisir ?

Si vos marches sont en trop mauvais état, il faudra envisager de restaurer votre escalier en bois. Par exemple, vous pourrez doubler vos marches pour les rendre plus solides. Dans ce cas, quelle essence de bois choisir ?

L’escalier étant généralement très emprunté, il vous faut un bois assez dur. En classe B (mi-dur), vous avez le mélèze, le noyer, le merisier, le bouleau ou encore le pin maritime. En classe C (dur), vous pouvez opter pour du chêne, du frêne, de l’orme, du châtaignier, de l’hêtre, de l’érable, du charme ou encore de l’eucalyptus.

Cela dépend bien sûr de votre budget. L’autre solution plus accessible est le bois composite, fabriqué à partir de déchets recyclés. Pour un escalier intérieur comme extérieur, ce sera efficace, durable et abordable.

>> Quel matériau choisir pour mes escaliers ?

Rénovation d’escalier en bois : faites appel à un professionnel

Nous vous avons expliqué les étapes pour rénover un escalier en bois, mais nous vous conseillons tout de même de passer par un menuisier professionnel. Pourquoi ?

Tout simplement parce qu’il a des connaissances, une expertise et un savoir-faire que vous ne possédez pas. Un professionnel sera en mesure d’auditer la structure de votre escalier et de vous conseiller la meilleure solution en fonction de son état : une simple rénovation ou un remplacement si votre escalier est trop affaibli. Un accident est vite arrivé !

Vous bénéficierez également de ses garanties biennales et décennales, qui vous assurent une réparation ou un remplacement en cas de malfaçon.

N’hésitez pas à faire un tour au salon Viving près de chez vous pour rencontrer des artisans performants, qui rénoveront votre escalier exactement comme vous le souhaitez.

Quel prix pour rénover un escalier en bois abimé ?

Il est compliqué de vous donner un tarif pour la rénovation de votre escalier. Cela dépend du professionnel choisi, des matériaux, des finitions, de l’état de votre escalier, etc.

Si votre escalier est en bon état et que la rénovation est simplement esthétique, vous devriez recevoir des devis entre 500€ et 1 500€. En revanche, s’il devient nécessaire de le remplacer, vous devrez payer entre 1 000 et 15 000€, selon votre escalier.

Quel éclairage pour la salle de bain ?

Généralement sans fenêtre, la salle de bain a pourtant besoin d’un excellent éclairage. C’est même la pièce où il est le plus important ! Puisque le choix est vaste, il est difficile de choisir la meilleure source de lumière dans la salle d’eau. On vous aide à prendre une décision ! Alors, quelle lumière pour votre salle de bain ?

Quels luminaires pour la salle de bain ?

L’éclairage de salle de bain au plafond

Dans une salle de bain, l’éclairage principal est le plus important. Dans la mesure où la majorité des salles d’eau n’ont pas d’ouverture sur l’extérieur, l’éclairage du plafond doit offrir une lumière intense mais naturelle.

Nous vous recommandons de choisir un plafonnier de salle de bain, ou des spots de plafond fixes ou orientables. Le plafonnier est parfait pour une petite salle de bain, qui ne nécessite qu’une seule source de lumière.

Les spots encastrés seront intéressants pour les salles de bain moyennes ou grandes, puisque vous pouvez facilement les multiplier sans que cela ne soit trop encombrant.

L’éclairage au mur

Vous n’êtes pas obligé d’avoir un luminaire au plafond. Vous pouvez parfaitement utiliser les murs pour apporter suffisamment de lumière dans la pièce !

Les appliques murales sont une belle alternative au plafonnier. Elles offrent un éclairage direct et vous pouvez en disposer plusieurs sur vos murs de salle de bain. En revanche, les appliques prennent un peu de place et vous empêchent de fixer des étagères.

Souvent utilisées dans la salle de bain, les réglettes LED s’intègrent parfaitement sur le mur au-dessus de votre lavabo ou de votre vasque. L’éclairage est parfait pour votre toilette du matin !

L’éclairage du miroir de la salle de bain

Le miroir fait partie des éléments principaux de la salle d’eau ! Il est donc nécessaire de bien voir votre reflet grâce à des luminaires, si possible avec un éclairage flatteur, mais sans vous éblouir.

Placez des appliques ou des spots orientables au-dessus du miroir ou sur les côtés, de façon à ne pas recevoir la lumière directement dans les yeux. Un ruban LED ou une barre lumineuse disposée sur le haut du miroir peut également être adapté.

Autre solution un peu plus coûteuse : un miroir avec éclairage intégré ! Il s’agit généralement d’une lumière LED. Certains miroirs éclairants sont même tactiles, pour éviter d’avoir un interrupteur disgracieux.

Quel éclairage pour une petite salle de bain ?

Si votre salle de bain ne fait que quelques m², vous ne pourrez pas multiplier les sources lumineuses sans gâcher de la place utile.

Nous vous recommandons de choisir une seule lumière principale, de préférence au plafond pour ne pas prendre d’espace sur les murs. Vous pouvez ajouter un second luminaire près du miroir, ou un miroir lumineux qui est encore plus pratique.

En revanche, si vous avez une grande salle de bain, n’hésitez pas à avoir plusieurs sources de lumière, pour varier entre éclairage pratique et éclairage d’ambiance en fonction des moments.

>> Maison : bien choisir son éclairage intérieur

Choisir la bonne température de couleur

Vous avez décidé du type d’éclairage que vous souhaitez pour votre salle d’eau, mais c’est maintenant que les choses se compliquent : savez-vous choisir la bonne température de couleur ?

La couleur de la lumière est essentielle pour votre confort. Il existe 3 couleurs de lumière :

  • blanc chaud : situé entre 2 300 et 3 500 degrés Kelvin (K), le blanc chaud offre une lumière jaunâtre, surtout utilisée dans les pièces de vie pour donner une ambiance plus chaleureuse.
  • blanc neutre : entre 4 000 et 5 000 K, le blanc neutre est proche de la lumière du jour, parfait pour les pièces sans fenêtre comme la salle de bain.
  • blanc froid : au delà de 5 000 K, on parle de lumière blanche froide. Il tire plutôt sur le bleu et on l’utilise dans les lieux de passage, les garages, les caves ou l’extérieur.

Vous l’aurez compris, pour un rendu des couleurs optimal dans une petite salle de bain, choisissez une lumière blanche neutre, qui sera très naturelle.

Si vous avez la chance d’avoir une grande salle de bain, vous pouvez vous permettre de multiplier les couleurs de lumière. Par exemple, un blanc neutre près du miroir pour bien vous voir, et un blanc chaud près de la baignoire pour une meilleure détente.

Économiser l’énergie dans la salle d’eau

L’économie d’énergie, c’est important pour la planète et pour le porte-monnaie. Votre salle d’eau ne fait pas exception !

Choisissez en priorité des ampoules LED. Elles consomment très peu, entre 9 et 12 W seulement (contre 60 W pour une ampoule classique), et ont une durée de vie de 50 000 heures (contre 1 000 h pour une ampoule classique). Elles fonctionnent en très basse tension et donc, elles ne chauffent pas.

Les ampoules connectées sont également intéressantes, mais plus chères. Elles se pilotent à distance avec une télécommande ou une application. Pratique si vous oubliez d’éteindre la lumière de votre salle de bain en partant ! Elles permettent de varier les couleurs et de changer d’ambiance lumineuse, ce qui vous évite de multiplier les sources de lumière.

>> Eclairage extérieur : 9 idées pour illuminer vos soirées d’été

Éclairage de salle de bain : les normes à connaître

On ne pouvait pas faire un article sur l’éclairage de salle de bain sans faire un point sur les normes électriques en vigueur ! C’est essentiel pour votre sécurité.

Tout d’abord, il faut savoir que l’installation électrique dans la salle de bain est régie par la norme NF-C-15-100. Elle prévoit les équipements électriques autorisés selon les zones de la salle de bain. La pièce est découpée en 4 volumes de sécurité :

Volume 0 : intérieur de la baignoire/douche

Aucun appareil électrique n’est autorisé dans cette partie de la salle d’eau. Si vous avez une douche à l’italienne, projetez un volume au sol de 1,2 m par rapport à la douche classique, sur une hauteur de 10 cm.

Volume 1 : 2,25 m au-dessus de la baignoire/receveur de douche

Dans cette zone, les luminaires de classe 3 IP24 alimentés en très basse tension et 12 V maximum sont autorisés.

Volume 2 : 60 cm de la baignoire/receveur de douche

Dans cette surface, les luminaires et sèche-serviettes de classe 2 IP24 alimentés en 230 V maximum sont autorisés, ainsi que les luminaires de volume 1.

Volume 3 : au-delà de 60 cm

Il n’y a plus de limitations pour cette zone, tous les appareils électriques sont autorisés.

A noter : les classes 0, 1, 2 et 3 indiquent le degré d’isolation. La classe 0 est interdite en Europe. La classe 1 signale que l’appareil électrique contient des parties métalliques, reliées à un fil de terre. La classe 2 comprend les appareils à isolation renforcée et la classe 3 marque les appareils qui fonctionnent à très basse tension.

 L’indice IP expose le niveau d’étanchéité à la poussière et à l’eau, c’est-à-dire que plus il est élevé, plus l’éclairage est étanche.

N’hésitez pas à venir au prochain salon Viving près de chez vous pour faire le plein d’inspiration et comparer les solutions de nos différents exposants.