Comment négocier les frais de dossier de mon prêt immobilier ?

Quand on achète un bien immobilier, la banque est un passage obligatoire, si vous demandez un crédit bancaire. Pour l’étude de votre dossier, celle-ci va vous demander de vous acquitter de frais de dossier. Puisqu’ils font partie de votre offre de prêt immobilier, il est possible de les négocier !

Quels sont les frais de dossier pour un prêt immobilier ?

Lorsque vous vous rendez dans votre banque pour demander un prêt immobilier, on vous demandera forcément des frais de dossier. A quoi correspondent-ils ?

Ils rémunèrent la banque pour le temps qu’elle passe à analyser et traiter votre demande et votre dossier. Son rôle est de vérifier tous les documents que vous lui fournissez. Par exemple, elle contrôle la cohérence entre vos fiches de paie, vos relevés de compte et vos déclarations d’impôts. Le but ? S’assurer de votre capacité à rembourser votre prêt !

Les frais de dossier du prêt immobilier couvrent les coûts liés au traitement de votre dossier. En général, ils varient entre 500 et 1500€ selon la banque. Sachez que ces frais sont inclus dans le calcul du TAEG (taux annuel effectif global). C’est un indicateur du coût total de votre financement, à fournir par la banque lors de la signature de votre contrat.

Le TAEG est calculé à partir de plusieurs éléments : taux nominal, frais de dossier, assurance, frais de garantie, frais de courtage si vous avez fait appel à un courtier, etc. Attention, les frais de notaire ne sont pas inclus dans le calcul du TAEG !

Dans tous les cas, rapprochez-vous de votre banque pour avoir une idée plus précise du montant des frais de dossier. N’oubliez pas que vous pouvez faire des demandes à plusieurs banques, comme pour negocier un crédit immobilier.

Les cas particuliers

Si les frais de dossier s’appliquent pour les demandes de prêt classiques, il existe des exceptions à connaître. Par exemple, il est interdit d’appliquer des frais bancaires sur les prêts à taux zéro (PTZ) et sur les prêts épargne logement (PEL).

Pour un prêt d’accession sociale (PAS), les frais sont plafonnés à 500€, et à 700€ pour le prêt locatif social (PLS). Bien sûr, vous pouvez encore essayer de faire baisser la note !

Comment négocier les frais bancaires ?

Les frais bancaires font partie intégrante de la négociation du prêt immobilier. C’est une bonne nouvelle, puisque les banques sont généralement prêtes à faire un effort de ce côté-là, étant donné qu’ils dépassent rarement les 1500€. Ce n’est pas là-dessus qu’elles se rémunèrent le plus.

Voici quelques conseils pour vous aider à bien négocier vos frais de dossier de prêt immobilier :

Avoir un bon profil emprunteur

Si vous avez un dossier “facile”, votre négociation le sera également. N’oubliez pas que votre objectif est de rassurer votre banque quant à votre capacité à rembourser votre prêt.

Par exemple, le fait d’avoir un bon historique bancaire, un faible taux d’endettement, 15% d’apport minimum et un CDI sont des arguments qui peuvent jouer en votre faveur.

Proposer un apport important

Un apport d’au moins 20% du montant total de l’achat immobilier prouve votre sérieux et votre fiabilité. Cela montre que vous avez une bonne capacité d’épargne. En rassurant votre banque, vous pourrez faire baisser vos frais de dossier.

Se renseigner sur les frais de dossier pratiqués

Vous pouvez connaître les frais de dossiers pratiqués grâce aux guides tarifaires des banques. Plusieurs guides comparatifs sont également disponibles sur le web, mais ils ne sont peut-être pas à jour.

Le fait de vous renseigner en amont vous permet de cibler les banques qui ont des frais bancaires raisonnables, ou de les mettre en concurrence avec des banques qui demandent des frais importants.

Mettre les banques en concurrence

N’hésitez pas à faire des demandes de prêt immobilier dans différentes banques. Vous n’aurez pas les mêmes offres, ni les mêmes frais de dossier. Cela vous permettra de comparer les offres et de négocier plus facilement avec les banques pour leur demander un geste commercial, notamment sur les frais bancaires.

Demander à votre banque historique

Votre qualité d’ancien client peut faciliter votre négociation. Si cela fait plusieurs années que vous êtes client, demandez un geste pour votre fidélité.

Domicilier vos comptes dans la banque

Bien que la loi Murcef (11 décembre 2001) permette de ne plus domicilier ses comptes dans une banque lorsqu’elle nous octroie un prêt, cela peut tout de même vous aider dans votre négociation. Certaines banques proposent d’elles-même d’offrir les frais de dossier en cas de domiciliation de compte.

Vos questions sur la négociation des frais de dossier

Comment sont calculés les frais de dossier ?

Ils correspondent généralement à un pourcentage du montant total emprunté, entre 0,5 et 1,5%. Les banques ont souvent un montant minimum et un montant plafond à ne pas dépasser si l’emprunt est important. Les frais bancaires s’élèvent entre 500 et 1500€ en moyenne.

Faire appel à un courtier m’exonère-t-il de frais bancaires ?

Non, faire appel à un courtier immobilier ne vous évitera pas de payer des frais de dossier. D’ailleurs, vous aurez des frais de courtage à régler en supplément. L’avantage du courtier est qu’il peut negocier vos frais bancaires afin de les réduire, voire les supprimer.

Dois-je payer des frais si la demande de prêt n’aboutit pas ?

Non. Si la banque ne vous accorde pas de prêt, elle ne vous demandera pas non plus de régler les frais bancaires. Le paiement se fait généralement lors du remboursement de la première échéance, ou en même temps que votre apport.

Les frais de dossier peuvent-ils être offerts ?

Oui, si vous négociez bien vos frais de dossier ! Il arrive également qu’ils soient offerts par la banque lors de promotions. Le but est souvent d’attirer des profils comme les primo-accédants.

Toutes les banques facturent-elles des frais de dossier ?

Non ! Outre les cas particuliers comme les prêts à taux zéro ou les prêts épargne logement, certaines banques ont décidé de ne pas facturer de frais bancaires à leurs clients. Il s’agit généralement de banques en ligne (Fortuneo, Monabanq, BforBank), donc il faut que vous soyez à l’aise à l’idée d’entretenir une relation digitale. Mais cela peut vous éviter de passer du temps à négocier.

Comment rénover un escalier en bois ?

Vous voulez donner un coup de neuf à votre escalier en bois, mais sans le refaire entièrement ? Vous pouvez choisir l’option rénovation, si votre escalier n’est pas trop abîmé. Faites confiance aux menuisiers qui exposent aux salons Viving pour vous accompagner dans votre projet !

Les étapes de la rénovation d’un escalier en bois

1.   Décaper l’escalier en bois

Pour retrouver l’aspect initial du bois et découvrir le véritable état de votre escalier, la première étape, c’est le nettoyage profond !

D’abord, vous dépoussiérez, et ensuite vous décapez. Le produit décapant à utiliser dépend du revêtement de votre escalier en bois. S’il est peint ou vernis, vous aurez besoin d’un décapant spécial bois. S’il est ciré, un produit décireur sera nécessaire, sans oublier de poncer pour faire disparaître les résidus. Aujourd’hui, les escaliers cirés sont plutôt rares.

Enfin, il est temps de lessiver vos escaliers avec un produit nettoyant, de l’eau chaude et une brosse. Laissez sécher avant de poursuivre la rénovation.

2.   Combler les fissures

Une fois l’escalier nettoyé, vous pouvez voir plus facilement s’il est abîmé par des fissures ou des trous. S’il y en a beaucoup, il faudra peut-être faire refaire votre escalier en bois.

S’il sont peu nombreux, vous pouvez les combler avec une pâte à bois et une spatule, assez large pour reboucher les ouvertures. Disposez l’enduit sur les trous et les fissures, puis lissez avec la spatule pour bien les colmater et avoir une surface plane. Laissez durcir la pâte à bois.

3.   Poncer l’escalier

Rénover un escalier en bois sans poncer ? Impossible ! Le ponçage est une étape indispensable dans la rénovation d’un escalier.

A présent que vous vous êtes occupé des trous, vous devez poncer vos escaliers pour que la peinture adhère plus facilement. Le ponçage se fait toujours dans le sens des veines du bois. Nous vous recommandons d’utiliser une ponceuse électrique, qui vous évitera de vous épuiser à la tâche !

Deux ponceuses vous seront utiles : la ponceuse à bande et la ponceuse triangulaire (ou ponceuse d’angle) afin d’atteindre les recoins des marches d’escalier. Avant de peindre, pensez à passer l’aspirateur pour dépoussiérer.

4.   Appliquer une sous-couche

La préparation est terminée, vous pouvez passer aux choses sérieuses. Avant de repeindre l’escalier, il est indispensable d’appliquer une sous-couche pour éviter que la peinture ne soit absorbée par le bois et pour favoriser sa tenue.

Munissez-vous d’un pinceau plat et commencez par le haut des escaliers avant de descendre. La peinture se fait dans le sens de la fibre du bois. Si vous avez besoin d’utiliser vos escaliers, petite astuce : peignez une marche sur deux, attendez que ça sèche, puis peignez les marches restantes.

5.   Peindre l’escalier en bois

Lorsque votre sous-couche est sèche, il est temps de passer à la peinture pour la rénovation de votre escalier en bois. On vous recommande de commencer par la rampe d’escalier, avant de passer aux marches en suivant la même astuce que pour la sous-couche. Surtout, n’oubliez pas les contremarches !

Après le séchage, poncez de nouveau, de façon très légère, pour préparer la deuxième couche de peinture. Répétez l’opération. Généralement, deux couches suffisent, à moins que vous ne changiez complètement la couleur de votre escalier. Dans ce cas, une troisième couche risque d’être nécessaire.

6.   Traiter le bois

Votre escalier est décapé, poncé, repeint : mais ce n’est pas encore tout à fait terminé. Il faut à présent protéger le bois, pour éviter de le rénover dans peu de temps.

Oubliez la cire : ça ne se fait plus aujourd’hui, c’est bien trop dangereux et vous n’avez vraiment pas envie de glisser dans un escalier. Ce que l’on vous conseille, c’est d’utiliser un vitrificateur spécial escalier.

Le vitrificateur vous offre une finition mate, brillante ou satinée, et peut être incolore ou teinté. L’occasion de laisser parler votre âme de décorateur ! Performant, il vous évitera les rayures et les écaillements.

Quel bois choisir ?

Si vos marches sont en trop mauvais état, il faudra envisager de restaurer votre escalier en bois. Par exemple, vous pourrez doubler vos marches pour les rendre plus solides. Dans ce cas, quelle essence de bois choisir ?

L’escalier étant généralement très emprunté, il vous faut un bois assez dur. En classe B (mi-dur), vous avez le mélèze, le noyer, le merisier, le bouleau ou encore le pin maritime. En classe C (dur), vous pouvez opter pour du chêne, du frêne, de l’orme, du châtaignier, de l’hêtre, de l’érable, du charme ou encore de l’eucalyptus.

Cela dépend bien sûr de votre budget. L’autre solution plus accessible est le bois composite, fabriqué à partir de déchets recyclés. Pour un escalier intérieur comme extérieur, ce sera efficace, durable et abordable.

>> Quel matériau choisir pour mes escaliers ?

Rénovation d’escalier en bois : faites appel à un professionnel

Nous vous avons expliqué les étapes pour rénover un escalier en bois, mais nous vous conseillons tout de même de passer par un menuisier professionnel. Pourquoi ?

Tout simplement parce qu’il a des connaissances, une expertise et un savoir-faire que vous ne possédez pas. Un professionnel sera en mesure d’auditer la structure de votre escalier et de vous conseiller la meilleure solution en fonction de son état : une simple rénovation ou un remplacement si votre escalier est trop affaibli. Un accident est vite arrivé !

Vous bénéficierez également de ses garanties biennales et décennales, qui vous assurent une réparation ou un remplacement en cas de malfaçon.

N’hésitez pas à faire un tour au salon Viving près de chez vous pour rencontrer des artisans performants, qui rénoveront votre escalier exactement comme vous le souhaitez.

Quel prix pour rénover un escalier en bois abimé ?

Il est compliqué de vous donner un tarif pour la rénovation de votre escalier. Cela dépend du professionnel choisi, des matériaux, des finitions, de l’état de votre escalier, etc.

Si votre escalier est en bon état et que la rénovation est simplement esthétique, vous devriez recevoir des devis entre 500€ et 1 500€. En revanche, s’il devient nécessaire de le remplacer, vous devrez payer entre 1 000 et 15 000€, selon votre escalier.

Quel éclairage pour la salle de bain ?

Généralement sans fenêtre, la salle de bain a pourtant besoin d’un excellent éclairage. C’est même la pièce où il est le plus important ! Puisque le choix est vaste, il est difficile de choisir la meilleure source de lumière dans la salle d’eau. On vous aide à prendre une décision ! Alors, quelle lumière pour votre salle de bain ?

Quels luminaires pour la salle de bain ?

L’éclairage de salle de bain au plafond

Dans une salle de bain, l’éclairage principal est le plus important. Dans la mesure où la majorité des salles d’eau n’ont pas d’ouverture sur l’extérieur, l’éclairage du plafond doit offrir une lumière intense mais naturelle.

Nous vous recommandons de choisir un plafonnier de salle de bain, ou des spots de plafond fixes ou orientables. Le plafonnier est parfait pour une petite salle de bain, qui ne nécessite qu’une seule source de lumière.

Les spots encastrés seront intéressants pour les salles de bain moyennes ou grandes, puisque vous pouvez facilement les multiplier sans que cela ne soit trop encombrant.

L’éclairage au mur

Vous n’êtes pas obligé d’avoir un luminaire au plafond. Vous pouvez parfaitement utiliser les murs pour apporter suffisamment de lumière dans la pièce !

Les appliques murales sont une belle alternative au plafonnier. Elles offrent un éclairage direct et vous pouvez en disposer plusieurs sur vos murs de salle de bain. En revanche, les appliques prennent un peu de place et vous empêchent de fixer des étagères.

Souvent utilisées dans la salle de bain, les réglettes LED s’intègrent parfaitement sur le mur au-dessus de votre lavabo ou de votre vasque. L’éclairage est parfait pour votre toilette du matin !

L’éclairage du miroir de la salle de bain

Le miroir fait partie des éléments principaux de la salle d’eau ! Il est donc nécessaire de bien voir votre reflet grâce à des luminaires, si possible avec un éclairage flatteur, mais sans vous éblouir.

Placez des appliques ou des spots orientables au-dessus du miroir ou sur les côtés, de façon à ne pas recevoir la lumière directement dans les yeux. Un ruban LED ou une barre lumineuse disposée sur le haut du miroir peut également être adapté.

Autre solution un peu plus coûteuse : un miroir avec éclairage intégré ! Il s’agit généralement d’une lumière LED. Certains miroirs éclairants sont même tactiles, pour éviter d’avoir un interrupteur disgracieux.

Quel éclairage pour une petite salle de bain ?

Si votre salle de bain ne fait que quelques m², vous ne pourrez pas multiplier les sources lumineuses sans gâcher de la place utile.

Nous vous recommandons de choisir une seule lumière principale, de préférence au plafond pour ne pas prendre d’espace sur les murs. Vous pouvez ajouter un second luminaire près du miroir, ou un miroir lumineux qui est encore plus pratique.

En revanche, si vous avez une grande salle de bain, n’hésitez pas à avoir plusieurs sources de lumière, pour varier entre éclairage pratique et éclairage d’ambiance en fonction des moments.

>> Maison : bien choisir son éclairage intérieur

Choisir la bonne température de couleur

Vous avez décidé du type d’éclairage que vous souhaitez pour votre salle d’eau, mais c’est maintenant que les choses se compliquent : savez-vous choisir la bonne température de couleur ?

La couleur de la lumière est essentielle pour votre confort. Il existe 3 couleurs de lumière :

  • blanc chaud : situé entre 2 300 et 3 500 degrés Kelvin (K), le blanc chaud offre une lumière jaunâtre, surtout utilisée dans les pièces de vie pour donner une ambiance plus chaleureuse.
  • blanc neutre : entre 4 000 et 5 000 K, le blanc neutre est proche de la lumière du jour, parfait pour les pièces sans fenêtre comme la salle de bain.
  • blanc froid : au delà de 5 000 K, on parle de lumière blanche froide. Il tire plutôt sur le bleu et on l’utilise dans les lieux de passage, les garages, les caves ou l’extérieur.

Vous l’aurez compris, pour un rendu des couleurs optimal dans une petite salle de bain, choisissez une lumière blanche neutre, qui sera très naturelle.

Si vous avez la chance d’avoir une grande salle de bain, vous pouvez vous permettre de multiplier les couleurs de lumière. Par exemple, un blanc neutre près du miroir pour bien vous voir, et un blanc chaud près de la baignoire pour une meilleure détente.

Économiser l’énergie dans la salle d’eau

L’économie d’énergie, c’est important pour la planète et pour le porte-monnaie. Votre salle d’eau ne fait pas exception !

Choisissez en priorité des ampoules LED. Elles consomment très peu, entre 9 et 12 W seulement (contre 60 W pour une ampoule classique), et ont une durée de vie de 50 000 heures (contre 1 000 h pour une ampoule classique). Elles fonctionnent en très basse tension et donc, elles ne chauffent pas.

Les ampoules connectées sont également intéressantes, mais plus chères. Elles se pilotent à distance avec une télécommande ou une application. Pratique si vous oubliez d’éteindre la lumière de votre salle de bain en partant ! Elles permettent de varier les couleurs et de changer d’ambiance lumineuse, ce qui vous évite de multiplier les sources de lumière.

>> Eclairage extérieur : 9 idées pour illuminer vos soirées d’été

Éclairage de salle de bain : les normes à connaître

On ne pouvait pas faire un article sur l’éclairage de salle de bain sans faire un point sur les normes électriques en vigueur ! C’est essentiel pour votre sécurité.

Tout d’abord, il faut savoir que l’installation électrique dans la salle de bain est régie par la norme NF-C-15-100. Elle prévoit les équipements électriques autorisés selon les zones de la salle de bain. La pièce est découpée en 4 volumes de sécurité :

Volume 0 : intérieur de la baignoire/douche

Aucun appareil électrique n’est autorisé dans cette partie de la salle d’eau. Si vous avez une douche à l’italienne, projetez un volume au sol de 1,2 m par rapport à la douche classique, sur une hauteur de 10 cm.

Volume 1 : 2,25 m au-dessus de la baignoire/receveur de douche

Dans cette zone, les luminaires de classe 3 IP24 alimentés en très basse tension et 12 V maximum sont autorisés.

Volume 2 : 60 cm de la baignoire/receveur de douche

Dans cette surface, les luminaires et sèche-serviettes de classe 2 IP24 alimentés en 230 V maximum sont autorisés, ainsi que les luminaires de volume 1.

Volume 3 : au-delà de 60 cm

Il n’y a plus de limitations pour cette zone, tous les appareils électriques sont autorisés.

A noter : les classes 0, 1, 2 et 3 indiquent le degré d’isolation. La classe 0 est interdite en Europe. La classe 1 signale que l’appareil électrique contient des parties métalliques, reliées à un fil de terre. La classe 2 comprend les appareils à isolation renforcée et la classe 3 marque les appareils qui fonctionnent à très basse tension.

 L’indice IP expose le niveau d’étanchéité à la poussière et à l’eau, c’est-à-dire que plus il est élevé, plus l’éclairage est étanche.

N’hésitez pas à venir au prochain salon Viving près de chez vous pour faire le plein d’inspiration et comparer les solutions de nos différents exposants.

Comment améliorer l’isolation thermique d’une fenêtre ?

La déperdition de chaleur en hiver comme le recours à la climatisation en été pèsent lourd sur le portefeuille. Pour baisser sa consommation énergétique, une priorité : isoler les fenêtres, portes-fenêtres et autres baies vitrées. Elles peuvent représenter jusqu’à 15% de déperdition thermique du logement ! Voici quelques pistes pour isoler vos fenêtres et améliorer durablement le confort de votre habitation.

Cerner les défauts d’isolation d’une fenêtre

Une fenêtre mal isolée se repère vite en hiver. Une chaleur mal répartie, de l’humidité, une sensation d’inconfort dans le logement, doivent vous alerter. Un gros écart de température entre le mur et la surface vitrée ou un effet “paroi froide” sont des signes qui ne trompent pas.

D’autres symptômes révèlent une isolation défectueuse  : la présence de condensation, des moisissures autour du châssis, un mastic dégradé, une déformation des vantaux ou la présence d’un fil d’air.

Une fenêtre simple vitrage est par nature mal isolée. Elle n’est pas conçue pour limiter les échanges thermiques.

Comment isoler une fenêtre du froid sans la remplacer ?

Les fenêtres de votre logement sont en simple vitrage ? Elles sont anciennes ou vétustes ? Vous ne disposez pas du budget pour remplacer les huisseries ? Des solutions moins radicales existent.

Toutefois, elles ne peuvent rivaliser avec les compétences énergétiques d’une fenêtre ou d’une baie dernière génération, en double ou triple vitrage. Voici quelques pistes d’amélioration thermique à explorer :

Poser des rideaux thermiques

Épais et souvent occultant, le rideau isolant joue un rôle d’écran. Il protège du froid extérieur et maintient la chaleur du foyer. Il compense sa lourdeur par un éventail de couleurs et de matières : polyéthylène téréphtalate (PET), PVC, coton, laine. Une astuce cocooning qui apporte plus de confort qu’une réelle économie d’énergie.

Faire installer des volets roulants

Tous les volets ne se valent pas ! Seul un volet roulant vous permettra de réaliser des économies d’énergie. Son atout ? Une fermeture hermétique qui emprisonne l’air et forme une couche isolante, été comme hiver. La pose d’un volet roulant devant un double vitrage peut ainsi réduire de 9 à 16% votre consommation de chauffage, soit 3 à 7% de plus qu’un volet standard (source Actibaie).

Le choix du matériau influence également la performance thermique. Si le bois reste l’isolant le plus efficace, il nécessite un entretien régulier, souvent fastidieux. Oubliez les lames en aluminium ou en acier. Le métal est conducteur. Il ne protège ni du froid ni de la chaleur.

Le PVC offre, quant à lui, un excellent compromis pour un rapport qualité/prix imbattable. Pensez aux températures estivales ! Privilégiez les couleurs claires qui reflètent les rayons du soleil et n’absorbent pas la chaleur.

Enfin, la performance des volets roulants est étroitement liée à la qualité de l’installation. Faites confiance aux professionnels pour vous proposer un matériel adapté aux exigences actuelles en matière d’isolation. Le Label NF a déterminé un coefficient minimal de 0,15 Delta R pour juger la résistance thermique d’un volet roulant. Une indication sur laquelle vous baser pour optimiser l’isolation de vos fenêtres.

Poser un film isolant thermique sur les vitres

La pose d’un film de survitrage permet d’optimiser l’isolation des fenêtres anciennes en simple vitrage. C’est une solution économique à faire soi-même. Le film anti froid se colle à l’aide de ruban adhésif à l’intérieur des menuiseries. Sous l’effet d’une chaleur pulsée (par un sèche-cheveu, par exemple), le film se rétracte, emprisonnant une lame d’air qui réduit les ponts thermiques. Le film isolant de fenêtre contre le froid : une astuce ingénieuse.

Rénover les joints de fenêtre

Exposés aux intempéries, les joints extérieurs d’une fenêtre ou d’une porte-fenêtre sont les premiers éléments d’usure à surveiller. Plus généralement, les joints de calfeutrage assurent la bonne étanchéité à l’air, au bruit et à l’eau. Les rénover permet de limiter les variations de température à l’intérieur de votre maison ou de votre appartement.

Comment mettre un joint de fenêtre ? Le remplacement est à la portée d’un bricoleur habile et soigneux. Mais soyez prudent ! Faire appel à un professionnel peut éviter les déconvenues.

Un joint d’isolation efficace est un joint qui se comprime lorsque la fenêtre est fermée. Il existe de nombreux modèles pour simple ou double vitrage, rainures, ouvrants et dormants. Les matériaux offrent une durabilité, une performance et des prix variables.

Les joints en mousse sont les plus économiques mais sont à changer au bout de 2 ou 3 ans. Les joints autocollants en caoutchouc synthétique ou PVC bénéficient d’une durée de vie supérieure à 5 ans et sont relativement faciles à poser.

Les joints métalliques réservés à l’isolation du tour de fenêtre doivent être cloués sur le dormant. Ils sont résistants, mais délicats à fixer. Le joint en silicone posé à l’aide d’un pistolet extrudeur est souple, solide et durable. Certainement l’option la plus efficace qui a le mérite d’offrir une excellente isolation phonique. Mais la pose exige du doigté.

Quand faire remplacer ses fenêtres ?

Savez-vous que la longévité d’une fenêtre dépend des matériaux utilisés ? Une menuiserie en bois dure en moyenne 15 ans. Les cadres en aluminium ont une durée de vie de 25 à 30 ans. Les fenêtres PVC résistent de 30 à 40 ans. La fiabilité des ouvrages mixtes bois alu peut aller jusqu’à 50 ans.

Leur remplacement est à prévoir dès lors que vous constatez sans pouvoir les réparer une fermeture défectueuse, des boiseries fatiguées ou un châssis en mauvais état.

Faites appel à un professionnel de l’isolation

Les travaux de remplacement des ouvertures de votre habitation sont éligibles aux aides financières de l’état : MaPrimeRénov’ et l’éco-prêt à taux Zéro (éco-PTZ). Pour en bénéficier, vous devez faire appel à un professionnel Reconnu Garant de l’Environnement (RGE). Les entreprises labellisées garantissent les performances thermiques de votre installation. Fiez-vous à leur expertise pour obtenir une vision globale de l’isolation de votre logement.

En conclusion, pour faire des économies d’énergie, optimisez l’isolation de vos porte-fenêtres et fenêtres. L’isolation thermique des vitrages et des menuiseries préserve votre logement des écarts de température. Vous gardez la chaleur en hiver et la fraîcheur en été.  Le moindre défaut influence le confort et alourdit la facture. Pensez-y ! Déployez les astuces pour réduire les ponts thermiques.

Faites confiance aux professionnels qualifiés pour vous conseiller. Le salon Viving réunit des entreprises innovantes et performantes. Elles présentent leurs solutions et partagent leur expérience. Venez les rencontrer !

 

Quelles autorisations pour quels travaux ?

Vous projetez de rénover votre habitation, de l’agrandir ou de lui adjoindre des éléments paysagers ? Avant de vous lancer, prenez soin de mettre au clair les autorisations administratives qu’il faudra solliciter. Permis ou déclaration de travaux, les délais d’instruction varient. Pour anticiper, voici un tour d’horizon des démarches administratives à mener en fonction des demandes de travaux.

Projet de construction ou de rénovation : la réglementation à connaître

Première chose à vérifier : l’implantation de votre commune ! Est-elle située en zone urbaine, couverte par un Plan Local d’Urbanisme (PLU), ou soumise à un Plan d’Occupation des Sols (POS) ? Dans tous les cas, le service urbanisme de la collectivité vous orientera sur la procédure à suivre.

De façon générale, un permis de construire est exigé pour la construction d’une habitation et les extensions d’une surface de plancher supérieure à 20 m2 (40 m2 en zone urbaine couverte par un PLU(i)). Les aménagements extérieurs sont concernés lorsque leur surface dépasse 20 m2.

Moins contraignante, la déclaration préalable de travaux est nécessaire avant d’entamer des opérations de rénovation ou des aménagements modestes.

Certains chantiers nécessitent un permis de démolir.

Construction de terrasse : les autorisations

Pour vous passer d’une déclaration de travaux, la terrasse de plain-pied est la bonne option. La surface de la terrasse non surélevée doit être inférieure à 20 m2 (40 m2 en zone soumise à un plan local d’urbanisme).

Construire une terrasse surélevée est soumise à autorisation. L’emprise au sol est inférieure à 20m2 (ou 40 m2), c’est une déclaration préalable. Au-delà, il faut un permis.

Attention ! La demande de permis est indispensable si la terrasse porte la surface totale de la maison à plus de 150 m2.

Déclarations pour construire un garage ou une véranda

Il faut environ 13 m2 pour garer une voiture. Vous auriez besoin d’un local à vélos ou d’une chaufferie ? Les dimensions à connaître pour déposer la bonne autorisation de travaux en mairie :

  • L’emprise au sol est inférieure ou égale à 20 m2 (ou 40 m2 en PLU) pour une élévation inférieure ou égale à 12 m : Remplissez une déclaration préalable de travaux ;
  • L’emprise au sol est supérieure à 20 m2 (ou 40 m2) pour une hauteur supérieure à 12 m : Vous devez déposer un permis de construire.

Suivez la même procédure que la déclaration de garage pour installer une véranda ou une extension ouverte type carport, préaux ou pergola.

Autorisation pour ravalement de façade : les exceptions qui font la règle

En principe, les travaux de ravalement de façade ne sont pas soumis à déclaration. Cependant, l’administration locale est libre de soumettre le ravalement à une autorisation d’urbanisme.

Soyez prudent si vous modifiez la couleur ! Il est presque certain qu’il vous faudra montrer patte blanche dans le périmètre d’un site classé, d’un monument historique ou d’une réserve naturelle.

Les exceptions étant fréquentes, nous vous conseillons de vérifier en mairie.

Changement de porte d’entrée : une autorisation ?

Même remplacées à l’identique, des menuiseries neuves sont considérées comme une modification de l’aspect extérieur d’un bâtiment. Le dépôt d’une déclaration préalable est requis pour une création d’ouverture ainsi que le remplacement des portes, fenêtres et volets.

Si les travaux modifient la structure porteuse et qu’ils impliquent un changement de destination, vous devez obtenir un permis de construire.

Quelle demande de travaux pour une clôture ?

Une clôture peut prendre la forme d’une haie végétale, d’un grillage, d’un mur ou d’un portail. Aux règles d’urbanisme s’ajoutent les notions de propriété et d’espace public.

En principe, les clôtures sont dispensées de formalités. Pourtant, le recours à une déclaration préalable est obligatoire dans les cas suivants :

  • Dans les territoires soumis à PLU ;
  • Dans les communes où l’implantation de murs est soumise à déclaration ;
  • A proximité de sites et monuments remarquables ;
  • Pour construire un mur de plus de 2 mètres.

En lotissement, des règles souvent strictes définissent les dimensions, matériaux, couleurs, etc. Il est interdit d’obstruer l’accès à la voie publique, de bloquer l’écoulement des eaux de pluie ou de priver les voisins d’ensoleillement.

En limites administratives (voie publique, route dangereuse, domaine public maritime ou fluvial, chemin rural), vous devez vous renseigner en mairie.

Déclarer les travaux de toiture

Comme pour les menuiseries, les travaux de toiture sont considérés comme apportant une modification de l’aspect extérieur de la maison. Sont donc soumis au dépôt d’une déclaration préalable de travaux :

  • la rénovation de toiture ;
  • la restauration ou l’élévation de cheminées ;
  • l’installation de fenêtres de toit ;
  • la pose de panneaux solaires.

Rêver d’une piscine : c’est permis !

Du bassin unipersonnel à la piscine familiale, les obligations en matière de projets d’aménagement sont à géométrie variable. En zone urbaine couverte par un plan local d’urbanisme, renseignez-vous. Certaines localités prévoient des obligations particulières.

Vous êtes libre de créer un bassin de moins de 10 m2 ou d’installer une piscine gonflable… démontée au bout de 3 mois !

Entre 10 et 100 m2, une déclaration préalable de travaux est suffisante, que votre piscine soit hors-sol ou enterrée. Construire un abri peut alourdir les démarches. Une structure de plus d’1,80 m de haut requiert un dépôt de permis de construire.

Abri de jardin, pool house, cuisine d’extérieur…

Indépendant de l’habitation principale, les espaces modulaires ou nomades ouvrent le champ des possibles en matière de confort et de saisonnalité. A savoir, pour s’équiper :

Vous n’avez pas besoin d’autorisation pour une emprise au sol inférieure à 5 m2. Au-delà, et jusqu’à 20 m2, déposez une déclaration préalable de travaux. L’emprise est supérieure ? Demandez un permis de construire.

Les caravanes et tiny house doivent rester mobiles pour avoir le droit de séjourner sur votre terrain sans autorisation. Le stationnement est limité à 3 mois par an.

Installer une serre

Une déclaration de travaux est nécessaire lorsque la hauteur de la serre est comprise entre 1,80 et 4 mètres. La surface au sol doit être inférieure à 2.000 m2.

Comment faire une demande d’autorisation d’urbanisme ?

Adressez-vous au service urbanisme de la commune ou de l’intercommunalité concernée par les travaux. Vous obtiendrez un formulaire type CERFA et une liste de pièces à fournir.

Vous pouvez constituer le dossier vous-même ou, selon la complexité, confier la réalisation à un professionnel qualifié. Pensez à consulter les experts du salon Viving !

Quels travaux sans autorisation ?

Partez du principe qu’il vaut mieux prévenir que guérir. Un courrier ou un email pour informer la mairie de votre projet peut vous épargner des contrariétés.

Liste non exhaustive des travaux qui se passent généralement d’autorisation :

  • Les construction de moins de 5 m2 ;
  • L’entretien et les réparations qui ne modifient pas l’aspect extérieur du bien ;
  • Le ravalement de façade (hors décision municipale) ;
  • Les modifications de volume à l’intérieur d’un bâtiment qui ne modifient pas son aspect extérieur ;
  • La création d’une terrasse de plain-pied ;
  • La création d’un bassin de moins de 10 m2 ;
  • L’édification de murs privatifs (soutènement, décoration…) inférieurs à 2m.

Pour vos travaux, rendez-vous aux salons Viving

Faites le plein d’idées aux salons Viving. Trouver l’inspiration au contact des nouvelles tendances et des innovations ! Les salons Viving réunissent des experts, des artisans et des entreprises qualifiées pour vous aider à concrétiser vos projets en rénovation et construction. Venez les rencontrer pour trouver les compétences dont vous avez besoin.

Rangements malins : optimiser les petits espaces

Concilier rangement et petit espace, c’est facile ! Dans cet article, on vous donne pleins d’astuces pour un logement pratique et esthétique. En plus, c’est garanti (presque) sans bricolage, et adaptable à toutes les pièces de la maison… Allez, on vous embarque faire le plein d’idées de rangements malins !

Créez des rangements dans les espaces vides

Les espaces vides sont plein de potentiel pour aménager des rangements supplémentaires. Exploitez chaque recoin de votre petit logement afin d’augmenter en capacité de stockage. On vous présente quelques exemples :

Les meubles d’angle

Les coins d’une pièce sont souvent des espaces perdus ou mal exploités. Un meuble d’angle permettra d’habiller votre intérieur tout en profitant de rangements optimisés.

Tous les formats peuvent être envisagés : de la bibliothèque d’angle au meuble tv, ils ont l’avantage d’avoir une bonne profondeur et de s’installer très facilement.

Les meubles encastrables

Il reste parfois des espaces vides entre deux meubles, ou entre un meuble et le mur d’une pièce.

Il existe de petits rangements encastrables, spécifiquement pensés pour utiliser ces espaces : souvent sur roulettes, ils vous permettront d’organiser vos bouteilles, épices, produits ménagers… Et pour un aménagement à moindre coût, ils peuvent être fabriqués maison.

Les escaliers

L’espace sous l’escalier est souvent peu ou pas exploité. Pourtant, c’est un espace privilégié pour organiser vos affaires : empilez-y des caisses de rangement, des étagères, ou placez-y une bibliothèque en forme… d’escalier !

Si vous souhaitez camoufler le tout, vous pouvez positionner un rideau avec une tringle télescopique, cela donnera à la pièce un look plus épuré.

Prenez de la hauteur pour optimiser les petits espaces

Créer du rangement pour petit espace nécessite de libérer de la place au sol et sur les meubles en exploitant la hauteur. Voici un condensé de nos astuces favorites :

Les crochets

Les crochets ont l’avantage d’être bon marché et faciles à installer. Solution parfaite pour un petit espace de rangement, il en existe de toutes sortes afin de s’adapter à votre intérieur.

Vous pouvez ainsi suspendre vos affaires derrière les portes ou à l’intérieur de vos placards. Pour cela, il existe des équipements prêts à l’emploi : porte-manteaux, petites étagères, distributeurs de rouleaux, etc.

On vous propose aussi de fixer une barre de crédence dans votre cuisine ou votre salle de bain (certaines se fixent avec des ventouses). Vous pourrez y accrocher différents ustensiles de cuisine, un bac de rangement, des éponges…

Les étagères murales et les bibliothèques

Installer des étagères est une très bonne astuce de rangement en petit appartement. Elles permettent d’exploiter au maximum l’espace disponible sur les murs, sans encombrer la pièce.

Placées au-dessus des portes, elles pourront accueillir vos livres ou les objets que vous n’utilisez pas au quotidien. Si vous avez une cheminée condamnée ou un renfoncement dans un mur, c’est également l’endroit idéal pour y placer de petites étagères.

Les grandes bibliothèques sont aussi géniales pour profiter d’un stockage du sol au plafond. Dans les petits logements, elles sont souvent utilisées pour couper une pièce en deux, tout en profitant de rangements supplémentaires.

Les petites étagères sur pied

Équipement parfait pour les petits budgets et garanti zéro bricolage !

Sur votre bureau, optez pour une petite étagère sur pied adaptée qui vous permettra de rehausser votre écran. En dessous, vous pourrez ranger vos cahiers, crayons ou clavier d’ordinateur.

Réorganisez l’évier de votre cuisine en plaçant contre le mur une petite étagère sur pied. Fini les éponges et liquide vaisselle qui trainent ! Cette solution peut aussi servir d’égouttoir d’appoint pour libérer votre plan de travail.

Il existe également des étagères sur pied modulables spécifiquement pensées pour réorganiser l’intérieur des placards. Elles permettront d’agrandir facilement votre surface de rangement sans toucher à l’aspect général de votre intérieur.

Privilégiez les solutions multifonctions et modulables

Économiser de la place dans un logement, c’est aussi optimiser le mobilier. Les meubles multifonction et modulables augmentent la surface de rangement tout en profitant d’un confort maximal.

Le lit mezzanine

Si la hauteur de votre plafond vous le permet, optez pour un lit mezzanine avec des marches pleines pour y stocker vos affaires. Solution idéale pour les studios, il vous permettra de créer un coin nuit et un coin détente tout en profitant d’un meuble de rangement pour petit espace.

Les meubles pliables et empilables

Les chaises pliables se rangeront en un clin d’œil pour dégager votre pièce. Elles rentreront dans un placard, ou pourront se suspendre au mur. Les tabourets empilables sont également très adaptés aux petits espaces d’habitation.

Pensez également à un bureau repliable de type « secrétaire ». Il vous permettra de ranger vos affaires tout en profitant d’un espace de travail flexible.

Dans le même esprit, les tables à rabat sont très populaires et permettent d’agencer facilement votre intérieur en fonction de vos activités.

Le mobilier malin pour davantage de rangements

Il existe de nombreuses solutions qui permettent d’agrandir votre surface de rangement sans perte de place. Voici quelques exemples :

  • Les poufs de rangement sont malins et pratiques : ils servent à la fois de siège et de cachette pour vos affaires
  • Les caisses et boîtes en tout genre se positionnent facilement sous les meubles et se déplacent au gré de vos envies
  • Les tables réglables en hauteur permettent à la fois d’avoir une table basse et une table à manger (ou un bureau !)
  • Les « combo » four/lave-vaisselle, lave-linge/sèche-linge, canapé/lit… permettent également d’optimiser le mobilier de votre appartement
  • Les petits meubles sur roulettes (bancs, dessertes, etc.) sont des solutions parfaites pour moduler votre appartement selon vos besoins

En manque d’idées ? Faites appel à un décorateur d’intérieur !

Les solutions de rangement en petit appartement sont nombreuses. Il peut être parfois difficile de faire des choix en fonction des spécificités du logement et de nos capacités en bricolage.

Dans les salons Viving, vous pouvez échanger facilement avec les professionnels du « Labo déco ». Ces spécialistes de l’aménagement et de la déco pourront vous guider dans vos décisions. On vous attend !

Tendance déco : adoptez le style industriel pop

Vous souhaitez relooker votre intérieur ? Découvrez le style pop industriel qui séduit les amoureux des ambiances joyeuses et vitaminées. Toutes les pièces de la maison sont à l’honneur avec ce style tendance ! Du sol au plafond, voici un fourmillement d’idées pour un résultat audacieux…

Qu’est-ce que la déco pop industriel ?

La déco pop industriel est le résultat d’un mariage heureux entre deux univers bien distincts : le style pop et le style industriel.

Le look pop se caractérise par une ambiance chaleureuse et ultra colorée, qui donne du pep’s et de la gaieté à un intérieur. Il rappelle la déco vintage et cosy des années 60 et 70 avec ses formes arrondies et ses motifs psychédéliques.

Quant à lui, le style industriel vient directement de l’univers ouvrier du début du siècle. Il inspire la sobriété, la robustesse et l’austérité que l’on retrouve dans les usines, avec ses couleurs froides et ses matériaux bruts.

La déco industriel pop résulte de la fusion entre ces deux mondes. Le résultat est toujours rempli de couleurs et de modernité.

Comment mélanger déco pop et déco industrielle ?

Parfois, les opposés s’attirent, n’est-ce pas ? Si ces deux styles sont en apparence, complètement différents, ils s’accordent pourtant très bien ensemble.

Le format industriel présente plutôt un caractère épuré et brut, mais s’habille de gaieté et de douceur lorsqu’il se marie avec le pop.

Les intérieurs mélangeant déco pop et déco industrielle sont généralement plus fournis en mobiliers et en accessoires. Ils se caractérisent par un joyeux mélange de couleurs vives, de formes différentes et de matières variées qui assurent un look très original et pétillant.

Cela dit, dans le style industriel pop, il n’y a pas vraiment de règle. Plusieurs intérieurs rénovés à la sauce pop industriel peuvent être complètement différents selon les goûts du décorateur. Une couleur ou un matériau principal peut être choisi pour donner une ambiance singulière à une pièce. De même, chacun est libre de donner une dominante pop, ou à l’inverse, industrielle à son intérieur… ou un mix total entre les deux !

Passons maintenant à la pratique : quelles couleurs sont les plus appropriées ? et les matériaux alors ?

Les couleurs pour un style pop industriel

Pour réussir le relooking de votre home sweet home, nous vous conseillons de vous inspirer des coloris des années 60/70 et des salons déco pop art de cette période.

Vous l’avez compris, ce sont les couleurs vives qui sont à l’honneur : rouge vif, rose bonbon, orange, jaune poussin, teintes fluo, bleu canard, vert pomme, etc. Lâchez-vous ! Elles donneront à votre intérieur le côté « punchy » si caractéristique du style pop industriel.

Et pour les assembler ? Ici encore, c’est selon vos préférences. Là où certains mélangeront plusieurs couleurs dans une seule pièce, d’autres préfèreront revêtir les murs de blancs, afin de contraster avec un mobilier très vif et imposant.

Les matériaux pour une déco industriel pop

Le look pop industriel mélange beaucoup de matériaux provenant à la fois du style pop et du style industriel.

En déco pop, on retrouve principalement des matières douces et souples comme le plastique ou le velours. Sans surprise, le format industriel présente des matériaux bruts comme le métal, le bois, le verre ou encore le béton.

Il est intéressant de jouer avec les contrastes de matières et de formes. On peut par exemple placer un fauteuil arrondi en velours à côté d’une table métallique aux angles saillants.

Ici aussi, les couleurs jouent un rôle essentiel. Il est très fréquent de trouver des meubles de type industriel totalement repeints de couleurs flashy. C’est l’exemple parfait d’une déco pop industriel : on associe une matière brute à une couleur pop.

Les objets déco à privilégier

Pour accessoiriser votre intérieur à la sauce pop industriel, faites-vous plaisir avec des objets originaux, colorés, et variés !

N’hésitez pas à associer des éléments dépareillés et contrastés : autour d’une table en verre, placez des tabourets ronds en plastique et des chaises en métal colorées. Habillez le sol de tapis aux motifs graphiques, ou de carrelage en damiers. Décorez vos murs de papier peint rétro, ou d’affiches vintage. Illuminez la pièce avec un lustre en bois ou un luminaire rouge vif…

Vous pouvez aussi apporter une attention particulière aux détails. Dans votre cuisine par exemple, équipez-vous d’un robinet en laiton (ou imitation) avec des commandes d’eau vintage : effet usine garanti ! Finissez ce style old school avec une balance rétro sur votre plan de travail, ou une cafetière au look des 70’s…

Pour une déco tendance, à bas prix

Pour changer l’ambiance de votre logement, nul besoin de tout révolutionner, ni même de se ruiner : un coup de peinture sur certains de vos meubles leur offrira une seconde jeunesse pour un prix très raisonnable.

Vous pouvez également chiner du mobilier ou des accessoires en brocante, comme de vieux vestiaires d’usine qui, une fois repeints, feront des espaces de rangements design pour votre salon. Vous pourrez y trouver peut-être de vieux téléphones, ou des caisses de rangement usées qui offriront un look unique à votre intérieur.

Quoi qu’il en soit, laissez parler votre créativité ! Le look pop industriel est un style très original qui donne beaucoup de personnalité à un logement. Si vous souhaitez plus d’inspiration, découvrir des brocanteurs ou bénéficier de conseils de pros, n’hésitez pas à vous rendre au prochain salon Viving proche de chez vous.

Matériaux biosourcés en construction : pourquoi les utiliser ?

Mis en avant par la RE 2020, les matériaux biosourcés sont recommandés dans les nouvelles constructions. Ces écomatériaux permettent de construire des maisons respectueuses de l’environnement, avec une pollution moindre. On vous présente ce qu’est un matériau biosourcé et ses multiples avantages.

Matériaux biosourcés : définition

Un matériau biosourcé est un matériau issu du vivant, soit végétal (bois, chanvre…), soit animal (laine de mouton). Il est utilisé comme matière première pour la construction et la décoration de bâtiments.

Pour qu’un matériau de construction soit considéré comme biosourcé, il doit être composé d’un certain pourcentage de matière biosourcée. En général, il est utilisé comme isolant ou pour composer des mortiers, du béton ou des panneaux.

Le label Bâtiment biosourcé

Le label Bâtiment biosourcé a été créé en 2012 pour mettre en valeur les bâtiments composés d’écomatériaux.

Le label informe de la masse totale de matériaux biosourcés par mètre carré de surface de plancher. Il comprend 3 niveaux :

  • le premier niveau demande l’utilisation de 2 matériaux biosourcés de la même famille ou non, avec des fonctions différentes (isolation, structure, revêtement de sol, etc) ;
  • le deuxième et le 3ème niveau requièrent la mise en œuvre de 2 familles d’écomatériaux.

Il faut également respecter une quantité minimale de matériau biosourcé incorporé dans le bâtiment pour atteindre les différents niveaux. Le nombre de kg / m² dépend de l’usage du bâtiment : maison individuelle, industrie, bâtiment collectif, commerce, bâtiment agricole, etc.

Pourquoi utiliser des matériaux biosourcés ?

L’impact du secteur du BTP sur l’environnement est considérable. Il est de plus en plus nécessaire de bien choisir les matières premières utilisées, afin de réduire cet impact voire de créer des bâtiments passifs ou positifs.

De plus, la construction biosourcée présente des avantages conséquents :

  • les matériaux biosourcés sont aussi qualitatifs que les matériaux classiques ;
  • leur utilisation ne change pas la façon de travailler des artisans ;
  • la biomasse végétale et animale est renouvelable ou issue du recyclage ;
  • les matériaux captent le CO2 de l’atmosphère et contribuent à diminuer les émissions de gaz à effet de serre ;
  • ils régulent parfaitement les variations de température et d’humidité, ce qui procure un grand confort thermique et des économies d’énergie ;
  • ils ont d’excellentes propriétés acoustiques ;
  • ils subissent moins de traitements chimiques ;
  • ils offrent une grande qualité d’air intérieur.

Matériaux biosourcés : exemples

Voici une liste de matériaux biosourcés pour vous aider à comprendre quels sont les matériaux à utiliser pour un habitat écologique.

Le bois

Le plus connu de tous est évidemment le bois ! Matériau biosourcé par excellence, il offre d’excellente performances thermiques et acoustiques aux maisons. Son avantage est qu’on peut l’utiliser partout : charpente, plancher, murs, isolation, décoration… C’est un matériau écologique multifonction et très pratique.

Le chanvre

Parmi les isolants biosourcés, le chanvre est en bonne position. La plante possède de belles performances acoustiques et thermiques, ainsi qu’une excellente régulation de l’humidité. Elle résiste également au feu. Le chanvre est utilisé pour l’isolation des murs, des combles ou des rampants de toiture. Mélangé à la chaux, le chanvre crée un béton pour construire des murs porteurs.

La laine de mouton

D’origine animale, la laine de mouton remplace peu à peu les laines minérales pour l’isolation des maisons. Elle est transformée en panneau d’isolation semi-rigide. Veillez toutefois à ce qu’elle ne subisse pas trop de traitements chimiques, au risque de diminuer son intérêt écologique.

Le liège

Il est réalisé à partir de chêne-liège ou de bouchons recyclés. Comme le bois, il offre une excellente isolation thermique et acoustique, en plus d’être imputrescible. Il n’a donc à subir aucun traitement chimique ! Le liège est particulièrement utilisé pour l’isolation des planchers.

La ouate de cellulose

Ce matériau est fabriqué à partir de journaux recyclés. La ouate de cellulose possède de fortes propriétés isolantes, on l’utilise donc beaucoup en panneaux ou en vrac pour isoler les bâtiments. Son rapport qualité/prix est très attractif pour les artisans. Toutefois, elle doit subir un traitement chimique pour résister aux incendies.

La paille

La paille est un écomatériau particulièrement économique, qui s’installe facilement sans nécessiter de traitement. Elle est recouverte d’un enduit de terre crue et de chaux pour résister aux incendies. On l’utilise beaucoup comme revêtement de façade, mais aussi en isolation intérieure ou extérieure.

Le textile recyclé

Ce matériau biosourcé est conçu à partir de vêtements défibrés, mélangés et thermoliés. Le textile recyclé est idéal pour l’isolation des murs, des rampants de toiture et des combles.

Les risques liés aux matériaux biosourcés

Le comportement au feu

Le risque principal de l’utilisation des matériaux biosourcés provient de leur comportement au feu. Certains éco-matériaux sont particulièrement sensibles au risque incendie. Ils doivent alors subir un traitement chimique ou intégrer un écran coupe-feu pour répondre aux exigences de la réglementation incendie.

Les nuisibles

En ce qui concerne les insectes nuisibles, il faut différencier les matériaux d’origine végétale et animale. Les écomatériaux végétaux ne contiennent pas de matière susceptible d’attirer les insectes. En revanche, la laine de mouton peut attirer les mites.

Pour les rongeurs, le problème ne tient pas tant au matériau qu’au système constructif. L’accès aux rongeurs au sein des parois doit être limité lors de la construction, par exemple avec des grilles anti-rongeurs.

Le traitement chimique

Certains matériaux biosourcés font l’objet de traitements chimiques pour être utilisables en construction. Leur composition peut intégrer des additifs chimiques, notamment pour résister aux moisissures, aux insectes ou au feu.

On pense notamment au bois, qui doit absolument être traité contre les insectes xylophages. C’est le cas également de la laine de mouton, qui est parfois tellement traitée qu’elle perd de son intérêt écologique.

L’assurance décennale

Peu importe le matériau utilisé, l’assurance décennale est obligatoire. Toutefois, l’utilisation de matériaux biosourcés doit entrer dans la clause “technique courante” du contrat, pour être couverte. En cas de doute, le constructeur ne doit pas hésiter à demander une confirmation écrite à l’assureur.

Si les techniques de mise en œuvre des matériaux biosourcés entrent dans la clause “technique non courante”, il faudra alors souscrire une extension d’assurance et régler une surprime.

Formica : le come-back du matériau rétro

Longtemps oublié, le Formica revient en force depuis plusieurs années, notamment dans les brocantes. Ce célèbre matériau était présent dans toutes les cuisines des années 30, jusqu’aux années 80 ! Aujourd’hui, on le retrouve dans nos intérieurs contemporains, pour une touche rétro et vintage.

Le Formica, qu’est-ce que c’est ?

Cela fait 100 ans que le Formica existe ! Créé en 1912 aux États-Unis par le groupe Formica, il s’agit d’un stratifié haute pression. C’est un assemblage de feuilles de papier kraft imprégnées de résine thermorésistante (mélamine). Des couleurs et des décors sont appliqués par la suite sur le stratifié. A l’origine un isolant électrique, le Formica fait un carton dans le secteur de l’ameublement.

C’est dans les années 30 que les meubles en Formica se développent en France : leurs couleurs modernes, leur facilité d’entretien et leur faible coût les rendent indispensables dans chaque foyer ! C’est dans la cuisine que le Formica séduit le plus, grâce à ses propriétés thermorésistantes.

Malheureusement, sa popularité décline dans les années 70, jusqu’à devenir carrément ringard dans les années 80. Depuis quelques années, avec l’engouement pour les meubles vintage, le Formica fait un incroyable come-back dans les maisons !

Les avantages du Formica

Apprécié pour sa modernité face au bois dans les années 30, aujourd’hui, on ne peut pas dire du Formica qu’il est moderne. Heureusement, il a d’autres atouts à faire valoir :

  • il existe dans une large palette de couleurs, de motifs et d’effets bois ;
  • il crée une ambiance déco vintage et rétro ;
  • on en trouve dans toutes les brocantes ;
  • il est facilement customisable ;
  • il est extrêmement résistant (chaleur, taches, eau, rayures, produits chimiques…) ;
  • il se nettoie facilement ;
  • il est économique sur le long terme.

Comment l’intégrer à sa déco ?

Légèrement kitch mais attachant et acidulé, le Formica s’installe dans tous types d’intérieurs. On adore les chaises, les tables ou encore les buffets en Formica, mais on évite les total looks comme on en trouvait dans les années 30.

Le Formica par petites touches, c’est exactement ce qu’il faut. Pourquoi pas un tabouret en Formica dans votre salon ? Et une table dans votre cuisine ? Ou une commode dans votre chambre ? Un seul meuble en Formica sera mis en valeur, alors qu’une accumulation risquerait de faire too much.

Vous aimez les ambiances rétro, type café des sixties ? Sortez les tables en formica jaunes, rouges ou encore bleues ! N’oubliez pas les chaises ou les banquettes assorties, mais attention de ne pas aller trop loin.

Le Formica peut également servir à rehausser d’autres éléments, dans un effet mix & match. Par exemple, assembler des chaises en Formica vintage avec une table en verre résolument moderne !

Aujourd’hui, on trouve également des objets déco en Formica. Lampes, horloges, vases… à vous de trouver LA pépite qui marquera les esprits.

Comment rénover du Formica ?

Le problème des meubles en Formica, c’est que la majorité des pièces sont vintages. Les plus vieilles approchent le siècle ! Même si vous avez réussi à récupérer quelques éléments chez vos grands-parents, une rénovation risque de s’imposer pour donner une nouvelle vie à vos meubles vintage.

Comment nettoyer le Formica ?

Comme on l’a vu, le Formica a l’avantage d’être particulièrement robuste. Avec un peu de chance, vos meubles n’ont ni rayures, ni fissures. En revanche, ils peuvent jaunir ou être tachés avec le temps.

Dans ce cas, voici une petite recette pour nettoyer vos meubles : 2 cuillères à soupe d’alcool ménager, 2 cuillères à soupe d’eau. Avec un chiffon, nettoyez délicatement votre meuble. Surtout, évitez les produits abrasifs !

Pour un entretien quotidien, un nettoyant à vitres sera idéal.

Comment peindre du Formica ?

Si vos pièces sont abîmées ou si vous voulez tout simplement en changer la couleur, vous pouvez complètement peindre du Formica ! Utilisez une peinture acrylique ou une peinture glycéro satinée, brillante ou mate.

Avant toute chose, nettoyez le meuble. Ensuite, poncez légèrement la surface pour ôter la partie plastifiée. Dépoussiérez et rincez avant d’appliquer une sous-couche. Pour une peinture acrylique, il vous faudra une sous-couche à base d’eau. Pour une peinture glycéro, la sous-couche devra être à base de solvant.

Utilisez un pinceau ou un rouleau selon la taille de votre meuble. Laissez sécher la sous-couche avant d’appliquer la première couche de peinture. Nous vous recommandons une seconde couche pour une meilleure finition.

Customiser du Formica

Pour personnaliser vos meubles en Formica, vous pouvez aller encore plus loin ! Par exemple, en faisant des motifs avec de la peinture ou en posant du papier peint, du papier adhésif ou des stickers.

Pour les motifs, le procédé est le même que pour peindre un meuble en Formica. Il vous suffit simplement d’ajouter des rubans de masquage pour créer les motifs que vous souhaitez : triangles, rayures, pois, etc. Vous conserverez ainsi une partie du meuble d’origine, et l’autre partie sera customisée !

Si vous êtes adepte de papier peint, il se pose facilement avec de la colle en bombe. N’oubliez pas de le vernir par la suite. Le papier adhésif et les stickers vous offrent de multiples possibilités pour personnaliser votre meuble en formica à moindre coût.

Décoration bohème : comment l’adopter ?

Mélange de styles et d’inspirations, le style bohème ou “boho” invite au voyage et à l’évasion. Envie de changement dans votre chez-vous ? Optez pour la décoration bohème chic de votre chambre à votre salon grâce à nos conseils ! 

Qu’est-ce qu’une décoration bohème ?

La décoration bohème chic se caractérise par l’association de motifs, couleurs et objets évoquant le voyage, la liberté et les souvenirs heureux.

Ce style tire son nom des bohèmes, ces personnes éprises de liberté qui ont choisi d’adopter un quotidien en dehors des conventions sociales. À la fois moderne et original, un intérieur bohème chic mélange de multiples inspirations avec élégance.

Proche du style ethnique et du style hippie, la décoration bohème se démarque par son esprit “mix & match”.  Elle invite à jouer sur l’accumulation sans se soucier des codes habituels, sans jamais tomber dans l’overdose.

Comment faire une déco bohème chic ? Pour l’adopter, il suffit de laisser libre court à votre imagination. Mélangez l’ancien et le nouveau, intégrez des objets achetés en voyage ou encore des touches végétales et exotiques au travers de plantes et de photographies…

Quels motifs et couleurs pour un intérieur bohème ?

Quelles couleurs choisir pour une décoration bohème ? Les teintes idéales pour une inspiration bohème chic sont souvent douces et claires avec du blanc, du beige, du crème… Elles permettent de laisser toute la place à vos nombreux accessoires bohèmes.

Pour ajouter une touche de fantaisie à votre maison ou appartement, ajoutez des touches plus vives avec des couleurs vitaminées : orange, jaune, fuschia… Si vous préférez des teintes plus naturelles, optez pour les nuances terracotta (marron, ocre) ou vertes.

Pour apporter de l’originalité et de l’exotisme à vos objets déco, le style bohème fait la part belle aux différents motifs : géométriques, tropicaux, amérindiens, floraux… Tout est permis pour évoquer un ailleurs dépaysant et la liberté de s’évader.

Comment faire une décoration de salon bohème ?

Le style bohème chic n’a pas son pareil pour surprendre vos invités et rendre votre salon plus accueillant ! Il mélange de nombreuses inspirations, ce qui permet de l’adapter facilement à vos goûts personnels.

Des meubles aux matières naturelles et des plantes

Très importants dans une ambiance bohème, les meubles sont à choisir de préférence en matériaux naturels.

Bois, rotin, osier, bambou, manguier… osez les différentes essences végétales et les meubles exotiques, ou encore mieux, les meubles suspendus ! Très à la mode, le fauteuil suspendu ou hamac d’intérieur évoque la liberté chère au style bohème… et on s’y sent particulièrement bien.

Pour rappeler la nature et les grands espaces, disposez des plantes d’intérieur de toutes sortes aux murs et sur vos meubles dans de petits et grands pots en terre cuite.

Faites de votre salon un espace chic et accueillant

Pour accueillir vos amis et proches, disposez des tabourets et poufs en bois, fausse fourrure ou macramé autour d’une table basse en osier ou d’une table basse orientale.

Disposez sur le sol un tapis d’inspiration ethnique (tapis berbère, tapis Kilim…), des plaids en laine, lin ou coton sur les fauteuils et des coussins à motifs pour plus de confort.

Si vous avez des enfants et un grand salon, profitez-en pour réserver un coin de la pièce aux jeux et installez un tipi hippie pour le plus grand bonheur des plus jeunes !

Sublimez vos murs et plafonds pour un total dépaysement

Enfin, ne négligez pas les murs et plafonds ! Pour une décoration murale bohème, privilégiez des suspensions en bois ou en osier ou en laiton / cuivre si vous préférez miser sur une décoration bohème vintage.

N’hésitez pas à accrocher des tableaux bohèmes, des photographies de voyage ou encore des cartes postales au mur. Pour habiller vos murs, faites le choix d’une tenture murale XXL ou de plusieurs tissages.

Comment créer une décoration bohème pour chambre ?

Le style bohème chic est idéal dans une chambre pour créer une ambiance qui vous ressemble vraiment. Il peut aussi s’adapter parfaitement à la décoration d’une chambre d’enfant.

Personnalisez vos murs sans en faire trop

Selon la taille de votre pièce, vous pouvez opter pour des murs clairs ou des murs colorés en évitant des couleurs trop vives qui pourraient perturber votre repos.

Pour une touche fantaisie, pensez aussi au papier peint à motifs végétaux qui peut facilement créer une atmosphère végétale dans votre chambre.

Pensez aussi aux accessoires bohèmes comme l’attrape-rêves, aussi classique qu’incontournable, les miroirs (miroir œil, miroir soleil…), des plantes végétales suspendues…

Multipliez les sources de lumière

Pour créer une ambiance intimiste, dispersez différentes sources lumineuses dans votre pièce : suspension lumineuse en osier, guirlandes lumineuses, bougies…

Installez également des voilages qui laissent passer la lumière en journée (à doubler si besoin avec des rideaux plus épais pour un meilleur sommeil).

Ne négligez pas le mobilier et les petits objets

Côté mobilier, ici aussi, faites la part belle aux matières naturelles ! Le rotin et l’osier sont à décliner sans modération sur vos têtes de lits, tables de chevet, meubles et paniers de rangement…

Le choix du lit doit être particulièrement soigné pour en faire une pièce maîtresse de votre chambre. Pensez total confort en multipliant les coussins à motifs et plaids douillets.

Enfin, pensez à disposer des souvenirs de voyage et des petits objets artisanaux dans différents endroits de votre pièce.

Vous avez besoin de conseils pour faire votre choix ? N’hésitez pas à vous rendre au prochain salon Viving proche de chez vous pour faire appel à des professionnels exerçant dans votre région.