Comment changer sa chaudière. Les conseils de nos experts Viving

LES CONSEILS MAISONS POUR CHANGER SA CHAUDIÈRE.

Une chaudière devrait normalement être remplacée tous les 15 ou 20 ans. En France, pourtant, de nombreux logements sont équipés de modèles beaucoup plus anciens, et peu performants. Pourtant, associée à une bonne isolation, une chaudière performante est la clé des économies d’énergie.  C’est un gros investissement financier qui se rentabilise sur le temps et avec l’obtention d’aides financières comme le crédit d’impôt, l’éco-prêt à taux zéro…  en fonction des différents types de chaudière. Passage en revue.

LES CHAUDIÈRES « BASSE TEMPÉRATURE »

172-vignette_260x260

Crédit@Deville Thermique
Légende : chaudière basse température gaz au sol Deville Excellia Gaz

La principale différence entre une chaudière basse température et une chaudière dite « normale » est la température de chauffe du liquide caloporteur : pour la première, la température atteindra 50°C, pour la seconde 90°C, sans qu’aucune différence de confort ne soit ressentie. La consommation d’énergie est réduite de 12% à 15%.

ATTENTION AU RESPECT DES NORMES DES CHAUDIÈRES BASSE TEMPÉRATURE

Les normes des chaudières basse température relèvent de la directive européenne Directive 90/360/CEE visant à garantir à l’utilisateur sécurité, performance et qualité.

Afin de répondre aux normes en vigueur, l’installation et l’entretien d’une chaudière basse température doivent être effectués par un professionnel qualifié qui va notamment vérifier et nettoyer le corps de chauffe, les conduits d’évacuation et tous les éléments de sécurité listés dans la NF X50-011.

Le respect de ces normes et l’homologation de l’installation par un professionnel vous permettent, sous certaines conditions d’éligibilité, de prétendre à des aides financières octroyées dans le cadre de la rénovation énergétique.

L’ÉCO-PRÊT À TAUX ZÉRO

Il est accordé par certains établissements bancaires dans le cadre d’un bouquet de travaux (minimum deux) visant à réduire votre consommation énergétique. Ce prêt est plafonné à 20 000 euros et remboursable sur 10 ans maximum pour un bouquet de 2 travaux. Le plafond passe à 30 000 euros remboursables sur 15 ans pour un bouquet de 3 travaux.

LA TVA À TAUX RÉDUIT

Si votre logement est construit depuis plus de 2 ans, vous pouvez bénéficier depuis le 1er janvier 2014 d’une TVA à 5,5 % qui s’applique tant sur le prix de la chaudière que sur le coût de la main d’œuvre.

LES AIDES DE L’ANAH ET DES COLLECTIVITÉS LOCALES

Dans le cadre de la rénovation énergétique et sous conditions de ressources, l’Agence nationale pour l’habitat, octroie des aides financières. Les collectivités locales, peuvent également soutenir les travaux visant à économiser de l’énergie. Renseignez-vous auprès des organismes compétents afin de déterminer si vous êtes éligibles.

 LES CHAUDIÈRES À CONDENSATION

malrieu-chaudiere-sol-condensation-3Crédit@Domusa
Légende : chaudière à condensation EVOLUTION EV FDX RC / Domusa

Elles condensent la vapeur d’eau des gaz de combustion et récupèrent ainsi de l’énergie. Elles consomment de 15% à 20% de moins que les chaudières standard modernes.

LES AIDES

Le crédit d’impôt (CITE) est l’une des sources de financement les plus utilisées pour financer les chaudières gaz à condensation. En effet, ce dispositif mis en place par l’Etat allège considérablement le montant de ces dépenses. L’installation d’une chaudière gaz à condensation ouvre un crédit d’impôt de 30%.

Les conditions : les travaux doivent être réalisés dans une résidence principale de plus de deux ans et il est impératif de faire appel à un professionnel pour effectuer l’installation de l’appareil.

N’oubliez pas également de vérifier ici votre éligibilité concernant le Crédit d’Impôt pour la Transition Énergétique.

Les Primes Energie représentent également une aide importante.

Ce dispositif mis en place par l’Etat permet d’obtenir ces primes, en fonction des économies d’énergie réalisées suite aux travaux, et de les revendre. Mise en place par CertiNergy, la prime peut atteindre plusieurs centaines d’euros et offre de nombreux avantages.

L’ANAH (Agence Nationale de l’Amélioration de l’Habitat)

Elle octroie des aides pour financer une partie de l’installation de votre chaudière gaz à condensation. Pour y prétendre il est impératif de répondre aux conditions de ressources fixées par l’agence. Cette aide permet de couvrir jusqu’à 50 % du montant total de l’installation pour les foyers les plus modestes et jusqu’à 35 % pour les autres.

Anciennement intitulée “Habiter Mieux”, l’aide à la rénovation de l’Agence Nationale de l’Habitat (ANAH) connaît quelques changements et est renommée “Habiter sain, Habiter serein, Habiter facile et Louer facile”. Le but est de faciliter les conditions d’accès aux aides et les adapter à la diversité des projets de rénovation. Elle concerne les propriétaires bailleurs et occupants de logements.

Cette page vous fournit les informations nécessaires quant aux conditions d’éligibilité de l’aide et les démarches à réaliser pour en bénéficier. Elle est cumulable avec d’autres aides offertes par l’Etat, c’est notamment le cas avec le Crédit d’Impôt pour la Transition Énergétique (CITE) ayant pour but d’inciter à la rénovation d’un logement et améliorer son efficacité énergétique.

LES CHAUDIÈRES À BOIS

Crédit Morvan - 1369839134_chaudi-re_bois_MORVAN_MX-BX_1_zoom

Crédit@Morvan
Légende : chaudière à bois Morvan

Elles fonctionnent le plus souvent avec des granulés de bois et un chargement automatique (pas de bûches ni de sacs de granulés à manipuler).

Les granulés sont peu onéreux, d’où d’importantes économies, à la longue, appréciables dans les grandes maisons coûteuses à chauffer.

LES AIDES

SUBVENTIONS DE L’ANAH

Son concernés les ménages à revenus modestes.

Propriétaires ou locataires d’une maison ayant plus de 15 ans.

Condition : les travaux doivent être réalisés par des professionnels. L’habitation ne doit pas bénéficier d’un autre financement de l’Etat ou d’un prêt à taux zéro dans les dix années précédant la demande de subventions auprès de l’ANAH.

LA TVA À 5,5%

La TVA à 5,5% s’applique sur la fourniture et l’installation d’une chaudière à bois. Les bûches bénéficient également de la TVA à 5,5%. La résidence (principale ou secondaire) doit être achevée depuis plus de deux ans. La TVA à 5,5% est valable seulement si l’entreprise fournit une attestation confirmant le respect des conditions d’application.

LE CRÉDIT D’IMPÔT

L’Etat accorde un crédit d’impôt pour la chaudière à bois. Le taux du crédit d’impôt s’élève à 40% des dépenses TTC. Cependant, la main d’oeuvre n’est pas prise en compte dans le crédit d’impôt. Le taux peut être maintenu à 40% si la chaudière à bois est installée avant le 31 décembre de la deuxième année suivant l’acquisition de l’habitation, dans une maison achevée avant le 1er janvier 1977. Cette aide n’est valable que si le matériel est fourni par un professionnel. Seule la facture de l’entreprise pourra servir de justificatif pour bénéficier du crédit.

L’ÉCO-PRÊT À TAUX ZÉRO

Il est valable si vous faites réaliser un bouquet de travaux visant à améliorer les performances énergétiques de la maison. L’éco prêt à taux zéro finance la fourniture et la pose des équipements, les travaux indissociablement liés, les frais de maîtrise d’oeuvre et les éventuels frais d’assurance. Ce prêt peut financer jusqu’à 30 000 € de travaux qui peut être remboursé sur une période de 3 à 15 ans.

Plus d’infos concernant toutes les aides pour votre chaudière : http://renovation-info-service.gouv.fr

Appartement sous combles. Comment créer une chambre ou une salle de bain ?

COMMENT CRÉER UNE CHAMBRE OU UNE SALLE DE BAIN DANS UN APPARTEMENT SOUS COMBLES ?

La salle de bain est une pièce très technique qui suppose une arrivée et une évacuation des eaux, avec une pente suffisante pour les écoulements. Quand le propriétaire choisit d’installer cette pièce dans le haut de son duplex, il opte pour une implantation complexe au centimètre qui inclut aussi la chambre. Au final, les 20m2 sous pente sont aménagés avec brio et sensation d’espace.

STRUCTURATION DE L’ESPACE

La petite surface sous toit doit contenir une salle de bain et une chambre. Tout en respectant l’envie de ne pas cloisonner, le propriétaire parvient à créer des zones qui vivent ensemble tout en préservant un minimum d’intimité. Il privilégie l’espace pour la salle de bain dans laquelle il installe une baignoire en ilot. La chambre se résume à un coin couchage dans la sous pente.

 

COMBLE À AMÉNAGER

 

app10Crédit@Pixopicto

UN PARTI PRIS POUR L’ÉPURE ET LA SIMPLICITÉ

Dans cet espace sombre, le propriétaire choisit de peindre la pièce en blanc et de laisser les poutres apparentes brutes.

app11Crédit@Pixopicto

Appartement sous combles. Comment créer une cuisine ou un séjour ?

COMMENT CRÉER UNE CUISINE OU UN SÉJOUR DANS UN APPARTEMENT SOUS COMBLES ?

Partir d’un espace brut de décoffrage pour le transformer en pièce à vivre est un challenge excitant à condition d’avoir de l’imagination et un peu de moyens. Pour ce jeune propriétaire, la surface de 50 m2 est idéale pour réussir à faire cohabiter la cuisine / salle à manger, le salon et son bureau d’architecte. Au final, une conception très épurée qui propose de nombreux rangements astucieux.

IDÉES AMÉNAGEMENT INTÉRIEUR

UNE CONSTRUCTION PAR LE VIDE

L’avant / après de cette réalisation montre que l’espace a été peu modifié. Il a été préservé dans sa totale ouverture. On entre dans une seule et même pièce, d’abord par le salon, puis vers la salle à manger / cuisine. Le propriétaire a changé les fenêtres, isolé les murs et ajouté du Placoplatre sur les murs et au plafond. Il a gardé la brique au dessus de l’espace cuisson de la cuisine et sur un mur du salon. Ailleurs, tout a été peint en blanc du sol au plafond pour jouer l’ambiance immaculée. Seules la charpente et ses poutres contrastent avec leur couleur noire.

app2

app1Crédit@Pixopicto

UN AGENCEMENT FLUIDE ET INVISIBLE

Adepte de l’agencement malin et ingénieux, le propriétaire/architecte d’intérieur imagine parfaitement son mobilier conçu sur mesure pour le fondre dans les murs tout en amenant un maximum de rangements. La cuisine est parfaitement équipée de meubles bas blancs très épurés. Ils se prolongent dans la sous pente en L et s’étirent jusqu’à la salle à manger / bureau.

L’escalier qui mène à la chambre et à la salle de bain, devient estrade de cuisine ou meuble de rangement. Et se connecte avec le meuble de salon. Un jeu de Lego avec des éléments encastrés ou décalés qui montre à quel point le soin du détail est important.

app5Crédit@Pixopicto

app7Crédit@Pixopicto

TENDANCES DÉCO

UNE DÉCO SOBRE AVEC QUELQUES NOTES DE FANTAISIE

Un véritable dialogue entre l’existant brut et le côté très épuré évite l’écueil d’un style trop radical. La montée d’escalier peinte en orange amène une touche de couleur qui s’harmonise avec la tonalité des briques et inonde les autres murs blancs de l’escalier dans un dégradé orangé qui varie en fonction de l’apport de lumière naturelle.

En observant l’ensemble, on note une multitude de détails sophistiqués mais jamais tape à l’œil. Ainsi, l’épure immaculée est rehaussée par l’apport ponctuel d’éléments en bois. Les deux pieds de table opposent les couleurs et les formes… Des petits clins d’œil anecdotiques qui prouvent qu’on peut créer très sérieusement sans se prendre au sérieux.

app3Crédit@Pixopicto

app4Crédit@Pixopicto

app6Crédit@Pixopicto

Travaux d’extension d’une maison : permis et formalités

TRAVAUX D’EXTENSION D’UNE MAISON : PERMIS ET FORMALITÉS

Permis-de-construire

CONSEILS MAISON

Si vous avez le projet de travaux d’agrandissement de votre habitat, vous devez vous renseigner sur les démarches administratives préalables. En fonction de la surface de l’agrandissement, et, d’autre part, de la nature des travaux envisagés, vous aurez à vous soumettre à une simple déclaration préalable ou à une demande de permis de construire. Deux cas de figure qui ne requièrent pas les mêmes investissements.

LE PERMIS DE CONSTRUIRE

Les travaux soumis à un permis de construire sont ceux :

  • ayant pour effet la création d’une surface de plancher ou d’une emprise au sol supérieure à 20 m² ;
  • dans les zones urbaines d’un plan local d’urbanisme ou d’un document d’urbanisme en tenant lieu, ceux ayant pour effet la création d’une surface de ou d’une emprise au sol  supérieure à 40m². Cependant, sont également soumis à permis de construire les travaux ayant pour effet la création de plus de 20m² carrés et d’au plus 40 m² de surface de plancher ou d’emprise au sol, lorsque leur réalisation aurait pour effet de porter à plus de 170 m² la surface ou l’emprise totale de la construction.

DEMANDE DE PERMIS DE CONSTRUIRE

Vous devez remplir le formulaire CERFA 13406 de demande de permis de qui peut être téléchargé directement en ligne ou retiré en mairie.

DÉPÔT DU DOSSIER

Votre dossier doit être envoyé en 4 exemplaires par lettre recommandée avec avis de réception ou déposé à la mairie de la commune où est situé le terrain. Des exemplaires supplémentaires sont parfois nécessaires si les travaux ou aménagements sont situés dans un secteur protégé (monument historique, site, réserve naturelle, parc national…).

La mairie délivre un récépissé comportant un numéro d’enregistrement qui mentionne le point de départ de la date à partir de laquelle les travaux pourront commencer en l’absence d’opposition du service instructeur.

ÉTUDE DES SOURCES D’ÉNERGIE

Si vous envisagez une nouvelle construction de plus de 50m² située en métropole, vous devez également faire réaliser une étude sur les diverses solutions d’approvisionnement en énergie pour le chauffage, la production d’eau chaude ou l’électricité.

Une attestation doit être jointe au dossier.

Cette étude doit notamment envisager le recours à des énergies propres comme l’énergie solaire ou à une pompe à chaleur. Elle peut être faite par le professionnel de votre choix.

LE DÉLAI D’INSTRUCTION

Il est généralement de :

  • 2 mois pour une maison individuelle et/ou ses annexes,
  • ou 3 mois dans les autres cas.

Dans les 15 jours qui suivent le dépôt du dossier et durant toute l’instruction, un avis de dépôt de demande de permis précisant les caractéristiques essentielles du projet doit être affiché en mairie.

CONSTRUCTIONS SOUMISES À L’OBTENTION D’UN PERMIS DE CONSTRUIRE QUELLE QUE SOIT LA SURFACE ENVISAGÉE.

Les travaux nécessaires à la réalisation d’une opération de restauration immobilière ;

Les travaux portant sur un immeuble ou une partie d’immeuble inscrit au titre des monuments historiques (sauf s’il s’agit de simples travaux d’entretien et de réparations courants) ;

Les travaux modifiant la structure ou la façade d’un bâtiment quand ils s’accompagnent d’un changement de destination.

LA DÉCLARATION PRÉALABLE

Les travaux soumis à une simple déclaration préalable sont ceux qui ont pour effet la création soit d’une emprise au sol, soit d’une surface de plancher supérieure à 5m² et qui répondent aux critères cumulatifs suivants :

  • une emprise au sol créée inférieure ou égale à 20 m² ;
  • une surface de plancher créée inférieure ou égale à 20 m².

Pour les projets situés en zone urbaine d’un plan local d’urbanisme ou d’un document d’urbanisme, ces seuils sont portés à 40m² sans porter la surface totale de la construction au delà du seuil de 170 m² (dans ce cas, un permis de construire devient nécessaire).

DEMANDE DE DÉCLARATION PRÉALABLE

Vous devez déclarer votre projet au moyen de l’un des formulaires suivants :

  • CERFA n° 13703*04 pour une démarche tenant à la réalisation de construction et travaux non soumis à permis de construire portant sur une maison individuelle et/ou ses annexes,
  • CERFA n° 13404*04 pour une démarche tenant à la réalisation de constructions, travaux, installations et aménagements non soumis à permis de construire comprenant ou non des démolitions.

Le formulaire doit être complété de pièces, dont la liste est limitativement énumérée sur la notice de déclaration préalable de travaux.

DÉPÔT DU DOSSIER

Vous devez envoyer votre dossier en 2 exemplaires par lettre recommandée avec avis de réception ou le déposer à la mairie de la commune où se situe le terrain. Des exemplaires supplémentaires sont parfois nécessaires si les travaux ou aménagements sont situés dans un secteur protégé (monument historique, réserve naturelle, parc national…).

La mairie vous délivre alors un récépissé avec un numéro d’enregistrement qui mentionne la date à partir de laquelle les travaux peuvent débuter en l’absence d’opposition du service instructeur.

LE DÉLAI D’INSTRUCTION

Le délai d’instruction est généralement de 1 mois à partir de la date du dépôt de la demande.

Un extrait de la déclaration précisant les caractéristiques essentielles du projet doit faire l’objet d’un affichage en mairie dans les 15 jours qui suivent son dépôt. Cet affichage dure pendant toute la durée de l’instruction.

TRAVAUX SOUMIS À L’ENVOI D’UNE DÉCLARATION PRÉALABLE QUELLE QUE SOIT LA SURFACE ENVISAGÉE.

  • Changements de destination d’un bâtiment existant ;
  • Travaux de ravalement d’une façade ;
  • Travaux modifiant l’aspect extérieur d’un bâtiment ;
  • Travaux à l’intérieur des immeubles dans les secteurs sauvegardés sans modification de la structure et du volume existants ;
  • Travaux de modification du volume d’une construction existante entraînant le percement d’un mur extérieur.fr:droit-finances.commentcamarche.net/faq/8272-travaux-d-extension-d-une-maison-permis-et-formalites

Pourquoi changer ses fenêtres ?

POURQUOI CHANGER SES FENÊTRES ?

Quand on sait que les ouvertures représentant de 10 à 15 % des déperditions de chaleur, il est légitime de penser à changer ses fenêtres. Améliorer l’isolation thermique a un impact direct sur les économies de chauffage. L’habitat est en même temps mieux protégé des bruits extérieurs.

Aluminium Installux - Espace50TH_reno_hab_C_14_internet-675x344Crédit@Aluminium Installux

INSPIRATIONS RÉNOVATION MAISON

TROIS MATÉRIAUX DE PRÉDILECTION

Qu’elles soient en bois, en PVC, en aluminium, les menuiseries ont chacune leurs avantage et leurs inconvénients.

1/ LE BOIS

porte-exterieur-fenetre-bois-cuisine-moderne

AVANTAGES

Le bois fait partie des matières naturelles, facilement recyclables.

Un entretien adapté permet une très longue durée de vie.

Les fenêtres bois permettent des formes atypiques.

Elles apportent plus de sécurité en cas d’incendie car elles restent en place plus longtemps.

Elles gardent leur forme et leur taille, même par de grandes différences de chaleur.

Elles possèdent de grandes performances en termes d’isolation, d’étanchéité et de protection phonique.

INCONVÉNIENTS

Les fenêtres en bois nécessitent des entretiens plus réguliers et plus importants en comparaison avec des fenêtres PVC et aluminium.

Pour garantir une longue durée de vie et un bon fonctionnement, il est nécessaire d’entretenir régulièrement la surface des cadres. La fréquence de l’entretien dépend de plusieurs choses. Le plus important est le bois, ensuite sa protection par une laque ou une lasure. Plus les bois sont lourds et denses, plus ils résistent aux rayons UV, aux champignons et insectes. Pour un bon vieillissement, il faudrait lasurer le bois tous les 2 ans et le laquer tous les 3 ans.

2/ LES PROFILÉS EN ALUMINIUM

Avantages 

Le revêtement laqué ne nécessite aucun entretien. L’aluminium résiste parfaitement aux intempéries et à la pluie.

Les fenêtres en alu sont compatibles avec toutes sortes de vitrage qui permettent une isolation phonique maximale.

Elles isolent du chaud et du froid pour une bonne isolation thermique.

L’aluminium est un matériau 100% recyclable.

Esthétique et design, l’aluminium se décline dans toutes les couleurs grâce aux peintures thermo laquée.

Inconvénients

Son prix plus élevé que les fenêtres PVC.

3/ LE PVC

crédite@DR CastoramaCrédit@DR Castorama

Les avantages

Le PVC est imputrescible, résistant aux rayons du soleil, il protège du froid, du bruit, de la chaleur, du vent et de l’humidité.

C’est un matériau reconnu pour ses multiples avantages : inaltérable, robuste, isolant, il ne nécessite aucun entretien. Recyclable à 100%, il est parfaitement écologique pour un meilleur respect de l’environnement.

Le PVC, de par sa composition, ne permet aucun développement bactériologique sur sa surface. Il s’entretient d’un simple coup d’éponge en utilisant un détergent doux de ménage dissous dans de l’eau.

Le PVC est un bon isolant. Son coefficient de conductivité thermique (0,17 W/mC°) est légèrement inférieur à celui du bois (0,23 W/mC°). Le coefficient équivalent pour l’aluminium est approximativement de 210 W/mC°.

Il offre un bon rapport prix/qualité.

Résistant et faible en poids, il offre aussi une un large choix de coloris.

AIDES FINANCIÈRES ET RÉGLEMENTATION

Des fenêtres peu performantes peuvent engendrer de grandes pertes d’énergie. Les pertes par les parois vitrées représentent 5% à 30% de la facture de chauffage. Si vous posez des fenêtres à isolation thermique renforcée, vous pouvez réduire considérablement ces dépenses énergétiques.

UN NOUVEAU CRÉDIT D’IMPÔT À 30%

Le crédit d’impôt pour la transition énergétique est désormais au taux de 30%. Les particuliers peuvent en bénéficier pour le remplacement de leurs fenêtres, leur porte d’entrée ou leurs volets.

Cette aide pour les travaux d’économies d’énergie peut donc inciter à sauter le pas pour changer ses fenêtres pour du double ou triple vitrage très performant par exemple. Mais attention, depuis le 1er janvier 2015, vous devez impérativement faire appel à un professionnel Reconnu Garant de l’Environnement (RGE) afin de bénéficier du crédit d’impôt. Pensez à vérifier que le professionnel est bien RGE avant de signer le devis.

Quelle énergie choisir ? Cheminée bois, gaz ou éthanol ?

CHEMINÉE BOIS, GAZ OU ÉTHANOL, QUE CHOISIR ?

Qu’on habite une maison à la campagne ou une appartement en ville, les possibilités de se chauffer autour d’une cheminée ne sont pas tout à fait les mêmes. Charme du bois qui craque, propreté d’une installation au gaz, ambiance scintillante de l’éthanol… Passage en revue des avantages et inconvénients de ces moyens de chauffe de plus en plus scrutés d’un point vu environnemental.

IDÉES AMÉNAGEMENT INTÉRIEUR

LES CHEMINÉES AU BOIS : UNE PERFORMANCE EN PERPÉTUELLE ÉVOLUTION

Source art du feu - cheminee a bois - habillage_pierre_ferme-vue01-670x725
Crédit@Totem

Les cheminées classiques à foyer ouvert n’ont plus le vent en poupe. Trop peu de rendement (5 à 10 %) et la majorité des calories générées lors de la combustion part en fumée dans le conduit.

Aujourd’hui, on associe volontiers un récupérateur de chaleur aux cheminées classiques. Cet appareil se pose dans l’âtre et accélère la pulsation de l’air chaud ? Cette action permet de récupérer une partie des calories produites par la combustion du bois pour les restituer dans la maison. Son rendement peut varier de 25 à 50 % selon le niveau de technicité du modèle. Et cela sans que le feu soit caché derrière une vitre !

L’EFFICACITÉ DES FOYERS FERMÉS

Le succès des foyers fermés (actuellement 90 % du marché de la cheminée) est en croissance continue. Les évolutions technologiques tendent vers une amélioration de l’efficacité avec une combustion complète du bois et une optimisation des échanges thermiques avec l’environnement. Avec un rendement énergétique pouvant aller jusque 70 à 80 % pour les modèles récents prouvent qu’ils sont devenus de vrais appareils de chauffage capables d’assurer une autonomie de 10 heures et plus.

LES CHEMINÉES AU GAZ : UNE INSTALLATION SIMPLE ET EFFICACE

source Waco - cheminee au gaz - abc11-e1420561755683-670x725
Crédit@Waco&co

La cheminée gaz séduit essentiellement les urbains et tous ceux qui veulent profiter d’un foyer efficace, sans avoir de contraintes d’installation, d’autorisation, de gestion. Avec l’insert gaz, la souplesse et la rapidité sont totales : il suffit de deux minutes pour obtenir une belle flambée et deux minutes pour l’éteindre. La cheminée à gaz est très design donc très déco.

La cheminée au gaz est très performante. Elle donne l’illusion d’un vrai foyer. Les bûches en céramique et les flammes jaunes offrent tout le plaisir du feu de bois sans les inconvénients. Aussi performant qu’un radiateur gaz, il se pose à l’intérieur d’une cheminée existante ou devient cheminée chauffante avec un habillage extérieur de son choix.

UNE INSTALLATION SIMPLE

Pas besoin de casser les murs et de se raccorder à un conduit de cheminée. Il suffit juste de se raccorder à l’arrivée de gaz de ville ou à une bouteille de gaz propane et à un conduit de fumée concentrique à double paroi (une pour amener l’air frais, l’autre pour évacuer les gaz brûlés) de 100/150 de diamètre. L’évacuation peut se gérer aussi de façon directe à travers un mur extérieur.

LES CHEMINÉES À L’ÉTHANOL : UNE SOURCE ESTHÉTIQUE SCINTILLANTE 

Source Ignisial - cheminee bio-ethanol
Crédit@Ignisial

Très en vogue ces dernières années, les cheminées à l’éthanol créent la polémique ces derniers temps.

De nombreuses études sont venues soulever les dangers éventuels de ces sources de chaleur. En effet, ces dernières pourraient entrainer des risques de brûlures voir d’incendies et rejetteraient même un gaz toxique, le monoxyde de carbone.

Pour affronter cette polémique, une norme française a été mise en place et impose aux cheminées à l’éthanol certains critères de sécurité. Par exemple, les appareils sont équipés d’un détecteur de CO2 et doivent automatiquement s’arrêter au bout de 2 fois 3 heures de fonctionnement… Mais cette norme n’est pas obligatoire pour les particuliers, qui peuvent acquérir des cheminées non normalisées sans connaître toutes les informations nécessaires à leur bonne utilisation.

Sans conduit, la cheminée à l’éthanol s’affranchit de l’âtre et se dématérialise. Elle s’installe n’importe où en toute liberté et peut même s’emporter lors d’un déménagement. L’idéal pour des urbains qui ne possèdent pas de conduit dans leur logement ou qui ne peuvent pas, pour des raisons réglementaires, installer une cheminée chez eux !

Les cheminées à l’éthanol restent essentiellement décoratives. On a vu naître de ce point de vu de nombreux modèles hyper design.

Aménager les combles, ce qu’il faut savoir

LES COMBLES D’UNE MAISON OU D’UN APPARTEMENT RESTENT DES MÈTRES CARRÉS QU’IL EST TENTANT D’UTILISER POUR CRÉER UNE PIÈCE À VIVRE SUPPLÉMENTAIRE : CHAMBRE, BUREAU, SALLE DE JEUX…

L’aménagement des combles demande quelques règles de base à respecter car il faudra consolider le sol, amener de l’électricité, créer des ouvertures, renforcer l’isolation, bien appréhender l’inclinaison de la sous pente…

IDÉE CHAMBRE

Crédit@pinterest

CONSEILS MAISON

RÉGLEMENTATION À RESPECTER

Avant de commencer les travaux, il est indispensable de se renseigner en mairie pour connaître les réglementations en cours. Un permis de construire est obligatoire pour toute création de surface habitable de plus de 20 m2. Il le sera également en cas de modification de la toiture, notamment si vous optez pour une isolation thermique par l’extérieur ou si le site est classé.

Pour une surface inférieure à 20 m2, il suffira juste d’une déclaration de travaux.

Dans le cas où la surface habitable totale de la maison dépasse 170 m2 après aménagement, il faudra avoir recours à un architecte.

ISOLATION À PRÉVOIR

Si la chaleur s’échappe à raison de 10 % par les sols, 15 % par les fenêtres et 25 % par les murs, elle s’évapore de 30 % par la toiture. Isoler parfaitement les combles est donc indispensable pour le classement énergétique (DPE obligatoire en cas de location ou de vente de la maison) et pour les économies de consommation de chauffage.
La performance thermique de l’isolation dépend essentiellement de l’épaisseur des isolants mis en œuvre : un minima 22 cm d’isolant est préconisé dans les rampants ou le plafond, et sur les pignons on recommande au minimum 14 cm d’épaisseur.

lamaisonmatelot.com

PENSER AUX AIDES DE L’ÉTAT POUR LES TRAVAUX D’AMÉNAGEMENT DE COMBLES

Si votre habitation a plus de deux ans, en respectant les épaisseurs d’isolement évoquées dans le paragraphe précédent, vous aurez droit aux aides financières nationales comme le Crédit d’Impôt Transition Energétique, les Certificats d’Economies d’Energie et la TVA à 5,5%.

L’Eco Prêt à Taux Zéro, les aides de l’Agence Nationale d’Amélioration de l’Habitat (ANAH) et parfois des aides locales (ville, département, région) peuvent venir également en complément.

Pinterest - bureau-sous-combles-e1417443445116Crédit@pinterest

VÉRIFIER LA HAUTEUR DISPONIBLE DANS LES COMBLES

Il est conseillé d’avoir une hauteur d’1,80 m au minimum, afin de pouvoir s’y tenir debout et circuler à son aise.

Abattre des cloisons pour gagner de l’espace

Les constructions anciennes avaient tendance à cloisonner les pièces et à séparer les espaces de vie. Aujourd’hui, la tendance est à l’ouverture. On décloisonne pour gagner en surface et pour faire communiquer la cuisine avec le séjour, la chambre avec la salle de bain, l’entrée avec le salon… La question d’abattre des cloisons se pose naturellement et ouvre les horizons. On sait qu’un mur abattu peut changer radicalement la nature d’un habitat. Encore faut-il prendre quelques précautions avant de se lancer dans les travaux.

QUELLE EST LA NATURE DE LA CLOISON À ABATTRE ?

L’erreur majeure et la plus préjudiciable serait d’abattre un mur porteur. Pour être certain d’un bon diagnostic, il est important d’étudier les plans de construction. Ou de se rapprocher d’un architecte ou d’un professionnel du bâtiment. Les murs porteurs étant destinés à supporter la charpente et la structure des planchers d’un bâtiment, ils sont généralement situés à la périphérie ou au centre de la maison. Son rôle clé dans le soutien d’une habitation rend les travaux et les modifications délicates.

Si on habite en immeuble – même si on est propriétaire de son appartement – il faut obtenir un accord écrit de la part de la copropriété. Pour les propriétaires de maisons, un permis de construire de la mairie est nécessaire dans le cas où on souhaite modifier la façade. Quel que soit le cas de figure, il est important de demander une copie du devis d’assurance au professionnel qui sera en charge des travaux avant le démarrage du chantier ! Les travaux commenceront systématiquement par la pose d’étais puis par la mise en place d’un poteau IPN. Une fois le béton sec, la démolition du mur se fait progressivement en commençant par le haut de celui-ci et en terminant par la partie proche du plancher.

PENSER À VÉRIFIER LA PRÉSENCE DE CÂBLES DANS LA CLOISON

Si un câble électrique, une canalisation traverse la cloison, il faut prévoir leur déplacement au fur et à mesure de l’abattage en veillant à ne pas les endommager. L’intervention d’un électricien est recommandée pour cette manipulation.

PRÉPARER ET ISOLER LA CLOISON À ABATTRE

Abattre une cloison génère beaucoup de poussières et peut provoquer des dégâts sur vos sols. Il est conseillé de protéger les meubles et les surfaces de bâches, de vieux draps ou de vieilles couvertures pour amortir la chute des blocs.

PROTÉGER LE PLAFOND

Une fois la nature du mur à abattre identifiée, des étais doivent être posés du sol au plafond afin de supporter celui-ci au moment de l’abattage de la cloison.

CHOISIR LES OUTILS ADAPTÉS

Lunettes, masques, gants sont nécessaires pour être protégé des projections et de la poussière. Les outils utilisés sont différents en fonction de la nature de la cloison à abattre. Pour une surface en Placoplâtre®, une masse suffira, pour des murs en briques voire en béton, l’utilisation d’une tronçonneuse à disque sera nécessaire.

Les radiateurs décoratifs : rendez votre chauffage design

L’évolution des radiateurs, de simples appareils fonctionnels à des éléments de décoration, est une tendance marquante dans le monde du design d’intérieur. Jadis considérés comme des objets encombrants et peu esthétiques, les radiateurs se transforment aujourd’hui en pièces maîtresses, apportant style et caractère à nos intérieurs.

Radiateurs de couleur : osez la nuance !

Les radiateurs déco ne se limitent plus au blanc traditionnel. Les designers ont introduit une palette de couleurs audacieuses et subtiles, permettant aux radiateurs de s’intégrer harmonieusement ou de créer un contraste saisissant dans nos intérieurs.

Un radiateur rouge vif peut devenir le point focal d’une pièce minimaliste, tandis qu’un ton pastel peut adoucir une pièce aux couleurs vives. Le choix de la couleur doit être en accord avec l’ambiance et le style souhaités, transformant ainsi un simple appareil de chauffage en un véritable élément de décoration.

Radiateurs miroir : l’élégance à son paroxysme

Le radiateur miroir est une innovation remarquable, alliant utilité et esthétique. Parfait pour les espaces restreints, il offre une triple fonction : chauffer la pièce, donner une impression d’espace et servir de miroir.

Ces modèles sont particulièrement appréciés dans les entrées ou les salles de bains, où ils apportent une touche de sophistication tout en économisant de l’espace. Certains radiateurs électriques décoratifs se distinguent par leur design élégant, se fondant parfaitement dans le décor tout en offrant une réflexion claire et utile.

Radiateurs sèche-serviette : confort et design

Les radiateurs sèche-serviettes ne sont plus de simples barres métalliques. Les dernières tendances les transforment en chauffage électrique design, apportant une touche de modernité aux salles de bain.

Outre leur fonction pratique de séchage des serviettes, ces radiateurs se déclinent en divers matériaux et formes, allant des lignes épurées aux motifs plus audacieux. Ils peuvent être choisis pour compléter le style de la salle de bain, qu’il soit contemporain, classique ou avant-gardiste.

Radiateurs sculptures : une oeuvre d’art

Les radiateurs sculptures sont la preuve que le chauffage peut être une forme d’art. Ces pièces uniques, souvent créées par des designers renommés, peuvent transformer radicalement l’atmosphère d’une pièce.

Qu’ils soient abstraits, figuratifs ou inspirés de la nature, ces radiateurs attirent le regard et suscitent la conversation. Ils sont idéaux pour ceux qui cherchent de l’audace dans leur espace de vie.

Radiateurs extra-plats : la beauté de la discrétion

Pour ceux qui préfèrent une approche minimaliste, les radiateurs extra-plats sont la solution parfaite. Leur conception fine et discrète permet une intégration presque invisible dans n’importe quel décor.

Ces radiateurs électriques déco sont particulièrement adaptés aux petits espaces, où chaque centimètre carré compte. Certains peuvent même être installés en hauteur, libérant de l’espace au sol pour d’autres éléments de décoration ou meubles.

Radiateurs à double fonction : polyvalence et style

Les radiateurs à double fonction sont une réponse ingénieuse aux défis de l’aménagement moderne. En combinant chauffage et autres fonctionnalités, comme des étagères ou des claustras, ces radiateurs offrent une solution pratique tout en contribuant à l’esthétique de la pièce. Ils sont particulièrement utiles dans les espaces multifonctionnels ou les studios, où chaque élément doit être à la fois fonctionnel et esthétique.

Radiateurs ronds : un design tout en courbes

Les radiateurs ronds, évoquant la forme d’un donut avec leur cercle ouvert, apportent une touche de modernité et d’originalité dans le monde du chauffage. Disponibles dans une variété de couleurs, ils s’intègrent harmonieusement dans tout type de décoration intérieure, offrant à la fois un élément esthétique et une source de chaleur efficace.

Parfaits comme chauffage d’appoint, leur design unique et leur facilité de déplacement les rendent parfaits pour les espaces nécessitant une solution de chauffage flexible et décorative. Ces radiateurs design pour salon allient ainsi fonctionnalité, style et innovation, se faisant remarquer autant par leur forme distinctive que par leur polyvalence.

Radiateurs connectés avec une lumière d’ambiance

Les radiateurs connectés dotés de lumière d’ambiance représentent une fusion entre technologie et design. Ces appareils modernes offrent non seulement une source de chaleur efficace mais intègrent également un éclairage d’ambiance, transformant ainsi l’atmosphère d’une pièce.

Grâce à leur connectivité, ils peuvent être contrôlés à distance via une application, permettant un ajustement facile de la température et de l’éclairage pour créer l’ambiance souhaitée. Cette combinaison de fonctionnalités en fait un choix idéal pour ceux qui recherchent confort, contrôle et une touche moderne dans leur espace de vie.

Rénover un parquet ancien

Ponçage, cire, huile, vitrificateur, fond dur… Rénover un parquet nécessite de respecter les étapes d’intervention, de faire le choix de produits indispensables et souvent de louer du matériel adéquat. Une petite entreprise qui demande de l’implication et du soin mais qui fait renaître les sols de leur plus belle nature. Mode d’emploi !

Crédit@leroymerlin.fr

1. REMPLACER LES LAMES ABÎMÉES

  • Avant de rénover votre parquet, vérifiez au préalable son état. Si quelques lames sont abimées, il convient de les remplacer avant le ponçage.
  • Scier la lame détériorée à chaque extrémité.
  • Créer un trou de diamètre assez grand pour pouvoir y glisser une lame de scie.
  • Scier la lame de parquet sur toute la longueur.
  • La casser au marteau ou à l’aide d’un tournevis.
  • Vérifier l’état des solives.
  • Mettre en place la nouvelle lame.
  • La clouer sur les solives.

2. PONCER DE FAÇON HOMOGÈNE

Tout débute par une évacuation des meubles. Veillez à bien nettoyer le moindre recoin et aspirer toutes les poussières. Une fois la pièce propre, le ponçage au gros grain peut commencer. Progressez dans le sens du bois, en décalant de quelques centimètres à chaque passe.

Pour les zones moins accessibles, procédez de la même manière avec la bordureuse. Ainsi votre surface est propre et uniforme. Effacées les taches et les anciennes finitions ! Dès le démarrage de la ponceuse, avancez immédiatement. Vous éviterez ainsi de creuser votre sol !

3. CHOISIR SA FINITION

La vitrification est de loin la plus répandue, protège durablement votre parquet de toutes agressions : taches, usure, chocs, rayures…. Elle vous est proposée en plusieurs aspects. Brillant, satiné, mat : faites votre choix, pour un résultat à votre goût !

Pour appliquer le vitrificateur (vernis spécifique) sur toute la surface de la pièce, l’utilisation d’un rouleau (ou d’un spalter) est requise. Le pinceau fin, quant à lui sera très utile pour les endroits peu accessibles. 3 couches sont nécessaires ; 2 seulement sur un fond dur (cette étape présente deux principaux avantages : elle facilite la vitrification et permet un résultat final bien meilleur).

L’huilage pénètre le bois et le protège contre les taches. Les huiles, riches en matière d’origine végétale, apportent un aspect naturel à votre parquet. De plus, la tâche est peu ardue : appliquez simplement la teinte en couches fines et régulières à la brosse ou au rouleau et essuyez au fur et à mesure avec un chiffon. Laissez sécher 1 heure minimum entre chaque couche.

La cire, facile à appliquer, nourrit et protège votre parquet. De plus, elle lui apporte un aspect patiné unique. Pour cela, il suffit de verser la cire sur le sol, de l’étendre avec un pinceau. Ensuite, laissez sécher, puis lustrez : soit avec un balai et un chiffon de coton, soit avec une lustreuse, gage d’un excellent résultat.

4. AVOIR LES OUTILS NÉCESSAIRES

Pour poncer : une ponceuse à bande, une bordureuse, des bandes abrasives à gros grain et à grain fin pour les finitions.

Pour vitrifier : un fond dur, un vitrificateur, un pinceau fin et un rouleau ou spalter.

Pour huiler et teinter : une brosse ou un rouleau à poils courts, un chiffon en coton non pelucheux et de la teinture ou de l’huile.

Pour cirer : un pinceau large ou un linge de coton, un chiffon de laine ou de coton, de la cire, liquide ou en pâte.
En option : une lustreuse à parquet

    avec Viving MON projet

    Vous avez un projet habitat ou immobilier ? Nous vous mettons en relation avec les exposants tout au long de l’année. Les questions ne prendrons pas plus de 5 minutes, promis.

    1

    Décrivez-nous
    votre projet

    2

    Nous l’envoyons
    aux exposants

    3

    Ils vous recontactent

    Localisation du projet

    La nature du projet

    La surface du projet

    votre budget prévisionnel

    financement

    échéance

    • Échéance prévue

    • Pas d'échéance prévue

    • 6 mois

    • 12 mois

    • 18 mois

    • 24 mois

    plus de précisions

    coordonées