Travaux d’extension d’une maison : permis et formalités

TRAVAUX D’EXTENSION D’UNE MAISON : PERMIS ET FORMALITÉS

Permis-de-construire

CONSEILS MAISON

Si vous avez le projet de travaux d’agrandissement de votre habitat, vous devez vous renseigner sur les démarches administratives préalables. En fonction de la surface de l’agrandissement, et, d’autre part, de la nature des travaux envisagés, vous aurez à vous soumettre à une simple déclaration préalable ou à une demande de permis de construire. Deux cas de figure qui ne requièrent pas les mêmes investissements.

LE PERMIS DE CONSTRUIRE

Les travaux soumis à un permis de construire sont ceux :

  • ayant pour effet la création d’une surface de plancher ou d’une emprise au sol supérieure à 20 m² ;
  • dans les zones urbaines d’un plan local d’urbanisme ou d’un document d’urbanisme en tenant lieu, ceux ayant pour effet la création d’une surface de ou d’une emprise au sol  supérieure à 40m². Cependant, sont également soumis à permis de construire les travaux ayant pour effet la création de plus de 20m² carrés et d’au plus 40 m² de surface de plancher ou d’emprise au sol, lorsque leur réalisation aurait pour effet de porter à plus de 170 m² la surface ou l’emprise totale de la construction.

DEMANDE DE PERMIS DE CONSTRUIRE

Vous devez remplir le formulaire CERFA 13406 de demande de permis de qui peut être téléchargé directement en ligne ou retiré en mairie.

DÉPÔT DU DOSSIER

Votre dossier doit être envoyé en 4 exemplaires par lettre recommandée avec avis de réception ou déposé à la mairie de la commune où est situé le terrain. Des exemplaires supplémentaires sont parfois nécessaires si les travaux ou aménagements sont situés dans un secteur protégé (monument historique, site, réserve naturelle, parc national…).

La mairie délivre un récépissé comportant un numéro d’enregistrement qui mentionne le point de départ de la date à partir de laquelle les travaux pourront commencer en l’absence d’opposition du service instructeur.

ÉTUDE DES SOURCES D’ÉNERGIE

Si vous envisagez une nouvelle construction de plus de 50m² située en métropole, vous devez également faire réaliser une étude sur les diverses solutions d’approvisionnement en énergie pour le chauffage, la production d’eau chaude ou l’électricité.

Une attestation doit être jointe au dossier.

Cette étude doit notamment envisager le recours à des énergies propres comme l’énergie solaire ou à une pompe à chaleur. Elle peut être faite par le professionnel de votre choix.

LE DÉLAI D’INSTRUCTION

Il est généralement de :

  • 2 mois pour une maison individuelle et/ou ses annexes,
  • ou 3 mois dans les autres cas.

Dans les 15 jours qui suivent le dépôt du dossier et durant toute l’instruction, un avis de dépôt de demande de permis précisant les caractéristiques essentielles du projet doit être affiché en mairie.

CONSTRUCTIONS SOUMISES À L’OBTENTION D’UN PERMIS DE CONSTRUIRE QUELLE QUE SOIT LA SURFACE ENVISAGÉE.

Les travaux nécessaires à la réalisation d’une opération de restauration immobilière ;

Les travaux portant sur un immeuble ou une partie d’immeuble inscrit au titre des monuments historiques (sauf s’il s’agit de simples travaux d’entretien et de réparations courants) ;

Les travaux modifiant la structure ou la façade d’un bâtiment quand ils s’accompagnent d’un changement de destination.

LA DÉCLARATION PRÉALABLE

Les travaux soumis à une simple déclaration préalable sont ceux qui ont pour effet la création soit d’une emprise au sol, soit d’une surface de plancher supérieure à 5m² et qui répondent aux critères cumulatifs suivants :

  • une emprise au sol créée inférieure ou égale à 20 m² ;
  • une surface de plancher créée inférieure ou égale à 20 m².

Pour les projets situés en zone urbaine d’un plan local d’urbanisme ou d’un document d’urbanisme, ces seuils sont portés à 40m² sans porter la surface totale de la construction au delà du seuil de 170 m² (dans ce cas, un permis de construire devient nécessaire).

DEMANDE DE DÉCLARATION PRÉALABLE

Vous devez déclarer votre projet au moyen de l’un des formulaires suivants :

  • CERFA n° 13703*04 pour une démarche tenant à la réalisation de construction et travaux non soumis à permis de construire portant sur une maison individuelle et/ou ses annexes,
  • CERFA n° 13404*04 pour une démarche tenant à la réalisation de constructions, travaux, installations et aménagements non soumis à permis de construire comprenant ou non des démolitions.

Le formulaire doit être complété de pièces, dont la liste est limitativement énumérée sur la notice de déclaration préalable de travaux.

DÉPÔT DU DOSSIER

Vous devez envoyer votre dossier en 2 exemplaires par lettre recommandée avec avis de réception ou le déposer à la mairie de la commune où se situe le terrain. Des exemplaires supplémentaires sont parfois nécessaires si les travaux ou aménagements sont situés dans un secteur protégé (monument historique, réserve naturelle, parc national…).

La mairie vous délivre alors un récépissé avec un numéro d’enregistrement qui mentionne la date à partir de laquelle les travaux peuvent débuter en l’absence d’opposition du service instructeur.

LE DÉLAI D’INSTRUCTION

Le délai d’instruction est généralement de 1 mois à partir de la date du dépôt de la demande.

Un extrait de la déclaration précisant les caractéristiques essentielles du projet doit faire l’objet d’un affichage en mairie dans les 15 jours qui suivent son dépôt. Cet affichage dure pendant toute la durée de l’instruction.

TRAVAUX SOUMIS À L’ENVOI D’UNE DÉCLARATION PRÉALABLE QUELLE QUE SOIT LA SURFACE ENVISAGÉE.

  • Changements de destination d’un bâtiment existant ;
  • Travaux de ravalement d’une façade ;
  • Travaux modifiant l’aspect extérieur d’un bâtiment ;
  • Travaux à l’intérieur des immeubles dans les secteurs sauvegardés sans modification de la structure et du volume existants ;
  • Travaux de modification du volume d’une construction existante entraînant le percement d’un mur extérieur.fr:droit-finances.commentcamarche.net/faq/8272-travaux-d-extension-d-une-maison-permis-et-formalites

Pourquoi changer ses fenêtres ?

POURQUOI CHANGER SES FENÊTRES ?

Quand on sait que les ouvertures représentant de 10 à 15 % des déperditions de chaleur, il est légitime de penser à changer ses fenêtres. Améliorer l’isolation thermique a un impact direct sur les économies de chauffage. L’habitat est en même temps mieux protégé des bruits extérieurs.

Aluminium Installux - Espace50TH_reno_hab_C_14_internet-675x344Crédit@Aluminium Installux

INSPIRATIONS RÉNOVATION MAISON

TROIS MATÉRIAUX DE PRÉDILECTION

Qu’elles soient en bois, en PVC, en aluminium, les menuiseries ont chacune leurs avantage et leurs inconvénients.

1/ LE BOIS

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AVANTAGES

Le bois fait partie des matières naturelles, facilement recyclables.

Un entretien adapté permet une très longue durée de vie.

Les fenêtres bois permettent des formes atypiques.

Elles apportent plus de sécurité en cas d’incendie car elles restent en place plus longtemps.

Elles gardent leur forme et leur taille, même par de grandes différences de chaleur.

Elles possèdent de grandes performances en termes d’isolation, d’étanchéité et de protection phonique.

INCONVÉNIENTS

Les fenêtres en bois nécessitent des entretiens plus réguliers et plus importants en comparaison avec des fenêtres PVC et aluminium.

Pour garantir une longue durée de vie et un bon fonctionnement, il est nécessaire d’entretenir régulièrement la surface des cadres. La fréquence de l’entretien dépend de plusieurs choses. Le plus important est le bois, ensuite sa protection par une laque ou une lasure. Plus les bois sont lourds et denses, plus ils résistent aux rayons UV, aux champignons et insectes. Pour un bon vieillissement, il faudrait lasurer le bois tous les 2 ans et le laquer tous les 3 ans.

2/ LES PROFILÉS EN ALUMINIUM

Avantages 

Le revêtement laqué ne nécessite aucun entretien. L’aluminium résiste parfaitement aux intempéries et à la pluie.

Les fenêtres en alu sont compatibles avec toutes sortes de vitrage qui permettent une isolation phonique maximale.

Elles isolent du chaud et du froid pour une bonne isolation thermique.

L’aluminium est un matériau 100% recyclable.

Esthétique et design, l’aluminium se décline dans toutes les couleurs grâce aux peintures thermo laquée.

Inconvénients

Son prix plus élevé que les fenêtres PVC.

3/ LE PVC

crédite@DR CastoramaCrédit@DR Castorama

Les avantages

Le PVC est imputrescible, résistant aux rayons du soleil, il protège du froid, du bruit, de la chaleur, du vent et de l’humidité.

C’est un matériau reconnu pour ses multiples avantages : inaltérable, robuste, isolant, il ne nécessite aucun entretien. Recyclable à 100%, il est parfaitement écologique pour un meilleur respect de l’environnement.

Le PVC, de par sa composition, ne permet aucun développement bactériologique sur sa surface. Il s’entretient d’un simple coup d’éponge en utilisant un détergent doux de ménage dissous dans de l’eau.

Le PVC est un bon isolant. Son coefficient de conductivité thermique (0,17 W/mC°) est légèrement inférieur à celui du bois (0,23 W/mC°). Le coefficient équivalent pour l’aluminium est approximativement de 210 W/mC°.

Il offre un bon rapport prix/qualité.

Résistant et faible en poids, il offre aussi une un large choix de coloris.

AIDES FINANCIÈRES ET RÉGLEMENTATION

Des fenêtres peu performantes peuvent engendrer de grandes pertes d’énergie. Les pertes par les parois vitrées représentent 5% à 30% de la facture de chauffage. Si vous posez des fenêtres à isolation thermique renforcée, vous pouvez réduire considérablement ces dépenses énergétiques.

UN NOUVEAU CRÉDIT D’IMPÔT À 30%

Le crédit d’impôt pour la transition énergétique est désormais au taux de 30%. Les particuliers peuvent en bénéficier pour le remplacement de leurs fenêtres, leur porte d’entrée ou leurs volets.

Cette aide pour les travaux d’économies d’énergie peut donc inciter à sauter le pas pour changer ses fenêtres pour du double ou triple vitrage très performant par exemple. Mais attention, depuis le 1er janvier 2015, vous devez impérativement faire appel à un professionnel Reconnu Garant de l’Environnement (RGE) afin de bénéficier du crédit d’impôt. Pensez à vérifier que le professionnel est bien RGE avant de signer le devis.

Quelle énergie choisir ? Cheminée bois, gaz ou éthanol ?

CHEMINÉE BOIS, GAZ OU ÉTHANOL, QUE CHOISIR ?

Qu’on habite une maison à la campagne ou une appartement en ville, les possibilités de se chauffer autour d’une cheminée ne sont pas tout à fait les mêmes. Charme du bois qui craque, propreté d’une installation au gaz, ambiance scintillante de l’éthanol… Passage en revue des avantages et inconvénients de ces moyens de chauffe de plus en plus scrutés d’un point vu environnemental.

IDÉES AMÉNAGEMENT INTÉRIEUR

LES CHEMINÉES AU BOIS : UNE PERFORMANCE EN PERPÉTUELLE ÉVOLUTION

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Crédit@Totem

Les cheminées classiques à foyer ouvert n’ont plus le vent en poupe. Trop peu de rendement (5 à 10 %) et la majorité des calories générées lors de la combustion part en fumée dans le conduit.

Aujourd’hui, on associe volontiers un récupérateur de chaleur aux cheminées classiques. Cet appareil se pose dans l’âtre et accélère la pulsation de l’air chaud ? Cette action permet de récupérer une partie des calories produites par la combustion du bois pour les restituer dans la maison. Son rendement peut varier de 25 à 50 % selon le niveau de technicité du modèle. Et cela sans que le feu soit caché derrière une vitre !

L’EFFICACITÉ DES FOYERS FERMÉS

Le succès des foyers fermés (actuellement 90 % du marché de la cheminée) est en croissance continue. Les évolutions technologiques tendent vers une amélioration de l’efficacité avec une combustion complète du bois et une optimisation des échanges thermiques avec l’environnement. Avec un rendement énergétique pouvant aller jusque 70 à 80 % pour les modèles récents prouvent qu’ils sont devenus de vrais appareils de chauffage capables d’assurer une autonomie de 10 heures et plus.

LES CHEMINÉES AU GAZ : UNE INSTALLATION SIMPLE ET EFFICACE

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Crédit@Waco&co

La cheminée gaz séduit essentiellement les urbains et tous ceux qui veulent profiter d’un foyer efficace, sans avoir de contraintes d’installation, d’autorisation, de gestion. Avec l’insert gaz, la souplesse et la rapidité sont totales : il suffit de deux minutes pour obtenir une belle flambée et deux minutes pour l’éteindre. La cheminée à gaz est très design donc très déco.

La cheminée au gaz est très performante. Elle donne l’illusion d’un vrai foyer. Les bûches en céramique et les flammes jaunes offrent tout le plaisir du feu de bois sans les inconvénients. Aussi performant qu’un radiateur gaz, il se pose à l’intérieur d’une cheminée existante ou devient cheminée chauffante avec un habillage extérieur de son choix.

UNE INSTALLATION SIMPLE

Pas besoin de casser les murs et de se raccorder à un conduit de cheminée. Il suffit juste de se raccorder à l’arrivée de gaz de ville ou à une bouteille de gaz propane et à un conduit de fumée concentrique à double paroi (une pour amener l’air frais, l’autre pour évacuer les gaz brûlés) de 100/150 de diamètre. L’évacuation peut se gérer aussi de façon directe à travers un mur extérieur.

LES CHEMINÉES À L’ÉTHANOL : UNE SOURCE ESTHÉTIQUE SCINTILLANTE 

Source Ignisial - cheminee bio-ethanol
Crédit@Ignisial

Très en vogue ces dernières années, les cheminées à l’éthanol créent la polémique ces derniers temps.

De nombreuses études sont venues soulever les dangers éventuels de ces sources de chaleur. En effet, ces dernières pourraient entrainer des risques de brûlures voir d’incendies et rejetteraient même un gaz toxique, le monoxyde de carbone.

Pour affronter cette polémique, une norme française a été mise en place et impose aux cheminées à l’éthanol certains critères de sécurité. Par exemple, les appareils sont équipés d’un détecteur de CO2 et doivent automatiquement s’arrêter au bout de 2 fois 3 heures de fonctionnement… Mais cette norme n’est pas obligatoire pour les particuliers, qui peuvent acquérir des cheminées non normalisées sans connaître toutes les informations nécessaires à leur bonne utilisation.

Sans conduit, la cheminée à l’éthanol s’affranchit de l’âtre et se dématérialise. Elle s’installe n’importe où en toute liberté et peut même s’emporter lors d’un déménagement. L’idéal pour des urbains qui ne possèdent pas de conduit dans leur logement ou qui ne peuvent pas, pour des raisons réglementaires, installer une cheminée chez eux !

Les cheminées à l’éthanol restent essentiellement décoratives. On a vu naître de ce point de vu de nombreux modèles hyper design.

Aménager les combles, ce qu’il faut savoir

LES COMBLES D’UNE MAISON OU D’UN APPARTEMENT RESTENT DES MÈTRES CARRÉS QU’IL EST TENTANT D’UTILISER POUR CRÉER UNE PIÈCE À VIVRE SUPPLÉMENTAIRE : CHAMBRE, BUREAU, SALLE DE JEUX…

L’aménagement des combles demande quelques règles de base à respecter car il faudra consolider le sol, amener de l’électricité, créer des ouvertures, renforcer l’isolation, bien appréhender l’inclinaison de la sous pente…

IDÉE CHAMBRE

Crédit@pinterest

CONSEILS MAISON

RÉGLEMENTATION À RESPECTER

Avant de commencer les travaux, il est indispensable de se renseigner en mairie pour connaître les réglementations en cours. Un permis de construire est obligatoire pour toute création de surface habitable de plus de 20 m2. Il le sera également en cas de modification de la toiture, notamment si vous optez pour une isolation thermique par l’extérieur ou si le site est classé.

Pour une surface inférieure à 20 m2, il suffira juste d’une déclaration de travaux.

Dans le cas où la surface habitable totale de la maison dépasse 170 m2 après aménagement, il faudra avoir recours à un architecte.

ISOLATION À PRÉVOIR

Si la chaleur s’échappe à raison de 10 % par les sols, 15 % par les fenêtres et 25 % par les murs, elle s’évapore de 30 % par la toiture. Isoler parfaitement les combles est donc indispensable pour le classement énergétique (DPE obligatoire en cas de location ou de vente de la maison) et pour les économies de consommation de chauffage.
La performance thermique de l’isolation dépend essentiellement de l’épaisseur des isolants mis en œuvre : un minima 22 cm d’isolant est préconisé dans les rampants ou le plafond, et sur les pignons on recommande au minimum 14 cm d’épaisseur.

lamaisonmatelot.com

PENSER AUX AIDES DE L’ÉTAT POUR LES TRAVAUX D’AMÉNAGEMENT DE COMBLES

Si votre habitation a plus de deux ans, en respectant les épaisseurs d’isolement évoquées dans le paragraphe précédent, vous aurez droit aux aides financières nationales comme le Crédit d’Impôt Transition Energétique, les Certificats d’Economies d’Energie et la TVA à 5,5%.

L’Eco Prêt à Taux Zéro, les aides de l’Agence Nationale d’Amélioration de l’Habitat (ANAH) et parfois des aides locales (ville, département, région) peuvent venir également en complément.

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VÉRIFIER LA HAUTEUR DISPONIBLE DANS LES COMBLES

Il est conseillé d’avoir une hauteur d’1,80 m au minimum, afin de pouvoir s’y tenir debout et circuler à son aise.

Abattre des cloisons pour gagner de l’espace

Les constructions anciennes avaient tendance à cloisonner les pièces et à séparer les espaces de vie. Aujourd’hui, la tendance est à l’ouverture. On décloisonne pour gagner en surface et pour faire communiquer la cuisine avec le séjour, la chambre avec la salle de bain, l’entrée avec le salon… La question d’abattre des cloisons se pose naturellement et ouvre les horizons. On sait qu’un mur abattu peut changer radicalement la nature d’un habitat. Encore faut-il prendre quelques précautions avant de se lancer dans les travaux.

QUELLE EST LA NATURE DE LA CLOISON À ABATTRE ?

L’erreur majeure et la plus préjudiciable serait d’abattre un mur porteur. Pour être certain d’un bon diagnostic, il est important d’étudier les plans de construction. Ou de se rapprocher d’un architecte ou d’un professionnel du bâtiment. Les murs porteurs étant destinés à supporter la charpente et la structure des planchers d’un bâtiment, ils sont généralement situés à la périphérie ou au centre de la maison. Son rôle clé dans le soutien d’une habitation rend les travaux et les modifications délicates.

Si on habite en immeuble – même si on est propriétaire de son appartement – il faut obtenir un accord écrit de la part de la copropriété. Pour les propriétaires de maisons, un permis de construire de la mairie est nécessaire dans le cas où on souhaite modifier la façade. Quel que soit le cas de figure, il est important de demander une copie du devis d’assurance au professionnel qui sera en charge des travaux avant le démarrage du chantier ! Les travaux commenceront systématiquement par la pose d’étais puis par la mise en place d’un poteau IPN. Une fois le béton sec, la démolition du mur se fait progressivement en commençant par le haut de celui-ci et en terminant par la partie proche du plancher.

PENSER À VÉRIFIER LA PRÉSENCE DE CÂBLES DANS LA CLOISON

Si un câble électrique, une canalisation traverse la cloison, il faut prévoir leur déplacement au fur et à mesure de l’abattage en veillant à ne pas les endommager. L’intervention d’un électricien est recommandée pour cette manipulation.

PRÉPARER ET ISOLER LA CLOISON À ABATTRE

Abattre une cloison génère beaucoup de poussières et peut provoquer des dégâts sur vos sols. Il est conseillé de protéger les meubles et les surfaces de bâches, de vieux draps ou de vieilles couvertures pour amortir la chute des blocs.

PROTÉGER LE PLAFOND

Une fois la nature du mur à abattre identifiée, des étais doivent être posés du sol au plafond afin de supporter celui-ci au moment de l’abattage de la cloison.

CHOISIR LES OUTILS ADAPTÉS

Lunettes, masques, gants sont nécessaires pour être protégé des projections et de la poussière. Les outils utilisés sont différents en fonction de la nature de la cloison à abattre. Pour une surface en Placoplâtre®, une masse suffira, pour des murs en briques voire en béton, l’utilisation d’une tronçonneuse à disque sera nécessaire.

Les radiateurs décoratifs : rendez votre chauffage design

L’évolution des radiateurs, de simples appareils fonctionnels à des éléments de décoration, est une tendance marquante dans le monde du design d’intérieur. Jadis considérés comme des objets encombrants et peu esthétiques, les radiateurs se transforment aujourd’hui en pièces maîtresses, apportant style et caractère à nos intérieurs.

Radiateurs de couleur : osez la nuance !

Les radiateurs déco ne se limitent plus au blanc traditionnel. Les designers ont introduit une palette de couleurs audacieuses et subtiles, permettant aux radiateurs de s’intégrer harmonieusement ou de créer un contraste saisissant dans nos intérieurs.

Un radiateur rouge vif peut devenir le point focal d’une pièce minimaliste, tandis qu’un ton pastel peut adoucir une pièce aux couleurs vives. Le choix de la couleur doit être en accord avec l’ambiance et le style souhaités, transformant ainsi un simple appareil de chauffage en un véritable élément de décoration.

Radiateurs miroir : l’élégance à son paroxysme

Le radiateur miroir est une innovation remarquable, alliant utilité et esthétique. Parfait pour les espaces restreints, il offre une triple fonction : chauffer la pièce, donner une impression d’espace et servir de miroir.

Ces modèles sont particulièrement appréciés dans les entrées ou les salles de bains, où ils apportent une touche de sophistication tout en économisant de l’espace. Certains radiateurs électriques décoratifs se distinguent par leur design élégant, se fondant parfaitement dans le décor tout en offrant une réflexion claire et utile.

Radiateurs sèche-serviette : confort et design

Les radiateurs sèche-serviettes ne sont plus de simples barres métalliques. Les dernières tendances les transforment en chauffage électrique design, apportant une touche de modernité aux salles de bain.

Outre leur fonction pratique de séchage des serviettes, ces radiateurs se déclinent en divers matériaux et formes, allant des lignes épurées aux motifs plus audacieux. Ils peuvent être choisis pour compléter le style de la salle de bain, qu’il soit contemporain, classique ou avant-gardiste.

Radiateurs sculptures : une oeuvre d’art

Les radiateurs sculptures sont la preuve que le chauffage peut être une forme d’art. Ces pièces uniques, souvent créées par des designers renommés, peuvent transformer radicalement l’atmosphère d’une pièce.

Qu’ils soient abstraits, figuratifs ou inspirés de la nature, ces radiateurs attirent le regard et suscitent la conversation. Ils sont idéaux pour ceux qui cherchent de l’audace dans leur espace de vie.

Radiateurs extra-plats : la beauté de la discrétion

Pour ceux qui préfèrent une approche minimaliste, les radiateurs extra-plats sont la solution parfaite. Leur conception fine et discrète permet une intégration presque invisible dans n’importe quel décor.

Ces radiateurs électriques déco sont particulièrement adaptés aux petits espaces, où chaque centimètre carré compte. Certains peuvent même être installés en hauteur, libérant de l’espace au sol pour d’autres éléments de décoration ou meubles.

Radiateurs à double fonction : polyvalence et style

Les radiateurs à double fonction sont une réponse ingénieuse aux défis de l’aménagement moderne. En combinant chauffage et autres fonctionnalités, comme des étagères ou des claustras, ces radiateurs offrent une solution pratique tout en contribuant à l’esthétique de la pièce. Ils sont particulièrement utiles dans les espaces multifonctionnels ou les studios, où chaque élément doit être à la fois fonctionnel et esthétique.

Radiateurs ronds : un design tout en courbes

Les radiateurs ronds, évoquant la forme d’un donut avec leur cercle ouvert, apportent une touche de modernité et d’originalité dans le monde du chauffage. Disponibles dans une variété de couleurs, ils s’intègrent harmonieusement dans tout type de décoration intérieure, offrant à la fois un élément esthétique et une source de chaleur efficace.

Parfaits comme chauffage d’appoint, leur design unique et leur facilité de déplacement les rendent parfaits pour les espaces nécessitant une solution de chauffage flexible et décorative. Ces radiateurs design pour salon allient ainsi fonctionnalité, style et innovation, se faisant remarquer autant par leur forme distinctive que par leur polyvalence.

Radiateurs connectés avec une lumière d’ambiance

Les radiateurs connectés dotés de lumière d’ambiance représentent une fusion entre technologie et design. Ces appareils modernes offrent non seulement une source de chaleur efficace mais intègrent également un éclairage d’ambiance, transformant ainsi l’atmosphère d’une pièce.

Grâce à leur connectivité, ils peuvent être contrôlés à distance via une application, permettant un ajustement facile de la température et de l’éclairage pour créer l’ambiance souhaitée. Cette combinaison de fonctionnalités en fait un choix idéal pour ceux qui recherchent confort, contrôle et une touche moderne dans leur espace de vie.

Rénover un parquet ancien

Ponçage, cire, huile, vitrificateur, fond dur… Rénover un parquet nécessite de respecter les étapes d’intervention, de faire le choix de produits indispensables et souvent de louer du matériel adéquat. Une petite entreprise qui demande de l’implication et du soin mais qui fait renaître les sols de leur plus belle nature. Mode d’emploi !

Crédit@leroymerlin.fr

1. REMPLACER LES LAMES ABÎMÉES

  • Avant de rénover votre parquet, vérifiez au préalable son état. Si quelques lames sont abimées, il convient de les remplacer avant le ponçage.
  • Scier la lame détériorée à chaque extrémité.
  • Créer un trou de diamètre assez grand pour pouvoir y glisser une lame de scie.
  • Scier la lame de parquet sur toute la longueur.
  • La casser au marteau ou à l’aide d’un tournevis.
  • Vérifier l’état des solives.
  • Mettre en place la nouvelle lame.
  • La clouer sur les solives.

2. PONCER DE FAÇON HOMOGÈNE

Tout débute par une évacuation des meubles. Veillez à bien nettoyer le moindre recoin et aspirer toutes les poussières. Une fois la pièce propre, le ponçage au gros grain peut commencer. Progressez dans le sens du bois, en décalant de quelques centimètres à chaque passe.

Pour les zones moins accessibles, procédez de la même manière avec la bordureuse. Ainsi votre surface est propre et uniforme. Effacées les taches et les anciennes finitions ! Dès le démarrage de la ponceuse, avancez immédiatement. Vous éviterez ainsi de creuser votre sol !

3. CHOISIR SA FINITION

La vitrification est de loin la plus répandue, protège durablement votre parquet de toutes agressions : taches, usure, chocs, rayures…. Elle vous est proposée en plusieurs aspects. Brillant, satiné, mat : faites votre choix, pour un résultat à votre goût !

Pour appliquer le vitrificateur (vernis spécifique) sur toute la surface de la pièce, l’utilisation d’un rouleau (ou d’un spalter) est requise. Le pinceau fin, quant à lui sera très utile pour les endroits peu accessibles. 3 couches sont nécessaires ; 2 seulement sur un fond dur (cette étape présente deux principaux avantages : elle facilite la vitrification et permet un résultat final bien meilleur).

L’huilage pénètre le bois et le protège contre les taches. Les huiles, riches en matière d’origine végétale, apportent un aspect naturel à votre parquet. De plus, la tâche est peu ardue : appliquez simplement la teinte en couches fines et régulières à la brosse ou au rouleau et essuyez au fur et à mesure avec un chiffon. Laissez sécher 1 heure minimum entre chaque couche.

La cire, facile à appliquer, nourrit et protège votre parquet. De plus, elle lui apporte un aspect patiné unique. Pour cela, il suffit de verser la cire sur le sol, de l’étendre avec un pinceau. Ensuite, laissez sécher, puis lustrez : soit avec un balai et un chiffon de coton, soit avec une lustreuse, gage d’un excellent résultat.

4. AVOIR LES OUTILS NÉCESSAIRES

Pour poncer : une ponceuse à bande, une bordureuse, des bandes abrasives à gros grain et à grain fin pour les finitions.

Pour vitrifier : un fond dur, un vitrificateur, un pinceau fin et un rouleau ou spalter.

Pour huiler et teinter : une brosse ou un rouleau à poils courts, un chiffon en coton non pelucheux et de la teinture ou de l’huile.

Pour cirer : un pinceau large ou un linge de coton, un chiffon de laine ou de coton, de la cire, liquide ou en pâte.
En option : une lustreuse à parquet

Grange sous toit : extension des possibles

Cet espace sous charpente, distribué tout en longueur et avec très peu de lumière a fini par trouver son identité. L’intervention d’un architecte a permis de repenser les volumes, de créer du rythme pour au final faire complètement oublier le schéma d’origine.

REDISTRIBUTION DES VOLUMES

Pour l’architecte, cet espace central de 15 x 5m offre un grand potentiel avec sa construction totalement ouvert. Comme dans un jeu de légo, il imagine faire naître des semi-cloisons de séparation sans obstruer les lignes de perspective, des caissons avec niches ouvertes pour marquer notamment le sas d’entrée. En marquant le sol des repères pour les cloisons, le client peut se projeter physiquement et dans les conditions du réel, sur un autre mode de construction.

Les photos avant/après montrent que la linéarité est respectée et que d’un bout à l’autre de l’aile, la vision reste entière. La charpente en bois a été complètement recouverte. Seules quelques poutres restent apparentes. Repeintes en blanc, elles se fondent dans un ensemble immaculé.

Crédit photo@ http://www.atypik-interieur.com

CRÉATION DE PUITS DE LUMIÈRE

Avec un côté de mur totalement occulté, un toit sans autorisation pour des velux, le parti-pris se porte sur la succession des baies développées de façon unilatérale. Dans le couloir qui mène aux chambres, l’ouverture à la lumière est réduite aux  velux. Pour que les chambres bénéficient d’un peu de clarté, l’architecte propose d’associer dans les cloisons, un insert vitré. Dans la salle de bains, un skydome offre un faisceau de lumière juste au dessus de la baignoire.

Crédit photo@ http://www.atypik-interieur.com

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AMÉNAGEMENT ZEN TOUT EN AUTONOMIE

L’architecte optimise cet espace en L pour dissocier l’espace jour de celui de la nuit. Il propose également de concevoir la cuisine de façon indépendante et autonome des pièces à vivres (salon et salle à manger). Ce parti-pris se concrétise autour d’une pièce de belle dimension qui associe un bar pour les petits déjeuners et repas pris sur le pouce. La cuisine communique avec une terrasse accessible par une baie vitrée coulissante.

L’ensemble de l’habitation est peint en blanc pour accrocher au maximum la luminosité et amener de la pureté à l’ensemble. Le sol habillé de bois blond est chaleureux. L’agencement de la cuisine et de la salle de bains joue la carte de l’épure avec des partis-pris simples, naturels avec des matériaux bois et placages blancs.

Crédit photo@ http://www.atypik-interieur.com

Avantages d’installer un système de récupération des eaux de pluie

Les mesures de restriction d’eau deviennent fréquentes dans de plus en plus de régions et les amendes prononcées sont sévères. Avec les cuves enterrées, on peut continuer à vivre normalement en arrosant les pelouses sans contrainte et en alimentant une partie des besoins de notre maison.

Crédit photo @www.ekoolos.fr

Lorsque l’on parle de récupérer son eau de pluie, on pense tout de suite aux cuves hors-sol à installer à l’extérieur dans le prolongement de sa descente de gouttière. Grâce à elles, on peut ainsi arroser son jardin ou sa voiture sans débourser un centime. Une autre solution existe pour valoriser son eau de pluie, c’est la récupération enterrée, un système très réglementé qui repose sur l’enfouissement d’une cuve dans le sol d’un jardin.

  • L’alimentation de certains équipements de la maison

Dans les grandes lignes, il fonctionne sur le même principe que les systèmes hors-sol sauf qu’au lieu de servir uniquement à stocker l’eau, il la filtre, la rendant ainsi utilisable à l’intérieur de la maison pour alimenter certains équipements ou appareils électroménagers comme, par exemple, les WC ou les lave-linges. L’eau est stockée à une température constante et l’abri de la lumière. Du coup, contrairement à de l’eau issue d’une cuve hors-sol qui va avoir tendance à devenir verte, elle reste transparente et sans odeur.

  • Un investissement important

Le budget à prévoir n’est pas le même. Dans un cas, il suffit d’acheter son équipement et de le raccorder à sa descente de gouttière tandis que dans l’autre, il faut réaliser des travaux de terrassement et de plomberie. Parce qu’il est difficile pour un particulier de se lancer dans de telles opérations, certaines entreprises spécialisées, proposent des formules clé en main. Le système s’adapte aussi bien aux constructions neuves qu’anciennes.

  • Un crédit d’impôt et des factures allégées de moitié

L’investissement peut être rapidement rentabilisé grâce notamment au crédit d’impôt de 22% à valoir sur le matériel – si, et seulement si, l’installation a été réalisée par un professionnel – et aux économies d’eau réalisées. Grâce au système enterré, on peut arriver à alléger sa facture d’eau de 50%.

Quels volets pour quelles fonctions ?

10 à 15 % de la chaleur d’un logement s’échappe par les fenêtres. Les volets jouent un rôle important dans  lutte contre les ponts thermiques. Volets en fer, aluminium, pvc, ou bois ? Volets battants, persiennes ou roulants ? Motorisation ou fermeture manuelle ? Sept conseils pour vous aider à décider en étant bien informé.

Volets battants PVC – Crédit photo@www.fenestore.com

  • Volets et isolation

Le bois et le PVC sont les leaders sur le plan de l’isolation, meilleurs que l’aluminium. Il faut cependant toujours rester vigilent à la qualité des volets choisis. Un premier prix en bois peut être moins performant qu’un autre matériau plus sophistiqué. Pour bien choisir, il faut se référer à l’étiquette énergie présente sur les volets.

  • Volets et entretien

Les volets en aluminium sont de loin les plus résistants dans le temps. Le PVC ne demande aucun entretien spécifique, il faut juste choisir un volet de qualité et ne pas lésiner sur le prix. Le bois impose le passage d’une couche de lasure une fois tous les 2-3 ans pour son entretien.

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  • Les volets roulants et les matériaux

Les volets roulants représentent la majeure partie des ventes pour leur aspect pratique et sécurisant. Ils se sont développés dans un large panel de matériaux : PVC, bois ou aluminium. Seuls les volets composites (mélange de plastiques et d’aluminium ) ainsi que les volets en métal ne se présentent pas sous la forme de volets roulants.

Volets roulants électriques – Crédit photo@www.weigerding.com

  • Les volets battants, pliants ou roulants

Les volets roulants permettent d’ouvrir et de fermer les volets sans avoir à ouvrir la fenêtre d’autant qu’ils sont majoritairement vendus motorisés.

Les volets battants sont aussi une option pratique car adaptée à de nombreuses fenêtres.

Enfin si votre toiture dispose de gouttières qui peuvent gêner à l’ouverture, l’option des volets pliants peut-être la plus avantageuse.

  • Les volets et la sécurité

Les volets roulants disposent pour la plupart d’options anti-arrachement et anti-crochetage très avancées, ce qui les place en première position, devant les volets battants. Bémol pour les volets pliants qui offrent une sécurisation discutable, car à moins d’être installés en étage ou sécurisés à l’aide d’une serrure, ces derniers pourront être facilement crochetés.

  • Les volets et les tarifs

Le PVC se positionne sur les meilleurs prix devant l’aluminium et le bois.

Il existe des premiers prix pour tous les matériaux et pour tout type d’ouverture. Il est toutefois recommandé d’éviter d’acheter des volets trop bon marché, cet équipement devant être résistant et protéger durablement la façade.

  • Les volets et le crédit d’impôt

Pour pouvoir bénéficier du crédit d’impôt sur l’installation de volets, vous devrez opter pour des volets « isolants ». Ces derniers devront afficher des niveaux de performance précis, à savoir une résistance thermique supérieure à 0,20 m².K/W, pour permettre de bénéficier d’un crédit d’impôt de 10 %.

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